mon ex que je defonce

mon ex que je defonce




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»

































mon ex que je defonce
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
DonnĂ©es de gĂ©olocalisation prĂ©cises et identification par analyse du terminal , Mesure d'audience , PublicitĂ©s et contenu personnalisĂ©s, mesure de performance des publicitĂ©s et du contenu, donnĂ©es d’audience et dĂ©veloppement de produit , Stocker et/ou accĂ©der Ă  des informations sur un terminal
Paramétrer les cookies Accepter et fermer


Se connecter







Rechercher sur le site











Elle


Psycho & Sexo


C’est mon histoire









Partager sur facebook









Partager sur twitter









Partager sur pinterest









Suivez-nous





Lien vers réseau social facebook








Lien vers réseau social twitter








Lien vers réseau social pinterest








Lien vers réseau social youtube








Lien vers réseau social instagram








Lien vers réseau social snapchat










Newsletter Psycho-Sexo
Je m'inscris


Contacts





Annonceurs




Abonnez-vous




La rédaction




Et depuis toujours, Elle s'efforce de vous proposer des articles de qualité, engagés et exclusifs. La publicité est un des moyens de nous soutenir. En acceptant ces cookies, vous nous permettez de maintenir cette exigence éditoriale.
Nos partenaires et nous utilisons des cookies ou technologies similaires pour stocker et accĂ©der Ă  des donnĂ©es personnelles vous concernant comme celles liĂ©es Ă  votre visite sur ce site. Nous pouvons Ă©galement utiliser des traceurs exemptĂ©s du recueil du consentement pour le dĂ©pĂŽt de cookies de mesure d’audience. Vous pouvez retirer votre consentement ou vous opposer aux traitements basĂ©s sur l'intĂ©rĂȘt lĂ©gitime Ă  tout moment en cliquant sur 'ParamĂ©trer' ou dans notre page 'DonnĂ©es personnelles et cookies' .
Quand Cédric entre dans sa vie, Elodie craque pour cet athlÚte ultra-sexy, sans imaginer que son désir va les mener trÚs loin, trop loin.
Cet article issu de l'édition abonnées vous est exceptionnellement offert. Découvrez nos offres d'abonnement
Lorsque j’ai quittĂ© CĂ©dric, j’ai menĂ© une vraie vie de nonne. Pendant des mois, mon plus grand plaisir a Ă©tĂ© de rester pelotonnĂ©e chez moi, avec ma tasse de thĂ©, mon pull informe et mes grosses chaussettes de ski. Je ne sortais plus de la maison sauf pour aller chercher ma fille Ă  l’école. Et Dieu merci ! je n’avais aucun homme dans ma vie. Dans mon appartement de Honfleur, je passais mon temps Ă  regarder la mer. Parfois, mĂȘme en plein hiver, j’ouvrais la fenĂȘtre et je prenais une grosse bouffĂ©e d’air frais. Enfin, j’arrivais Ă  respirer. Je n’avais plus cette angoisse du moment oĂč CĂ©dric allait rentrer Ă  la maison. Ce petit cliquetis dans la serrure avait fini par me terroriser. Je savais ce qu’il signifiait : dans l’heure qui suivait, je passerais Ă  la casserole. Mon ex Ă©tait un accro au sexe. Le genre Ă  ne pas vous laisser une journĂ©e de rĂ©pit. C’est bien simple : tous les soirs, il voulait faire l’amour. Et tous les matins aussi. Sept jours sur sept. En fait, il n’avait que ça en tĂȘte, tout le temps. Pendant toutes les annĂ©es que nous avons passĂ©es ensemble, son appĂ©tit sexuel n’a jamais faibli. Je l’excitais terriblement. Un vrai enfer.
