vidal fait des ravages

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Le chèque psy pour les étudiants, une mesure encore fragile
Étudiants fantômes: face à la détresse financière et psychologique, notre appel au gouvernement
Sur CNews, la ministre a annoncé vouloir "demander notamment au CNRS" une enquête "sur l’ensemble des courants de recherche sur ces sujets dans l’université."
UNIVERSITÉ - “L’islamo-gauchisme gangrène les universités”. C’est ce titre du Figaro que le journaliste Jean-Pierre Elkabbach a présenté à Frédérique Vidal , invitée sur son plateau sur CNews dimanche 14 février, l’invitant à le commenter avec lui. La réponse de la ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche a provoqué la colère d’une partie des enseignants-chercheurs .
“Je pense que l’islamo-gauchisme gangrène la société dans son ensemble, et que l’université n’est pas imperméable, l’université fait partie de la société”, a-t-elle affirmé.
Et d’ajouter: “Ce que l’on observe, à l’université, c’est que des gens peuvent utiliser leurs titres et l’aura qu’ils ont. Ils sont minoritaires et certains le font pour porter des idées radicales ou des idées militantes de l’islamo-gauchisme en regardant toujours tout par le prisme de leur volonté de diviser, de fracturer, de désigner l’ennemi, etc…”
Des idées que semble alors partager Jean-Pierre Elkabbach, qui décrit les universitaires en question comme “une sorte d’alliance, si je puis dire, entre Mao Zedong et l’Ayatollah Khomeini.”
“Mais vous avez raison, renchérit la ministre. Mais c’est bien pour ça qu’à chaque fois qu’un incident se produit, il est sanctionné, à chaque fois que quelque chose est empêché, c’est reprogrammé, mais je crois que l’immense majorité des universitaires sont conscients de cela et luttent contre cela.”
À la suite de quoi, la ministre a annoncé sur le plateau de CNews qu’elle allait confier une enquête au CNRS “sur l’ensemble des courants de recherche sur ces sujets dans l’université.”
Pour Christelle Rabier, maîtresse de conférence à l’EHESS, ce n’est pas un hasard si la ministre tient ces propos maintenant. “La semaine dernière, elle a été mise en cause au Sénat pour répondre face à la détresse étudiante, remarque-t-elle. Il y a 20% des étudiants qui ont recours à l’aide alimentaire, sans parler des suicides et de la détresse psychologique. Elle en est directement responsable.”
Les propos de la ministre ont provoqué la colère d’une partie des enseignants-chercheurs, même s’ils ne surprennent pas. “Nous sommes vraiment scandalisés, s’indigne une chercheuse du CNRS, qui préfère rester anonyme. La ministre s’en prend - une fois de plus - à la liberté académique en confondant approches scientifiques critiques et militantisme.”
Après la Loi de programmation sur la recherche , très mal reçue, c’est pour eux une nouvelle attaque contre les universitaires, dans un contexte aggravé par la crise sanitaire. Le 6 novembre, la Commission permanente du Conseil national des universités (CP-CNU) avait demandé la démission de Frédérique Vidal.
“On observe plusieurs formes d’attaques contre les universitaires, soutient Christelle Rabier. Les non-renouvellements et les suppressions de postes, des attaques systématiques de collègues sur leurs travaux, en particulier si ce sont des femmes et qu’elles traitent de questions qui pourraient remettre en cause l’ordre dominant.”
Pour les enseignants-chercheurs, l’utilisation du terme “islamo-gauchisme” n’est pas anodin. “C’est un mot un peu aimant, qui rassemble toutes les détestations et qui ne veut absolument rien dire, estime Christelle Rabier. Et que cela vienne d’une ministre, qui n’a déjà plus de légitimité depuis plusieurs mois, c’est intolérable.”
Pour François Burgat, directeur de recherches au CNRS, cette “appellation stigmatisante” a pour objectif de “discréditer les intellectuels (non musulmans) qui se solidarisaient ou qui refusaient de criminaliser les revendications des descendants des populations colonisées.”
