obsession phallique

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Cette journée instituée par "Ni pute ni soumise": manipulation ou réelle avancée du féminisme ? (D.R.)
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raphaelbenarrosh a posté le 26 novembre 2011 à 13h41
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"Les fĂ©ministes ne sont pas d'incorrigibles hystĂ©riques", se tue Ă  rĂ©pĂ©ter la psy Sophie Marinopoulos. Dommage, cette journĂ©e dĂ©crĂ©tĂ©e par l'association "Ni pute ni soumise" nous rappelle combien il est difficile d'ĂȘtre combative sans ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme "mal baisĂ©e". Car le mot est toujours prononcĂ© par nos amants bien qu'il date des annĂ©es MLF, lorsque nos aĂŻeules dĂ©filaient Ă  moitiĂ© nues dans les rues pour rĂ©clamer le droit Ă  disposition de leurs corps. 
Force est de constater que ces journées, qu'elles soient de la femme ou de la jupe, font de nous un produit consommable, à l'instar de la journée sans tabac (31 mai), sans viande (20 mars), sans voiture (22 septembre) ou du jeu vidéo célébré lui aussi en ce 25 novembre: des XX et non plus des femmes.
"En 1970, nous Ă©tions dans le combat, aujourd'hui nous devons ĂȘtre dans l'apaisement" , estime Sophie Marinopoulos, auteure du passionnant pamphlet, "Combattre les petites philosophies du pĂ©nis" (Ă©dition LLL). "Les prises de position agressives, les codes masculins n'ont plus lieu d'ĂȘtre, il faut conduire nos combats autrement. "
Ainsi ne voit-elle pas oĂč cette JournĂ©e de la jupe peut nous mener (sans compter qu'elle rate sa cible en occultant qu'aujourd'hui, accessoirement, c'est la JournĂ©e internationale de l'Ă©limination de la violence Ă  l'Ă©gard des femmes
), ni mĂȘme ce pseudo combat contre le madame-mademoiselle, encore moins l'idĂ©e de se dĂ©vĂȘtir au nom de la libertĂ© : "Prenez cette femme Ă©gyptienne qui a publiĂ© une photo d'elle nue sur son blog , ce qu'elle a fait va nous desservir et la met assurĂ©ment en danger, affirme cette psychanalyste. C'est par la parole que nous devons nous imposer, la nuditĂ© ne remplace pas un discours. Se dĂ©shabiller publiquement, en quoi cela nous rend-t-il Ă©gaux ? Au contraire, ça attise la violence." Et de considĂ©rer qu'"Il faut davantage de maturitĂ© pour combattre".
Sophie Marinopoulos ne fait pas dans le politiquement correct. Mais en matiĂšre de fĂ©minisme, elle aurait tort de se gĂȘner. Car, Ă©mergent aujourd'hui d'autres femmes comme elle qui mĂšnent un combat fĂ©minin en prise direct avec les hommes, nos compagnons, pas nos ennemis.
Voilà pourquoi cette Journée de la jupe est encore une fois à mettre au panier (à linge sale) car en quoi le fait d'aérer ses gambettes en plein mois de novembre relÚve-t-il de la gageure si ce n'est qu'on se gÚle les miches dehors ?
"C'est une vieille caricature que de dire que la féministe est contre les hommes, laide, mal fringuée, insatisfaite et pas féminine, assure Sophie Marinopoulos. Tout cela a évolué, heureusement. Les nouvelles féministes subliment la femme, à travers des photos, des films, des ouvrages, des sites internet. Nous n'avons plus besoin de fonctionner sur un mode transgressif, plus besoin de hurler, nous devons évoluer. Carton rouge pour ces femmes qui utilisent la caricature, pas leur intelligence!"
L'association "Ni pute ni soumise" pratique-t-elle la manipulation de la femme par la femme ? Ces dames qui prĂŽnent la jupette comme arme de libĂ©ration ne retombent-elles pas (Ă  leur insu ?) sous la domination masculine ? "Cette journĂ©e est une erreur, analyse Sophie Marinopoulos. Ces femmes se trompent et donnent au fĂ©minisme une tonalitĂ© dĂ©suĂšte. Nous avons trop ri des hommes qui pensent qu'ils portent leur masculinitĂ©, leur virilitĂ©, en dessous de la ceinture, alors ne soyons pas Ă  leur image, ne plaçons pas notre ĂȘtre sur ce mĂȘme niveau, et relevons un peu le nez. Et quoi ? "La jupe n'est pas plus phallique que le pĂ©nis et n'est en rien ce qui nous distingue."
Valérie Domain-Le Nouvel Observateur
Merci ! Enfin un discours féministe réfléchi, calme, efficace. Loin de l'hystérie féministe habituelle

