À la recherche de semence

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À la recherche de semence

Journées UFS 2021 | Les propositions des entreprises semencières
Le 04 novembre, l'UFS a organisé les Journées UFS sur le thème des propositions des entreprises semencières aux candidats à…
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Présidentielle 2022 | Répondre aux enjeux de transitions agricoles
L’UFS présente ses propositions aux différents candidats de l’élection présidentielle 2022 et souhaite s’engager dans un dialogue constructif avec eux. 
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Un secteur stratégique Le secteur semences : à la base de notre agriculture et de notre alimentation Découvrir
La recherche et l’innovation en sélection variétale jouent un rôle déterminant dans le processus d’amélioration des plantes. Avec en moyenne 13% du CA dédié à cette activité, les entreprises semencières investissent pour offrir des réponses concrètes aux agriculteurs, aux industries de transformation, et plus largement aux attentes des consommateurs-citoyens.
Précision, attention, observation, la production de semences se caractérise par un soin méticuleux apporté aux graines, tout au long de la production. Du champ à l’usine, toute la filière est tracée, depuis les premières semences-mères "de base", jusqu’aux semences ensachées vendues à l’agriculteur.
Etre à l’écoute des marchés, répondre aux attentes du consommateur mais également conseiller et accompagner les utilisateurs de semences ... Le choix des semences le progrès génétique qui y est associé sont stratégiques pour l’agriculteur, mais également pour les industries de transformation. Leader en production de semences, la France est également le premier exportateur mondial, témoignant de sa capacité à promouvoir son savoir-faire par-delà les frontières.
La recherche et l’innovation en sélection variétale jouent un rôle déterminant dans le processus d’amélioration des plantes. Avec en moyenne 13% du CA dédié à cette activité, les entreprises semencières investissent pour offrir des réponses concrètes aux agriculteurs, aux industries de transformation, et plus largement aux attentes des consommateurs-citoyens.
Précision, attention, observation, la production de semences se caractérise par un soin méticuleux apporté aux graines, tout au long de la production. Du champ à l’usine, toute la filière est tracée, depuis les premières semences-mères "de base", jusqu’aux semences ensachées vendues à l’agriculteur.
Etre à l’écoute des marchés, répondre aux attentes du consommateur mais également conseiller et accompagner les utilisateurs de semences ... Le choix des semences le progrès génétique qui y est associé sont stratégiques pour l’agriculteur, mais également pour les industries de transformation. Leader en production de semences, la France est également le premier exportateur mondial, témoignant de sa capacité à promouvoir son savoir-faire par-delà les frontières.
La recherche et l’innovation en sélection variétale jouent un rôle déterminant dans le processus d’amélioration des plantes. Avec en moyenne 13% du CA dédié à cette activité, les entreprises semencières investissent pour offrir des réponses concrètes aux agriculteurs, aux industries de transformation, et plus largement aux attentes des consommateurs-citoyens.
Précision, attention, observation, la production de semences se caractérise par un soin méticuleux apporté aux graines, tout au long de la production. Du champ à l’usine, toute la filière est tracée, depuis les premières semences-mères "de base", jusqu’aux semences ensachées vendues à l’agriculteur.
Etre à l’écoute des marchés, répondre aux attentes du consommateur mais également conseiller et accompagner les utilisateurs de semences ... Le choix des semences le progrès génétique qui y est associé sont stratégiques pour l’agriculteur, mais également pour les industries de transformation. Leader en production de semences, la France est également le premier exportateur mondial, témoignant de sa capacité à promouvoir son savoir-faire par-delà les frontières.
Répondre aux impacts du changement climatique
Contribuer à une alimentation sûre et saine
L’Union Française des Semenciers réunit 118 entreprises actives dans la sélection, la production et la mise en marché de semences pour l’agriculture, les jardins et les paysages.
Promouvoir les métiers et le savoir-faire des entreprises semencières
Représenter nos adhérents et faciliter les échanges avec les parties prenantes agricoles, agro-alimentaires et politiques
Contribuer à la mise en oeuvre d’un environnement réglementaire, économique et sociétal permettant à nos adhérents d’entreprendre et d’innover
Mettre à disposition des entreprises des services d’expertise afin de les accompagner dans leurs enjeux quotidiens
© 2019 - Union Française des Semenciers Mentions légales Contact
L’action des semenciers s’inscrit en pleine cohérence avec les Objectifs prioritaires de Développement Durable formulés par l’ONU pour 2030 :
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La recherche et l’innovation variétale jouent un rôle déterminant dans le processus d’amélioration des plantes. Avec en moyenne 13% du CA dédié à cette activité, les entreprises semencières investissent pour offrir des réponses concrètes en proposant des variétés performantes et diversifiées aux agriculteurs, aux industries de transformation, et plus largement aux attentes des consommateurs-citoyens. Pour maintenir cette dynamique d’innovation nécessaire, l’UFS soutient un cadre règlementaire permettant de relever les défis agricoles, environnementaux et sociétaux.
73 entreprises impliquées dans la sélection 131 centres de recherche en France 13 % du C.A investi en R&D chaque année 70 espèces cultivées 6 100 variétés disponibles au catalogue français 600 nouveautés inscrites en France chaque année 11 réseaux de conservation de ressources génétiques
