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Accueil » La soumise – 1er chapitre – Le premier pas
Le récit de la déchéance d’une femme qui devient dépendante d’un homme.
Comment me suis-je retrouvé dans ce train, habillée comme une pute ? Non, pire qu’une pute probablement… J’ai rencontré cet homme sur un site de rencontre. Je voulais juste me sortir du quotidien de mon couple. Juste fantasmer. Mais je me suis senti attirée. Et un jour je lui ai demandée de faire de moi sa soumise, sa chienne. Il m’a demandé si je savais ce que ça impliquait, que j’allais devenir sa chose. J’ai répondu que oui. Alors il m’a envoyé des instructions pour notre première rencontre. Il a rajouté un postscriptum disant que je pouvais à tout moment changer d’avis. Mais que cela signifierait alors la fin de nos échanges, que je n’existerai alors plus pour lui. J’ai longuement hésité. Puis je lui ai juste envoyé un message disant que je serais là. Il n’a pas répondu. Et je me suis retrouvé dans ce train. Le seul vêtement que je porte est une robe. Le bas est fendu sur le côté jusqu’à la ceinture. Rien de trop choquant si ce n’est qu’il a exigé que je dévoile ma jambe en rabattant le tissu entre mes cuisses. Je me doute que l’on voit aussi ma fesses. Et que l’on devine aisément que je ne porte pas de culotte, ou alors un string qui ne doit pas cacher grand chose. J’aurais pu ne pas dévoiler ma jambe, il ne l’aurait jamais su. Mais j’étais déjà sous son emprise, je ne pouvais pas refuser, je ne voulais pas le décevoir. Le haut de la robe était inexistant pour ainsi dire… Deux triangles de tissu. Leur base partait du milieu de la ceinture pour aller jusqu’à mon flanc. Et la pointe était sur mon épaule, les deux triangles rattachés derrière mon cou. Autant dire que mes seins étaient presque entièrement dévoilés. L’étoffe était de plus très moulante et l’on devinait facilement mes tétons. Comme il l’avait prévu, je me suis faite accoster. L’homme m’a simplement demandé mes tarifs. Comme prévu j’ai répondu que je n’étais pas disponible, que j’allais chez un client. Puis je lui ai tendu ma carte. Une simple carte avec des tas d’abréviations expliquant mes prestations. Des abréviations dont je ne comprenait pas le sens mais qui devait faire de moi une catin prête à tout pour de l’argent, j’en étais sûre. J’avais honte, tellement honte. Mais je le gardais en moi, je ne voulais pas le décevoir… Comme prévu l’homme a insisté. Alors j’ai accepté de lui tailler une pipe dans les toilettes. Juste une pipe. Mais bien sûr il a voulu plus. Et, comme prévu, je lui ai donné plus… Il a éjaculé trois fois en tout, il devait vraiment être en manque.
