une jeune mere de famille tourne son premier porno

une jeune mere de famille tourne son premier porno




⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































une jeune mere de famille tourne son premier porno
Retrouvez nos guides thématiques pour une parentalité positive
Consultez la version gratuite sur ordinateur, tablette ou smartphone
Je créé un compte pour recevoir mes newsletters et gérer mes données personnelles.


Je souhaite recevoir des offres du site et ses partenaires

























Je certifie ne pas envoyer d'e-mail indésirable

Une future maman a eu un orgasme fulgurant pendant un examen de routine chez sa gynécologue. Mi-hilare, mi-gênée, elle raconte ce qu'il s'est passé.
captions settings , opens captions settings dialog captions off , selected
Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window.
Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Transparency Opaque Semi-Transparent Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Transparency Opaque Semi-Transparent Transparent Window Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Transparency Transparent Semi-Transparent Opaque
Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400%
Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Dropshadow
Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps
Vidéo : l'échographie à 35 semaines de grossesse
Tout savoir sur l'allocation de soutien familial, l'aide pour les parents séparés
Collège : pourquoi les profs ont-ils tous peur de la classe de 4e B ?
Sa belle-mère fait percer les oreilles de sa fille sans son accord : "Elle pensait que je m'en fichais"
Ses beaux-parents refusent d'utiliser le prénom de son enfant car ils le jugent "prétentieux"
Salmonelle : en raison d'une alerte, ces biscuits pour le goûter risquent d'être difficiles à trouver
Sa belle-soeur lui reproche de ne pas lui avoir demandé la permission pour être enceinte en même temps qu'elle
Cette femme est enceinte de son 17ème enfant, et elle en veut au moins trois de plus
Rappel produit : Des paniers au fromage surgelés vendus en grande surface
Une star de télé-réalité raconte le jour où elle a appris l'infanticide de sa soeur
Bon plan : le siège-auto à shopper pendant le Black Friday !
Après le décès de son fils, elle tire son lait pendant 2 mois pour en faire don
Réforme des retraites : les mères de familles vont-elles être pénalisées ?
Rappel d'une veilleuse en raison d'un risque d'étouffement
Aide pour la garde d’enfants : que faire si on ne perçoit pas le CMG ?
Une future maman a eu une expérience pour le moins insolite pendant sa grossesse : pendant un examen chez sa gynécologue , elle a eu un orgasme . La jeune femme, qui est probablement américaine, a raconté sa mésaventure sur Reddit , dans un post qui a été supprimé depuis mais qui a été repris par le Daily Mail .
"Je suis enceinte. Très enceinte. Et l'un des effets secondaires de ma grossesse, c'est que je suis beauuuuucoup plus sensible dans mes régions d'en bas" , commence la femme enceinte. Un phénomène qui a fait que sa vie sexuelle s'est transformée depuis le début de sa grossesse : " Je peux avoir un orgasme trois ou à quatre fois pendant une pénétration basique (ce qui donne à mon mari l'impression d'être une rockstar), et cela ne m'arrivait pas avant la grossesse. J'ai toujours eu une libido normale, mais pendant la grossesse (enfin, après le premier trimestre de l'horreur), elle a crevé le plafond ", raconte-t-elle.
Cette future maman s'est rendue chez sa gynécologue pour un rendez-vous de suivi de grossesse. "J'ai eu des petites complications pendant ma grossesse, alors ma gynéco a voulu faire un rapide examen pelvien ", explique-t-elle. Elle ajoute que son médecin est "magnifique" et que, bien qu'elle s'identifie généralement comme étant hétérosexuelle, "[elle] pourrait bien reconsidérer la chose (particulièrement avec toutes ses hormones de la grossesse en folie)".
Il faut dire que ce qu'il s'est passé sur la table d'examen a de quoi la surprendre. "Je monte sur la table, je mets les pieds dans les étriers, et ma gynéco met du lubrifiant sur ses mains et insère deux doigts pour commencer l'examen. E t j'ai su que ça allait se produire. J'ai essayé de l'empêcher. J'ai essayé de ne pas vouloir que ça se produise. Mais tandis qu'elle pressait ses doigts, j'ai eu un orgasme très évident. Gémissements, les jambes qui tremblent et tout le reste. J'ai failli mourir de gêne sur la table d'examen. J'ai envisagé un suicide par spéculum" , raconte-t-elle.
Tandis que sa patiente était morte de honte, la gynécologue a essayé de la rassurer. "Pour le crédit de mon médecin, elle a géré les choses parfaitement. Elle m'a rassurée en disant que c'était très courant d'être sensible en bas et que cela arrivait tout le temps (j'en doute fortement). [...] Mais il y avait quand même un sentiment de gêne qui flottait dans l'air après" , se souvient la future maman. Elle conclut : "Donc voilà, je ne peux plus regarder ma gynéco dans les yeux, mais avec un mois de grossesse restant, je n'ai pas d'autres choix que de continuer à la voir. Et de savoir qu'elle sait à quoi ressemble mon visage quand j'ai un orgasme".
Dans les commentaires, les internautes se sont amusés de cette mésaventure. Certains ont plaisanté sur le fait que le moment le plus gênant de sa vie n'était pas celui-là, mais celui où elle allait avoir un orgasme en accouchant. D'autres ont essayé de la rassurer en lui disant que tout cela serait vite oublié et remplacé par un autre moment gênant, car elle allait sûrement, comme beaucoup de parturientes, faire caca pendant l'accouchement . Chez Magicmaman, on a envie de lui dire que, même si cela peut paraître gênant, il n'y a pas de quoi avoir honte, surtout si cela peut permettre de passer outre le côté désagréable de certains examens gynécologiques !
Projet bébé ? Enceinte ? Déjà parents ? Inscrivez-vous à nos newsletters
Toute l'actualité des futurs et jeunes parents

