Éveil sexuel d'intello

Éveil sexuel d'intello




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Éveil sexuel d'intello
(ne fonctionne qu'avec les auteurs qui sont des usagers validés sur l'archive)
J'avais 14 ans et je rentrais en quatrième dans un internat à Paris, car mon collège de campagne avait fermé l'année précédente et que le collège le plus proche était trop loin de chez moi. C'était un internat qui faisait de 12 à 22 ans, et il y avait aussi bien des jeunes collégiens que des élèves de prépa aux grandes écoles. Le tout ressemblait à une sorte d'usine.

Quoi qu'il en soit, j'avais toujours eu un faible pour les garçons, et je me disais que cet internat de garçon serait l'endroit idéal pour essayer, ce qui me motivait beaucoup.

Arrivé à l'internat, on eut droit à une réunion. Les nouveaux devaient pendant le premier trimestre partager leur "chambre" (plutôt un espèce de dortoir de 16 personnes) avec des plus anciens qui leur montreraient un peu comment fonctionnait l'internat, et tout et tout. Quinze mecs qui avaient entre 15 et 17 ans se portèrent volontaires pour partager ma chambre. J'étais assez gâté, en fait, ça avait l'air d'être des potes, et ils étaient tous très beaux. Au moins, à défaut de sexe, il y aurait sans doute une très bonne ambiance dans la chambre.

J'arrivai dans la chambre avec la meute de joyeux drilles après le dîner, vers 20h et très bonne surprise: c'est grand, et surtout, j'apprends que dans cet internat, on se couche quand on veut, il n'y a pas de ronde de nuit, et la porte de la chambre ferme à clé. Le mec qui ferma la porte la ferma d'ailleurs à clé, mais je ne vis rien de révélateur dans cela au début.

Ces quinze colocataires étaient vraiment adorables, et commencèrent à m'aider à ranger toutes mes affaires, à faire de la place, mais moi, j'en pouvais plus: quinze mecs sublimes, s'affairant autour de moi! Je les voulais! Et je tentai alors une manoeuvre disons "d'approche", pour voir s'ils étaient réceptifs. Je me mis à genoux le cul bien en l'air, et je dandinai du cul de façon outrancière, faisant mine de chercher des chaussettes dans mon sac. Les mecs s'arrêtèrent vite pour me mater, il faut dire que j'étais pas mal à 14 ans, et que j'avais un beau petit cul.

Un mec derrière moi se mit à me toucher les fesses. Comme il vit que je frétillais encore plus du cul, il se mit à carrément me peloter vicieusement, et je dois dire que j'adorais ça. Il me dit:

— Alors on va y aller mollo, les mecs. Tu suces, Antoine?

Une queue toute flasque se posta devant moi, et son "propriétaire" me demanda de la faire jouir. Alors j'ouvris la bouche et la branlai sur ma langue, jusqu'à ce qu'elle fût bien bandée. Alors, je tâchai d'en bouffer le maximum. J'avais pas beaucoup d'expérience, mais j'avais beaucoup de bonne volonté, et j'en pris pas mal, et le mec qui était dans ma bouche semblait adorer. Tout comme moi, d'ailleurs, alors je continuai, je continuai encore, jusqu'à l'éjaculation. Je bouffai tout le sperme du mec qui râla de plus en plus fort puis se retira, laissant la place à une autre queue.

Je me mis à sucer, pendant que je sentais qu'un mec me déshabillait. Je me dis que l'heure de la sodomie était enfin venue pour moi, et j'étais à la fois excité et tétanisé. Le mec me dit:

— T'es sûr que ce sera la première fois?

— Ben j'ai déjà essayé avec des vibromasseurs.

Le mec se lubrifia un peu à la salive, aussi vite qu'il le put, et il glissa lentement son gland dans mon anus. Ce n'était pas si douloureux, en fait, et je prenais mon pied. Il s'enfonça plus profondément: là, j'eus un peu plus mal, mais ça restait supportable, et je sentais déjà le plaisir monter dans mon corps. Quand il se mit à faire des va-et-vient, je tremblai de plaisir. Et quand il éjacula, j'accélérai tellement le rythme sur la queue que je suçais si bien qu'elle en jouit instantanément.

Le mec qui m'enculait vint me faire lécher sa tob pleine de sperme, et fut tout de suite remplacé par un autre pas mal membré dans mon cul. Quand j'eus léché tout ce délicieux sperme, il m'emballa gentiment et laissa sa place à une bite pleine de jus dans ma bouche. Le mec derrière moi me ramonna sévèrement, ses couilles claquant souvent contre les miennes, ce qui me faisait un bien fou. D'ailleurs, je pris moi-même ma queue pour m'astiquer et je ne fus pas long à venir. Tout comme le mec qui m'enculait, qui jouit vite et laissa la place à celui que je suçais, qui se finit dans mon cul, jetant de puissants jets de sperme dans mes intestins.