Les différents stades de l'enfance selon Freud
Fred Érick Alexandre Jodoin-clĂ©ment
Le stade gĂ©ni tal se passe de l’adolescence Ă  l’ñge adulte. Les zones Ă©rogĂšnes sont les organes gĂ©nitaux comme c’était le cas au stade phallique. Le stade gĂ©nital correspond Ă  la pleine maturitĂ© psychosexuelle, dĂ©finie comme la capacitĂ© Ă  avoir des relations sexuelles. Durant le stade gĂ©nital, tous les Ă©lĂ©ments refoulĂ©s des stades prĂ©cĂ©dents refont surface. Selon Freud, pour atteindre une pleine maturitĂ© sexuelle, l’adolescent doit rĂ©gler les Ă©lĂ©ments refoulĂ©s, sinon s’ensuivent des problĂšmes tels que des nĂ©vroses, des psychoses, des troubles de comportement, des troubles psychologiques ou affectifs, etc.
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Freud part du principe que, pour lui, l’homme est un ĂȘtre sexuĂ©. Tout part de la sexualitĂ©. La sexualitĂ© est reliĂ©e au plaisir, ce qui est la base de l’homme selon lui. Freud sĂ©pare les stades de dĂ©veloppement en 5 catĂ©gories : le stade oral, le stade anal, le stade phallique, la pĂ©riode de latence et le stade gĂ©nital. De plus, si une personne reste fixĂ©e sur l’une ou l’autre des catĂ©gories, elle dĂ©veloppera certains problĂšmes Ă  l’ñge adulte.
Le stade oral se produit de la naissance jusqu’à 18 mois. La zone Ă©rogĂšne est la bouche. L’enfant tire du plaisir Ă  sucer et Ă  tĂ©ter. L’enfant portera tout ce qu’il touche Ă  sa bouche. Le sein et le biberon sont reprĂ©sentĂ©s comme des objets pulsionnels. Une fixation Ă  ce stade causerait souvent d'importantes dĂ©pendances Ă  l'Ăąge adulte, qu'il s'agisse de dĂ©pendances affectives ou bien de dĂ©pendances Ă  certaines substances.
Le stade anal se produit de 18 mois Ă  3 ans. Les zones Ă©rogĂšnes sont l’anus et le rectum. C’est le stade de l'ambivalence : l'objet, matiĂšre fĂ©cale, peut ĂȘtre gardĂ© ou donnĂ©. L’enfant s’aperçoit qu’il a le contrĂŽle sur son corps. Il peut choisir de garder ou d’expulser cette matiĂšre. C’est aussi Ă  cette pĂ©riode de vie que l’enfant apprend la propretĂ©. Un dĂ©sĂ©quilibre au stade anal crĂ©era une personnalitĂ© marquĂ©e par l’obsession du contrĂŽle de soi et des autres ou, au contraire, par l’absence totale de structure.
Le stade phallique se situe entre 3 et 6 ans. Les zones Ă©rogĂšnes sont les organes gĂ©nitaux. L’enfant dĂ©couvre qu’il est agrĂ©able de toucher ses propres organes gĂ©nitaux. De plus, l’enfant trouve un certain plaisir Ă  s’exhiber ou Ă  regarder les parties gĂ©nitales des autres. L’enfant apprend Ă  diffĂ©rencier les sexes. C’est Ă  ce stade qu’apparait le dĂ©sir de l’enfant de possĂ©der le parent du sexe opposĂ©. C’est lĂ  qu’arrive le complexe d’ƒdipe
           Le complexe d’ƒdipe : L’enfant veut possĂ©der le parent du sexe opposĂ©. Alors, le parent du mĂȘme sexe devient un rival. Il faut l’éliminer. Cependant, l’enfant aime et admire aussi le parent du mĂȘme sexe. Il se retrouve face Ă  un conflit important qu’il doit rĂ©gler. Si le complexe est bien rĂ©glĂ©, l’enfant va s’identifier au parent du mĂȘme sexe pour essayer d’établir plus tard une relation avec un partenaire du sexe opposĂ©. Donc, le rival devient la personne Ă  imite.
La pĂ©riode de latence se produit entre 6 et 11 ans. Dans cette pĂ©riode, il n’y a pas de zone Ă©rogĂšne particuliĂšre.
L’enfant construit une relation sociale Ă©largie. C’est l’ñge du « ce n’est pas ma faute». C’est un des mĂ©canismes tout Ă  fait normaux Ă  cet Ăąge. Tous les mĂ©canismes de dĂ©fense dĂ©forment la rĂ©alitĂ© de façon plus ou moins prononcĂ©e. Tout cela peut provoquer des personnalitĂ©s dĂ©viantes, refusant systĂ©matiquement l’épreuve de rĂ©alitĂ©.
W.OLDS, Sally et Diane E.PAPALIA, Psychologie du dĂ©veloppement humain, 6Ăšme Ă©dition (Traduction) , Édition Beauchemin, 2005, 399 pages.
Wikipédia, Stade oral, [En ligne], http://fr.wikipedia.org/wiki/Stade_oral , (Page consulté le 30 avril 2013).
Wikipédia, Stade anal, [En ligne], http://fr.wikipedia.org/wiki/Stade_anal , (Page consulté le 30 avril 2013).
Wikipédia, Stade phallique, [En ligne], https://fr.wikipedia.org/wiki/Stade_phallique , (Page consulté le 30 avril 2013).
Encyclopédia Universalis, Phase de latence, [En ligne], http://www.universalis.fr/encyclopedie/phase-de-latence/ , (Page consulté le 30 avril 2013)