No compatible source was found for this media.
Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Transparency Opaque Semi-Transparent Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Transparency Opaque Semi-Transparent Transparent Window Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Transparency Transparent Semi-Transparent Opaque
Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Dropshadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps
Reset restore all settings to the default values Done


Options


Favoris

Signaler


Article + 78 commentaires




Avant de nous quitter, voici des contenus qui pourraient vous intéresser
Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window.

Vous aimez le site, affichez les pubs :)
Code embed
A Hollywood, une future mariée a passé la soirée avec une culotte spéciale, équipée d'un vibromasseur télécommandée. Problème, ce n'est pas elle qui avait la télécommande, mais sa copine qui actionnait le vibro à distance. Elle n'est pas passée inaperçue en se promenant dans la rue. Le YouTuber Sun Of Hollywood a filmé la scène et a même testé la télécommande.

No compatible source was found for this media.
Text Color White Black Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Transparency Opaque Semi-Transparent Background Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Transparency Opaque Semi-Transparent Transparent Window Color Black White Red Green Blue Yellow Magenta Cyan Transparency Transparent Semi-Transparent Opaque
Font Size 50% 75% 100% 125% 150% 175% 200% 300% 400% Text Edge Style None Raised Depressed Uniform Dropshadow Font Family Proportional Sans-Serif Monospace Sans-Serif Proportional Serif Monospace Serif Casual Script Small Caps
Reset restore all settings to the default values Done


Options


Favoris

Signaler


Article + 78 commentaires




Avant de nous quitter, voici des contenus qui pourraient vous intéresser
Beginning of dialog window. Escape will cancel and close the window.

Vous aimez le site, affichez les pubs :)
Code embed
A Hollywood, une future mariée a passé la soirée avec une culotte spéciale, équipée d'un vibromasseur télécommandée. Problème, ce n'est pas elle qui avait la télécommande, mais sa copine qui actionnait le vibro à distance. Elle n'est pas passée inaperçue en se promenant dans la rue. Le YouTuber Sun Of Hollywood a filmé la scène et a même testé la télécommande.

Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Je créé un compte pour recevoir mes newsletters et gérer mes données personnelles.


Je souhaite recevoir des offres du site et ses partenaires

























Je certifie ne pas envoyer d'e-mail indésirable

Coincée entre son mari et un voisin entreprenant plutôt sympa, Sophie a vécu, à dix mille mètres d’altitude, une nuit agitée.
Tout savoir sur l'orgasme, l'expert répond...
Je suis heureuse en couple, mais parfois le célibat me manque
Le triangle amoureux, une relation hautement toxique dont on ne sort pas indemne
Rendez-vous amoureux : qui doit payer l'addition ?
Larguées pendant la grossesse : "Ça a été comme une gifle, j'étais enceinte de 5 mois"
Ils se détestaient, maintenant ils s'aiment profondément
Elles ont pris un amant (beaucoup) plus jeune
Ils ont tout fait pour séduire la femme de leur vie
"On s'est séparés pour mieux se retrouver"
"J'ai rencontré l'amour sur mon palier"
Je suis gay et je suis tombé amoureux d'une femme
Nos partenaires et nous utilisons des données non sensibles comme des cookies ou des identifiants électroniques pour afficher des publicités personnalisées, mesurer le nombre de visiteurs ou encore adapter notre contenu.
Cliquez sur le bouton pour donner votre consentement à ces opérations et profiter d'une expérience personnalisée. Vous pouvez modifier vos préférences à tout moment en revenant sur ce site.
Séduction et turbulences de l’avion ne font qu’un dans cette promiscuité amoureuse… Au retour d'un voyage à Hanoï avec son mari, Sophie tombe sous le charme de son voisin de rangée. 
"Un voyage magnifique... Hanoï et la baie d'Along. Ho Chi Minh-Ville et son quartier chinois. Et puis les gens pleins de vie. Beaucoup de bruit, une ville grouillante. Nous nous sommes bien amusés. C'est avec beaucoup de tristesse et à reculons qu'avec mon mari nous montons dans l'avion du retour. En plus, il fait une chaleur dans cet avion... Alors, un voyage de dix heures, coincée entre mon mari, à droite, assis comme d'habitude au bord du couloir pour allonger ses jambes, et, à ma gauche, un autre costaud côté hublot.
J'échange quelques paroles avec mon voisin
Deux heures après, les plateaux-repas. J'échange quelques paroles avec mon voisin. Il me demande d'où je viens, ce que nous avons fait. Lui, il voyage pour son travail. Il a juste fait l'aller-retour. Puis les lumières s'éteignent, il ne reste que les petites veilleuses, et tout l'avion s'assoupit. Le silence se fait. Je ne peux pas vivre sans musique, donc je mets les écouteurs.
Mon mari s'endort partout, ah partout ! Moi, j'ai la chance d'être menue, j'essaie de trouver ma place, dans cet espace restreint où ils débordent tous les deux : je suis privée d'accoudoirs, les mains sur les genoux, réduite à la portion congrue. Là, je m'endors. Pour récupérer un peu. Pendant dix jours, nous n'avons pas arrêté. Je m'écroule. Et fatalement, je penche vers la gauche, c'est mon habitude. Au lit, je dors à droite. Je suis un peu frileuse et je me retourne toujours sur la gauche pour attraper mon mari et me réchauffer. C'est une grosse bouillotte.
Donc je m'affale sur l'épaule de l'inconnu . J'ignore combien de temps. En tout cas, il ne bouge pas. Cela ne doit pas être très agréable pour lui. C'est lourd, une tête. Quand je dors, j'aime bien me cramponner. Je lui attrape le bras. Là, mon mari m'envoie un coup de coude dans les côtes. Je me réveille en sursaut. Il me dit : « Tiens-toi. » Je m'aperçois de mon erreur d'épaule, je me confonds en excuses. Mon voisin a un grand sourire et me dit : « Si mon épaule est confortable, je n'y vois pas d'inconvénient. » Vous pensez bien que je me suis repositionnée au milieu. Mon mari s'est déjà rendormi, mais moi, je n'y arrive plus. Je ne suis pas bien. Furieuse de la remarque de mon mari. En plus, j'ai mal au cou. J'allonge mes jambes loin de moi pour changer de position. Ça fait quand même trois heures que nous sommes assis, je suis ankylosée.
