strangulation pendant la fellation

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Le choking, une pratique sexuelle plus dangereuse qu’il n’y paraĂźt - © LightFieldStudios / iStock






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À premiĂšre vue, on se dit que l’asphyxie Ă©rotique pourrait ĂȘtre une pratique sexuelle comme une autre, Ă  ajouter sur la liste des choses à tester. Mais derriĂšre le choking, se cacherait une mise en danger directe de la vie des femmes. DĂ©cryptage.  
Si le terme d’asphyxiophilie ne vous dit rien, c’est parce que le nom officiel de cette pratique a vite été éclipsé par un anglicisme beaucoup plus sexy. Dans les magazines et sur les sites porno, on l’appelle ainsi le « choking », soit « étouffement », ou « strangulation » en anglais. Un peu Ă  la maniĂšre du jeu du foulard, cette pratique vise Ă  se priver d’air pendant un acte sexuel, pour des orgasmes plus intenses. La pression est gĂ©nĂ©ralement exercĂ©e sur la gorge avec les mains du partenaire, mais peut aussi se faire avec un lien, une corde ou une ceinture.   
D’aprĂšs une Ă©tude publiĂ©e en 2020 dans le « Journal of Sexual Medicine », 21% des femmes ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© Ă©tranglĂ©es lors d’un rapport sexuel, contre 11% des hommes. « Le choking pendant le sexe est beaucoup plus commun chez les 18-29 ans, puisqu’environ 40% d’entre eux ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© Ă©tranglĂ©s. Cela nous pousse Ă  penser que cette pratique a vraiment Ă©voluĂ©, certainement au cours des dix ou vingt derniĂšres annĂ©es », explique la directrice de l’enquĂȘte, Debra Herbenick, au mĂ©dia canadien « Now Toronto ». « J’ai reçu énormĂ©ment de tĂ©moignages de femmes qui m’ont raconté avoir étĂ© horrifiĂ©es, lors de dates Tinder, par des partenaires qui les avaient Ă©tranglĂ©es pendant un rapport sexuel sans leur demander leur avis. Si vous ĂȘtes cĂ©libataire et que vous datez, le fait d’accepter cette pratique va de soi, et si vous n’ĂȘtes pas d’accord avec ça, c’est que vous ĂȘtes ennuyeuse », dĂ©plorait de son cĂŽté Fiona Mackenzie, la crĂ©atrice du collectif « We Can’t Consent To This », dans un article du « Guardian » publiĂ© en 2019.   
Si le choking a quittĂ© le rayon BDSM pour devenir une pratique anodine, c’est principalement du fait de l’industrie pornographique. DĂ©sormais presque aussi banalisĂ© qu’une fellation ou un missionnaire, le choking est apparu dans le monde du porno en 1976, dans le film « L’Empire des sens ». Il met en scĂšne un homme ayant des pulsions sexuelles violentes, qu’il assouvit avec Sada, une ancienne geisha Ă  son service. Attention spoiler : Kichizo termine émasculĂ©, son amante l’ayant prĂ©alablement Ă©tranglĂ© jusqu’à la mort.   
Sur les plateformes porno, ce sont aujourd’hui en trĂšs grande majoritĂ© les femmes qui se retrouvent en position de soumission. Quant Ă  la question du consentement, elle n’est jamais abordĂ©e. Dans l’article du « Guardian » citĂ© plus haut, Erika Lust, rĂ©alisatrice et productrice de films X fĂ©ministes, constatait, impuissante, la banalisation de la violence envers les femmes dans les films pornographiques. « Les gifles, le choking, le bĂąillonnement, et le fait de cracher sur sa partenaire sont devenus l’alpha et l’omega de n’importe quelle scĂšne porno, et pas dans un contexte BDSM », estimait-elle ainsi. « Ces pratiques sont prĂ©sentĂ©es comme Ă©tant des standards, alors qu’en rĂ©alitĂ©, il s’agit de niches », soulignait la SuĂ©doise.    
