A Deux Dans L'anus De Julie

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Publié par La Rédaction E-Santé , le 03/07/2018 à 13:00
La sodomie est une pratique sexuelle de plus en plus pratiquĂ©e, mĂȘme si l’évoquer reste encore tabou. La zone anale, aussi bien interne qu’externe, est extrĂȘmement sensible, car elle est trĂšs innervĂ©e et vascularisĂ©e, ce qui la rend particuliĂšrement Ă©rogĂšne et propice Ă  l’atteinte de l’orgasme. Toutefois, il est essentiel de bien prĂ©parer la partenaire Ă  la sodomie, en lubrifiant l’anus avant la pĂ©nĂ©tration (contrairement au vagin, l’anus ne se lubrifie pas naturellement), faire monter le dĂ©sir et l’excitation avec des caresses, un anulingus, masser les fesses ou encore stimuler le clitoris. Reste ensuite Ă  trouver la position sexuelle qui favorise l’orgasme anal.
Il existe plusieurs positions possibles pour pratiquer la sodomie. Voici parmi les positions sexuelles, celles qui facilitent l’orgasme anal:? le cheval inversĂ©: l’homme est allongĂ© sur le dos, la femme le chevauche en Ă©tant dos Ă  lui ;? la levrette: cette position classique permet un bon angle de pĂ©nĂ©tration pour atteindre l’orgasme anal ;? le loup: il s’agit d’une variante de la levrette, en cela qu’elle se pratique debout, la femme avec un pied sur une chaise, ce qui accroĂźt l’excitation des partenaires ;? l’équerre: dans cette position, la femme est allongĂ©e sur le dos sur le lit, l’homme est Ă  genoux au pied du lit, entre les jambes de sa partenaire.
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Par VĂ©ronique Laurent —


N°244 /
p. 30-39 ‱ Janvier-fĂ©vrier 2022

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Seule des six mamans de notre enquĂȘte à avoir conservĂ© la garde principale de son enfant – parce que le pĂšre n’en veut pas –, Julie est menacĂ©e par le SPJ (service de la protection de la jeunesse) du placement de son enfant de huit ans, au motif, dans un premier temps, d’”aliĂ©nation”. Son petit garçon dĂ©nonce les agissements du pĂšre et prĂ©sente de maniĂšre rĂ©currente des signes de maltraitances sexuelles et physiques. Le SPJ maintient pourtant le droit de visite du pĂšre. “J’ai dĂ» dĂ©poser plainte suite au signalement des mĂ©decins ; le Parquet m’accuse de dĂ©poser plainte Ă  tout va” , raconte Julie. Son fils reste en danger : “Vous savez, si on pouvait prouver que tout ça ne s’est pas passĂ©, ce serait un rĂ©el soulagement.”
‱ Ce tĂ©moignage fait partie d’une grande enquĂȘte que nous avons menĂ©e sur le renversement de responsabilitĂ© qui s’opĂšre dans des institutions de notre pays lorsque des mĂšres dĂ©noncent l’inceste commis par le pĂšre. L’enquĂȘte “Inceste : paroles de mĂšres, dĂ©ni de justice” et les autres tĂ©moignages sont Ă  lire ici .
‱ Cet article comprend le rĂ©cit de faits de pĂ©docriminalitĂ©, inceste, violences sexuelles, qui risquent de heurter.
‱ Nous avons fait le choix de ne pas Ă©dulcorer la parole de Julie et de retranscrire les mots qu’elle utilise en parlant des constats qu’elle a faits, afin de ne pas participer Ă  l’euphĂ©misation, Ă  la minimisation, Ă  l’occultation et au dĂ©ni de la rĂ©alitĂ© de l’inceste.
‱ Pour la protection de cette tĂ©moins qui a voulu partager son histoire et pour la protection de son enfant, les prĂ©noms et certains Ă©lĂ©ments ont Ă©tĂ© modifiĂ©s, sans que cela ne nuise Ă  la comprĂ©hension de leur situation.
“ Un an aprĂšs la sĂ©paration, mon enfant va chez son pĂšre trois fois par semaine, sans dĂ©logement, selon les demandes du papa. Il a des difficultĂ©s Ă  aller Ă  la toilette et mal au ventre : on va aux urgences. Le mĂ©decin constate des selles particuliĂšres – rien Ă  voir avec de la dysenterie ou de la constipation. Des photos sont prises, mais le mĂ©decin dit qu’il ne peut pas se prononcer. Trois mois aprĂšs, on va voir un gastro-pĂ©diatre. Mon fils a 4 ans. Le mĂ©decin lui demande s’il peut regarder ses fesses. Il prend en photo les selles. Son assistante sort avec mon enfant, et ce mĂ©decin me dit qu’il y a soupçon de maltraitances. Il avertit le SAJ (service de l’aide Ă  la jeunesse). Le problĂšme est qu’il y a dĂ©jĂ  une procĂ©dure en cours contre le pĂšre pour coups sur l’enfant. Mon enfant est Ă©cartĂ© du pĂšre pendant quelques mois. Par la suite, des visites sont organisĂ©es en espace-rencontre. Il y a Ă  nouveau des problĂšmes, mais l’espace-rencontre ne veut pas attester que mon fils a changĂ© de sous-vĂȘtements pendant la visite chez son pĂšre, par exemple. Mon fils souffre Ă©galement d’encoprĂ©sie [une forme d’incontinence fĂ©cale, ndlr] . Un mĂ©decin a fait une demande Ă  l’espace-rencontre pour un examen : ça passe mal. Une intervenante parle d’”aliĂ©nation” de la part de la mĂšre. L’espace-rencontre rend un rapport nĂ©gatif et mensonger.
