Ils baisaient mieux dans le Far West

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François Vey


Publié le
05/12/2018 Ă  16h50


- Mis Ă  jour le
06/12/2018






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Le western puis la BD ont transformĂ© l’image de l’AmĂ©rique du XIXe siĂšcle. Retour sur neuf clichĂ©s, toujours ancrĂ©s dans l’imaginaire collectif. Souvent Ă  tort.
Le cow-boy passait la majeure partie de son temps Ă  cheval : il devait surveiller de prĂšs des animaux restĂ©s en libertĂ© qui s’affolaient facilement, leur faire traverser des riviĂšres ou des Ă©tendues dĂ©sertiques – on comptait huit Ă  dix cavaliers par troupeau de 2 000 Ă  2 500 tĂȘtes –, et cela seize Ă  dix-huit heures par jour, tous les jours. Un travail harassant, mais mal rĂ©munĂ©rĂ© et peu valorisĂ©. Le salaire mensuel variait entre 30 et 40 dollars, quand une paire de bottes en coĂ»tait 15. Le cuisinier de l’équipe Ă©tait mieux payĂ© ! PrĂšs de la moitiĂ© des cow-boys (45 %) Ă©taient des personnes de couleur : Mexicains, Noirs, mĂ©tis voire Indiens . Les Blancs, eux, venaient de familles de fermiers pauvres ou Ă©taient des vagabonds ( hobos ) louant leurs services Ă  la saison. Au Texas , la majoritĂ© Ă©tait d’origine hispanique ou indienne. Cet Etat comptait 5 000 cowboys noirs. Oubliez John Wayne !
Seuls les Sioux – qui rassemblaient les Lakotas, Nakotas et Dakotas – portaient effectivement de larges coiffes Ă  plumes. Mais ils rĂ©servaient ces parures Ă  leurs grandes fĂȘtes et Ă  leurs cĂ©rĂ©monies. Le reste du temps, ces cavaliers Ă©mĂ©rites Ă©taient beaucoup mois apprĂȘtĂ©s. Ils endossaient des tenues de chasseur, beaucoup plus commodes pour rester longtemps en selle et tirer. Les bisons constituaient le principal moyen de subsistance de ces Indiens nomades, au point que l’armĂ©e amĂ©ricaine procĂ©da Ă  des Ă©liminations massives de troupeaux entiers afin de les affamer. Autre clichĂ© : la majeure partie des Indiens Ă©taient sĂ©dentaires, les Sioux faisant exception ; ils dormaient l’étĂ© dans des tentes, les fameux tipis, et passaient l’hiver dans des huttes et cabanes.
Entre 500 000 et 600 000 Indiens vivaient au-delĂ  du Mississippi quand les colons blancs arrivĂšrent au dĂ©but du XIXe siĂšcle. On a pu dĂ©nombrer une centaine de tribus, parlant 375 langues diffĂ©rentes et pratiquant l’agriculture, la chasse et la pĂȘche. Dans les vallĂ©es du Missouri et de l’ Arkansas , elles occupaient des maisons en terre dans des villages. Les Pawnees cultivaient le maĂŻs. Les Sioux, les Cheyennes et les Comanches, eux, chassaient le bison. Les Blancs leur firent signer des traitĂ©s pour s’installer chez eux, mais n’en respectĂšrent pas les termes, ce qui provoqua les rĂ©voltes indiennes. Guerriers sans pitiĂ© – ils scalpaient leurs victimes –, les Indiens faisaient souvent preuve de courage et d’abnĂ©gation. Entre 1866 et 1891, ils perdirent prĂšs de 4 000 combattants, tandis que 932 soldats amĂ©ricains furent tuĂ©s et plus d’un millier, blessĂ©s.
A quoi bon s’embarrasser d’un revolver quand on est un simple travailleur Ă  cheval ? La mission essentielle des «garçons vachers» Ă©tait de convoyer le bĂ©tail entre les Grandes Plaines et les gares du Kansas, afin que les troupeaux puissent ensuite ĂȘtre acheminĂ©s en train vers les abattoirs des grandes villes. Inutile donc de porter une arme Ă  feu pour garder les vaches : les dĂ©tonations ne pouvaient qu’effrayer les bovins. Pour se faire obĂ©ir des bĂȘtes, les cow-boys utilisaient plutĂŽt des lassos et des fouets. Seuls les chefs chargĂ©s de l’encadrement des Ă©quipes pouvaient dĂ©tenir une arme, qu’ils devaient nĂ©anmoins laisser Ă  l’entrĂ©e des hĂŽtels et des saloons. Alors, si au Far West il arrivait que l’on croise par malheur des individus armĂ©s de deux colts, il ne pouvait s’agir que de tueurs Ă  gages ou de redoutables hors-la-loi.
Les cow-boys portaient des habits rustiques, adaptĂ©s Ă  leurs tĂąches : une chemise en toile Ă©paisse, un pantalon en cuir sans ceinture avec des jambiĂšres, une paire de bottes
