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Accueil / Vivre en Thaïlande / Prostitution en Thaïlande, le saviez-vous ?
Si on remonte le cours du temps on constatera que nombre de choses n’ont pas changé dans le Royaume de Thaïlande. D’autres noms, d’autres formes d’esclavage, une place toujours peu enviable pour la femme même si les choses progressent ( trop lentement ) depuis quelques années.
Cet article est accompagné d’une vidéo en 360 degrés qui va vous faire découvrir en même temps des coins non touristiques de la Thaïlande.
Il est important de connaître l’histoire assez récente du Royaume pour comprendre un peu la prostitution en Thaïlande.
Si on remonte au 14 ème siècle, la Thaïlande était composées de plusieurs royaumes avec leur famille royale, les nobles, les roturiers et les esclaves. Les roturiers étaient corvéables de 2 à 6 mois par an mais pouvaient échanger leurs contraintes par des paiements. Chez les esclaves il y avait les esclaves pour dette et les esclaves captifs de guerre. Comme l’Asie du Sud-Est manquait de main d’œuvre, les raids dans les royaumes voisins n’étaient pas rares afin de capturer des familles et les offrir aux nobles siamois. Les esclaves pour dette étaient un peu différents car ils étaient rachetables, ou libérables, une fois leur dette payée. Par exemple, certains roturiers donnaient des épouses ou des enfants en garantie d’un prêt. En cas de non paiement, ces femmes et enfants devenaient esclaves jusqu’au remboursement de la dette.
A cette époque la polygamie était de mise au Royaume du Siam principalement dans les familles royale, chez les nobles et les riches roturiers. Il y avait l’épouse principale et ensuite les épouses secondaires. Les esclaves captives de guerre pouvaient aussi devoir être disponibles mais sans espérer le moindre statut.
A partir de 1870, le Roi Rama V a décidé d’abolir l’esclave. Cela s’est fait très progressivement, en plusieurs années. Les esclaves étaient peu à peu remplacés par les travailleurs chinois qui arrivaient en nombre dans le Royaume. Ce sont d’ailleurs les Chinois qui ont ouvert les premiers lieux de divertissements, les fameux salons de thé, où leurs compatriotes pouvaient trouver divers réconfort comme le jeu, les fumeries d’opium et bien sûr les prostituées. Parallèlement, tous les esclaves de guerre libérés se retrouvaient donc sans ressources, sans terre, sans travail. Beaucoup de femmes se sont alors tournées vers la prostitution pour survivre. Officiellement l’esclavage a pris fin en 1915.
1935 grand bouleversement, le Roi Rama VI, sous la pression des pays occidentaux, met fin à la polygamie. Dès lors, un niveau schéma se met en place, très similaire à ce que nous connaissons à ce jour. L’épouse officielle a le statut que tenait la première épouse avant. Fini les épouses secondaires, ces dernières sont dorénavant remplacés par les maitresses, les Mia Noï. Antan, on montrait son prestige avec le nombre d’épouses secondaires que l’on pouvait entretenir. De nos jours c’est toujours le cas, la notion du paraitre et de l’étalage de sa réussite étant des notions importantes dans la culture asiatique. Donc de nos jours rien de surprenant à voir des homme d’affaires s’afficher ouvertement avec de jeunes et jolies maitresses dans des lieux publiques, et de préférence, lieux à la mode. Mais attention, épouses secondaires d’antan ou mia noï d’aujourd’hui, rien n’a changé, aucune n’a intérêt à vouloir prendre la place de l’épouse principale, certaines effrontées l’ont payé très cher. Les maitresses sont donc bien pratiques pour l’apparat, le prestige. Pour les amusements plus charnels les hommes peuvent se tourner vers les esclaves de temps modernes, les prostituées qui travaillent dans les karaokés ou les salons de massage.
Donc on peut dire que l’on a les premiers contours de la prostitution tel que nous la connaissons de nos jours suite à l’abolition de l’esclavage et la fin de la polygamie. Mais d’autres éléments entrent en ligne de compte. En 1960, toujours suite à la pression des occidentaux et plus particulièrement des Nations unies, la Thaïlande vote une loi rendant la prostitution illégale. Loi suivie de peu d’effets. Surtout que les Etats Unis entrent en guerre contre le Vietnam en 1963. Les Américains vont donc installer des bases arrières afin que leurs GI’s puissent se divertir. C’est ainsi qu’un petit village de pêcheurs appelés Pattaya devint ce que nous connaissons aujourd’hui. De 1963 à 1975, c’est en moyenne 700,000 soldats américains qui viennent se détendre tous les ans. On estime que la Thaïlande a connu son plus grand nombre de prostituées à cette époque, soit près de 300,000.