Pourtant, ça avait trĂšs bien commencĂ© entre nous. Quand je l’ai rencontrĂ©, CĂ©dric m’avait tout de suite attirĂ©e. J’aimais sa taille haute, sa carrure ciselĂ©e par la pratique intensive de la natation et ses fossettes canailles. Tout son univers culturel me fascinait : j’admirais les disques pointus qu’il collectionnait, ses connaissances encyclopĂ©diques en Ă©sotĂ©risme. Il fourmillait d’idĂ©es, il avait des projets qui allaient dans tous les sens, et tout ce qu’il touchait se transformait en or. Il avait Ă©crit un roman en quelques semaines, qu’il avait rĂ©ussi Ă  faire publier. Et quand il s’était mis Ă  la photo, il avait trouvĂ© un agent immĂ©diatement. Sexuellement, on Ă©tait aussi complĂštement raccord. J’avais toujours considĂ©rĂ© que le sexe, c’était simple, ludique et lĂ©ger. A consommer sans modĂ©ration. Et CĂ©dric Ă©tait comme moi, toujours partant pour un cinq Ă  sept. Il habitait en Normandie, oĂč il avait dĂ©gotĂ© une vieille longĂšre dont il avait su faire un cocon sublime et lumineux. TrĂšs vite, j’ai dĂ©cidĂ© de quitter Paris pour venir m’installer avec lui. MĂȘme au fin fond de la campagne, pensais-je, la vie Ă  ses cĂŽtĂ©s s’annonçait trĂ©pidante.
Sans attaches ni amis lĂ -bas, nous passions tout notre temps ensemble. On travaillait tous les deux Ă  notre compte, de chez nous. J’écrivais mes articles, il bidouillait ses photos. Souvent, au milieu de la journĂ©e, il nous arrivait de monter dans la chambre pour faire des galipettes. Comme tous les nouveaux couples d’amoureux, on faisait l’amour tout le temps. CĂ©dric Ă©tait sans cesse en train de me rĂ©pĂ©ter que j’étais belle, qu’il Ă©tait fou de moi. Il m’avait mise sur un piĂ©destal. Au dĂ©but, c’était assez grisant. Mais, au fil des mois, c’est devenu un tantinet oppressant. Il avait un besoin de fusion permanent avec moi. Quand on ne faisait pas l’amour, il me sollicitait tout le temps, pour discuter, Ă©changer, dĂ©battre. Il aurait aimĂ© que nos esprits et nos corps soient en permanence connectĂ©s entre eux, Ă  tel point qu’il meublait tous nos silences, et venait systĂ©matiquement me chercher lorsque je m’étais volontairement mise Ă  l’écart. Il me voulait totalement Ă  lui. Physiquement, mentalement. Un vrai vorace.
Quand je montais me coucher avant lui, j’entendais une pointe de frayeur dans sa voix lorsqu’il me disait : « Tu ne t’endors pas, chĂ©rie, hein ? Surtout tu me prĂ©viens quand tu Ă©teins, que je n’arrive pas trop tard
 » Le jour de mon accouchement, il a mĂȘme demandĂ© aux sages-femmes de combien de temps j’aurais besoin pour me remettre. Devant leur rĂ©ponse, il a paniquĂ© : « Quoi ? Trois semaines ? Mais vous n’y pensez pas ! C’est beaucoup trop ! » Moi, sur le moment, je n’ai pas relevĂ©. Mais, petit Ă  petit, toutes ses rĂ©flexions ont mĂ»ri dans ma tĂȘte, et j’ai eu l’impression diffuse de manquer d’air, de m’ĂȘtre engagĂ©e dans une course sans fin. Il ne me laissait plus le temps d’avoir envie de lui, sans cesse il devançait mon dĂ©sir. J’ai fini par nĂ©gocier deux soirĂ©es off par semaine. Deux soirĂ©es pour moi, dans mon lit, avec mon bouquin et mon vieux pyjama, sans avoir ses mains baladeuses qui viennent me tripoter avec insistance sous la couette. Plusieurs fois, j’ai essayĂ© de lui dire que son dĂ©sir m’étouffait, qu’il ne laissait aucun espace pour le mien. Mais lui ne voyait pas le problĂšme. « Au contraire, me rĂ©pondait-il, tu devrais ĂȘtre heureuse d’ĂȘtre autant aimĂ©e. Et puis, mon amour, on n’est pas des colocataires non plus
 » Quand je me risquais Ă  lui rĂ©pondre que cela faisait tout de mĂȘme beaucoup, il me sortait l’argument massue : « Dites donc, mademoiselle la frigide, il faudrait peut-ĂȘtre songer Ă  consulter
 »
