mon ami était en train de prendre ma femme quand je suis arrivé, et on L'a pris les deux ensemble
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Si ça n'a pas été l'amour au premier regard à proprement parler parce que je la connaissais depuis trois mois au moment où c’est arrivé, je considère que c'est un coup de foudre. Parce que l'amour véritable m'a frappée du jour au lendemain. Un matin je me suis levée avec le sentiment que je ne pourrais plus jamais me passer d'elle. Merveilleux n'est-ce pas? Sauf que pour donner une chance à cet amour, il m’a fallu surmonter de nombreux obstacles, et pas des moindres. Elle était une femme, elle était ma stagiaire, et surtout... j’étais mariée.
Je venais de passer la moitié de ma vie avec l'homme que j'avais épousé deux ans plus tôt. À à peine 14 ans, il avait été l'autre coup de foudre, le premier. Jusqu'à ces événements, nous étions inséparables : il était le seul et l’unique, mon meilleur ami, mon coéquipier, mon confident. Pour beaucoup de personnes, nous incarnions un modèle de stabilité, de fidélité et d’amour. Le couple parfait.
Le jour où tout a basculé : le choc amoureux
Un vendredi matin du mois de mars, je me suis réveillée avec une boule au ventre, faisant l’effet d’un vide et d’un poids en même temps. C’était à la fois douloureux et délicieux. Je n’avais plus d’appétit. Je n’arrêtais pas de penser à elle… « Et merde! ». Je reconnaissais ce truc. Non, c’était impossible, je ne pouvais, je ne voulais pas l’admettre. J’angoissais à l’idée de ce que ça pouvait être. Les conséquences désastreuses que cela aurait sur ma petite vie bien rangée.
Incapable de porter seule ce poids plus longtemps, il fallait que j’en parle… Je décidais de me confier à une de mes collègues et amie. Et, à l’instar de la boule dans mon ventre, j’étais mi-excitée, mi-paniquée. J’avais du mal à prononcer ces mots, mais je lui lâchais un truc du genre : « Il se passe quelque chose avec S**. Je ne sais pas quoi, mais quand elle n’est pas là, elle me manque. » J’étais terrorisée par ce que je ressentais pour elle.
Eh oui... Cela faisait maintenant plusieurs semaines qu’on n’arrêtait pas de rire ensemble. Plus je passais du temps avec elle, plus j’aimais la personne que je découvrais. Elle était drôle, intelligente, fine, et d’une générosité sans limite. J’aimais son espièglerie et sa capacité à « donner » au sens large : donner de sa bonne humeur, donner de son temps pour parler, donner des mots sincères et bienveillants sans chichi ni détour. On se racontait nos vies parfois pendant des heures, je trouvais dans son parcours des résonances avec ma propre vie… La sienne n’avait pas toujours été facile, et malgré cela, elle irradiait la joie de vivre avec son rire bruyant et communicatif.
Depuis quelques jours maintenant, nous avions commencé un petit jeu de séduction. J’arrivais le matin au travail, elle m’attendait avec le petit déjeuner. Nous couvrions nos bureaux respectifs de post-it gentils, partagions nos playlists musicales. C’était la course à la petite attention. Je flirtais sans en avoir vraiment conscience, sans prendre garde. Parfois, il arrivait pourtant que je m’en rende compte, que je me dise « ça va trop loin » : quand elle venait à mon bureau par-derrière, qu’elle posait son nez sur ma tête et qu’elle respirait mes cheveux « parce qu’ils sentaient bon » . Ou la fois où j’ai eu l’envie irrépressible de lui faire un cadeau, je lui ai alors acheté, sans raison apparente, une coque pour son téléphone à l’effigie de son chanteur préféré. La vérité, c’est que je ne mettais aucune barrière : je n’en avais nul besoin, « c’est une fille! », je pensais bêtement. Ce qu’il se passait en réalité, c’est que je me mentais à moi-même pour ne pas avoir à repousser ces délicieux sentiments naissants. Petit à petit, je me surprenais à aller au boulot de bon cœur. Je commençais à ne plus autant apprécier les week-ends et à attendre le lundi avec impatience. Moi qui, encore un mois plus tôt, trépignait d’impatience que sonnent les 18h pour filer chez moi et retrouver ma maison, mon chien, mon mari et mon confort de propriétaire.