EN 1996 la législation s’est encore durcie contre la prostitution en Thaïlande mais on ne peut que s’en féliciter. En effet, il a été voté que les consommateurs et les familles des prostituées peuvent être poursuivis, aussi bien dans le pays qu’à l’étranger. Cette loi ne vise bien sûr pas la prostitution que je qualifierai de classique mais est avant tout une arme pour combattre de manière claire et efficace tout ce qui est lié à la pédophilie et la prostitution de personnes mineures. Ceux qui prétendent que la Thaïlande est le paradis des pédophile ne connaissent vraiment rien au pays.
De nos jours différentes ONG estiment que le nombre de prostituées oscille entre 140 et 170.000. J’ai fait un rapide calcul, cela représente 0,25% de la population, une grande claque auprès des personnes qui prétendent que toutes les Thaïlandaises sont des filles tarifées. Par comparaison, pour l’Allemagne, le nombre de prostituées représente 0,44% de la population dans ce pays où ce type d’activité a été légalisé.
Il y a quelques années, la grande majorité des prostituées étaient issues des campagnes de l’issan. C’était à l’époque une région extrêmement pauvre et de nombreuses filles partaient à Bangkok ou dans les zones touristiques afin de trouver un travail et supporter la famille. Il n’y a pas de problème pour ces filles de trouver un travail, que ce soit dans une usine ou dans le bâtiment. Mais les salaires y sont très bas et une fois la chambrée payée, l’argent des simples repas déduits, il ne restait pas grand chose à envoyer à la famille au village, pour les parents, pour les enfants. Alors, la solution pour certaines de ces filles, c’était de vendre leur corps. Elles mentaient à leur famille, prétextaient une promotion ou l’obtention d’un nouveau poste mieux rétribué pour expliquer les envois d’argent un peu plus conséquents.
Le Bouddhisme a aussi sa part de responsabilité dans le fait que certaines filles acceptent de sauter le pas. En effet, il est dit que si on commet un acte moralement répréhensible mais dans le but d’aider sa famille dans le besoin, alors c’est une faute qui est pardonnée. Pire, cet acte contribuerait même à obtenir des mérites. Les mérites ce sont des bonnes actions qui seront prises en compte pour vous donner ou pas une bonne réincarnation. Il est vrai que le Bouddhisme n’est pas très favorable aux femmes. Naître femme c’est d’ailleurs lié au fait que l’on n’aurait pas eu une vie vertueuse avant. Acquérir des mérites pour une femme ce serait l’opportunité de se réincarner dans le corps d’un homme dans la prochaine vie.
De nos jours la pauvreté a reculé en Issan. Certaines des filles qui se prostituaient par obligation ont fait place à de nouvelles filles, celles que je qualifie de naïves. Ces filles qui sont devenues esclaves de la société de consommation et qui veulent des fringues de marque, le téléphone de dernière génération, les sacs de luxe. Alors elles imaginent que cela ne doit pas être compliqué, il suffit juste d’ouvrir les jambes, comme elles le font avec leur copain. Les pauvres, elles n’ont pas idée des dégâts psychologiques que de tels actes leurs font subir.
Parmi les 0,25% de la population qui proposerait des services tarifés occasionnels ou réguliers, un petit pourcentage sont de véritables dangers pour les naïfs. Elles sont en général jeunes et belles, intelligentes, et conscientes de leur charme. Dès qu’elles tombent sur un amoureux transi, elles n’hésitent pas à user de leurs charmes et de fausses promesses pour se faire entretenir. Le moyen le plus fréquent est le sponsoring. C’est d’ailleurs pour cela qu’elles préfèrent les touristes de passage, ceux qui ne restent pas dans le Royaume. Elles leurs promettent en quelque sorte l’exclusivité mais elle ont néanmoins besoin d’argent pour soutenir leur famille. Alors les prix peuvent démarrer à 20 ou 30,000 bahts que l’amoureux transi enverra tous les mois. Bien entendu la fille continue à bosser, il n’est d’ailleurs pas rare que les plus belles aient plusieurs sponsors. Le plus dur c’est quand deux de ces sponsors prennent leurs vacances en même temps, pas facile de gérer l’exclusivité…
Je le dis tout de go, rien n’empêche les filles de bars d’être d’excellentes épouses. Parfois, si il y a des problèmes, cela est souvent de votre fait. Je ne compte plus le nombre de farangs qui remettent le passé de leur épouse en pleine figure lors des petits conflits ménagers. Le sempiternel discours de la reconnaissance éternelle nécessaire pour l’avoir sorti de ce milieu… Vous allez aussi peut être devoir faire face à des problèmes de drogue ou d’alcool. Nombre d’Européens sont surpris de la capacité de certaines filles à ingurgiter sans problème de grandes quantité de bières et de whisky. Mais comment croyez vous qu’elles font pour accepter sans broncher et avec le sourire toutes les dérives de certains clients. Il faut les imaginer ces touristes de passages, qui trainent des années de complexes et de frustrations, et qui soudain se croient tout permis parce qu’ils ont payés, parce qu’ils ont entre leurs bras une esclave sexuelle qui va devoir subir leurs élucubrations libidinales. Imaginez un mec sale et alcoolisé, un inconnu à la peau moite et jaunie par la cigarette qui vous touche, qui fourre ses doigts dans votre intimité, qui vous écrase et vous malaxe, qui souffle son haine fétide dans le cou, qui presse sa langue pâteuse sur votre bouche… Bref tout cela pour dire que les filles vendant leurs charmes sortent rarement indemnes du monde de la nuit. Sachez anticiper les traumatismes, les comprendre et être aux côtés de votre épouse pour panser au mieux ces meurtrissures.
