Ce connard baise sa fille pour la punir

Ce connard baise sa fille pour la punir




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































Ce connard baise sa fille pour la punir
Nous respectons vos choix Pour soutenir le travail de notre rédaction et vous offrir chaque jour une information fiable et de qualité, nous et nos partenaires utilisons des cookies pour stocker et/ou accéder à des informations sur votre terminal. Le traitement de certaines données personnelles (telles que les adresses IP, les données de navigation, d'utilisation ou de géolocalisation, les identifiants uniques ou les interactions avec les réseaux sociaux) nous permet de financer l'information disponible sur notre application et d'améliorer notre offre via l'analyse et la mesure d'audience ainsi que l'affichage et la mesure de performance des publicités et/ou des contenus personnalisés. Cliquez sur « Accepter » pour consentir ou paramétrez vos choix. En cliquant sur « Continuer sans accepter », vous refusez tout dépôt de cookies sur votre terminal. Vous pouvez modifier vos préférences à tout moment sur notre application. Certains partenaires traitent vos données sur la base de l'intérêt légitime. Vous pouvez vous y opposer en cliquant sur « Gérer mes choix ». Pour en savoir plus sur vos droits et nos pratiques en matière de cookies, consultez notre Charte Cookies .
Accueil Culture Littérature Virginie Despentes : Les réactions de la presse à Cher Connard, son nouveau livre


Virginie Despentes : Les réactions de la presse à Cher Connard, son nouveau livre



Par



David Abiker





Publié le 01/09/2022 à
14:27


Retrouvez toute l’actualité Littérature


Crise de l’énergie : Comment la France peut accéder à la sobriété
Emmanuel Macron a réuni ce matin à l’Elysée un conseil de défense sur la crise...


L’armée russe contrainte de recruter dans les prisons, selon le général Pellistrandi
Le général Jérôme Pellistrandi était l’invité de Renaud Blanc dans la matinale de Radio Classique,...


Immobilier : Pas de krach à l’horizon, malgré la hausse des taux d’intérêts
Si de nombreux observateurs craignent l’imminence d’un krach immobilier, les chiffres estivaux du marché immobilier...



La
Parisienne

Les Echos
Débats
Les Echos
publishing




Capital
Finance
Connaissance
des Arts
Viva Tech
Les Échos Start



L’Obs présente les choses ainsi : Virginie Despentes n’est ni théoricienne ni porte-drapeau, mais en devenant un symbole de la lutte contre le patriarcat, elle a préfiguré le mouvement de libération de la parole. J’appelle ça du langage automatique. Dans ce portrait affectueux, vous lirez l’histoire d’un recentrage, d’un assagissement : « la punkette défoncée des débuts souvent scrutée comme une bête de foire a quitté les marges pour occuper aujourd’hui une place centrale dans le paysage littéraire » . Plus loin, un proche interrogé par L’Obs explique autrement l’épanouissement de l’autrice de Cher Connard : « comme hétéro elle n’était pas antipathique, mais depuis qu’elle a changé d’avenue, ça l’a métamorphosée » . Luz, dessinateur de Charlie Hebdo déclare lui : « la fille qui terrorise un bon tiers de la France est une personne paisible et empathique » . Ce que j’ai aimé dans ce papier de L’Obs, c’est peut-être la conclusion : « elle a terminé son jus de citron depuis longtemps déjà, roulé quelques cigarettes. Cela fait plus de deux heures qu’on parle. Au moment de se quitter, elle contemple les toits de Paris qui se déploient devant nous, baignés par une brume de chaleur. On l’entend murmurer « c’est beau » » .
Si L ’Obs a été plutôt tendre, ce n’est pas le cas d’Eric Naulleau dans Marianne, ou du magazine Transfuge. Eric Naulleau n’aime pas l’écrivaine ni sa littérature et ne lui pardonne pas un texte publié dans Les Inrocks après la tuerie en 2015 de Charlie Hebdo. Ce passage, où Despentes exprime sa sidération au lendemain des attentats, lui est resté en travers de la gorge : « j’ai passé deux jours à me souvenir d’aimer les gens juste parce qu’ils étaient là et qu’on pouvait encore le leur dire. J’ai été Charlie, le balayeur et le flic à l’entrée. J’ai été aussi les gars qui entrent avec leurs armes. Ceux qui venaient de s’acheter une kalachnikov au marché noir et avaient décidé, à leur façon, la seule qui leur soit accessible, de mourir debout plutôt que vivre à genoux. J’ai aimé aussi ceux-là qui ont fait lever leurs victimes en leur demandant de décliner leur identité avant de viser au visage. J’ai aimé aussi leur désespoir » . Naulleau ne se gêne pas pour le rappeler dans un texte à lire sur Marianne.fr. Quant au magazine Transfuge, il n’a pas aimé le livre et le caricature ainsi : « On l’attendait. Sans surprise, en baillant. Le patriarcat, c’est mal ; le néo-féminisme, c’est bien ; le libéralisme, c’est mal ; la drogue, c’est bien mais c’est mal ; vieillir, c’est pas cool ; le climat, c’est dur ; la bienveillance, c’est beurk ; et les cactus, ça pique » . Transfuge conclut : « Virginie Despentes est un Pascal Praud de gauche » , en référence à l’animateur de CNEWS. Mais pour certains être comparé à Pascal Praud ce pourrait être un compliment. Ceci étant dit, il faut bien sûr lire le livre et se faire son opinion.

