madame lit au lit

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madame lit au lit
Je me hais d’avoir cru que la vie était aussi facile et qu’il suffisait d’y croire pour que le bonheur nous appartienne.
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Comme vous le savez peut-être, à l’occasion de la sortie hier de Darker, la version de Christian du deuxième volet de Cinquante Nuances, ma copine Aurélie et moi même avons débuté une lecture croisée. En effet, on s’est dit que cela serait intéressant de comparer nos lectures, nos sensations et nos ressentis lors de ces lectures jumelles… Elle va donc rentrer dans le corps de Christian (petite chanceuse ) pendant que resterai (pour le moment) dans celui d’Ana… Pour lire son avis, c’est par ici : 9 juin, 10 juin , 11 juin , 12 juin, 13 juin !
Alors je ne m’en souvenais plus, mais ma lecture commence avec une préface particulièrement émouvante. Celle d’un souvenir de Christian enfant. Je me souviens encore la première fois que j’ai lu ce tome 2, j’avais été retournée par l’horreur qu’avait été son enfance. Cela m’a aidée à mieux le connaitre mais surtout à le comprendre. Jusqu’à présent on n’avait vu de lui que le côté Dominant du personnage, et j’ai eu le sentiment de découvrir une toute nouvelle facette qui va nous le rendre plus adorable.
Alors qu’Ana se retrouve seule dans son appartement à Seattle, elle se laisse envahir par la tristesse et la perte de son premier amour. Elle commence son nouveau travail, se plonge dans ses lectures alternant ainsi devoir et chagrin. Je dois dire qu’elle m’a beaucoup émue, et encore une fois même si elle peut paraître naïve, elle n’en reste pas moins terriblement blessée. J’ai beaucoup aimé ce passage où on la sent totalement au fond du trou, et on ne peut s’empêcher de se demander comment Christian vit la chose.
Lorsqu’elle reçoit son premier mail, je me souviens du sentiment d’excitation que j’ai alors ressenti, mais rien de comparable lorsque les retrouvailles se font vraiment. Je trouve que Christian a réellement changé, et c’est une enchantement de le sentir si fragile, si peu sûr de lui malgré son côté dominant toujours présent. Ana, elle aussi a beaucoup appris de cette rupture on la sent plus franche, plus honnête, elle mâche moins ses mots et ses pensées. Mon moment préféré de ces retrouvailles c’est évidemment le retour en voiture, on arrive à sentir l’électricité, l’excitation et toute l’émotion qui les entourent. Un pur plaisir !
Enfin, ils vont se revoir ! Après la douce attention de Christian pour Ana, ces cadeaux somptueux, la « presque » déclaration d’amour (d’ailleurs je vous conseille d’écouter les paroles de sa playlist des « chansons qui parlent pour lui »)… j’avais hâte de découvrir comment allait se dérouler le début de leur relation vanille. Et bien nous ne sommes pas déçus ! Tout un panel d’émotions traversent le jeune couple : colère, peur, passion, excitation… En l’espace d’une soirée nous nous retrouvons dans un ascenseur émotionnel qui nous questionne quant à la périclité de leur couple.
Encore une fois, Ana continue à nous étonner de par ses changements, elle n’hésite plus à se mettre en colère contre lui lorsqu’elle apprend qu’il s’immisce un peu trop dans sa vie professionnelle. Mais n’hésite pas non plus à jouer de ses charmes et à se laisser porter par la puissance de son désire. On la découvre joueuse et talentueuse dans ce domaine.
J’ai aussi pris beaucoup de plaisir de retrouver la scène de la cuisine, celle où Christian s’essaye à la découpe des poivrons , d’ailleurs l’histoire ne dit pas qui a terminé de préparer le sauté après… Je suis contente de les retrouver, de me re-familiariser avec les personnages, leurs expressions et les sentiments qu’ils dégagent. Christian s’ouvre un peu plus et c’est un régal !
Après avoir passé une soirée vraiment inédite dans l’appartement d’Ana, nous les retrouvons à l’aube d’une soirée qui marquera un tournant dans leur relation. Le samedi 11 juin, journée où nous allons en apprendre plus sur cette fameuse Leïla, rencontrer Mrs Robinson et découvrir plein de secrets sur le passé de Christian.