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Contrairement à l'éternelle rumeur, le tourisme sexuel ne représente qu'une part infime du PIB national. Le phénomène de prostitution en Thaïlande est avant tout culturel. Les travailleurs du sexe sont pour la plupart originaires des régions pauvres et rejoignent les villes touristiques afin d'améliorer leurs conditions de vie.
Publié par Rawai.fr - Mis à jour le 29/07/2022
" Tout ce qu'il faut à l'homme, c'est un minimum de cash, après quoi les gens te traitent comme un prince ." Charles Bukowski - Contes de la folie ordinaire (1967)
On peut quantifier 4 différents types de travailleuses du sexe en Thaïlande qui facturent leurs prestations sexuelles à des prix très variés : 
Néanmoins, la prostitution répond d’abord et avant tout aux désirs des hommes thaïlandais. La tolérance et même la connivence qu’ils manifestent aujourd'hui envers les touristes ont engendré une dédramatisation du phénomène, y compris dans les plus hautes sphères de l’État. Dans les années 90, les voyageurs internationaux uniquement motivés par les relations sexuelles tarifées représentaient approximativement 10 % de la masse touristique globale. On ne connait pas les estimations de ce début de 21 ème siècle, mais au vu de l'augmentation du nombre de visiteurs, de 8 millions en 1990 à 38 millions en 2018, on peut imaginer que le nombre de touristes profitant "des plaisirs exotiques" de la Thaïlande ait évolué dans les mêmes proportions... Même si des campagnes médiatiques s'emploient activement à faire évoluer l'image sulfureuse du pays, la situation actuelle du phénomène de prostitution en Thaïlande ne montre aucun signe d'affaiblissement.
À l’époque pré-moderne, l’étiquette voulait que le Roi, ses proches et les nobles entretiennent de nombreuses concubines. Même si la polygamie a officiellement été abrogée en 1932, sous Rama VI, les bourgeois ont pris le relais des aristocrates pour la maintenir vivace jusqu'à la moitié du 20 ème siècle. La norme veut ainsi qu’un homme fortuné fasse profiter plusieurs femmes de ses largesses. L’épouse officielle est rarement dupe, mais la pratique est si ancrée dans les mœurs qu’elle ferme le plus souvent les yeux. Les hommes publics donnent également le ton, à l’image de Sarit Thannarat, premier ministre de 1958 à 1963, qui entretenait une cinquantaine de compagnes. La pratique ouverte ou détournée du concubinage et le recours au critère économique pour sa légitimation ont favorisé l’essor de la prostitution, en donnant à la sexualité féminine une connotation mercantile, puis en conduisant nombre d’épouses légitimes à considérer le recours de leur mari aux services de prostituées comme un pis-aller face à l’entretien de maîtresses régulières qui menacent le budget familial. L'influence patriarche du bouddhisme theravâda (bouddhisme pratiqué en Thaïlande) qui exclut les femmes de l’ordination, les relégua longtemps en "citoyennes de seconde zone". La prostitution étaient alors un des moyen possible de s’extraire de cette patriarchie bouddhiste. C’est dans le bouddhisme theravâda qu’on retrouve les origines d’une certaine légitimation de la prostitution en minimisant la responsabilité de ceux qui s’écartent de l'idéal moral. Dans cette ligne de pensée, on considère qu’il n’est pas entièrement déshonorable pour une femme de s’adonner à la prostitution si l’usage de l’argent gagné sert à nourrir sa famille. En fait, la femme qui pratique la prostitution en ce sens gagnerait du mérite. Une approche de la sexualité et de la prostitution très différente de celle des pays occidentaux, qu'il est indispensable de prendre en compte s'il on veut mieux comprendre le phénomène. La demande de la population locale est bien supérieure à la demande extérieure. Les Thaïlandais dépensent beaucoup pour satisfaire leur désir sexuel, la plupart vont régulièrement aux salons de massage et ne se rendent pas au karaoké uniquement pour chanter... Les "divertissements" dans les salons de massage n'ont rien de honteux. Perdre sa virginité avec une prostituée constitue un rite initiatique pour un jeune et fréquenter les bordels, une forme de socialisation. Les Thaïlandais ont indiscutablement leur part de responsabilité dans cette propagation de la prostitution sur leur sol.