Plus tard, mon fils revient Ă  nouveau d’une visite chez son pĂšre en refusant de se laver, il dit que son pĂšre lui a fait mal. Il a des rougeurs et des selles identiques Ă  celles des photos non recevables. Je vais aux urgences. Il ne peut pas ĂȘtre vu par l’urgentiste et nous sommes tenus d’attendre la police. La police prend mon tĂ©moignage et le CPVS (Centre de prise en charge des violences sexuelles) remet un rapport consĂ©quent. Le mot “viol” est posĂ©. Je pense alors que je ne devrai plus remettre l’enfant au pĂšre. Mais le rapport n’est pas pris en compte par la Justice. Je demande alors un suivi Ă  SOS Enfants , qui propose une prise en charge de trois semaines en hĂŽpital ; le pĂšre refuse, et SOS Enfants fait son rapport : l’enfant va mal, mais il n’y a pas de violences prouvĂ©es. La conclusion est qu’il faut faire un travail des deux cĂŽtĂ©s : chaque parent doit voir un psy, comme l’enfant
 Le pĂšre m’accuse d’”aliĂ©nation parentale”. Mon fils passe deux auditions vidĂ©os filmĂ©es : pas de reconnaissance, dans mon chef, du SAP [“syndrome d’aliĂ©nation parentale”, un concept dont l’utilisation est interdite par plusieurs textes internationaux et pourtant dĂ©crit en toutes lettres par les services d’aide Ă  la jeunesse sur leur site , ndlr] , mais je ne rĂ©cupĂšre pas la garde complĂšte. Le SAJ dit qu’il faut une visite du pĂšre par semaine, de façon encadrĂ©e. Le pĂšre n’est pas d’accord, il saisit un avocat. Je reçois un rĂ©fĂ©rĂ© d’un huissier et passe au tribunal, oĂč je me fais dĂ©monter : le Parquet me dit que le problĂšme, c’est moi. Et si je dĂ©pose encore plainte, mon fils sera placĂ©.
Le mot “viol” est posĂ©. Je pense alors que je ne devrai plus remettre l’enfant au pĂšre. Mais le rapport n’est pas pris en compte par la Justice.
Ensuite, mon fils retourne chez son pĂšre quelques jours par semaine. LĂ , il n’y a plus personne pour m’aider. On est inscrit au CLIF (Centre LiĂ©geois d’Intervention Familiale), qui ne sera mis en place que bien plus tard. Mon fils ne veut plus parler des agressions pendant des mois ; il me dit : “Tu sais bien ce qu’il se passe.”
Des mois plus tard, on a enfin rendez-vous au CLIF, tous les trois. AprĂšs 5 minutes, le papa s’en va. Il ne vient pas aux deux rendez-vous suivants. Je reçois un courrier : “Le pĂšre n’est pas venu, on ne peut rien faire.” Et le SPJ [qui peut mettre en place, sur mandat de la Justice, une aide contrainte, ndlr] ne fait rien non plus. La garde est toujours partagĂ©e, sans dĂ©logement.
Quoi qu’on essaie, le disque tourne en boucle sur le conflit parental.
DerniĂšrement, il y a eu une Ă©valuation du SAJ. Le petit Ă©tait encore revenu avec des hĂ©matomes. Et quatre professionnels – un thĂ©rapeute, un mĂ©decin traitant, une psychologue experte des violences faites aux enfants et Verlaine Urbain, d’ Innocence en danger – ont examinĂ© mon dossier et Ă©crit un rapport alertant du danger couru par mon enfant. Pourtant, au SAJ, je me suis fait remballer. Ils m’ont aussi dit que le CVFE (Collectif contre les violences et l’exclusion) que je consultais quand j’étais encore en couple avec Monsieur, n’avait aucune crĂ©dibilitĂ©. Les rapports remis n’ont donc Ă  nouveau pas Ă©tĂ© pris en compte. On me dit : “Vous voulez faire payer Ă  Monsieur ce que vous avez subi” – dans mon cas, pas de violences corporelles mais psychologiques. Je leur demande que faire quand un enfant rentre frappĂ©. Les intervenantes du SAJ m’ont rĂ©pondu : “En parler avec le papa
” Ces intervenantes, la juge, sous-entendent que si mon fils Ă©tait agressĂ© sexuellement, il serait dans un autre Ă©tat que ça. Je leur ai dit que si mon fils finissait en psychiatrie, ce serait de leur faute. Quoi qu’on essaie, le disque tourne en boucle sur le conflit parental. Vous savez, si on pouvait prouver que ça ne s’est pas passĂ©, ce serait un rĂ©el soulagement.