Société Faits divers Politique Monde Santé Justice


Publié le 18/01/13 à 00h00
— Mis à jour le 18/01/13 à 12h49



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Société Pornographie: Dix idées préconçues passées au rayon X

DECRYPTAGE Le sociologue Mathieu Trachman les décortique pour «20 Minutes»...
Tout le monde -ou presque- a vu un film porno dans sa vie. Ou au moins un bout. Mais derriĂšre ces images de coĂŻts rĂ©glĂ©s au millimĂštre, et ces gros plans gynĂ©cologiques sur les anatomies d’actrices ou d’acteurs infatigables, que sait-on vraiment de cet univers? De ce monde parallĂšle, dans lequel on peut avoir un rapport sexuel avec son rĂ©parateur de photocopieuse, ou sa secrĂ©taire. Voire avec les deux en mĂȘme temps. Le sociologue Mathieu Trachman, qui publie Le travail pornographique , une enquĂȘte menĂ©e entre 2006 et 2010 sur l’industrie du X français, a aidĂ© 20 Minutes Ă  y voir plus clair, en dĂ©cryptant dix idĂ©es qui collent Ă  la peau du porno.
1-Faire du porno, c’est l’occasion de gagner plein de fric
«Non, cette image des profits colossaux, en France, est plutĂŽt fausse. Il faut d’ailleurs distinguer plusieurs segments. Il y a un petit groupe de producteurs installĂ©s, pour qui l’activitĂ© est rentable. Mais autour, il y en a un grand nombre pour qui ça ne l’est pas. Pour certains, ce n’est mĂȘme pas leur activitĂ© principale. Quant aux salaires des actrices et des acteurs, ils sont plus Ă©levĂ©s pour les premiĂšres. C'est parce que l’actrice fait la valeur d’un film. Mais cela conforte aussi l'idĂ©e que la sexualitĂ© fĂ©minine est un bien rare, qui ne doit pas se donner mais se vendre.»
2- Pour ĂȘtre «hardeur», il faut en avoir une grosse
«C’est plutĂŽt vrai, mais pas uniquement. Disons, qu’il y a une espĂšce d’obsession phallique, basĂ©e sur l’idĂ©e que la taille est synonyme de puissance et de jouissance assurĂ©e. Mais on ne peut pas rĂ©duire le travail d’un acteur Ă  la taille de sa bite. Ils peuvent dĂ©velopper une attitude, un style. Des acteurs comme Titof ou Rocco Siffredi se singularisent notamment par leur maniĂšre de jouer la sexualitĂ©.»
3- Les actrices pornos prennent toujours du plaisir
«Non. Leur travail c’est de jouer le plaisir ou la jouissance. Ce qui est dĂ©licat, c’est qu’elles doivent ensuite se mettre en scĂšne dans les interviews comme des femmes insatiables, certifier de la vĂ©ritĂ© de ce plaisir. C’est ce qu’elles peuvent dire dans Hot VidĂ©o , mais pas forcĂ©ment dans une interview pour LibĂ© . Mais attention, cela ne signifie pas pour autant qu’elles ne peuvent pas prendre du plaisir.»
4- Faire du porno, c’est un bon tremplin pour faire ensuite du cinĂ©ma