Nos discussions s’arrĂȘtaient gĂ©nĂ©ralement Ă  ce stade, parce que ses piques suffisaient Ă  me faire chanceler. Et s’il avait raison ? Et si je n’étais qu’une fille coincĂ©e et rabat-joie qui n’avait rien Ă  faire avec un type fringant comme lui ? Je n’allais quand mĂȘme pas le quitter pour ça. C’était le pĂšre de ma fille, et j’aimais sa personnalité  J’ai passĂ© des nuits Ă  tenter de me raisonner : « Ma petite Elodie, l’homme parfait n’existe pas. Il faut savoir faire des concessions dans un couple. » J’ai eu beau essayer de me convaincre, mon corps a fini par dire stop. Il Ă©tait Ă  bout de souffle, beaucoup trop sollicitĂ©. J’étais Ă©puisĂ©e, comme l’ont rĂ©vĂ©lĂ© mes examens de sang. Pendant des mois, j’ai passĂ© mon temps chez le mĂ©decin, pris des antibiotiques, changĂ© quatre fois de pilule, sans que l’on sache ce que j’avais prĂ©cisĂ©ment. Je n’ai compris que plus tard pourquoi je somatisais : parce que, pendant ce temps-lĂ , mon corps avait la paix.
Quand, Ă  force de traitements de cheval, j’ai fini par aller mieux, le rythme de ses sollicitations a repris. En pire. J’avais beau m’habiller comme un sac et Ă©viter ses regards, on aurait dit qu’il cherchait Ă  rattraper le temps perdu. Je redoutais son insatiable convoitise, je stressais Ă  l’idĂ©e de devoir m’allonger et de devoir prendre du plaisir, encore et encore. Cette situation Ă©tait devenue intenable. Maintenant, je ne le trouvais plus ni fringant ni charmant. Ses envies me dĂ©goĂ»taient. Je ne le voyais plus que comme un Ă©goĂŻste, un gosse attendant son biberon ou, pire, un animal, prĂȘt Ă  me sauter dessus Ă  la moindre occasion. J’en suis venue Ă  dĂ©tester le sexe, et Ă  le dĂ©tester, lui. J’avais atteint mes limites. Je devais partir. ImpĂ©rativement.
J’ai rapidement trouvĂ© cet appartement sur le port. Il Ă©tait tout petit, mais sa vue sur la mer m’a tout de suite plu. En m’y installant, j’étais bien dĂ©cidĂ©e Ă  y vivre seule avec ma fille pendant les dix prochaines annĂ©es de mon existence, au moins. Et puis, un jour, en revenant de l’école, j’ai rencontrĂ© Maxime. Il peignait les bateaux sur le port. J’ai tout de suite remarquĂ© son teint burinĂ© et son sourire franc. Quand je suis passĂ©e devant lui, il m’a regardĂ©e en me disant : « Comment allez-vous, aujourd’hui, jolie demoiselle ? » Tiens, CĂ©dric ne m’avait jamais posĂ© cette question. Avec Maxime, les choses sont devenues simples. J’ai retrouvĂ© du dĂ©sir, et je peux enfin l’exprimer. A nouveau, je prends du plaisir Ă  m’habiller, et j’aime le regard qu’il porte sur moi. Ça me rassure pas mal sur moi-mĂȘme : je ne suis ni frigide ni coincĂ©e, ça, c’est sĂ»r. Tous les deux, on fait l’amour quand ça nous chante, et, si je n’ai pas envie, il le comprend d’un geste. D’ailleurs, ça lui arrive Ă  lui aussi de temps en temps
 CĂ©dric a mis du temps Ă  rĂ©aliser que je ne reviendrais pas. Quand il l’a finalement admis, il m’a dit, dĂ©fait : « Au fond, tu as eu raison de partir. Avec tout ce que je t’ai fait subir
 » Enfin il avait compris. Mais beaucoup trop tard.
Vous avez envie de raconter votre histoire ? Nos journalistes peuvent recueillir votre tĂ©moignage. Écrivez-nous Ă  cmh@cmimedia.fr
« J’ai perdu 58 kilos en dix-huit mois »
« Je suis tombĂ©e amoureuse d’un acrobate »
Pourquoi le stress me donne-t-il mal Ă  l'estomac ?
Anne, 53 ans, sur les applis aprĂšs un divorce : « On a l'impression de se sentir vraiment vivante »
5 positions sexuelles pour une pénétration jouissive
Allo, Giulia ? « Comment se fait-il que je ne tombe jamais amoureuse ? »
Cette expression du visage permettrait de savoir si quelqu’un flirte avec vous
Fatigués par les applis de rencontres, ils draguent sur Google Docs
Le Kama-Sutra de la semaine : 7 positions pour faire grimper la température
C'est mon histoire : « Je cohabite avec ma pire ennemie »
Anne, 53 ans, sur les applis aprĂšs un divorce : « On a l'impression de se sentir vraiment vivante »
Fatigués par les applis de rencontres, ils draguent sur Google Docs
Intelligence prismatique : le test qui vous fait découvrir votre talent caché
Pourquoi le stress me donne-t-il mal Ă  l'estomac ?
Allo, Giulia ? « Comment se fait-il que je ne tombe jamais amoureuse ? »