Deux autres mecs rebouchèrent aussitôt mes deux trous disponibles, et ainsi de suite. Les quinze mecs passèrent, et les deux derniers profitèrent même de mon cul détrempé de sperme pour m'enculer à deux sans que je puisse vraiment souffrir. C'était exceptionnel, comme si j'avais un énorme sexe dans mon bas ventre, qui me remplissait merveilleusement. Je rejouis d'ailleurs durant cette double pénétration.

La petite partouze avait commencé à 20h30, et il était 22h30. J'incitai vivement tous les mecs qui le voulaient à se revider en moi. Certains le firent, d'autres n'en pouvaient plus. Et puis l'aîné me dit:

— Écoute, t'es mignon, super au niveau sexe, ça te dérange si on reprend ça demain? Ça nous fait vraiment envie!

— Tout ce que tu veux Antoine (c'est mon nom).

— Je veux être votre pute, à vous tous!

Il s'arrêta, me demanda si j'étais sérieux, et dit que c'était sans problème.

Le lendemain, la chambre d'en face se joignit à nous. Ils étaient trente environ, en tout, à me prendre dans tous les sens, et ça va vous paraître invraisemblable, sans doute, mais après trois heures, j'en voulais encore! Alors, le lendemain, ils étaient soixante sur moi. C'était incroyable, mais malheureusement, cela attira la direction de l'internat, qui croyait que l'on organisait des sortes de fêtes tous les soirs et qui voyait ça d'un mauvais oeil parce que ça nous faisait nous coucher tard. Ben voyons...

Alors mes potes imaginèrent un autre système: je vendrais mes services à une seule personne à la fois pour ne pas éveiller les soupçons, et seuls eux quinze auraient le droit de me partouzer le soir.

Le premier soir, j'eus un client de 22 ans, un prépa. Il s'acquitta de ses 50 francs à l'entrée et vint vers moi:

Il sortit un monstre d'au moins neuf pouces de son pantalon, déjà tout gonflé de plaisir, et me le fit sucer jusqu'à ce que j'avalasse une très grande quantité de sperme. Il partit alors, et j'étais un peu frusté que ça se finisse si rapidement, car sa queue m'intéressait. Mais bon, j'ai quand même eu les quinze gars de ma chambre sur moi cette nuit-là!

Le second client, il avait 14 ans, et il était super beau. Il se mit sur un lit du dortoir, nu, et me dit "Allez, encule-moi!" Il écarta les jambes et je sortis mon 6 pouces de l'époque, raide, pour lui enfoncer dans son trou. Comme c'était bon. Putain, j'appréciais vraiment, et lui aussi. Je réussis à résister tant bien que mal une dizaine de minutes avant de n'en plus pouvoir et de me retirer pour cracher ma semence dans la bouche comme il m'avait demandé. Il repartit aussi sec et place aux quinze fous furieux!

Le troisième avait 15 ans, mais il était très inventif. Il m'emmena dans la salle de bain de la chambre, me mit dans la douche, s'enfonça en moi et me pissa dans le cul. C'était très bon, mais je sentis vite mes intestins bouillir, et quand il ressortit, je me chiai dessus. Il m'encula alors, crachant au bout du compte une bonne quantité de foutre, et me demanda de m'allonger avant de me chier dessus et d'étaler sa merde sur moi. Et à part l'odeur, c'était assez agréable. On finit par se laver ensemble, et il partit, me laissant avec mes quinze partouzeurs.

Et ça a duré comme ça pendant tout un trimestre, puis je changeai de chambre. J'eus une chambre individuelle, et à partir de ce jour, même si je recevais pas mal de visites, je n'eus plus 15 partouzeurs à ma disposition chaque nuit. Ma petite affaire dura pendant quatre ans, puis me lassa. Mais pendant ces quatre ans, je fis l'amour au moins une fois tous les soirs, au début avec des internes, puis avec des pions et des profs également! Presque tout l'internat profita de mes services, tout le monde me connaissait, et je ne prenais même plus la précaution de rester dans les chambres pour faire mon boulot: je me suis souvent fait prendre dans un couloir ou une salle de classe, et j'ai souvent sucé à la cantine. Croyez-moi, je n'oublierai jamais mes années collèges et lycées!