Désormais j’étais parcouru de frissons dès les premières notes du réveil. J’étais ravie de prendre le métro pour aller au bureau. Quand elle était là, je me sentais bien. Et surtout, ses absences me pesaient.
L’heure était grave. Je m’interdisais de ressentir ça : j’étais mariée, j’aimais ma vie, j’aimais mon mari, il n’était pas question que je perde mon monde, ce que j’aimais et que j’avais mis tant d’années à construire. Ma collègue me conseillait alors de lui parler pour mettre vite les choses au clair. Je décidais de la voir le soir même.
Je lui donnais rendez-vous à Montparnasse. Elle ne se doutait de rien. On était censées se faire un ciné. Dès que je l’ai vue débouler, mon cœur s’est accéléré, j’ai eu un sourire niais et lorsque je l’ai prise dans mes bras en guise de bonjour, j’ai respiré ses beaux cheveux bouclés… j’étais au paradis!
Je lui proposais un verre avant d’aller voir le film. On s’est assises à la terrasse d’une brasserie, il faisait particulièrement doux en ce soir de mars. J’étais super tendue, elle le semblait aussi. Je lui annonçais directement : « Tu sais qu’on n’ira pas au ciné ce soir ? » Elle éclatait de rire. « Pourquoi donc? », « Parce qu’il faut qu’on parle, il se passe un truc bizarre. »
J’ai tout de suite senti qu’un poids en elle se libérait, elle se mit à parler plusieurs minutes sans s’arrêter. Elle ressentait exactement la même chose! Je lui manquais quand on n’était pas ensemble, ses sentiments pour moi la surprenaient autant que moi : elle m’appréciait de plus en plus et ça ne ressemblait pas à de l’amitié, c’était beaucoup plus puissant. Je me livrais à mon tour, nous nous tenions les mains en tremblant. J’avais de nouveau 15 ans. J’étais émerveillée.
Quand je me remémore ce moment aujourd'hui, que je me concentre sur mes souvenirs, j’arrive encore à ressentir l’extase, l’euphorie béate de ces instants suspendus. Leur rareté dans une vie les rend encore plus délicieux. Comme une gourmandise que je m’accorde, je les repasse dans ma tête et je sens alors un peu la chaleur au ventre que j’avais ressentie ce soir-là. Des moments comme celui-ci, il y en aura d’autres. Et il y en aura des plus douloureux aussi.
Page d'accueil » Quel est le problème? » Mon ami m'a dit que mon petit ami était en train de tricher et j'aimerais vraiment qu'elle ne l'ait pas fait
Conseils utiles pour améliorer la relation entre un homme et une femme. Informations utiles sur l'amour. Comment flirter Comment comprendre votre femme ou votre homme.
Je n'ai pas découvert que mon petit ami me trompait jusqu'à ce que mon meilleur ami me le dise. Nous avons rompu et je suis content d'avoir appris ça, mais j'aurais quand même souhaité qu'elle ne soit pas celle qui me l'ait dit, voici pourquoi.
C'était embarrassant. Rien de plus mortifiant que d'apprendre de nouvelles informations sur votre vie sexuelle auprès d'une personne qui n'est pas votre partenaire, en particulier lorsque cette nouvelle information implique que vous soyez trompé. Quelle que soit la gentillesse de cette nouvelle, il sera quand même horrifiant de se rendre compte que quelqu'un en dehors de votre relation en sait plus que vous..
J'ai pu me convaincre que c'était une erreur. Comme je l'avais entendu d'un tiers, j'ai pu me dire qu'elle avait tort et qu'il n'avait pas triché. Ce doit juste être un manque de communication, non? J'ai pu rester trop longtemps dans mon déni, ce qui a rendu le processus pénible de gestion de la situation beaucoup plus difficile..
Je souhaite qu'elle soit allée le voir en premier. Si mon ami était d'abord allé voir mon petit ami pour lui dire qu'elle savait qu'il trichait et qu'il avait besoin de me le dire, je n'aurais pas eu l'impression que c'était elle qui me faisait mal et je n'aurais pas nié le contraire..
Je me sentais comme si j'étais humilié publiquement. Le fait qu'elle en ait eu connaissance avant moi a fait croire que j'étais le dernier à savoir. Je suis devenu paranoïaque à propos de tout le monde autour de moi, pensant qu'ils savaient tous et qu'ils me plaignaient et ne me disaient pas qu'ils savaient. J'ai passé des semaines à me cacher de tout le monde pour ne pas avoir à les voir désolé pour moi.