Pour nous soutenir, acceptez les cookies
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
DonnĂ©es de gĂ©olocalisation prĂ©cises et identification par analyse du terminal , Essentiels , PublicitĂ©s et contenu personnalisĂ©s, mesure de performance des publicitĂ©s et du contenu, donnĂ©es d’audience et dĂ©veloppement de produit , Statistiques , Stocker et/ou accĂ©der Ă  des informations sur un terminal









Newsletters
L’Express
Nouvelles vies
Bien-ĂȘtre
Plaisirs







Styles


Bien-ĂȘtre







Publié le
21/04/2018 Ă  08:00







Styles


Bien-ĂȘtre




Pour suivre l’analyse et le dĂ©cryptage oĂč que vous soyez
Offre limitĂ©e. 2 mois pour 1€ sans engagement


Offrez gratuitement la lecture de cet article Ă  un proche :


L’article sera disponible Ă  la lecture pour votre bĂ©nĂ©ficiaire durant les 72h suivant l’envoi de ce formulaire, en cliquant sur le lien reçu par e-mail.


Assurez-vous que la personne Ă  laquelle vous offrez l’article concernĂ© accepte de communiquer son adresse e-mail Ă  L’Express.
Les informations renseignĂ©es dans ce formulaire sont destinĂ©es au Groupe L’Express pour l’envoi de l’article sĂ©lectionnĂ© Ă  votre proche, lequel sera informĂ© de votre identitĂ©. Pour toute information complĂ©mentaire, consulter notre Politique de protection des donnĂ©es .


Vous venez d’offrir à mail@mail.com l’article suivant :


Une erreur est survenue. Veuillez réessayer.

Lisez, comprenez, décidez : 1er mois offert. Je m'abonne sans engagement
Profitez du 1er mois offert, sans engagement

Offre DĂ©couverte​

1 er mois offert

sans engagement

La pénétration de l'homme par sa partenaire reste un "interdit" bien ancré.
"Mon ex a tellement adorĂ© que nous n'avons fait que ça pendant deux heures. Quand je l'ai recroisĂ© quelques mois plus tard, il m'en a tout de suite reparlĂ©, me disant qu'il y pensait tout le temps et que ça avait Ă©tĂ© fou ." NaĂ«lle, 29 ans, n'a pas oubliĂ© non plus cette fĂȘte d'Ă©tĂ© oĂč, aprĂšs plusieurs cocktails, ils ont remis le couvert pour une nuit, avec une expĂ©rience inĂ©dite : c'est elle qui l'a pĂ©nĂ©trĂ© avec ses doigts. 

Si l'on parle facilement aujourd'hui de tantrisme, polyamour ou sodomie, il est une pratique que l'on avoue moins facilement : la pénétration de l'homme par sa partenaire. Avec un gode, on appelle cela le "pegging" en anglais, "chevillage" en français. Avec des doigts, pas de jargon particulier. Mais dans tous les cas, la chorégraphie classique s'inverse : l'homme est en position passive, tandis que la femme a le contrÎle. Selon ses adeptes, cette pratique procure un plaisir physique pour l'un, trÚs psychologique pour l'autre. 

Friand de nouvelles expĂ©riences sexuelles, Hugo, 32 ans, assume totalement avoir explorĂ© l e plaisir anal de diverses façons . "Je ne me suis jamais enfermĂ© dans un cadre hĂ©tĂ©ronormĂ©, tĂ©moigne-t-il. J'ai dĂ©couvert ce plaisir seul et je n'ai pas eu de difficultĂ© Ă  le faire avec des filles. Ça demande un lĂącher-prise total et rend les orgasmes plus intenses. Pour moi, le sexe, c'est surtout une affaire de sensations." 