En juin 2021, au passage devant le tribunal, l’avocate de l’enfant a dit les faits en face Ă  la juge : elle a parlĂ© de choses introduites dans l’anus, de la peur, de l’angoisse de mon fils, dont la parole est portĂ©e aussi par des mĂ©decins, pas uniquement par moi. Et pourtant, la conclusion du tribunal est que Madame s’acharne sur Monsieur. Mais le tribunal recommande tout de mĂȘme une hospitalisation en observation et le dossier repasse entre les mains du SPJ. Toujours pas une ligne Ă  propos des maltraitances.
Et pourtant, la conclusion du tribunal est que Madame s’acharne sur Monsieur.
Au dĂ©part, il est dĂ©cidĂ© de laisser mon fils dans son milieu habituel (et de rĂ©aliser l’observation en ambulatoire). Une semaine aprĂšs, changement soudain : le bilan se fera en internat. Je me dis que c’est un moyen de mettre mon enfant en sĂ©curitĂ© pour trois semaines, et lui Ă©tait ok. Avant son entrĂ©e, j’ai une rĂ©union avec SOS Enfants et le SPJ : il n’y aura aucune recherche de maltraitance pendant cette hospitalisation, mais un examen du “conflit parental”. Les intervenants me disent qu’ils ne sont pas lĂ  pour enquĂȘter. Je sors de lĂ  dĂ©pitĂ©e, et n’ose pas dire Ă  mon fils que cette hospitalisation ne va servir Ă  rien. J’apprends aussi que son sĂ©jour sera de minimum trois semaines – je n’ai aucune date de sortie – et que je pourrai le voir tous les 4 jours, aprĂšs les 10 premiers jours sans aucun contact, ni courrier, ni tĂ©lĂ©phone. Je ne le verrai pas pendant 12 jours. Il est restĂ© lĂ  43 jours ! Plusieurs fois, quand je vais le voir, il s’effondre, dit que personne ne l’écoute, et qu’on lui parle de “soucis entre papa et maman”. J’avertis le SPJ que c’est trop dur pour lui. On lui annonce qu’il ne pourra pas ĂȘtre Ă  la maison pour la Saint-Nicolas : c’est lui qui me l’apprend. Je n’ai reçu aucun courrier pour me tenir au courant. Je ne comprends pas ce qu’ils attendent encore de cet enfant. Il n’a pas mis le nez dehors plus de trois fois en plus d’un mois et le suivi scolaire s’est fait difficilement. Mon intime conviction est qu’ils cherchent une place en foyer.
Plusieurs fois, quand je vais le voir, il s’effondre, dit que personne ne l’écoute, et qu’on lui parle de “soucis entre papa et maman”.
Fin novembre, je contacte par mail la mĂ©diation de l’hĂŽpital en leur annonçant que ce n’est pas lĂ©gal de garder mon enfant une fois le bilan terminé : il sort une semaine plus tĂŽt que prĂ©vu. SOS Enfants mettra un point d’honneur Ă  ce que ce soit le pĂšre qui le rĂ©cupĂšre Ă  la sortie. L’enfant vomira chez son papa et m’expliquera qu’il a Ă©tĂ© malade parce qu’il a eu peur de se retrouver dans la maison de son pĂšre. Au SPJ, Ă  la derniĂšre rĂ©union avec SOS Enfants, ils iront jusqu’à rendre un rapport disant que JE suis maltraitante et, faute de pouvoir prouver l’aliĂ©nation parentale, ils utilisent le terme de “syndrome de MĂŒnchhausen par procuration” [rendre son enfant malade pour attirer la compassion, syndrome trĂšs rare, ndlr] . À prĂ©sent, mon enfant va un week-end sur deux chez son papa. On me le laisse Ă  condition que je ne consulte plus de mĂ©decin pour maltraitance et que je ne dĂ©pose plus plainte. On m’impose ainsi qu’à mon enfant un suivi psychologique. Je dois Ă©galement faire une mĂ©diation avec le pĂšre. Afin d’ĂȘtre sĂ»r que je ne tente plus de dĂ©noncer des faits de maltraitance, le SPJ laisse en place ces mesures et maintient mon enfant sur liste d’attente en vue d’une place en foyer. Mon enfant est tĂ©tanisĂ©, son pĂšre lui dit qu’il est un menteur.”















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