une psy et sa patiente se font plaisir

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une psy et sa patiente se font plaisir


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Quid d'une relation affective intime psy/patient ?
Salut les filles, voici un article du code de déontologie : Le thérapeute ne peut, sauf pour des motifs justes et raisonnables, cesser ou refuser de donner les traitements nécessaires à un client. Constituent des motifs justes et raisonnables: c) l'incitation de la part du client à l'accomplissement d'actes illégaux ,injustes ou frauduleux; g) le fait que le thérapeute soit en situation de conflits d'intérêts ( relation intime avec le client vice et versa) ou dans un contexte tel que son indépendance professionnelle pourrait être mise en doute. Donc, si c'est un bon psy, il veillera à respecter cette règle, autant par souci professionnel que pour préserver sa réputation professionnelle. Mais qu'en est-il lorsque les rencontres ont pris fin ? Je suis tout à fait d'accord de cesser de le voir professionnellement puisqu'il m'intéresse pour l'homme qu'il est, et non le psy. Lorsque je lui ai annoncé que je souhaitais le voir autrement que comme psy, il semblait tout flatté, me faisait des sourires et me regardait dans les yeux, il ne me semblait pas indifférent... mais voilà qu'il se dit insensible à tout ça et que j'ai imaginé tout ça. Alors Sofi44, je ne sais pas quoi te suggérer...il y a un gros risque qu'il mette fin à vos rencontres, sauf s'il y voit matière à analyser à cette déclaration. Sinon, continue à le voir sans lui dire et savoure ces rencontres en secrets, mais c'est difficile, je le sais. ps : j'ai oublié de dire... lorsque je lui ai fait part de mes désirs de le voir en dehors du cadre de thérapie, j'ai totalement perdu mes moyens, ce qui n'est pas du tout MOI en temps normal. La tête me tounait, j'en tremblais de tous mes membres, face à sa résistance.
Edité le 07/03/2005 à 6:09 PM par moi61ho
Mon psychiatre m'a dit que si jamais un psy couchait avec une patiente, il devait l'épouser et lui faire un enfant...Quelqu'un a t'il entendu parler de cette étrange théorie ???
Quel dommage ! j'aurais été partente !
Alors Thieuthieu, Tu veux devenir psy? Alors tu peux peut-être m'aider avec ce que j'ai écrit plus haut... Devrais-je relancer mon psy pour avoir plus de précisions sur ces sentiments, ... enfin, j'attends ton avis.
Ben oui, le mien aussi il me fait rêver évidemment (parfois au sens propre, très chaud!). Mais j'oserais jamais lui dire. Puisqu'il est si fin et perspicace, il n'a qu'à s'en rendre compte tout seul!
Mais si on fait attention que cela ne se sache jamais...Et comme ce n'est plus mon psy, est-ce que la perspective est différente? Biensûr que je ne le connais pas, ses goûts etc, il me dit la même chose... mais c'est ça s'intéresser à quelqu'un et après ça se poursuit ou non, simplement. Crois-tu que d'insister et de le mettre en confiance le ferait hésiter voire changer d'idée?
Edité le 07/03/2005 à 9:19 PM par moi61ho
Si ton psy n'est plus ton psy ( je suppose que tu en as un autre pour régler tes problems)et que vous avez des sentiments réciproques, il est vrai que tu peux tenter l'aventure. Ce n'est que dans le cadre d'un suivi psychologique et d'une relation amoureuse simultanéq que le psy est soumi à sa déontologie. Le reste relève de sa vie privée. 😛
C'est bien vrai ça?......... Tu me fais très plaisir là... j'espère que tu as raison... Je n'ai pas d'autre psy car j'en ai pas besoin... enfin je n'ai pas de problème à résoudre, j'étais allé voir celui-ci car j'étais dans une peine d'amour qui s'est estompée toute seule (je vous vois venir...), mais peu importe pourquoi je ne suis plus en peine d'amour (à cause de mon attirance pour mon psy ou à cause du temps) mais ce qui s'est produit est un phénomène normal selon moi, comme si j'étais tombé amoureuse d'un autre homme et qui m'aurait fait oublier ma peine. Vous êtes biensûr qu'il n'est plus soumis au code de déontologie? ça beaucoup de sens.... 😍
Doucement, je n'en suis pas sûre, pour ca il vaut mieux attendre la réponse de thieuthieu. mais je pense que cela fonctionne comme pour la déontologie des avocats. Je suppose qu'un psy peut avoir des relations intimes avec n'importe qui du moment que cette personne ne soit pas sa ou son patient(e). J'espère pour toi que c'est ca, mais la réponse de thieuthieu n'était pas très engageante.
Alors Docteur Thieuthieu, est-ce que Renouvelle a raison? sur le fait qu'il ne soit plus soumis au code déontologique une fois que je ne suis plus sa patiente ?