Là, ma jambe rencontre celle de mon voisin. Je me décale un peu. Sa jambe suit. Bon, il a été gentil, souriant, je ne veux pas... Je ne me dégage pas. Nous restons collés l'un à l'autre, avec, comment dire, des petites pressions, avec son genou, avec son pied, délicatement. Il a peur de mes réactions, peut-être. Et puis il y a mon mari de l'autre côté, il a vu qu'il n'était pas commode. C'est drôle : il semble impassible, il ne bouge pas la tête. Comme je n'ai pas d'accoudoir, forcément, j'ai ma main en bas, le bras le long du corps. Il quitte l'accoudoir, il vient sous le siège et il rencontre ma main. Ses doigts restent le long des miens, mais il n'ose pas trop s'aventurer à prendre ma main. Nous sommes comme deux collégiens. Je l'entends bien respirer, quand même, et soupirer.
Ce n'est pas désagréable, ces petits frottements. Je crois que j'y prends plaisir autant que lui, peut-être. On passe par plein de sentiments : c'est émouvant, et il y a des moments où j'ai envie de rire. Il ne doit pas se sentir bien, il doit souffrir. Il y a des choses qui ne vous échappent pas, quand même : il se soulève de son siège, je le sens dans un inconfort... Comment dire sans être triviale ? Trop serré dans son pantalon. 
Je me suis levée, on boit beaucoup dans un avion, on va aux toilettes. Je ne sais pas comment il a fait, il n'a pas bougé, c'est du jamais vu. Je suis revenue, je ne trouvais plus mon siège, dans la nuit on ne voit rien. Le petit jeu a continué. Un petit jeu érotique. Tour à tour on s'approche, on se décale, on change de position. Il respirait vite, et moi aussi. Je pense qu'il s'en est aperçu. Il s'est enhardi. Il a mis sa main le long de mes cuisses. J'étais en jean, ça ne pouvait pas devenir très torride. Et pourtant, ça fonctionne quand même, même en jean. Le trouble est là, le désir. On va lâcher le mot : je ressentais un violent désir. Peut-être l'attrait de l'interdit, de cette situation, ce n'est pas banal. 
Le plaisir m'a tellement envahie que j'ai oublié la présence de mon mari. J'avais les yeux fermés tout le temps, je n'avais pas envie de les ouvrir, j'oubliais le cadre, j'étais dans une bulle. Pour ne pas perdre ce bonheur, vous n'osez pas bouger. A un moment, j'ai posé la tête sur l'épaule de mon mari pour tenter de m'endormir et pour arrêter un peu, pour retrouver une respiration, c'était incandescent. Du coup, j'étais tournée, je lui présentais mes fesses, il a plaqué une main sur ma fesse, sur mon jean, je suis revenue tout de suite à ma position.
Mon mari s'est levé. Nous nous retrouvons seuls tous les deux, nous avons cinq minutes. Il a un regard interrogateur, avec un petit sourire grivois : qu'est-ce qu'on fait ? J'ai pris un air un peu sérieux, c'est très hypocrite de ma part, il sait bien que je participe complètement. Je ne sais pas, sursaut de pudeur. Cela ne m'est jamais arrivé. Je n'ai jamais trompé mon mari, en vingt ans de mariage, jamais. Je n'ai jamais cherché l'aventure. J'ai trop vu mes parents souffrir. Je l'adore, mon mari. Il m'a demandé où j'habitais, si j'avais des enfants. J'ai deux filles, lui trois garçons. Aucune allusion, ni l'un ni l'autre, à cette expérience, à cette complicité sensuelle.