Mme Déjantée


28 Oct 2011

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Maman Poussinou


31 Oct 2011

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Maman Poussinou


31 Oct 2011

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2 ou 3 enfants, entre les deux mon coeur balance parfois…



4 décembre 2012











Le portage, un geste d’Amour !



5 octobre 2012







38 ans, maman de Romain et Valentin, et d'un chien Tokyo.

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Cette semaine encore, j’ai publié cet article en intégralité sur le blog des Vendredis Intellos , j’y ai simplement ajouté ici, mes pensées, ainsi qu’un soupçon de notre vie au Poulailler (passages en parme). Je vous conseille vivement de vous rendre sur ce blog , vous y trouverez également tout plein de supers articles des copines blogueuses qui font chauffer leurs neurones, tout au long de la journée, et ce tous les vendredis !!
« Tous les enfants sont uniques, même s’ils ont des frères et soeurs. Sauf que ceux qui n’en ont pas posent question et remettent en cause des images, un idéal, un stéréotype. La famille se conçoit rarement à moins de deux enfants. Aujourd’hui pourtant, en France, 21% des familles ont un enfant, et pas deux. 10% des petits Français sont des enfants uniques.  »
Souvent caractérisé d’enfant roi, pourri gâté, et j’en passe, l’enfant unique est-il vraiment différent des autres enfants issus eux d’une fratrie ?
Etant moi-même fille unique, j’entends donc bien par là, sans frère ni soeur, je me suis souvent posé les questions : « Ai-je une vie différente de mes camarades ? » et surtout celle-ci « Pourquoi Pôpa et Môman ne m’ont jamais fait ce petit frère ou cette petite soeur que j’aurais tant aimé avoir ? »
Et plus généralement, quelles sont les motivations et les raisons des couples qui ne font qu’un seul enfant ? D’autant plus que le schéma d’une famille « type » (de celles que l’on s’imagine ou qu’on voit représentées dans les livres, les films ou les tableaux de maîtres par exemple) est souvent composé de plusieurs enfants. Au 18ème siècle, les familles faisaient plein d’enfants. Même dans les contes de fées, nous sommes habitués à « ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants ».
Alors pourquoi aujourd’hui n’en faire qu’un seul ?
Je me suis donc plongée dans le livre passionnant de Danièle Laufer : « Enfants uniques – Des petites familles sous le regard des autres ».
Je pense que c’est aussi le regard que les « autres » portent bien souvent sur ces enfants uniques. Ce sont bien évidemment des idées reçues, TOUS ne sont pas comme ça, et il est peut être bon de se pencher sur la question du « pourquoi ? »
C’est ce que l’auteur a voulu expliquer dans son livre, en s’appuyant sur les témoignages bien différents d’enfants uniques et de parents d’enfants uniques, afin de casser ces préjugés.
Certains parents font le choix de n’avoir qu’un enfant, et ce pour différentes raisons, par exemple :
Dans d’autres cas, ce n’est pas par choix que ces familles se retrouvent à n’avoir qu’un seul enfant :
Après, l’éducation qu’ils reçoivent n’est pas forcément différente de celle pratiquée dans les familles à plusieurs enfants, l’Amour reçu est le même, et même si parfois ils sont plus gâtés que les autres, ça ne les empêche pas d’avoir de vraies valeurs, comme les autres….
Pourtant, la réalité montre que 21 familles sur cent ont un seul enfant aujourd’hui en France. Un enfant sur dix est un enfant unique. C’est peut être peu statistiquement, mais c’est important symboliquement. »
Le fait d’être enfant unique m’a souvent pesé, autant qu’à d’autres moments, j’en ai été ravie !
Ce qui m’a pesé, c’est surtout de n’avoir eu personne avec qui jouer, personne à qui confier mes secrets, mes joies, mes peines et c’est encore aujourd’hui ce qui me manque le plus. De n’avoir jamais pu utiliser les mots « fratrie », « mon frère » ou « ma soeur », oui c’est un vide dans ma vie ! Même si je sais que je les idéalise et que les rapports entre frères et soeurs ne sont pas toujours bons ni idéaux, mais j’aurais aimé connaître ça aussi !
D’un autre côté, j’avoue que ça me plaît bien d’être le centre d’attention de mes parents, de n’avoir jamais manqué de rien (je pense que ça n’aurait pas été différent si nous avions été plusieurs), sans pour autant avoir été un enfant-roi (je ne crois pas). Je n’en suis pas pour autant quelqu’un d’égoïste, au contraire je dirais puisque j’aime donner, partager, transmettre (de l’Amour, des cadeaux,…). Je ne suis pas non plus colérique, en revanche, je suis quand même toujours un peu capricieuse (mais je me soigne !)
Pour le moment, Poussin est un enfant unique et notre souhait le plus cher est de remédier à ça au plus vite . En effet, je rêve d’une famille nombreuse, quand je ferme les yeux, je vois plein d’enfants qui crient, qui jouent ensemble. Tous ces enfants sont les miens, les nôtres avec Poulet. Je ne souhaite pas que Poussin soit aussi triste que moi quand il grandira, qu’il soit seul… Surtout que du haut de ses 2 ans et demi, il nous réclame déjà une soeur.
Je sais néanmoins que si nous étions dans l’incapacité de pouvoir concevoir un 2ème enfant, ce ne serait pas un drame, et Poussin recevrait la même éducation et aurait la même vie que s’ils avaient été 4-5 enfants à la maison (avec peut être un peu moins de jouets quand même…).
Je peux le dire haut et fort, les enfants uniques ne sont pas des êtres différents de ceux issus de famille à plusieurs enfants, laissons tomber ces idées reçues ! Continuons à faire comme bon nous semble : un seul enfant si c’est notre souhait (ou pas) et pourquoi pas 10 ou même 15 enfants, si c’est ce que nous désirons ! Mais ne nous soucions pas du regard des autres, encore une fois bien pesant et empli de préjugés…