Une fois arrivée à destination je suis descendu du train. Je m’étais nettoyé le visage, remaquillé et avait même bu quelque chose pour enlever le goût de sa queue et de son sperme de ma bouche. Je devais être parfaite pour lui. Il m’attendait dans sa voiture. Je me suis assise à côté de lui, rougissante. Il ne m’a pas salué et m’a juste dit :
« – Tu t’es faite baiser ? »
J’ai hoché la tête. Je pleurai de honte. Intérieurement. Il a démarré en me disant :
« – C’est bien. On est entre nous, montre-moi ta chatte. »
J’ai poussé le pan de ma robe pour dévoiler mon intimité. Il a jeté un œil :
« – Qu’est-ce que tu as fait exactement ? »
Ma voix était hésitante, j’avais du mal à ne pas pleurer. Mais je ne devais pas. J’ai commencé à lui raconter :
« – D’abord je l’ai sucé et j’ai bu son sperme. »
« – Bien. Et ensuite ? »
« – Ensuite, il a voulu que je le masturbe un peu. J’ai accepté et il a vite repris de la vigueur. Il a insisté pour me prendre, m’a proposé de me payer plus que mon tarif. J’ai cherché des excuses. Je lui ai dis que je n’avais pas de préservatifs. Il en a sorti un. Alors j’ai acceptée. »
« – Brave petite. Il t’a sodomisée ? »
J’ai répondue, outrée :
« – Non ! Je lui ai dis que mon client voulait que mon cul soit vierge pour lui. »
« – Et il l’est ? »
« – Oui ! »
« – Totalement ? »
J’ai rougi, baissé les yeux. Il a sourit et dit :
« – Je me doutais que t’étais une bourgeoise coincée du cul, tu sais. Je parie que tu n’avais jamais avalé avant non plus. »
J’ai hoché la tête. Je me suis mise à pleurer. Il a dit :
« – Ne t’inquiète pas, bientôt tu ne seras plus coincée du tout… »
J’avais honte, tellement honte. Qu’étais-je devenue ? J’ai murmurée pour moi-même :
« – Je suis une traînée, une salope… »
Il m’a entendu. Il a attendu que l’on soit à un feu et il s’est tourné vers moi. Il m’a giflé. Il m’a dit :
« – Je t’interdis de dire, de penser ça. Tu n’est pas une salope. Tu es une traînée, une pute, oui. Mais pas n’importe laquelle. Tu es MA pute, compris ? »
Je l’ai regardé en me tenant la joue. J’ai hoché la tête. Il m’hypnotisait : j’étais sienne. Il m’a dit de continuer mon récit. Je lui ai raconté qu’après l’homme s’était reposé un peu mais qu’il était revenu une troisième fois. Il voulait me couvrir le visage de sperme, ça l’excitait. J’ai accepté et nous sommes retourné aux toilettes. Tout le monde me regardait. D’autant que nous n’avions pas été très discrets lors de notre discussion. J’aurais voulu mourir. Mais il me fallait accomplir mon devoir. Alors je l’ai sucé et il m’a juté au visage. Mon récit fini je me suis tue. Il est resté silencieux puis il a simplement dit :
« – C’était la première fois aussi ? »
« – De quoi ? »
« – Que tu te faisais juter au visage ? »
J’ai hochée la tête. Comment devinait-il tout ça ?
« – Et tu as pris ton pied ? »
« – Non ! »
« – Tu devrais. Une bonne pute le ferait. Tu as simulée au moins ? »
« – Euh… Oui, bien sûr. »
« – Et tu n’as pas pris ton pied ? »
J’ai hésité… Le prendrait-il mal ?
« – Je… J’ai mouillé quand il m’a prise la deuxième fois. »
Il m’a regardé. Je n’osais pas lever la tête. Il a dit :
« – Bon. C’est un bon début. »
Je n’ai rien dit. Nous avons continué à rouler. Il a tendu sa main. Je lui ai donné l’argent que j’avais gagné en me prostituant. Il a compté, un œil sur la route. Puis il a dit :
« – Bien… Très bien. Tu es une bonne pute. »
Puis il a rangé les billets et m’a doigté distraitement la chatte en conduisant d’une main. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai joui. J’étais atrocement honteuse, j’avais mouillé les siège de sa voiture. Mais je me sentais si heureuse…
