ça te dit une petite pipe

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Synonymes
arabe
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Traduction de "une petite pipe" en turc




"Tatlım, sakso ister misin?" Parasını al.




"Tatlım, sakso ister misin?" Parasını al.




Sanırım onunkini bir kere ağzıma almıştım.



Vous savez... une petite pipe ne serait pas un problème.




Biliyor musun, oral seks hiç de fena olmazdı.



Une petite pipe avant mon dîner avec Vince ?




Şimdi Vince ile olan yemeğimden önce hızlı bir oral sekse ne dersin?.




Beş dakikalık oral seks mi, Bullock?



Ça pourrait être un membre du conseil ou un acteur à la recherche d' une petite pipe .




Meclis üyesi olabilir ya da " çakıp geçen " bir aktör olabilir.



"Ce qui me plairait bien, c'est une petite pipe et un café."




Yardımcı pilota dönüp "Şimdi bir kahve ve bir oral seks çok iyi olur," diyor.



Vous voulez un circuit vacances ou une petite pipe ?




Tatil satın almaya mı geldiniz, yoksa oral mı istersiniz?



Une petite pipe de la part de Daisy, ça peut se faire?




Sana nasıl geri ödeyeceğimizi bilmiyorum, Cooter.



Une masse de cannes et de cherche-moi, je serai celle qui harangue les grisonneux : " Une petite pipe , le vieux ?"




Koltuk değnekleri ve bastonların arasındaki o kalabalıkta beni ararsan oradaki beyaz saçlı ihtiyarlara sulanıp " Bir sakso çekeyim be moruk" diyen kişi benimdir.



J'aurai bien mérité une petite pipe !




Hiç yoktan bir pizzayı haketmiş olması lazımdı.



Pourquoi pas une petite pipe alors ?



Une petite pipe rapide au grand air.



J'ai envie de tailler une petite pipe .


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Traduction de voix , fonctionnalités offline , synonymes , conjugaison , jeux éducatifs
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Publié le 19/06/2010 à 07:47 par leslivresacqt

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Nom du blog :
leslivresacqt
Description du blog :
les livres à cqt, c'est comme a. christi, mais avec des avions et de l'érotisme en plus

Catégorie :
Blog Littérature
Date de création :
16.06.2010
Dernière mise à jour :
10.12.2010