Cela a rendu la confrontation de mon petit ami beaucoup plus difficile. Si j'avais trompé mon copain ou s'il me l'avait dit, j'aurais pu régler la situation tout de suite. Mais parce que j'étais tellement choqué et capable de me convaincre que cela ne pouvait pas être vrai, je le laissai traîner et différer de le confronter pendant des jours. Quand j'ai fini par le faire, j'étais tellement épave que j'étais à peine cohérent.
Il était capable de jouer la carte de victime. Parce que je l'avais entendu d'une «rumeur», mon petit ami a pu nier qu'il avait triché et dit que c'était une erreur et que mon amie essayait juste de nous séparer parce qu'elle ne l'aimait pas. Ce n’est que lorsque je l’ai confronté avec des preuves précises qu’il a avoué sa culpabilité, mais le fait qu’il l’ait nié depuis le début lui a fait tellement plus mal que si j’avais découvert un autre moyen..
Une partie de moi souhaite que je n'ai jamais découvert. Oui, avec le recul, c’était une relation qui devait prendre fin. Quiconque triche et ment à ce sujet n'est pas digne d'être le partenaire de qui que ce soit. Mais en apprendre plus et affronter mon petit ami était si douloureux que parfois je me surprends à souhaiter pouvoir rester dans l'ignorance béate.
Si cela devait arriver, j'aurais aimé d'abord l'avoir entendu. Je n'ai aucun moyen de savoir si mon petit ami m'aurait dit qu'il avait triché, mais le fait que mon ami me l'ait dit d'abord m'a donné l'impression qu'il avait l'intention de garder cela secret pour toujours. S'il me l'avait dit lui-même, j'aurais pu envisager de lui pardonner, mais comme je devais l'entendre de quelqu'un d'autre, je me sentais encore plus trahi et je devais rompre avec lui..
Cela a rendu notre amitié maladroite. Il m'a fallu beaucoup de temps pour retrouver la proximité avec mon amie après qu'elle m'ait parlé de la triche de mon petit ami. D'une certaine manière, je me suis sentie trahie par elle aussi, simplement parce qu'elle était porteuse de mauvaises nouvelles. Je me sentais mal à l'aise de savoir qu'elle savait tellement de choses sur ma vie personnelle que je ne le savais pas et, pendant un petit moment, j'ai eu l'impression d'avoir perdu mon petit ami et mon meilleur ami le même jour..
Cela l'a amenée au milieu de notre rupture. Notre rupture était prévisible et mon ami s’y est entraîné. Mon petit ami l'a blâmée pour ma décision de mettre fin à la relation et elle a fini par être blessée par tout ce qui s'était passé, exactement comme je l'ai fait. Je me sentais coupable pour ce qu'elle avait vécu alors qu'elle essayait seulement d'être un bon ami, et il nous a fallu un moment pour réparer notre relation..
Elles aiment deux hommes et se sentent bien comme cela. Découvrez les histoires de ces femmes infidèles et heureuses qui ont témoigné pour nous.
Mariée depuis huit ans, cadre d'une grande banque, je suis heureuse en ménage, avec un enfant. Pourtant, l'impensable pour moi s'est passé lors d'une mission de trois semaines en province. J'avais l'habitude d'être courtisée. Mais lors de cette mission, c'est allé plus loin. Avec le patron de l'agence, on a entamé un jeu de séduction et je me suis prise au jeu. Il me reluquait et me complimentait et je m'en trouvais flattée. Il me racontait qu'il se masturbait en pensant à moi et m'invitait à porter des jupes plus courtes. J'étais excitée et le week-end intermédiaire, j'en ai même fait profiter mon mari. Inévitablement, nous avons fait l'amour avec le directeur de l'agence, le dernier jour de ma mission, dans son bureau. C'était unique et j'ai pris beaucoup de plaisir, une fois mes résistances levées.
Sur la route du retour, j'étais perplexe. Le plaisir que j'avais ressenti renforçait ma culpabilité. J'essayais de me rassurer en me disant que c'était un accident et je me préparais à retrouver ma vie sage et ordinaire d'épouse fidèle et comblée.
Je n'en ai pas parlé à mon mari. Par contre, j'ai ressenti le besoin, dès mon retour, de faire l'amour avec lui pour le sentir en moi, là ou un autre était passé. L'impact sur ma vie de couple est mitigé. Je me sens plus ouverte aux désirs de mon mari mais je dois avouer avec un peu de gêne que parfois, lors d'ébats avec mon mari, je repense à cette aventure et, pire, qu'il m'arrive de rêver d'une autre aventure.