En relisant le début de cette journée, j’ai été frappée par le jeu du chat et de la souris entre les deux personnages. C’est à celui qui aura le dernier mot ! Ca en a été parfois énervant, est-ce parce que je connais l’histoire par coeur ? Sûrement ! Mais ce qui m’a percuté ce sont les sentiments qu’Ana éprouve pour lui. On pourrait croire qu’elle n’a aucune personnalité, qu’elle se laisse facilement influencer par lui. Or, si vous y regardez de plus près, vous vous rendez compte que les raisons pour lesquelles elle lui pardonne tout sont uniquement dûes aux sentiments profonds qu’elle nourrit pour lui. Elle ressent sa détresse et sa vulnérabilité.
Vient ensuite la scène du rouge à lèvre !!! Scène qui m’a toujours touchée et faite frissonner. Pour toute personne dotée d’une sensibilité, vous ne pourrez pas ne pas trouver touchante l’effort que Christian fait ici. Les révélations, les marques, la douleur psychologique que cela représente. Heureusement, la mise en scène charnelle désamorce la situation.
Arrive l’heure du bal. Ana qui se prépare dans « La chambre des soumises » : mais pourquoi ??? Ne sont-ils pas en couple après tout ? Bref, nous avons un réel aperçu de la richesse de Christian et de sa perversion avec la scène mythique des boules ! So HOT !!! Même en la connaissant par coeur j’ai été toute émoustillée !
Puis s’en suit le bal, plein de féérie, de richesse, le vrai bal de princesse dont tout le monde rêve. Ce qui nous frappe ici, c’est la différence de milieu social entre les personnages. Ana la fille simple se retrouve confrontée à la haute société, à leurs moeurs et à leurs habitudes. Pas évident de s’en sortir. Je pourrai parler pendant des heures de tout ce qui se passe ici, pendant cette soirée. Mais ce que nous devons retenir, se sont : les révélations faites par la famille de Christian qui nous en apprend beaucoup plus sur les horreurs qu’il a subit enfant, l’altercation avec Elena où même si elle aurait pu nous sembler sympathique dans le salon de coiffure apparait ici comme une vieille mégère, ou encore la rencontre avec l’adorable mais néanmoins réaliste Dr Flynn. Mais par dessus tout, c’est le véritable changement du comportement de Christian. Alors oui, il reste dominateur et légèrement caractériel, mais on sent aussi sa fébrilité et sa peur de perdre Ana, et ceci est tout à fait touchant ! Et que dire d’Ana et sa capacité à se battre comme une lionne pour protéger son amour et son histoire !!! A suivre…
Nous débutons cette journée avec la fin du bal masqué, le retour au Penthouse de Christian est très mouvementé, souvenez-vous, avec l’intrusion de Leila dans les lieux et le saccage qu’elle y met. J’ai toujours aimé cette scène car elle est une des premières qui nous offre un peu d’action dans cette romance. On entre dans une autre dimension que celle de la romance et cela fait du bien. Devant l’urgence de la situation et le danger, Christian emmène Ana dans un palace pour la nuit. Et que va t-il se passer dans cette suite ? Et bien pour moi ça sera LA scène que je retiendrai… LA déclaration que l’on attendait toutes ! La scène mythique de la douche où Christian déclare sa flamme (c’est évidemment ce passage que j’ai choisi pour la citation ) <3 Outre ce moment de tendresse, nous découvrons l’ampleur de la douleur que cela représente pour Christian de se laisser toucher.
Ana me fascine toujours autant de par sa capacité à aimer sans mesure. Il a vraiment de la chance d’être adulé de cette façon. Elle n’a aucune mauvaise pensée, alors certain, encore une fois, la trouveront naïve mais pas moi. C’est une jeune femme qui s’est laissée emporter par le magnétisme et l’amour profond qu’elle a pour cet homme. On peut la comprendre surtout avec le vécu catastrophique de sa mère avec les hommes, lui représente la stabilité même si cela veut dire céder un peu de sa liberté. Et pourtant elle va se battre bec et ongle pour ne rien lâcher et garder un tant soit peu d’autonomie.
Puis vient cette scène mythique de la partie de billard… So hot, so sexy… Où le « BDSM » léger refait surface entre eux mais à un niveau différent. Une confiance s’est installée entre eux mais l’on sent malgré tout la vulnérabilité de Christian.
Leur première journée de travail et de « normalité » depuis qu’ils se sont remis ensemble… même si cette journée va vite passer au niveau de la lecture, elle n’en restera pas moins éprouvante !
Nous aurons le droit à une démonstration de force du côté de Christian, son pouvoir et l’autorité qu’il compte exercer sur sa nouvelle petite amie. Heureusement pour nous, lectrices, Ana ne se laissera pas faire et montrera elle aussi le caractère qu’elle a toujours caché !