Nous étions comme deux gamins pris en défaut
Mon mari est revenu. Mon voisin a remis ses écouteurs et fait semblant de dormir, moi aussi. Nous étions comme deux gamins pris en défaut. Ce sont des émois d'adolescents, quand même.
Il y a des turbulences. On nous prie de nous rattacher. Il était resté sage cinq minutes. Je me disais : « Tiens, le charme n'opère plus. » Avec les turbulences, il est revenu, encore plus assidu, plus fort et plus près. Il m'a attrapé le petit doigt, il m'a presque tenu la main. Et toujours sa cuisse bien collée à la mienne. C'est difficile de mettre des mots sur des choses qui sont seulement ressenties. On est dans une espèce de bien-être. On ne voit plus les autres. On est concentrée, obnubilée par une pression sur quelques centimètres de cuisse, on entend le cœur de l'autre battre.
Un avion c'est petit, c'est étroit, on ne peut pas bouger. Tout se passe en silence, dans l'imaginaire. Chacun des deux ressent la même chose, sans pouvoir manifester. Tout ça est très subtil. Ce sont des impressions... Des gestes furtifs, avec le plus de discrétion possible, ce qui n'est pas forcément compatible avec le plaisir. Un contact qui appelle d'autres caresses, mais elles restent dans l'imaginaire. C'est quand même du plaisir à l'état pur. Un tsunami. Pour une femme. Pour un homme, je ne sais pas, quand c'est avorté... Nous étions comme deux cocottes vapeur - tendus de plaisir, d'inassouvissement, de manque. Comme quelqu'un qui attend sa came. 
Et puis d'un seul coup, la lumière est revenue. Il est redescendu de son nuage. Comment cela avait-il pu durer une nuit ? C'est très efficace pour abréger un voyage. Les petits-déjeuners sont arrivés. Mon mari s'est réveillé. C'était immonde, le pain n'était pas décongelé. Mais comme d'habitude, il a englouti tout ce qui restait.
Là, je me suis tournée vers la gauche. Nous avons commencé à parler un peu de choses et d'autres. Il m'a dit qu'il aimait les photos aériennes. Il m'a dit : « Là, nous sommes au-dessus de telle ville. » Il m'a engagée à regarder par le hublot par-dessus son épaule. Nous étions tout proches, j'avais mes cheveux très près de lui.
Nous descendons sur Roissy dans la grisaille. La tristesse. C'est surtout lui qui est triste. La fin du petit jeu, de plaisir et de torture mêlés. Quand tout est contenu. Il est malheureux parce que tout cela se termine et qu'il n'y aura jamais d'assouvissement. Pas d'explosion, pas de bouquet final. Ça s'appelle rester sur sa faim. Il me jette un regard désespéré : « On ne peut pas se quitter comme ça. » Il a l'air d'un enfant que sa mère vient de laisser tout seul. Je me sens responsable de sa détresse. Ça a l'air tellement costaud, un homme. Mais malgré ses épaules carrées, c'est une petite chose fragile. Ça faisait partie du jeu, il ne fallait rien attendre de plus. C'était un rêve.
Quand on a vécu des sentiments aussi forts, la chute est brutale. La séparation est un déchirement , un cataclysme, qu'autour de nous, tout le monde ignore. Les gens se lèvent, prennent leurs bagages. Je lui serre la main. Il détourne les yeux et regarde par le hublot, où il n'y a rien à voir, puisque nous avons atterri depuis longtemps.
Malgré les crampes, une nuit sans dormir, à peine arrivée chez nous, j'ai lancé à mon mari : « Enlève ta veste, viens... » J'ai pris l'initiative des caresses. Il s'est laissé faire. Il était ravi. Il y avait urgence dans l'aboutissement des caresses trop longtemps contenues. Mon mari aurait pu dir
Femme Nue Jambes Écartées
Le Pensionnat Des Jeunes Filles Perverses
Une mannequin baisée par son photographe

Report Page