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Mon psychiatre m'a dit que si jamais un psy couchait avec une patiente, il devait l'épouser et lui faire un enfant...Quelqu'un a t'il entendu parler de cette étrange théorie ???
Et cet enfant sera l'élu. C'est lui qui ira botter le cul de G.Bush et apportera la paix dans le monde! 😃 En 5 ans de fac de psycho j'ai vu plein de théories loufoques mais jamais autant que celle donnée par ton psychiatre 😉
psy qui donne son patient a un autre
Un psy peut-il parler d'un patient à un autre?
Alors Thieuthieu, Tu veux devenir psy? Alors tu peux peut-être m'aider avec ce que j'ai écrit plus haut... Devrais-je relancer mon psy pour avoir plus de précisions sur ces sentiments, ... enfin, j'attends ton avis.
Mon avis c'est que si tu arrives à tes fins avec lui il y a beaucoup de risques que tu sois déçue. Là normalement, tu le connais sans vraiment le connaitre. Tu ne sais pas ce qu'il aime, ce qu'il pense... Lorsque tu t'appercevras qu'il n'est pas du tout comme tu l'imaginais ton transfert positif sera liquidé et ce sera fichu. 😓 Mais bon j'aurrai autant aimé te dire que vous serez heureux, avec un enfant prodige... et tout... Mais il y a peu de chance à priorie. Et puis il y a tous les problèmes de déontologie que tu as cité, il sera grillé dans le milieu des psy si il a une aventure avec toi... Voilà mon avis donc...
Mais si on fait attention que cela ne se sache jamais...Et comme ce n'est plus mon psy, est-ce que la perspective est différente? Biensûr que je ne le connais pas, ses goûts etc, il me dit la même chose... mais c'est ça s'intéressé à quelqu'un et après ça se poursuit ou non, simplement. Crois-tu que d'insister et de le mettre en confiance le ferait hésiter voire changer d'idée?
Ton psy ce n'est qu'un mec, et un mec il faut dire que c'est pas impossible à convaincre. L'une de mes plus grandes hantise de mon boulot de psy c'est d'avoir un jour une patiente séduisante qui me fera du rentre dedans et de ne pas pouvoir gérer ça, d'avoir une relation... Alors qu'est ce que je peux rajouter... tente ta chance si tu en meurs d'envie et enterrez vous dans un bunker 😃 Mais je t'aurais prévenu en tout cas... 😏 Bye et bonne chance 😉
Et cet enfant sera l'élu. C'est lui qui ira botter le cul de G.Bush et apportera la paix dans le monde! 😃 En 5 ans de fac de psycho j'ai vu plein de théories loufoques mais jamais autant que celle donnée par ton psychiatre 😉
oui, c'est plutôt space comme théorie🤪 Tiens, je lui demanderai demain où il est allé chercher ça...Et je vous ferai part de sa réponse
psy et patient en viennent aux mains
Doucement, je n'en suis pas sûre, pour ca il vaut mieux attendre la réponse de thieuthieu. mais je pense que cela fonctionne comme pour la déontologie des avocats. Je suppose qu'un psy peut avoir des relations intimes avec n'importe qui du moment que cette personne ne soit pas sa ou son patient(e). J'espère pour toi que c'est ca, mais la réponse de thieuthieu n'était pas très engageante.
Bonne question !! 😏 Et je ne connais pas la réponse... 🙁 J'ai une prof à la fac qui est une pro du code de déontologie des psychologues (c'est elle qui l'a fait) mais même si on me donnait 100 000 euros je n'oserai jamais aller lui poser ce type de question 😙 Au fait "moi"? ton psy c'est un psychologue ou un psychiatre? Je demande ça car ces 2 professions n'ont pas le même code déontologie... Bon je vais jeter un oeil dans mon code déontologie on sait jamais...
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Un psy peut-il parler de lui à ses patients ?