« On s’inscrit dans une sorte de surenchĂšre, d’autant que la consommation de pornographie a Ă©tĂ© accrue avec le confinement », constate de son cĂŽtĂ© Olivia Benhamou, l’auteure du livre « Jouir d’avoir mal ». Pour la psychologue et sexologue, « il y a quelque chose d’expĂ©rimental, un peu comme un rituel initiatique du jeu entre la vie et la mort, avec un besoin d’aller de plus en plus loin pour ressentir quelque chose ». Cela dĂ©note une envie de transgression, de vĂ©rifier jusqu’oĂč on peut aller en flirtant avec ses propres limites. « C’est Ă  la fois trĂšs infantile, trĂšs adolescent, et Ă  la fois porteur d’une illusion de toute puissance, car ces personnes ne se rendent pas compte qu’elles peuvent mourir », estime la psychothĂ©rapeute.   
« Pour moi, il n’y a pas de dangerosité », assĂšne Solenne, 25 ans. La jeune femme a dĂ©couvert le choking avec un ancien amant, et il fait dĂ©sormais « intĂ©gralement partie de [sa] sexualité ». S’il lui arrive d’avoir des rapports qui s’inscrivent plutĂŽt dans du « vanilla sex », la jeune femme explique avoir des orgasmes plus intenses lorsqu’elle se fait Ă©trangler.   
« Au dĂ©part, c’est un jeu avec le cou, qui est une zone Ă©rogĂšne importante pour moi, puis, plus je suis excitĂ©e, plus je demande à l’autre de serrer fort. L’intensitĂ© de la pression s’intensifie en fonction de l’endroit oĂč je me trouve dans l’acte sexuel », dĂ©crit-elle. D’aprĂšs la jeune femme, le manque d’air la rend « dĂ©sorientĂ©e et confuse ». Elle Ă©voque comme un dĂ©tachement de son propre corps, avec pour seul retour Ă  la rĂ©alitĂ© « les va-et-vient de [son] partenaire ». « Certains aiment aller trĂšs doucement, pour maximiser les sensations, d’autres vont bourriner pour dĂ©clencher quelque chose de trĂšs intense, d’animal. Tu te laisses partir, et tes sensations sont beaucoup plus dans le charnel, ce sont des choses qu’on ne retrouve pas sans le choking. Les sensations sont autre part, tes sens sont dĂ©cuplĂ©s et ton ressenti aussi », assure Solenne.   
Si ces expĂ©riences sensorielles sont majoritairement de la responsabilitĂ© du dominateur·rice, les dominé·es ont aussi du pouvoir, rappelle Olivia Benhamou. « Il y a une forme de maĂźtrise chez elles et chez eux, puisque ces personnes savent exactement ce qu’elles veulent. C’est trĂšs paradoxal, et trĂšs complexe », analyse-t-elle. Ce n’est d’ailleurs pas le seul aspect physique qui sĂ©duit les amateur·rice·s de choking. La symbolique du geste joue un rĂŽle primordial dans l’excitation et dans l’intensitĂ© du moment. « Je suis Ă  la merci du mec qui est au-dessus de moi, et c’est super excitant de se sentir petite chose. C’est toute l’atmosphĂšre : on se regarde dans les yeux, il y a quelque chose qui relĂšve du dĂ©fi, avec une grande tension sexuelle », confie Solenne. Les personnes ayant des pratiques sexuelles plus ou moins violentes « rĂ©ussissent Ă  obtenir une excitation sexuelle dans un contexte de peur et de danger », confirme Olivia Benhamou. D’aprĂšs la sexologue, leur dĂ©sir grimpe Ă  mesure qu’un climat de « violence s’instaure, mais avec une possibilitĂ© de maĂźtrise, un dĂ©but et une fin ».   