Le développement d’une variété nécessite de 7 à 10 ans de travail en moyenne. Lors de ces nombreuses années de recherche et d’expérimentation, les plantes de différentes origines sont croisées pour associer des caractéristiques complémentaires. Leurs descendances sont observées sur le terrain pendant plusieurs années, dans des lieux différents et sous différentes conditions de culture. Elles sont évaluées pour leurs performances agronomiques et alimentaires ou leur aptitude à la transformation technologique (par ex. extraction d’huile, panification, biscuiterie, brassage de bière, etc).
Au cours des 20 dernières années, la progression des connaissances scientifiques sur le génome des plantes, associée aux sauts technologiques en matière d’informatique et de gestion des données ont permis de multiplier le nombre de variétés testées et d’ améliorer la prédiction de leur valeur . Aujourd’hui, les techniques associées à la connaissance du génome sont des outils de routine qui permettent d’affiner les croisements de départ, de mieux trier leurs descendances et de gagner ainsi quelques précieuses années pour apporter des solutions aux producteurs et aux consommateurs/citoyens.
De nombreuses disciplines sont désormais mobilisées dans un programme d’amélioration des plantes : l’agronomie, la biochimie, la bio-informatique, la biologie et la physiologie végétales, la santé des plantes. Toutefois, être semencier reste avant tout un métier de terrain, d’observation rigoureuse et régulière des plantes, où prévaut le temps long.
Les plantes cultivées et les plantes sauvages apparentées forment l’ensemble des ressources génétiques d’une espèce (par ex. chou, colza, moutarde, navet). Pour les sélectionneurs, elles constituent des réservoirs de caractéristiques qui peuvent permettre de répondre aux futurs besoins de la société.
Les entreprises semencières sont donc associées à la recherche publique afin de collecter, reproduire et évaluer les ressources génétiques, en participant à des réseaux nationaux et mondiaux de conservation. Les variétés nouvelles contribuent à leur tour à enrichir la biodiversité cultivée, pour le bénéfice de tous.
Face aux attentes sociétales et au changement climatique, la nécessité de réponses concrètes se fait plus forte. Les semenciers sont partie-prenante d’une approche « combinatoire » des solutions , regroupant l’amélioration génétique des plantes, l’adaptation des pratiques agronomiques et des solutions de protection des plantes, pour une agriculture plus vertueuse.
Les espèces cultivées sont améliorées sur trois axes principaux : – produire en quantité – avec une meilleure valorisation des ressources par les plantes (eau, engrais, produits de protection de la culture) – en améliorant la qualité du produit fini en fonction de sa destination.
Produire en quantité, avec régularité Le rendement est toujours un critère primordial de rentabilité économique pour l’agriculteur ou le maraîcher. Les surfaces agricoles ne sont pas extensibles et disparaissent dans certaines régions du monde. L’accroissement des populations nécessite d’optimiser les ressources en sol disponibles en valorisant au mieux chaque hectare.
Améliorer l’efficience des plantes à valoriser l’eau et les engrais, ainsi qu’augmenter leur résistance aux maladies et ravageurs. C’est le défi quotidien des sélectionneurs, qui sont animés depuis toujours par l’ambition de rendre les plantes capables de lutter par leurs propres moyens , en limitant le recours aux produits phytosanitaires.
Ainsi la sélection a sauvé l’orge du virus de la mosaïque grâce aux variétés tolérantes ; en blé, la tolérance aux larves de la cécidomyie évite des traitements insecticides et pour toutes les céréales la résistance au fusarium (un champignon du sol) est un impératif.
Des produits de qualité Les caractères recherchés sont de plus en plus complexes et diversifiés, répondant à des marchés toujours plus divers : saveurs, modes de cuisson, aptitude à la conservation, à la transformation (surgélation), diversité des débouchés alimentaires et également non-alimentaires… Par exemple, on a sélectionnés des melons sucrés, des concombres sans amertume, développé des blés de qualités technologiques différentes adaptées à la meunerie et à la biscuiterie. L’alimentation animale fait également l’objet d’une attention particulière afin d’améliorer la valeur alimentaire des fourrages.
Une variété inscrite résulte de : environ 150 croisements, plus de 1000 microparcelles d’essais comparatifs, des millions de plantes observées et analysées, l’œil du sélectionneur, le succès aux épreuves d’inscription officielle. Résultat, il faut compter de 7 à 10 années d’investissement avant de commencer la commercialisation !
A titre d’exemple, 150 programmes de recherche sont actifs pour les plantes potagères.
Mettre en œuvre des dispositifs fonctionnels et acceptables pour partager les avantages issus de l’utilisation des ressources génétiques.
Préserver et développer la capacité d’innovation grâce à un cadre réglementaire approprié pour l’utilisation des méthodes récentes de sélection, afin de répondre aux attentes des marchés et des consommateurs.
Anticiper l’orientation des thématiques de recherche pour un meilleur accès aux projets de recherche public/privé aux niveaux national et européen.
Préserver des systèmes de propriété intellectuelle propres aux variétés végétales et favorables au partage de l’innovation.
Veiller à l’évolution du système d’inscription et de protection variétale en France et dans l’UE.
Valoriser la sélection végétale comme réponse agroécologique auprès des décideurs et accompagner le développement de l’agriculture biologique dans le respect des différentes filières bio et conventionnelles.
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dimanche 21 août 2022, Saint Christophe