Nous sommes arrivés chez lui. Il est venu m’ouvrir la portière. Puis il m’a guidée chez lui. Nous nous sommes assis au salon et nous avons discuté en prenant l’apéritif. C’était très étrange. J’étais tendue. Je savais que j’allais me faire baiser, comme une chienne. Mais il semblait agir comme si ça n’avait pas été prévu. A un moment il s’est levé, probablement pour aller chercher à boire. Avant que je ne comprenne il était à côté de moi et sortait son sexe. J’ai levé les yeux et il s’est mis à m’uriner dessus. J’ai eu un mouvement de recul. Mais il s’est avancé. Alors je lui ai offert mon visage. Ca avait commencé. J’ai ressenti ça comme une délivrance. Je n’ai même pas hésité quand il m’a demandé d’ouvrir la bouche, de lui nettoyer le gland quand il a eu fini. Nous avons échangé un regard. Il m’a giflé et a hurlé :
« – Espèce de truie ! A cause de ton hésitation j’en ai foutu sur la moquette et le fauteuil ! Bonne à rien ! »
Il m’a giflé à nouveau puis m’a saisi à la gorge :
« – Maintenant tu vas nettoyer. »
Il est parti me laissant pantelante par terre. Quand il est revenu il m’a jeté un seau et une serpillière :
« – Allez, lave. »
J’ai obéi. Pendant que je lavais il m’a ôté ma ceinture, puis ma robe. Il m’a claqué les fesses plusieurs fois puis il les a écarté. Je savsis qu’il scrutait mon anus et j’ai rougi de honte. Il a murmuré :
« – Toi, tu vas te faire enculer, ma belle. »
Je n’ai rien dit. Je ne me suis pas révoltée. Puis une phrase m’a échappée, comme une envie subite :
« – Bien sûr. Et j’espère que ce ne sera pas tout ! »
Il a ricané :
« – oh non, ce ne sera pas tout ! Tu auras plus. Bien plus que tu n’aurais voulu… »
J’ai frissonné mais j’ai continué à nettoyer. Il est parti.
Quand il est revenu il avait des menottes de cuir, une laisse, un bâillon, un foulard… Il me les a montré et a dit :
« – Tu vois tout ça ? »
« – Oui. »
« – C’est pour toi. »
« – Merci. »
Il est resté pensif quelques instants :
« – Mais j’ai envie de faire un petit jeu d’abord… »
« – Ah ? »
« – Oui. Tu vas faire comme si tu avais ces liens, mais je ne te les mettrais pas. »
« – D’accord. »
« – Bien. Tu as les yeux bandés. »
J’ai fermé les yeux. Il a continué :
« – Je vais maintenant te bâillonner. N’oublie pas qu’il y a une boule pour garder ta mâchoire ouverte… »
J’ouvre la bouche. J’ai rapidement la gorge sèche… Il attend. Enfin il ajoute :
« – Je viens de t’attacher les poignets dans les dos. Et tes chevilles aussi. »
Je place mes mains dans mon dos, colle mes chevilles ensemble. Il me pousse alors en avant, je tombe. Je me retiens d’utiliser mes bras, d’ouvrir les yeux. Je percute le sol dans un bruit sourd. Un cri m’échappe. Il tempête :
« – Et ton bâillon, salope ? Tu te crois où ? »
Je veux m’excuser mais me rappelle le bâillon et reste la bouche ouverte. Il me tire par les cheveux et me mets sur le dos. Il me gifle puis m’étrangle. Ma figure s’empourpre. Je reste les yeux fermés et la bouche ouverte. Je me tortille sans jamais oublier que mes poignets et mes chevilles sont liés. Il se calme, me remet face au sol, m’ordonne de lever mon cul vers lui. Il le claque. Puis il le saisit à pleine main et enfourne son sexe profondément en moi. J’ai mal. Mais je ne peux hurler. Je pousse des cris étouffés par ma mâchoire immobile, ma gorge sèche. Ca lui plait, il me prend plus fort. Enfin il me libère de mon bâillon. Je m’autorise alors à hurler. Ca l’excite, je le sais. Il glisse sa main sur ma chatte et murmure :
« – Mais c’est que tu es trempée… Tu aimes vraiment ça, cochonne. »