Solenne n’a-t-elle jamais paniquĂ©, ou senti les choses échapper Ă  son contrĂŽle ? « J’ai dĂ©jĂ  vĂ©cu des moments oĂč je me suis sentie partir, et ça m’est dĂ©jĂ  arrivĂ© qu’on me serre un peu trop fort. Dans ce cas, je bouge et je demande d’arrĂȘter », explique-t-elle, assurant n’avoir jamais eu peur. Devenu « un geste instinctif », la strangulation s’impose d’ailleurs dĂ©sormais souvent lors de ses rapports, qu’elle soit l’étranglĂ©e ou l’étrangleuse, et que le geste soit consenti, ou non.   
La jeune femme reconnait ainsi avoir Ă  plusieurs reprises Ă©tranglé un partenaire sans lui avoir demandĂ© son consentement, comme cela a Ă©tĂ© le cas lorsqu’elle a dĂ©couvert la pratique. « DĂšs que je me lĂąche lors d’un rapport, je porte la main au cou de mon partenaire, et plusieurs personnes les ont retirĂ©es. Ça peut Ă©tonner, je comprends ! Je sais que ça a gĂȘnĂ© certains de mes partenaires que je le fasse sans demander. C’est un geste spĂ©cial : on t’étrangle, on te coupe la respiration  », reconnaĂźt Solenne. Pour autant, elle place ce geste sur un mĂȘme pied d’égalitĂ© qu’une fessĂ©e, sans relevĂ© la dangerositĂ© potentielle d’une strangulation : « ce sont des gestes violents qui altĂšrent ton corps ».  
En parlant autour d’elle de ses expĂ©riences, elle dit avoir constaté que la pratique Ă©tait beaucoup plus rĂ©pandue qu’elle ne le pensait, notamment parmi ses amies ayant donc la vingtaine. « Beaucoup de gens le font. Ils n’en parlent pas forcĂ©ment parce qu’ils ont peur de passer pour des gens bizarres », assure Solenne.   
La pratique n’est pourtant pas sans risques et est devenue un vĂ©ritable sujet de prĂ©occupation en Suisse, au Royaume-Uni, au Canada, ou encore en Allemagne, notamment chez les professionnel·les de la santĂ©. En Allemagne, les chercheurs de l’universitĂ© de Francfort ont Ă©tudiĂ© en 2019 les « cas de dĂ©cĂšs non-naturels liĂ©s Ă  des activitĂ©s sexuelles ». Dans les rĂ©sultats publiĂ©s dans le « Journal of Sexual Medicine » , les lĂ©gistes lançaient ainsi l’alerte sur le chemsex (association de sexe et de drogues de synthĂšse), et sur le choking. « Étant donnĂ© que la compression du cou est une pratique souvent visible sur des sites pornographiques facilement accessibles, le personnel mĂ©dical se doit d’ĂȘtre informĂ© que ces activitĂ©s sont potentiellement mortelles. Un effet d’imitation pourrait concerner non seulement des adultes, mais Ă©galement des adolescents et de jeunes adultes inexpĂ©rimentĂ©s Ă  la recherche de sensations fortes. La prĂ©vention de ces dĂ©cĂšs pourrait ĂȘtre facilitĂ©e si on incluait cette thĂ©matique dans l’éducation sexuelle des jeunes, au mĂȘme titre que les maladies sexuellement transmissibles ou le risque de grossesse », concluaient les chercheurs, comme le rapportait un article du Monde .  
De son cĂŽtĂ©, la chercheuse et Ă©ducatrice sexuelle Debra Herbenick estime qu’il « n’existe aucune maniĂšre totalement sĂ©curitaire d’étrangler quelqu’un ». Elle explique avoir enquĂȘtĂ© auprĂšs de nombreux « mĂ©decins spĂ©cialistes de la sexualitĂ© positive », et assure qu’aucun d’entre eux « n’est Ă  l’aise avec l’idĂ©e d’affirmer qu’il existe une maniĂšre sĂ»re de s’étouffer, car trop de paramĂštres peuvent dĂ©raper, entraĂźnant des convulsions, des blessures au cou, ou la mort ».   