Télécharger les Applications mobile


© Radio Classique 2022 - Consentement RGPD

Gérer mes choix Tout refuser Tout accepter

France Inter


Radios


L'espace musique


France Bleu Alsace
France Bleu Armorique
France Bleu Auxerre
France Bleu Azur
France Bleu Béarn Bigorre
France Bleu Belfort-Montbéliard
France Bleu Berry
France Bleu Besançon
France Bleu Bourgogne
France Bleu Breizh Izel
France Bleu Champagne-Ardenne
France Bleu Cotentin
France Bleu Creuse
France Bleu Drôme Ardèche
France Bleu Elsass
France Bleu Gard Lozère
France Bleu Gascogne
France Bleu Gironde
France Bleu Hérault
France Bleu Isère
France Bleu La Rochelle
France Bleu Limousin
France Bleu Loire Océan
France Bleu Lorraine Nord
France Bleu Maine
France Bleu Mayenne
France Bleu Nord
France Bleu Normandie (Calvados - Orne)
France Bleu Normandie (Seine-Maritime - Eure)
France Bleu Occitanie
France Bleu Orléans
France Bleu Paris
France Bleu Pays Basque
France Bleu Pays d'Auvergne
France Bleu Pays de Savoie
France Bleu Périgord
France Bleu Picardie
France Bleu Poitou
France Bleu Provence
France Bleu RCFM
France Bleu Roussillon
France Bleu Saint-Étienne Loire
France Bleu Sud Lorraine
France Bleu Touraine
France Bleu Vaucluse

Avec votre accord, nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accéder à vos informations personnelles, comme votre visite sur ce site. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements fondés sur l'intérêt légitime à tout moment en cliquant sur " Gérer mes choix " ou dans notre politique de confidentialité présente sur ce site, et dans ce cas vous n'aurez plus accès à du contenu personnalisé basé sur votre navigation, aux contenus et fonctionnalités provenant des réseaux sociaux ou des plateformes de vidéos et nous ne tiendrons pas compte de votre usage pour améliorer notre site.
Avec nos partenaires, nous traitons vos données pour les finalités suivantes : le fonctionnement du site, la mesure d'audience et web analyse, la personnalisation, la publicité et le ciblage, les publicités et contenus personnalisés, la mesure de performance des publicités et du contenu, le développement de produit, l'activation des fonctionnalités des réseaux sociaux.
Vos préférences seront conservées pendant une durée de 6 mois.
Elle est l'une des voix féministes les plus symboliques de la littérature française. Cinq ans après sa trilogie à succès "Vernon Subutex", elle revient avec un roman post-meToo qui sonne comme des "Liaisons dangereuses" version ultra modernes, et qui a subjugué les critiques du "Masque & la Plume".