Le terme avait déjà été utilisé par Jean-Michel Blanquer le 22 octobre , qui affirmait :“Ce qu’on appelle l’islamo-gauchisme fait des ravages”, notamment ”à l’université.” Quelques jours plus tard, Frédérique Vidal avait réagi tardivement pour rappeler le principe des libertés académiques.
“On peut constater depuis hier qu’elle a franchi un cran supplémentaire. C’est juste scandaleux”, s’indigne la chercheuse du CNRS.
Dans un communiqué, la Conférence des présidents d’université (CPU) a fait part de “sa stupeur face à une nouvelle polémique stérile sur le sujet de l’“islamogauchisme” à l’université”.
Elle appelle ”à élever le débat”. “Si le gouvernement a besoin d’analyses, de contradictions, de discours scientifiques étayés pour l’aider à sortir des représentations caricaturales et des arguties de café du commerce, les universités se tiennent à sa disposition”, a-t-elle proposé.
L’annonce d’une enquête au CNRS “sur l’ensemble des courants de recherche sur ces sujets dans l’université”, si elle n’est pas en soit répréhensible, pose plusieurs questions.
“Le ‘cahier des charges’ de la demande qui lui est adressée fait réellement peur, estime François Burgat. La ministre s’abstrait purement et simplement de toute exigence scientifique.” Pour le chercheur, le postulat de la ministre, selon lequel “la société est gangrénée par l’islamo-gauchisme”, dont l’université, et une “réalité hautement contestable” qui ne repose sur “aucun corpus”.
La chercheuse du CNRS qui préfère garder l’anonymat ajoute: “Si des cas particuliers sont litigieux au regard de la loi, qu’elle les cite et ouvre le débat. Sinon, qu’elle se taise.”
Et d’ajouter: “Nous sommes des chercheurs, nous essayons de penser et analyser le monde, mobiliser des outils, et débattre de nos méthodes ou concepts d’analyse. Nous ne sommes pas au service d’un ministère et de ses obsessions politiques et calculs électoralistes.”
À voir également sur Le HuffPost : Loi recherche : ces chercheurs inquiets pour leur indépendance
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Universités. Frédérique Vidal agite le chiffon rouge de « l’islamo-gauchisme »
Pour la sénatrice Esther Benbassa, Frédérique Vidal « veut charger le CNRS d’organiser la chasse aux sorcières et déshonore sa fonction ». JulienMattia/Anadolu Agency/AFP
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Le procès inique intenté aux universitaires reprend par le biais de la ministre de l’Enseignement supérieur. Elle souhaite missionner le CNRS pour une "enquête" face à un mal qui « gangrène », selon elle, la société.
A-t-on jamais vu une ministre de l’Enseignement supérieur autant stigmatiser les universitaires que Frédérique Vidal ? Elle entend faire enquêter le Centre national de la recherche scientifique (CNRS) sur « l’islamo-gauchisme » à l’université. Dans un entretien hallucinant accordé à Jean-Pierre Elkabbach sur CNews, elle affirme que « l’islamo-gauchisme gangrène la société dans son ensemble et que l’université n’est pas imperméable » . Elle souhaite développer un curieux triptyque, baptisé « danger, vigilance et action », afin de « distinguer de ce qui relève de la recherche académique de ce qui relève du militantisme et de l’opinion » .
À la question posée par Jean-Pierre Elkabbach de savoir s’il n’y a pas à l’université « une sorte d’alliance entre Mao Zedong et l’ayatollah Khomeini » , Frédérique Vidal offre un sourire ravi. « Mais vous avez raison » , abonde-t-elle, avant de souligner que « l’immense majorité des universitaires sont conscients de cela et luttent contre » . La ministre en profite pour balayer d’un revers de la main les études sur les personnes dites « racisées », au sens où elles souffrent du racisme. « En biologie, cela fait longtemps que l’on sait qu’il n’y a qu’une espèce humaine et qu’il n’y a pas de races. Je suis tranquille sur ce sujet. » Sauf que, si les races n’existent pas, le racisme et les discriminations, si… Et, là-dessus, la ministre n’a rien à dire.