«Non, car avoir fait du porno reste un stigmate dans le monde du cinéma dit traditionnel. Et ce n'est pas une question de la compétence, mais bien une stigmatisation politique créée par la séparation entre le porno et le monde du cinéma, au milieu des années 70.»
5- Ceux qui font du porno, c’est tous des obsĂ©dĂ©s ou des salopes
«Non. J’ai essayĂ© de montrer dans mon livre qu’il s’agit de gens qui investissent la sexualitĂ© comme un terrain d’expĂ©rimentation. Ce n'est pas l'expression d'un dĂ©sir naturel, mais un rapport particulier Ă  la sexualitĂ©, constituĂ©e en domaine professionnel.»
6- Les acteurs pornos n’ont jamais de panne
«Eh bien si. L’acteur qui n’en a jamais, c’est un mythe propagĂ© par ceux qui sont dĂ©jĂ  dans le milieu. Cela sert Ă  le verrouiller, en excluant les dĂ©butants qui voudraient juste en profiter pour se faire des filles. En fait, il s’agit surtout de relever le droit d’entrĂ©e dans la profession.»
7- Les acteurs et actrices pornos sont plus des cascadeurs que des acteurs
«Plus maintenant, mais ils l’ont Ă©tĂ©. C’était une question de statut professionnel, qui s’est posĂ©e au dĂ©but de la pornographie dans les annĂ©es 70. Les acteurs «traditionnels» refusaient qu’ils aient le mĂȘme statut qu’eux et il fallait bien leur en trouver un. Maintenant, ils ont celui d’intermittent, pour ceux qui parviennent Ă  l’obtenir.»
8- Toutes les actrices sont bisexuelles
«Non. Mais toutes les actrices doivent effectivement tourner des scÚnes lesbiennes. Cela renvoie à des logiques plus générales du porno. Ces pratiques entre femmes prennent en effet sens devant le regard masculin, et ne renvoient pas nécessairement aux désirs des actrices. Les rapports entre hommes sont eux beaucoup plus problématiques, car ils contredisent une masculinité qu'ils tiennent à affirmer.»
«Ça dĂ©pend. Les hommes ont plus de chance de passer derriĂšre la camĂ©ra. Ce qui est beaucoup plus difficile pour les femmes. Plus gĂ©nĂ©ralement, je pense qu'il est difficile de parler de reconversion. Pas parce qu’on ne fait rien de cette expĂ©rience, mais parce que le transfert de compĂ©tences n'existe pas vraiment, notamment pour les femmes. Tout cela ne dĂ©pend pas de ce qu’on a fait dans le porno, mais du regard extĂ©rieur sur le porno.»
10- Regarder du porno, c’est pour les pervers
«Non, c’est une pratique ordinaire. Mais comme la pornographie reprĂ©sente de multiples fantasmes, certains sont en effet plus lĂ©gitimes que d'autres. En fait, le porno souffre encore de l’image que lui a collĂ© l’Etat depuis dans les annĂ©es 70. Une image nĂ©gative, de films pour pervers, alors qu'on peut le voir comme une technique ayant pour but d'exciter les spectateurs.»
Le travail pornographique, enquĂȘte sur la production de fantasmes , de Mathieu Trachman, aux Ă©ditions La DĂ©couverte SH / Genre & SexualitĂ©, 22 €, paru en janvier 2013.

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