"Les premières phrases du livre sont "Cher connard, j'ai lu ce que tu as publié sur ton compte Instagram. Tu es comme un pigeon qui m'aurait chié sur l'épaule en passant. C'est salissant et très désagréable". Ces mots sont adressés par Rebecca Latté, une actrice dont l'auteure nous dit qu'elle est la troisième de la Sainte Trinité, avec Béatrice Dalle et Lydia Lunch, au romancier à succès Oscar Jayack sous le coup d'une affaire de harcèlement sexuel qui fait de lui l'homme à abattre des réseaux sociaux. Oscar répond aussitôt à Rebecca.
Les deux se connaissent depuis longtemps, depuis leur même origine plus que modeste du côté de Nancy. Et Rebecca n'a pas oublié qu'elle en pinçait autrefois pour Corinne, la sœur d'Oscar.
Ainsi commence donc ce roman épistolaire 2.0 entre deux transfuges de classe où il est beaucoup question de MeToo, de drogue ("J'ai toujours méprisé les gens qui ne se défoncent pas", écrit Oscar), du cinéma qui boude Rebecca depuis qu'elle a passé la cinquantaine, de l'édition et de la lutte des classes. Des échanges interrompus par le blog de Zoé Katana de manière régulière, "semie-valkyrie en feu", qui fut l'attachée de presse d'Oscar. C'est elle qui l'avait harcelé et c'est elle qui l'a "metooïsé".
Ça commence avec du fiel. J'ai presque envie de dire qu'après, il y a presque du miel dans leur relation. C'est du Pierre Choderlos de Laclos moderne".
Pour la journaliste de L'Obs Virginie Despentes est vraiment l'écrivaine qui comprend le mieux notre époque, ses enjeux, avec en prime ici une radicalité ponctuée de nuance qui livre une véritable hymne à l'amitié : "Virginie Despentes nous surprend parce qu'on ne s'attendait pas forcément de sa part à un roman épistolaire, qu'elle modernise énormément. Et en même temps, elle ne nous surprend pas parce qu'elle confirme le fait que c'est elle la patronne. On dit souvent que c'est Houellebecq, l'écrivain sociologue, mais lui est resté coincé dans les années 1990, quand elle saisit les mutations, les transformations de la société avec une vigueur et une intelligence qu'on trouve très peu ailleurs. On ne l'attendait pas non plus forcément sur cette façon de traiter MeToo et des violences sexuelles puisqu'elle fait aussi entendre la voix d'un homme "metooïsé" .
Elle est dans la peau des trois personnages en même temps. C'est ce qui faisait déjà la force de "Vernon Subutex", y compris en se mettant dans la peau de ses personnages les plus méprisables. Là c'est la même chose. Elle se met aussi dans la peau d'Oscar et Virginie Despentes, qu'on caricature souvent comme quelqu'un de très radical, de très trash, cette fois sa radicalité réside dans la nuance , dans sa façon de faire apparaître les contradictions chez chacun de ses personnages . Ce n'est pas "on se lève et on se casse", c'est "on se pose et on se parle" . Oscar est accusé de harcèlement par cette Zoé Katana ; ce n'est pas une accusation qui porte sur un fait gravissime. Il peut y avoir des circonstances atténuantes et on peut lui trouver quelques excuses.
Je trouve très intéressant aussi la façon dont elle décrit la société au prisme des addictions . Elle montre qu'on est tous dépendants, comme Oscar et Rebecca, qui est un personnage absolument génial, formidable, drôle et d'une liberté totalement folle".
Pour le critique du Figaro-magazine , si en termes de narration romanesque, ce n'est peut-être pas au même niveau que la trilogie précédente, ça reste très efficace. En particulier dans la volonté de l'auteure de dépasser la guerre des sexes : "le talent d'un romancier réside dans le fait de parvenir à se mettre dans la peau des autres, ce qu'elle réussit vraiment ici.
Au début, à la vue du titre "Cher connard", je me suis dit que ça allait encore être de la provoc un peu facile, mais, en réalité, le mot important dans le titre, c'est "cher" parce qu'elle fait une déclaration, une lettre d'amour extraordinaire aux hommes , en se mettant à la place d'Oscar et en l'humanisant.
C'est peut-être le premier roman contre le patriarcat, mais qui s'identifie aussi à ce qu'est la masculinité . C'est la recherche même de Virginie Despentes depuis de longues années d'essayer de dépasser cette guerre des sexes . C'est un livre très important pour cette raison-là parce que si les féministes radicales le lisent jusqu'à la fin, à ce moment-là peut-être que la hache de guerre va être enterrée ! Vous imaginez l'importance de ce livre ! Si Alice Coffin ou d'autres le lisent jusqu'au bout, ce serait vraiment super.