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Les jours de récups, c’est toujours trop court, quand on s’aime, et me voilà revenu sur la base, pour monter la garde.
Dès le premier jour d’alerte, direction PC et briefing du commandant d’escadron.
Une femme a disparu dans la région de SOMERVILLE, à une quinzaine de kilomètres de la base, la section d’alerte va être transportée sur place en deux rotations d’hélico (H 34), pour être mise à la disposition des gendarmes.
10 minutes plus tard, les gendarmes m’assignent, avec deux de mes mecs, la rive gauche de la petite rivière qui coule à proximité du village, en aval.
Nous parcourons deux kilomètres, en deux heures, et en fouillant tous les bosquets à moitié immergés le long de notre parcours, avant de recevoir un appel radio ordonnant le rappel de toutes les équipes de recherche.
Revenus au point de départ, nous apprenons que le corps de la personne a été retrouvé noyé, dans des broussailles, à quelques centaines de mètres de là, en amont du village.
L’hélico nous ramènera sur la base vers 17 heures.
Direction la piaule direct, douche, et rendez-vous au bar du mess avec les potes, pour manger vers 18 heures 30.
Depuis ce matin, on n’a rien dans le bide, et ça devenait urgent de se sustenter.
C’est encore Julia, qui est de service ce soir au bar, je lui fais la bise en arrivant, il y a encore beaucoup de monde au bar à cette heure-ci, mais elle réussit à me dire de passer la voir après manger, elle veut me parler.
On traîne un peu à table, il y a avec nous le plongeur, qui a retrouvé la femme, cet après-midi.
Il y avait un tel merdier de branchages entrecroisés, que lui-même a failli y laisser sa peau, heureusement il s’était encordé avec un de nos gars, et ils n’ont pas eu trop de leurs quatre bras pour sortir le corps de cet imbroglio, et pourtant il n’y avait dans ce cours d’eau qu’une moyenne de 1 mètre 50 de flotte.
Petit moment de détente au bar, on joue un peu au billard, et vers 10 heures tout le monde se casse, sauf moi alpagué par Julia :
« Thierry, je vais te ramener ton bouquin tout à l’heure, et je voudrais discuter un peu sérieusement avec toi »
« Ah, ouais comme l’autre jour, où tu m’as salopé mon t-shirt »
« Non, non Thierry je te jure, je ne ferai pas de conneries, alors je peux venir ? »
Apres lui avoir donné mon assentiment, et recommandé d’être discrète, je me casse, pendant qu’elle fait la fermeture du bar.
Julia arrive dans ma piaule une demi-heure plus tard :
« Alors Julia, qu’est-que tu voulais me dire de si important ? »
« Depuis un moment, on ne te voit plus au commerce, ni en boîte, et quand enfin on te rencontre, tu es accompagné de la mère de la copine d’Eric »
«Attends, je ne suis pas accompagné de la mère de Nicole, mais j’étais avec eux ce soir-là par hasard, c’est tout ! »
« Tu crois que je n’ai pas vu qu’elle te prenait la main sous la table de temps en temps ! »
Voilà, on est au cœur du problème, Julia et d’autres certainement se sont aperçus de ce qui se passe, et évidemment l’histoire doit se répandre dans la cité BRAGARDE à la vitesse du son :
« Comment sais-tu qui était cette femme, avec moi ? »
« Un gars à notre table fait du judo avec elle, il paraît même qu’elle est vachement forte, et il y a aussi plusieurs mecs qui ont essayé de la draguer, en vain, tu vas faire des jaloux Thierry ! »
Plus la peine de feinter, j’explique à Julia que j’ai eu une petite aventure avec Michèle, mais elle n’est pas dupe, et me le fait savoir :
« Thierry, ta petite aventure, daterait d’au moins un mois, ne me prends pas pour une cruche, mais enfin si tu préfères sortir avec une vieille, plutôt qu’avec une jeune, qui a des beaux petits nichons, ça te regarde ! »
Oh, la salope, elle sait qu’en venant sur ce terrain là, elle a déjà gagné la bataille.
Quand nous avons fait l’amour, pour la première fois, avec Julia quelques mois plus tôt, j’étais un peu étonné parce qu’elle ne voulait pas enlever son soutien gorge, j’insistai un peu et au bout d’un moment elle me dit :
« Écoute Thierry, je suis complexée par rapport mes seins, je trouve qu’ils ressemblent trop à des biberons, et ça me gêne de les montrer »
À la longue et promettant de ne pas me moquer d’elle, elle me laissa, aller dans son soutien gorge à la recherche de ce que je désirais.
Oh le chemin n’était pas long, tout au plus un peu de dentelle diaphane, et ce que j’y découvris faillit faire exploser de joie mon applaudimètre personnel.
Le sein dont j’avais rêvé toute ma vie, une forme de poire parfaite, surmontée d’une vraie tétine, encore plus parfaite, comme celle des vrais biberons, et d’un rose tendre, appelant à la tétée, comme le cor appelle à la curée.
À ce moment-là, elle caressait distraitement mon jouet, le sentant soudain frémir, elle avait compris que son complexe venait de trouver un adorateur inconditionnel.
Elle en abusât tout de suite en accentuant sa caresse et très vite elle obtint un résultat, lui prouvant s’il en était besoin, qu’avec moi en tout cas elle pouvait se passer de soutif.
Et le temps que je te raconte ça, elle a déjà dégrafé trois boutons de son corsage, sachant pertinemment qu’en me prenant par mon péché mignon, je ne pourrai pas lui opposer de résistance. Le reste, c’est moi qui le dégrafe, sans aucune opposition, pour une séance d’adoration païenne, avec la complète participation manuelle et les encouragements de Julia, une fois assouvi mon fantasme, je ne peux pas lui refuser le gros câlin qu’elle me réclame, il lui faut peu de temps pour quitter sa jupe et sa culotte et se retrouver à poils contre moi, dans le lit en 70 que nous octroie l’armée et qui pousse à la promiscuité avec tout ce qui en découle naturellement.
J’avais heureusement mis mon réveil matin à six heures, pressentant peut-être les événements d’hier soir et l’endormissement qu’ils engendreraient, je secoue Julia pour qu’elle s’habille et rejoigne son bâtiment avant que quelqu’un ne s’aperçoive de quelque chose.