L’enchaînement sur plus de quatre siècles de flux importants d’étrangers mâles en provenance d’Extrême-Orient, puis d’Occident a lui aussi favorisé l’essor de la prostitution. Les privilèges reconnus aux nantis du pays, furent projetés sur les premiers colons, les GI’s américains et aujourd'hui sur les touristes des pays industrialisés. L'histoire de la prostitution en Thaïlande remonte au moins à six siècles, avec des références explicites données par le voyageur chinois Ma Huan. Déjà en 1604, des marchands hollandais notaient que " lorsque les étrangers se rendent en Thaïlande pour y faire du commerce… on leur propose des femmes ." Sans le savoir, ils endossaient les habits du riche farang logiquement polygame. S'ils refusaient, on jugeait leur attitude comme un signe d’impuissance ou d’avarice. Les premières maisons closes (appelées maisons à thé) furent ouvertes par les Chinois, au 19 ème siècle. Jusqu'à 1947, plusieurs millions de coolies (travailleurs agricoles) chinois immigrèrent dans le pays. La forte demande suscitée par cette main-d’œuvre, fut à l’origine du premier véritable marché de la prostitution. Aujourd'hui, les Chinois contrôlent encore en grande partie la prostitution thaï. À la fin de la seconde guerre mondiale, Bangkok comptait une centaine de cabarets, boîtes à strip-tease et bordels, à Yaorawat et Sukkhumvit. En 1960, sous la pression des Nations Unies, le Maréchal Sarit Thanarat, chef du gouvernement militaire, a fait voter une première loi interdisant la prostitution. Durant la guerre du Vietnam (1964-1975), 700 000 soldats étaient pourtant envoyés en permission chaque année à Bangkok et Pattaya. Toutes les activités liées au marché du sexe prenaient alors des proportions jusqu'alors inégalées et cette industrie redonnait un second souffle économique à une Thaïlande en carence de développement. Il faut attendre la loi de 1996 pour que le racolage et l’acte sexuel tarifé soient interdits. Cette loi opère un changement notable dans l’application des peines. Auparavant, seul(e)s les prostitué(e)s étaient reconnu(e)s coupables. Aujourd’hui, les clients, les propriétaires d’établissements et même les parents peuvent être inquiétés. Enfin, et c’est une bonne nouvelle, de nombreux pays ont adopté une législation extraterritoriale qui leur permet de poursuivre leurs ressortissants pour des faits commis en Thaïlande. Sources : Bernard Formoso du département d’ethnologie, de préhistoire et d’ethnomusicologie de l'Université Paris X - Nanterre et Sylvie Fumey de thaietvous.com
Évitez vos airs supérieurs ou renfrognés et ne prenez pas non plus votre éphémère compagne pour une simple ouvrière du sexe. Beaucoup d'entre elles sont fines psychologues et ont compris ce qu'il fallait comprendre pour soutirer le plus possible de billets aux Occidentaux (cet acte est souvent facilité par l'aveuglement et la naïveté très caractéristique du benêt amoureux). Les plus séduisantes, conscientes de leurs pouvoirs hypnotiques savent pertinemment gérer les situations "sentimentalo-financières", et ont toujours plusieurs longueurs d'avance sur leurs compagnons pas toujours lucides...
Soyez bienveillants et généreux, évitez de tomber amoureux, alors, tout se passera dans le meilleur des mondes.
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Les derniers gouvernements se délectent dans le politiquement correct et évoquent à grands coups d'effets médiatiques leur souhait d'éradiquer la prostitution pour privilégier un tourisme familial. "L'amour exotique tarifé" n'est plus en vogue au 21 ème siècle. Il fut pourtant un argument publicitaire majeur des campagnes touristiques dans les années 80 et 90... Aujourd'hui, on estime qu'il entacherait l'image de la Thaïlande. 
Si la prostitution venait à être interdite ou limitée, on imagine mal ce que pourrait devenir les centaines de milliers de "travailleurs sexuels", qui pour la plupart, sont satisfaits de leur sort et qui de surcroît participent activement à l'économie du pays... 
Difficile de croire à de telles inepties, plus proches de la démagogie que d'un réel projet d'
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