Il a raison. J’en ai honte mais j’aime ça, ça me fait jouir. Je me sens pleine de lui, sienne. Il m’humilie et j’adore ça. Il dit en sortant sa verge de mon anus :
« – Met-toi sur le dos. Tu n’as plus les yeux bandés. »
Je me laisse tomber sur le côté puis gigote pour me retrouver sur le dos. Je regarde alors son sexe. C’est la première fois que je le vois en érection. Il est beau. J’ai envie de le sucer. Mais il ne me l’a pas demandé. Alors j’attends. Il se branle et me couvre de sperme. La sonnette retentit. Il sourit :
« – Joli timing… »
Il se finit. Puis il se dirige vers l’entrée sans ranger sa queue et me lance :
« – Va te laver un peu, tu sens le sperme et l’urine. Viens nous rejoindre dés que tu as fini. »
Je suis allée me laver, comme il me l’avait demandé. Je me suis même remaquillée. Pas par coquetterie. Mais parce que je savais que voir mon maquillage couler l’excitait. Je voulais qu’il soit excité. Qu’il me batte, qu’il me viole. Puis je suis allé dans l’entrée. Son ami discutait avec lui. Leur deux queues étaient sortis. Il m’a demandé de le saluer. J’ai obéi et j’ai commencé à lui tailler une pipe en guise de bonjour. Son ami a ri :
« – En voilà une sacrée salope ! On lui demande de dire bonjour et elle vous taille une pipe ! »
« – Umm… Oui, mais elle pourrait faire mieux. Par exemple ne pas s’agenouiller. Ca offrirait plus de possibilité. »
Ce n’était pas un ordre mais j’ai obéi. J’ai gardé le sexe de son ami en bouche et me suis redressé. J’étais penché en avant et mon cul l’appelait. Il m’a écarté les fesses et doigter l’anus en disant :
« – Tu sais que je n’ai pas encore eu droit à sa chatte ? Elle l’a pourtant offerte à un inconnu dans le train… »
« – Oh, vraiment ? C’est une belle cochonne ! »
« – Non, une pute. Elle lui a tiré du pognon en échange. »
Son ami a ri. Savait-il que c’était sur son ordre que je l’avais fait ? Ou peut-être qu’il s’en fichait, du moment que je le suçais…
« – Une belle pute alors. Elle doit bien gagner sa vie. On devra pas la payer au moins ? »
« – Non, elle veut juste être ma chienne. Ca la change de ses clients. »
« – Ok. C’est quand même une cochonne alors… »
Ils ont ricané. J’étais rouge de honte. Mais je continuais à sucer consciencieusement. Son ami lui a demandé :
« – Tu vas lui prendre sa petite chatte alors ? »
« – Non, j’ai tout mon temps. »
Il m’a empaler. J’ai étouffé un cri, sucé plus fort pour oublier la douleur. Son ami à eu l’air d’aimer :
« – Putain, elle aime la bite ! »
« – Et oui ! »
« – Même la douleur ne l’arrête pas… »
« – Ca on verra quand Rufus s’en sera occupé. »
« – Tu veux la donner à Rufus ? C’est du gâchis ! »
« – Rufus est un pote, je lui dois bien ça… »
« – Quand même… Une si belle femme. »
« – Bah, elle s’en sortira. En quelques semaines elle sera opérationnelle. »
Son ami est resté silencieux. Je les entendait avec horreur discuter comme si je n’étais pas là. Non, plutôt comme si le fait que je sois là n’avait pas d’importance. Et moi je ne réagissais pas. Ils souhaitaient me livrer à un malade qui allait probablement me faire souffrir atrocement. Et tout ce que je trouvais à faire c’est sucer son ami plus fort, dans le vain espoir qu’il puisse le persuader de changer d’avis. Peine perdue. Il a fini par dire :
« – Fais comme tu veux. Après tout on va bien en profiter avant ! »
Il m’a donné un grand coup de bite dans le cul puis a rigolé :
« – Ca c’est sûr ! »
Il m’a attrapé par les cheveux, m’a redressé et m’a murmuré :
« – Rappelle-toi… Tu peux arrêter à tout moment… »
Je n’ai rien répondu. Il m’a relâchée et je suis retourné sucer la verge de son ami…
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