Max Haefliger, ancien directeur du Biocivam de l’Aude, avec les trois chercheuses et le PDG de l’Inrae.
CLAUDE BOYER










Agriculture , Aude



La quête de qualité pour le blé dur a aussi présidé aux autres démarches engagées. Comme avec le projet ‘‘Gluten, mythe ou réalité ?’’, en 2015, trois ans après les remontées de clients de paysans-pastiers et de boulangers rapportant la disparition de symptômes d’hypersensibilité au gluten. Ou encore avec ‘’Activa Blé’’, sur les filières de transformation de variétés anciennes de céréales. Une recherche articulée autour du petit épeautre, pour profiter de ses innombrables qualités : "Une bonne adaptation au terroir, la capacité à faire concurrence aux mauvaises herbes, mais aussi à la transformation en pâtes et pain" , énumère Yuna Chiffoleau. Sans oublier de penser "à des prix raisonnables" : un objectif tout aussi précieux, et visé via "une filière collective montée dans l’Aude. Un pain avec du petit épeautre, ça peut monter à 15 € le kg. Avec Flor de Peira, on est entre 5 et 10 €" .

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l'essentiel
Le programme, lancé il y a 20 ans par trois chercheuses de l’Inrae de Montpellier pour répondre aux écueils rencontrés par des céréaliers bios du Lauragais, en s’appuyant sur le Biocivam de l’Aude, a été récompensé du Prix de la recherche participative. Une distinction célébrée le 10 juin à Carcassonne, au lycée Charlemagne.

Plus de trois mois que le Prix de la recherche participative, créé dans le cadre de la loi de programmation de la recherche, a été remis, lors du Salon international de l’agriculture, début mars 2022. Mais parce que la Porte de Versailles était bien loin des terrains où a grandi le programme distingué, ‘‘Des semences à l’assiette’’, c’est au lycée agricole Charlemagne, à Carcassonne, qu’étaient réunis ce vendredi 10 juin plusieurs acteurs (*) de la démarche pour fêter ce prix national.
Destination toute trouvée pour y rassembler les trois chercheuses de l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae) de Montpellier primées, mais aussi le Biocivam de l’Aude (association des producteurs bio du département).
Également de la partie, Philippe Mauguin, le PDG de l’Inrae, qui avait remis le trophée en mars : "Ce prix récompense une nouvelle façon de déployer la recherche, en allant très en amont discuter avec les personnes concernées. On est à l’opposé de l’image du chercheur dans sa tour d’ivoire. Il s’agit de rapprocher les citoyens de la science et, pour c
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