Elle ajoute : « Dans nos universités, il y a des gens qui peuvent utiliser leurs titres et l’aura qu’ils ont. Ils sont minoritaires et certains le font pour porter des idées radicales, ou porter des idées militantes de l’islamogauchisme en regardant toujours tout par le prisme de leur volonté de diviser, de fracturer et de désigner l’ennemi. » C’est sûr que la Macronie, en reprenant toujours plus les mots et thèses de l’extrême droite pour mettre en scène son duel mortifère avec le RN, concourt de toutes ses forces à la concorde et la cohésion…
Frédérique Vidal rejoint ainsi les positions de Jean-Michel Blanquer. En octobre 2020, le ministre de l’Éducation nationale estimait que « l’islamo-gauchisme fait des ravages à l’université » , avant de lancer une accusation gravissime : « Ces gens-là favorisent une idéologie qui, ensuite, de loin en loin, mène au pire. » La Conférence des présidents d’université lui avait répondu que « non, les universités ne sont pas des lieux où se construirait une “idéologie” qui mène au pire. Non, les universités ne sont pas des lieux d’expression et d’encouragement du fanatisme. Non, les universités ne sauraient êtres tenues pour complices du terrorisme » . Le texte précisait que « la recherche n’est pas responsable des maux de la société, elle les analyse. L’université est, par essence, un lieu de débats et de construction de l’esprit critique ».
Mais Frédérique Vidal préfère jeter à la face des universités un terme d’une ignominie telle que la précédente version date d’avant la Seconde Guerre mondiale, avec l’hideuse expression de « judéo-bolchévique ». Les réactions n’ont pas tardé. « Les étudiants crèvent de faim, certains se suicident, des centaines abandonnent les études, des milliers ne peuvent plus payer leur loyer, mais la priorité, pour Vidal, c’est d’enquêter sur “l’islamo-gauchisme”. Pathétique et inquiétant » , s’indigne Thomas Portes, président de l’Observatoire national de l’extrême droite. « Affligeante Vidal qui veut charger le CNRS d’organiser la chasse aux sorcières et déshonore sa fonction » , regrette la sénatrice EELV Esther Benbassa. Même le député LaREM Sacha Houlié tance la ministre : « Il y a d’autres priorités sur l’université qui méritent toute son attention : la précarité financière et alimentaire, et le soutien psychologique. »

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Leur action contre les protozoaires et les virus
Mis à jour : Mardi 10 avril 2012



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Les protozoaires sont des êtres vivants composés d'une cellule, et dont les gènes ( ADN ) sont enfermés dans un noyau (à l'inverse des bactéries ). Le pouvoir pathogène des protozoaires est très variable. Certains ne provoquent de véritables maladies que lorsque l’hôte est affaibli ou immunodéprimé : c’est le cas de la toxoplasmose ( Toxoplasma gondii ) ou de la pneumocystose ( Pneumocystis carinii ), deux maladies opportunistes qui touchent les malades du sida dont l’ immunité est gravement affaiblie. D’autres, comme les amibes , provoquent essentiellement des troubles intestinaux. C’est aussi le cas de Giardia et de Cryptosporidium , qui se trouvent de plus en plus souvent dans les eaux polluées. Quant à Trichomonas vaginalis , il provoque une infection du vagin.
On ne le dira jamais assez : les antibiotiques sont totalement inefficaces contre les virus . Cela ne veut pas dire que la médecine est complètement dépourvue à leur encontre. La recherche récente a permis de mettre au point des médicaments antiviraux (on dit aussi virocides ou virucides) efficaces dans le traitement de certaines maladies : herpès , hépatites B et C, sida , par exemple.
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