Elle se lève, fait une petite toilette sommaire et s’habille, je me suis à moitié rendormi, et évidemment, elle profite de ma faiblesse pour me jouer, avant de s’en aller, un air de flûte, dont je raffole, je sens que cette journée de garde ne va pas être très performante.
En me rendant à mon poste de garde ce matin-là, je réfléchissais à ma faiblesse, qui a toujours été d’être incapable de rompre définitivement avec une femme, et c’est ce qui a tué mes grandes histoires d’amour antérieures.
Je me retrouve souvent avec deux ou trois romances en même temps, à chaque fois c’est le même scénario,
Je pense, comme c’est le cas avec Julia, que cette histoire n’a aucune importance, mais quand la partenaire qui n’est pas au courant le découvre, les choses se dégradent sérieusement, et comme il y a toujours quelqu’un pour aller colporter les mauvaises nouvelles, ça finit toujours par me surprendre au moment où je m’y attends le moins.
Comme d’habitude, je décide de fuir courageusement mes responsabilités, en espérant qu’il n’y aura pas de problèmes.
24 heures de garde au dépôt d’armes, beaucoup de monde dans la journée, la nuit est ponctuée par les rondes des maîtres de chiens.
À 3 heures, je réveille le maître chien qui doit faire la prochaine ronde, il appelle son adjoint, s’habille, vient au bureau chercher les consignes, et c’est le départ de ronde.
Ce gars là, je ne le sens pas, c’est un soldat qui arrive en fin de service, et il connaît toutes les ficelles du métier, pour échapper aux corvées.
Je le laisse partir et 10 minutes plus tard, je sors vérifier la niche de son chien, surprise, le chien est toujours là, couché dehors !
Les nuits sont fraîches à ST DIZIER même au printemps, je lance un coup de lampe de poche dans la niche et j’y vois un gars en train de dormir, c’est l’adjoint, une fois sorti de son abri il a vite fait de me dire que le maître chien, se trouve tout simplement dans son lit, qu’il a regagné en passant par la fenêtre laissée ouverte avant de quitter le bâtiment.
Je le renvoie faire sa ronde et demain il s’expliquera avec son chef.
Le lendemain c’est repos sur la base, interdiction de sortir, j’en profite pour bouquiner.
Il n’y pas que moi de repos, Julia aussi fait relâche, à tout hasard elle est passée me voir.
Pour essayer de rompre avec elle, je décide de lui dire la vérité :
« Tu sais Julia, mon histoire avec Michèle, en fait c’est très sérieux, je suis vraiment amoureux d’elle, et je voudrais éviter de la tromper, comme on l’a fait ces jours ci »
Julia, fine connaisseuse du genre humain, et toujours à l’affût des conneries que les mecs racontent entre eux réplique :
« Si tu es vraiment amoureux, et que je te fais voir mes doudous, sans que tu me touches, alors tu ne devrais pas bander, pas vrai ? »
J’ai le tort d’hésiter un dixième de seconde, et les dits doudous sont déjà dehors.
Julia guette le drap qui me recouvre, à bonne hauteur, et est un peu étonnée de n’observer aucun résultat, alors elle approche de mon visage les appâts, que dame nature lui a fournis et elle me caresse le visage avec.
« Non, j’avais dit que TOI, tu ne devais pas me toucher »
De toute manière, il est trop tard, la tente est dressée, et elle l’a bien vu.
« Tu sais Thierry, si je joue avec toi, qu’avec ma main, ça ne compte pas comme tromper pour de vrai »
me dit-elle, en mettant ses deux mains, sur l’obscur objet du désir…. Pendant que ses deux cuisses entourent mon visage.
Je suis sûr que si je n’avais pas arraché sa culotte avec les dents, il ne se serait rien passé. En tout cas, j’ai résisté au moins une bonne dizaine de secondes avant d’enlever sauvagement ce bout de tissu, qui m’encombrait le passage, et puis après cela, plus rien n’était contrôlable, à tel point que nous avons fini par terre, mais je te rassure, pour la punir, je l’ai cruellement assaillie, par une porte dérobée, afin qu’elle sache maintenant qu’avec moi il ne faut pas déconner, elle me le dit d’ailleurs :
« Salaud Thierry, tu as profité de mon excitation, pour me fourrer n’importe comment… ouah….oh putain que c’était bon »
Bon, je ne crois pas que la leçon ait vraiment porté, la prochaine fois j’essaierai autre chose.
Lors de la dernière garde, Michèle, au téléphone, me demande :
« Quand je viens te chercher demain, il faut que je mette une culotte ? »
Michèle est là, elle m’attend à la sortie de la base, je suis toujours aussi heureux de la retrouver, elle paraît un peu contrariée :
« Pourquoi est-ce que tu as voulu que je mette une culotte aujourd’hui ? »
« Va jusqu’au parking, comme l’autre jour »
Une fois garée dans un coin discret, je lui demande de venir sur moi, et ça, elle sait bien le faire, alors je lui explique, tout en mettant mes deux mains sous sa jupe, au contact de sa lingerie :
« Ce qu’il y a de bien avec une culotte, c’est qu’au départ, c’est un obstacle, et sentir sous ses doigts, s’humidifier cet obstacle est un début de plaisir très intense, ensuite on a le choix,
Ou à 4 mains s’en débarrasser frénétiquement, pour enfin assouvir son désir, et là,
La tienne, je le sens bien, est juste à point pour être enlevée vite fait »
Elle, à genoux sur moi, assis sur le siège avant,
Il n’y a pas trop de nos quatre mains pour se débarrasser de 10 grammes de dentelle, devenue gênante. Le reste, tu le connais déjà !
Je suis heureux en présence de Michèle,
Elle doit aller voir son médecin cet après-midi, inquiet, je lui demande si elle a un problème,
En fait, il s’agit de la visite pour le renouvellement de sa licence de judo. Je l’accompagne, ça me permet de profiter de tous les instants possibles en sa compagnie.
Elle sort de la visite vers 18 heures, et n’ayant pas envie de rentrer à la maison tout de suite, elle me propose d’aller boire un coup au bar du COMMERCE, on y verra peut-être Eric et Nicole, et comme ça, on pourra aller tous ensemble au restau ensuite,
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