Voici ma participation aux Vendredis Intellos , le rendez-vous hebdomadaire de la super Madame Déjantée .
Merci beaucoup de ta contribution…!! Voilà qui vient compléter à merveille nos questions de la semaine dernière (évoquées dans le mini-débrief de Mum addict) sur la composition de la fratrie… Tu as raison de le souligner: l’essentiel est de faire le choix qui nous semble le bon pour notre propre famille!!
Personnellement, je n’aurais pas pu envisager un enfant unique… parce qu’une amie à moi a perdu sa mère jeune et que j’ai mesuré à ce moment là l’importance qu’à eu sa soeur dans cette épreuve.. je ne voulais pas qu’un jour (même s’ils seront peut être de petits vieux à ce moment là!!) mes enfants soient confrontés à ça, seuls…
Allez, à bientôt pour les débriefs!!
J’aurais aussi aimé ne pas être seule pour plus tard…. mais bon, la vie décide des fois pour nous (c’est ce qu’il s’est réellement passé pour mes parents, ils n’ont pas eu le choix au final)
Merci Mme Déjantée et à bientôt
Etant issue d’une fratrie de 4 enfants et d’une grande famille je ne peux me résoudre à n’avoir « qu’un » enfant mais comme tu l’expliques si bien, si jamais nous n’avions pas d’autres choix nous serions très heureux de former ce trio.
Je te souhaite de donner un petit frère ou une petite soeur à ton petit coeur….très bientôt!
Bises
Merci Fleur !!! J’espère aussi. Et plus les mois passent, plus mon rêve de famille nombreuse s’agrandit… Au début, je pensais 2, puis depuis la naissance de Poussin 3, et maintenant, je pense 4, ça ne s’arrêtera donc jamais ?! Mais comme tu dis, si nous ne devions être que trois, ce serait de toute façon, déjà très bien !!
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Séduire un sexuel/teuffeur/intello ?
Bonjour à tous! j'ai un peu parcouru le forum (et d'autres également, très très riches et fournis), depuis quelques temps déjà. Je tiens à préciser que je suis une fille qui n'a, a priori, pas de soucis de séduction. Et pourtant ... Je suis depuis un mois environ avec mon copain, qui est en école de commerce, avec tout l'esprit qui va avec (méga intello, mais se bourre la gueule tous les soirs, croit faire son rebelle dans les transports en commun sans ticket car ça ferait trop de zones tarifaires, etc etc). Il bave sur des filles là bas (oui les filles posent en sous vêtements sur le site du campus, c'est à ne rien comprendre🙂 alors qu'elles sont franchement et objectivement bof. je sais qu'il a toujours été" "baiseur", même pendant ses prestigieuses années de prépa. Apparemment jamais sans aucune réelle attache, juste du sexe du sexe et du sexe. Quand je l'ai vu pourtant, j'ai cru à un petit intello timide et coincé. Puis je l'ai vu venir, et je crois que ce qui a joué en ma faveur a été de ne pas coucher avec lui le premier soir (mais le troisième). 😄 Donc je suis officiellement non un plan cul, mais sa "copine". Pourtant, je n'arrive pas à
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