 Pas de chapeau sur la tĂȘte car il se serait envolĂ©, mais dans le dos, retenu par une laniĂšre. Un mouchoir autour du cou servait Ă  se protĂ©ger de la poussiĂšre. Les fameux jeans Levi’s, eux, ne firent leur apparition dans les ranchs que dans les annĂ©es 1880, alors qu’approchait la fin des grandes transhumances. On est donc loin de l’élĂ©gance d’un Buffalo Bill arborant Stetson et tuniques en cuir Ă  franges, dorures et Ă©toiles. Ces tenues d’opĂ©rette Ă©taient rĂ©servĂ©es Ă  la scĂšne ou aux photos et firent leur effet lors de spectacles de thĂ©Ăątre Ă©questre ou de rodĂ©os.
Dodge City, Abilene, Ellsworth, Wichita
 Les villes des cow-boys ( cattle towns ) se ressemblaient toutes. PrĂšs de la gare, des milliers de bĂȘtes Ă©taient parquĂ©es avant leur dĂ©part. Les maquignons frĂ©quentaient des hĂŽtels et des bars assez luxueux oĂč les cow-boys n’étaient pas admis. Ces derniers allaient s’amuser dans un quartier rĂ©servĂ© Ă  la prostitution et au jeu, avec des saloons oĂč ils pouvaient boire et fumer
 mais oĂč le port d’arme Ă©tait interdit, sous peine d’amende ! L’entrĂ©e Ă©tait la plupart du temps refusĂ©e aux Mexicains, Indiens et mĂ©tis. Des shĂ©rifs Ă  poigne faisaient rĂ©gner l’ordre. Entre 1867 et 1890, on a dĂ©nombrĂ© dans ces villes 55 homicides seulement (39 par fusil, dont 16 causĂ©s par la police) et un seul cow-boy a Ă©tĂ© abattu. Sur tout le Wyoming, il n’y eut que 4 meurtres en 1872. Ces bourgades Ă©taient donc bien moins dangereuses que certaines villes d’aujourd’hui.
Le cinĂ©ma a multipliĂ© les scĂšnes oĂč des Indiens attaquaient des chariots. Mais ces agressions Ă©taient rares. Car les tribus indiennes en guerre s’en prenaient plutĂŽt Ă  l’armĂ©e. A l’arrivĂ©e des Blancs, ils acceptĂšrent de signer des traitĂ©s autorisant le passage sur leurs terres, puis l’installation de fermiers. MalgrĂ© ces compromis, beaucoup d’Indiens furent ensuite conduits de force dans des contrĂ©es inhospitaliĂšres, comme l’Oklahoma. Ils menĂšrent alors des raids lorsque la situation leur paraissait favorable, n’attaquant qu’à coup sĂ»r, mais cherchant avant tout Ă  se dĂ©fendre. Ils volaient des chevaux et du bĂ©tail, et faisaient parfois des captifs. Buffalo Bill, qui n’eut pas Ă  se plaindre des Indiens Ă  l’époque oĂč il convoyait colons puis troupeaux, en engagea mĂȘme quelques-uns pour jouer leur propre rĂŽle dans ses spectacles.
HĂ©ritiers des garçons vachers mexicains ( vaquero ), les cow-boys sont apparus dans l’Ouest amĂ©ricain au milieu du XIXe siĂšcle, et ce mĂ©tier s’est rĂ©pandu en l’espace d’une gĂ©nĂ©ration, entre 1865 et 1890. Les historiens estiment leur nombre entre 30 000 et 40 000, alors que 360 000 pionniers s’étaient lancĂ©s sur les pistes du Far West, Ă  partir du Mississippi, entre 1840 et 1860, et que la population des Etats-Unis se chiffrait Ă  36 millions d’habitants. Ces salariĂ©s agricoles itinĂ©rants Ă©taient donc beaucoup moins nombreux que les fermiers sĂ©dentaires ou que les ouvriers employĂ©s Ă  la construction des chemins de fer. Sans compter les prospecteurs d’or, dont beaucoup Ă©taient devenus mineurs.
C’est un classique des westerns et des albums de Lucky Luke : l’attaque de centaines d’Indiens contre les soldats des Etats-Unis. Une vision un peu Ă©pique de l’Histoire, car les AmĂ©rindiens, moins armĂ©s et souvent moins nombreux, prĂ©fĂ©raient la guĂ©rilla aux batailles rangĂ©es. Ainsi, les Sioux lakotas multipliĂšrent les escarmouches contre les Blancs lorsque les traitĂ©s de cohabitation ne furent pas respectĂ©s. DĂ©passĂ© par l’ampleur des attaques, le gĂ©nĂ©ral nordiste Sheridan dut quitter leur territoire en 1868. Mais les intrusions dans les montagnes sacrĂ©es des Lakotas reprirent en 1874, suite Ă  la dĂ©couverte d’or. Les autoritĂ©s tentĂšrent d’acheter ces terres aux Indiens, qui refusĂšrent. Le 25 juin 1876, le 7e rĂ©giment de cavalerie de Custer affronta les Lakotas, alliĂ©s aux Cheyennes, lors de la bataille de Little Bighorn ; Custer et 263 soldats y pĂ©rirent. Cette victoire indienne reste une fiertĂ© pour la communautĂ© et a inspirĂ© de nombreux livres et films, dont La Charge fantastique (1941).
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