Cela dit, je préférais peut-être la trilogie "Subutex" où elle était vraiment dans une grande romancière balzacienne, elle avait vraiment prouvé quelque chose d'éblouissant. Là, il s'agit peut-être plus de tout ce qui lui passe par la tête sur l'époque , à travers des lettres écrites entre trois personnages.
C'est super efficace, et c'est une très bonne idée d'avoir voulu réécrire les 'Liaisons dangereuses' aujourd'hui" .
La critique fait la Une cette semaine des "Inrockuptibles", après avoir fait la Une de "Télérama". C'est le livre de la rentrée à côté duquel il ne faut absolument pas passer selon elle, saluant la capacité de l'auteure à surprendre systématiquement son lecteur en convoquant ici la conciliation, la confession incarnées dans un "moi" tout à la fois masculin et féminin brillant : "Le livre est génial et son auteure totalement bluffante. On se demandait ce qu'elle allait faire après après sa trilogie, et là, elle arrive à nous surprendre, à prendre un genre qui est tombé en désuétude.
Pour moi, c'est l'anti "Liaisons dangereuses", où il était vraiment question d'un rapport de force entre un homme et une femme sur l'échiquier social.
C'est du roman par lettres qui convoque de la conciliation, de la discussion , faisant entendre la voix de l'homme avec laquelle elle sort elle-même d'une image dans laquelle les gens pouvaient l'enfermer, dans cette espèce de féminisme symbolique. C'est une déclaration d'amour à l'amitié entre hommes et femmes et comment on s'accompagne mutuellement pour se faire changer, comment on peut arriver à avoir de l'empathie, à comprendre l'autre.
Oscar parcours tout un chemin pour comprendre la jeune Zoé. Chacun tombe le masque, tous sont dotés d'une honnêteté, et dès le départ, certes parce qu'ils viennent d'une même classe sociale où chacun s'en est sorti. Ils se retrouvent seuls et se rejoignent dans une société qui a complètement changé. Ce sont des enfants des années 1980 qui ont changé d'époque, de paradigme idéologique, de génération. Tout tient sur la langue (et le propos d'une intelligence foudroyante) ; la langue a la poésie du rap parfois. C'est le roman punchy de la rentrée . C'est extraordinaire !
J'aime vraiment (ce qui est aussi très malin pour un écrivain) de ce "double je", ce qui lui permet de faire une confession. C'est Virginie Despentes qui parle, son moi masculin, ce moi féminin qu'on a tous et qu'elle met en scène dans ce livre qui est absolument brillantissime ".
Le critique pour la revue Transfuge a tout particulièrement été saisi par l'éloge que dresse l'auteure quant à la distanciation sociale induite par la crise sanitaire, qui, selon, elle nous a aussi sensiblement rapprochés les uns avec les autres : "Dans son œuvre, c'est la première fois que Virginie Despentes nous étonne formellement puisque ce qu'elle saisit vraiment ici, c'est le fait que la distance (liée à la crise sanitaire) nous ait considérablement aidés. Ce qui marche entre ces trois personnages et le fait qu'ils soient amis, c'est qu'ils ne se rencontrent jamais . Il y a une éloge de distanciel qui nous sauve, selon elle, et notamment par rapport aux Narcotiques Anonymes (cet autre grand sujet du livre).
C'est vraiment, non pas le sujet de l'addiction, mais le sujet de sa guérison par le stratagème inventé de paroles ouvertes dont elle dit la même chose à propos du féminisme qui doit être la maison de toutes. Mais c'est précisément ce que font les Narcotiques Anonymes : tout le monde peut rentrer, chacun parle et personne n'est jugé".
Écoutez l'intégralité des critiques échangées sur le livre :
"Cher connard" de Virginie Despentes
Vous trouvez cet article intéressant ?


Performance & security by Cloudflare


You cannot access www.linfo.re. Refresh the page or contact the site owner to request access.
Copy and paste the Ray ID when you contact the site owner.

Ray ID:

744dfda5c9b4005d


744dfda5c9b4005d Copy



Ce site a besoin d'afficher des publicités pour continuer à fonctionner. Merci de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicité lorsque vous naviguez dessus.
Ce site a besoin d'afficher des publicités pour continuer à fonctionner. Merci de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicité lorsque vous naviguez dessus.
Ce site a besoin d'afficher des publicités pour continuer à fonctionner. Merci de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicité lorsque vous naviguez dessus.
Copyright 2006-2022 SoonNight Tous droits réservés -
Ce site a besoin d'afficher des publicités pour continuer à fonctionner. Merci de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicité lorsque vous naviguez dessus.

Belle secrétaire aux gros Seins se laisse sodomiser
Ce petit larscar espionne sa mère et après lui cloue la bite
Voulez-vous aller à la gendarmerie

Report Page