Un psy peut-il parler de lui à ses patients ?


Sommaire







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Fin de vie : de l’importance du plaisir
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Préparer son accouchement avec l'acupuncture
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Mis à jour le 11 novembre 2011 à 20:05


Combien d’enfants a-t-il ? Est-elle mariée, divorcée ? A-t-elle déjà vécu ce que je vis ? Que ceux qui ne se sont jamais posé ces questions sur leur psy lèvent le doigt ! Mais les thérapeutes doivent-ils se dévoiler ? Enquête sur les limites de la « neutralité bienveillante ».

C’était l’année dernière. Charlotte, 36 ans, évoquait un épisode passé quand sa psy l’a interrompue. « Elle m’a dit : “Ça me fait penser à ma mère. Je regrette tellement de ne pas lui avoir assez parlé avant sa disparition…” Cela faisait plusieurs fois qu’elle intervenait. Au début, elle me posait des questions en faisant référence à sa propre expérience, puis nous avons glissé vers des confidences plus intimes. Elle en était même arrivée à me raconter ses rêves récurrents. Ce jour-là, j’ai décidé que ce n’était plus possible, et j’ai arrêté. Je cherchais une thérapeute, pas une amie. »

François, 51 ans, éditeur, est parti très déçu par son analyste. À la fin d’une séance, ce dernier lui a tendu en souriant un manuscrit, lui demandant s’il pouvait le lire, lui dire ce qu’il en pensait et voir ce qu’il « pouvait en faire ».

Que dire ? Que penser ? Que Charlotte et François ont bien fait de s’en aller ? Bien sûr ! Pourquoi ? Parce que leurs psychanalystes les ont instrumentalisés. Ils ont dévié le coeur de leur travail pour le tirer vers leurs propres satisfactions narcissiques. Indépendamment de ces fautes éthiques, peut-on envisager qu’un psy parle de lui dans l’intérêt de son patient ? À l’heure où les praticiens sont nombreux à publier des ouvrages à forte connotation autobiographique, où se développe aux États- Unis la thérapie humaniste inspirée de l’oeuvre et de la pratique psychiatrique d’ Irvin D. Yalom , la question passionne et interroge la profession.

Dès mai 1889, lors d’une séance d’hypnose avec Emmy von N., patiente hystérique de 40 ans, Sigmund Freud se fait rabrouer sur le simple fait de l’interroger en séance. « Elle me dit d’un ton fort grincheux que je devais non pas toujours demander d’où venaient ceci et cela, mais la laisser raconter ce qu’elle avait à me dire. » Dérouler son histoire fera du bien à Emmy von N., constate Freud. Qui aboutit à la conclusion qu’il faut savoir se taire pour ne pas faire écran au travail du patient. Si celui-ci désire comprendre d’où viennent ses souffrances, il est aussi tenté d’éviter de s’y confronter en détournant ses questions sur le thérapeute.

Pendant des années, François, 70 ans, a cherché à échapper par toutes les ruses au traumatisme et aux secrets familiaux : « Je ne voulais pas voir à quel point l’expérience concentrationnaire avait détruit mes parents et, par ricochet, mes soeurs et moi. » Alors, François passait son temps à demander à des psys – qu’il finissait toujours par quitter, insatisfait – leur avis sur des dilemmes amoureux ou professionnels mineurs : « Et vous, docteur, qu’en pensez-vous ? Avez-vous déjà été confronté à ce genre de situation ? Que feriez-vous à ma place ? »

« Quand une question très directe sur moi m’est posée, je ne vais pas répondre, mais plutôt essayer de savoir pourquoi la question surgit, s’ex plique le psychanalyste Patrick Miller. Ce n’est pas que je veuille cacher quoi que ce soit, mais je ne veux pas me priver de la possibilité d’accès au fonctionnement psychique du p
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