Souvent, les femmes initient la démarche pour donner plus de plaisir à des hommes réticents. Carine, 28 ans, voulait vérifier si ce mystérieux "point P", sorte de point G masculin existait vraiment. "J'étais avec mon copain depuis quatre ans. Lui était plutÎt macho. Je savais qu'il ne serait pas facile d'aborder la question. On est partis à la recherche de ce fameux point P, d'abord avec mes doigts, puis avec un gode. Au début il avait des difficultés avec l'idée de se faire pénétrer, c'était une question de fierté. Une fois qu'on a trouvé cette zone de plaisir, c'était comme s'il avait ouvert les yeux. Il était alors bien plus demandeur que moi." 

Romy aussi a menĂ© campagne longtemps avant que son copain ose sauter le cap. "À chaque fois que j'en parlais, il rejetait l'idĂ©e, en disant : 'jamais de la vie !'" Il aura fallu du temps et une bonne dose d'alcool pour que, de retour d'une soirĂ©e, le couple oublie ces sacro-saints principes. 

"J'ai commencĂ© par une fellation , puis je me suis approchĂ©e dĂ©licatement du pĂ©rinĂ©e avec ma main. J'ai vu qu'il adorait. Il s'est dĂ©tendu, pour n'ĂȘtre plus que dans son plaisir. Alors j'ai utilisĂ© du lubrifiant et mon gode vibrant, doucement. Il est entrĂ© en transe. Je le masturbais en mĂȘme temps rĂ©guliĂšrement. Il a joui plus intensĂ©ment que d'habitude. Le lendemain, il a feint de ne se rappeler de rien. Avant d'avouer qu'il avait ressenti une immense vague de plaisir. Jamais il n'avait connu ça." 

Romy pense que le fait de n'avoir pas entiÚrement délaissé le pénis de son partenaire a été "le secret" de sa réussite. De nombreux hommes sont rebutés à l'idée de la pénétration. Si le rapport ne se concentre pas sur leur pénis, ils se sentent dévirilisés. "Dans les représentations genrées, l'homme se définit autour du pénis, explique le sexologue Philippe Arlin, auteur de Sexuellement incorrect (éd. De la MartiniÚre). Quand les femmes sont curieuses du reste de leur anatomie, elles se font rappeler à l'ordre. Ne pas y faire référence pendant l'acte revient à prétendre qu'il n'en a pas et qu'il n'est pas vraiment un homme." 

Certains hommes trouvent en effet la pratique plus acceptable si elle n'empĂȘche pas leur partenaire de s'occuper de leur pĂ©nis. Comme pour rassurer le schĂ©ma stĂ©rĂ©otypĂ© de l'homme viril dominant. "La pratique avec les doigts peut se faire en mĂȘme temps que d'autres gĂąteries", rappelle la directrice de recherche CNRS au Cevipof, Janine Mossuz-Lavau, auteure de L'amour en France , une enquĂȘte Ă  paraĂźtre aux Ă©ditions de la MartiniĂšre. 

OphĂ©lie, 29 ans, ne peut envisager d'entrer en son partenaire qu'Ă  certaines conditions. "Ça ne me plairait pas de le pĂ©nĂ©trer sans que lui ne me pĂ©nĂštre. Sur l'utilisation d'un godemichĂ©, je ne dis pas 'non' d'office, mais tout dĂ©pend du contexte... Je ne me vois pas derriĂšre lui, Ă  quatre pattes, avec un gros truc rose Ă  paillettes." 

DerriĂšre cette peur de perdre son statut, se loge aussi la crainte d'ĂȘtre considĂ©rĂ© comme homosexuel. "L'homophobie, ce n'est pas la haine du 'pĂ©nĂ©trant', mais celle du passif, de 'l'enculĂ©', continue Philippe Arlin. On dĂ©teste les hommes qui ont un pĂ©nis et ne s'en servent pas. Avec le plaisir anal, il n'y a pas un homme qui ne va pas se poser des questions sur son homosexualitĂ©. Les femmes aussi pensent 'mon mari doit ĂȘtre un peu gay parce qu'il aime bien que je le tripote lĂ '. Nous restons enfermĂ©s dans des reprĂ©sentations qui restreignent
Site De Gros Seins
Recherche plan sur rouen
Compilation exhib uro debout en public

Report Page