Nous vivions séparément (500 km de distance) à cette époque depuis 2 ans et je commençais à "m'essouffler" ou à trop me faire à la distance. Nous étions ensemble depuis 4, 5 ans. Nous nous voyions tous les week-ends. Un collègue a commencé à s'intéresser à moi. Au début, il ne me plaisait pas et puis, ensuite, j'ai appris à le connaître. Je voulais juste qu'il devienne un très bon ami mais lui voulait plus. Et je n'ai pas réussi à stopper la machine, au contraire, j'ai ma part de responsabilité. J'ai trompé mon ami pendant 4 mois environ. Pour moi, il n'était pas question de le quitter. Cela s'est passé juste à la période où je devais venir le rejoindre pour qu'on commence une nouvelle vie à deux, dans le même appartement, alors je ne pouvais pas ne pas nous donner cette chance. Je savais que je regretterais de l'avoir quitté juste avant de le rejoindre. Et puis, je savais qu'au quotidien et sur le long terme la relation avec "mon amant" ne me conviendrait pas.
Je n'ai pas culpabilisé car je pense que c'est possible d'aimer plusieurs personnes à la fois, pour des raisons différentes. Le principal était que je ne fasse pas souffrir mon ami du fait de l'avoir trompé. Je ne lui ai donc jamais rien dit. Cette expérience extra conjugale m'a fait réfléchir sur mon couple, sur ce qui me manquait et ce que j'étais allée chercher chez quelqu'un d'autre. J'ai accepté que mon ami ne puisse pas forcément me donner ce que l'autre m'avait donné mais j'ai redécouvert également toutes les qualités que j'appréciais chez lui et que je ne voyais plus. Une fois que nous avons repris nos marques, j'ai été confortée dans mon choix et je l'ai encore plus aimé qu'avant, en sachant vraiment pourquoi je l'aimais et en en étant pleinement consciente tous les jours, et en sachant que ces raisons et ce que j'aimais chez lui, prévalait sur ce qu'il ne pouvait pas me donner. Aujourd'hui, 3 ans plus tard, je suis enceinte de notre 1er enfant.
Je suis avec mon mari depuis 21 ans et nous avons 2 enfants (13 ans de mariage). Je l'ai trompé parce que j'avais envie d'autre chose. Mon couple s'essoufflait et je devenais triste et morose.
Aujourd'hui, je suis épanouie et je vis très bien ma double histoire. Je suis avec l'autre personne depuis 3 ans et tout se passe bien. Mon mari n'est pas au courant. Chaque histoire est bien cadrée, dans un tiroir bien différent. Je revis et j'arrive à apporter tout ce bonheur à ma petite famille, c'est un plus pour tout le monde.
J'ai trompé mon copain avec un collègue de travail. On s'entendait bien au départ et on se voyait en ami puis un jour échange de bisous et le reste a suivi... J'étais avec mon copain depuis 5 ans quand c'est arrivé, là ça dure depuis 2 ans et demi et j'en arrive à un gros dilemme.
Je me suis éprise de mon amant, c'est assez fort entre nous... Mais j'ai peur d'être encore sur un petit nuage, de tout plaquer avec mon "mari" et de regretter ce choix par la suite... Gros dilemme.
Je suis avec mon mari depuis 16 ans, on a 13 ans de mariage, 4 enfants et tout va bien entre nous. Mais en juin 2006 je suis tombée amoureuse, malgré moi, d'un ami que je vois régulièrement chaque mois car nous avons une passion commune. Je n'ai jamais rien dit, j'ai refoulé ces sentiments et n'en ai jamais parlé... Jusqu'en juin 2008 où j'ai contacté l'intéressé. Il accepta de me voir en dehors de nos réunions pour que l'on puisse parler. Cela fera bientôt 6 mois que nous sommes ensemble. Et je vis très bien mes deux relations. L'une avec mon mari et mes enfants et certains week-ends avec mon amant où nous sommes qu'à deux et libres comme de j
Mon rêve est devenu réalité, je coincé ma bite à Paris Lincoln par tous ses trous, elle est très pute, mon dieu!
Depuis que J'étudie la médecine, je travaille sur un projet très important, mais aujourD'hui il est devenu plus important.
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