L’autre risque pour une personne qui serait victime de choking, ou qui consentirait malgrĂ© elle Ă  cette pratique, est un traumatisme psychologique durable, voire l’apparition d’un vaginisme. « On assiste parfois Ă  des cas d’auto-persuasion, dans une relation d’emprise. Les individus consentent Ă  des choses en pensant qu’ils en ont envie, pour maintenir une relation, quitte Ă  accepter des choses qu’ils ne veulent pas vraiment faire », dĂ©plore Olivia Benhamou. Cela aurait selon la sexologue des « consĂ©quences catastrophiques sur le plan psychique, sur l’image de soi, la dignitĂ© et le respect de soi-mĂȘme ». Elle dit ĂȘtre particuliĂšrement prĂ©occupĂ©e pour les jeunes, qui « n’ont pas de boussole » et n’ont pas toujours les capacitĂ©s Ă  « poser un cadre clair de leurs propres limites ».     
Si la pratique en soi est donc pointĂ©e du doigt, c’est aussi sa banalisation qui inquiĂšte, notamment au Royaume-Uni, oĂč a Ă©tĂ© créé dĂ©cembre 2018 le collectif « We Can’t Consent To This ». Son objectif est de dĂ©montrer que le choking et l’excuse du jeu sexuel qui a malencontreusement dĂ©rapé servent de plus en plus d’alibi aux hommes pour masquer des violences faites aux femmes.   
« Au Royaume-Uni, l’utilisation de cette pratique est minimisĂ©e Ă  tous les niveaux. Elle est prĂ©sentĂ©e comme une perte de contrĂŽle momentanĂ©e, mais les Ă©tranglements ne laissent pas toujours de blessures visibles, et des cas mortels terminent trop souvent avec des condamnations lĂ©gĂšres. On entend parler de “querelle d’amoureux“. Un arrĂȘt cardiaque peut survenir en quelques secondes lors d’un Ă©tranglement et les avocats utilisent ce prĂ©texte pour que la strangulation ne soit pas retenue comme la cause du dĂ©cĂšs », explique Susan Edwards, avocate et professeure de droit.    
Le danger du choking rĂ©siderait donc dans l’acte, mais aussi dans ce qu’il implique en matiĂšre d’impunitĂ©. D’une part, les femmes victimes de choking non-consenti n’osent pas toujours porter plainte car elles se disent qu’il s’agit d’une pratique comme une autre. D’autre part, les condamnations, mĂȘme en cas de mort, sont bien souvent minimes, l’homicide involontaire et la crise cardiaque étant retenus plutĂŽt que l’homicide volontaire par Ă©tranglement.   
Sur son site, le collectif « We Can’t Consent To This » dĂ©nonce les cas d’hommes accusĂ©s de violences ou de meurtre par strangulation ayant été acquittĂ©s, ou condamnĂ©s Ă  des peines de prison « lĂ©gĂšres ». En 2018, John Broadhurst était ainsi condamnĂ© Ă  trois ans de prison pour « homicide involontaire », aprĂšs avoir tuĂ© sa petite amie, Natalie Connolly. Sa dĂ©fense ? Un jeu sexuel qui a mal tournĂ©. La jeune Britannique de 26 ans souffrait pourtant de quarante blessures diffĂ©rentes, dont de graves traumatismes et une fracture de l’orbite. « Les gens pensaient qu’il s’agissait d’une stratĂ©gie de dĂ©fense isolĂ©e, mais je savais que ce n’était pas le cas. La normalisation de cette pratique fait que lorsqu’une femme meurt par strangulation, les juges et jurys pensent que “c’est comme ça que les gens font l’amour maintenant“, et les questions pertinentes ne sont pas toujours posĂ©es », dĂ©nonce Susan Edwards.   
Au Royaume-Uni, on estime qu’une femme est Ă©tranglĂ©e par son partenaire en moyenne toutes les deux semaines. Que cela se passe dans le cadre d’un rapport sexuel ou pas, la strangulation reste l’un des indicateurs majeurs pour un futur homicide, rappelait « The Guardian » dans son article.  
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