Mais ce que l’on retiendra de cette journée intense en émotions, c’est la visite de Mrs R à l’appartement de Christian. Cela nous a permis d’avoir un aperçu des relations qu’entretiennent ces anciens amants. Même si Ana a fait sa fouineuse en écoutant aux portes, nous lui en sommes reconnaissantes
Le beau temps semble revenu dans le couple de nos deux héros. Leurs disputes de la veille semblent être loin d’eux. Nous avons le droit à des déclarations enflammées au travers de mails inoubliables… Jusqu’à la fin de la journée !! Et là c’est le drame !! Ana se retrouve confrontée à Leila armée dans son propre appartement. Quel sang froid notre Ana ! Elle est impressionnante, elle, la fille niaise. Elle affronte avec un grand courage cette fille instable qui se présente à elle. Du moins jusqu’à l’arrivée de Christian…
A ce moment là leur bulle éclate et le passé de notre dominant refait surface. Ana entrevoit de manière un peu plus concrète le passé de l’homme qu’elle aime et lui renvoie ses propres peurs. Alors quand Christian la met dehors, c’est le chamboulement d’émotions et de questions. Nous comprenons tellement qu’elle puisse se renfermer sur elle et vouloir prendre ses distances. Et pourtant, elle nous étonne encore une fois en décidant d’affronter son homme dans toute sa folie.
Le retour d’Ana au Penthouse marque une étape importante de l’histoire et de leur relation. Nous avons le droit à une scène que personne n’a oublié, celle où le dominant devient soumis, où l’homme de pouvoir redevient petit garçon avec cette peur viscérale qu’on l’abandonne. Je me rappelle encore avoir lu et relu cette scène tant elle m’a touchée. Qui ne serait pas resté après ça ? Je les ai trouvé tellement touchants, tellement vrais ! J’en suis encore toute chose !
C’est avec toutes les révélations que Christian lui a fait qu’Ana commence cette journée. Et oui comment rester et faire comme si de rien n’était ? Cela fait beaucoup pour elle, son estime et son coeur ! Et cette demande en mariage en prime ! Wahou ! Et pourtant, elle n’est pas au bout de ses surprises, après l’ex-amante-dominante, l’ex-soumise, voici qui arrive le patron-fou-vicelard !
Et oui, Jack Hyde révèle enfin son véritable visage. Celui de l’homme qui n’aime pas que l’on se refuse à lui. Et pourtant en refusant d’aller à New York avec lui c’est bien ce qu’il s’est passé. De plus on sent bien que Jack est méfiant au sujet de Christian et de son implication dans l’annulation de ce voyage. J’ai vraiment eu peur pour la fragile Ana. Et pourtant encore une fois elle a su nous étonner. Elle a mis à terre un homme qui lui voulait du mal en un rien de temps. Elle est fascinante.
Lorsque Christian apprend cette altercation, il devient fou ! Littéralement. La colère s’empare de lui et ne le lâche plus. Jusqu’à ce qu’on les retrouve pour une scène interessante dans la chambre rouge. Nous laissons donc notre couple préféré, après une séance intime et intense de sexe. Que nous réserve le lendemain ?
Dans le cadre de notre Blog Tour, nous avons eu la chance de poser quelques questions à Louisa Méonis auteure de Qui a embrassé le Père Noël ? sorti le 6 décembre dernier aux éditions Harlequin HQN. Merci à Louisa pour sa gentillesse et sa patience… Maintenant place aux questions !
A quel moment avez-vous réalisé que vous souhaitiez devenir écrivaine ?
Je ne sais plus, je crois que dès que j’ai su lire et écrire j’ai été passionnée par les mots. Lorsque j’étais enfant, j’écrivais des petites histoires, surtout avec des enfants martyrisés . (je tiens à dire que j’ai eu une enfance d’une banalité affligeante et que non je n’ai pas été maltraitée !). J’étais une inconditionnelle des misérables, des malheurs de Sophie ou encore de David Copperfield. Ensuite en grandissant, j’ai arrêté d’écrire et d’y penser jusqu’à il y a quelques années avec Lola.
C’est plutôt qui ! Tout ça c’est de la faute d’Olivia, amie et ancienne collègue de travail. Elle m’a lancé un défi et je ne refuse jamais un défit ! 
Tes personnages féminins sont souvent « hors normes », je parle de leur formes. Pourquoi alors que bien souvent les auteurs utilisent des femmes plus « dans les normes » ?
J’écris avec des femmes normales et pas avec des mannequins pour string à paillettes ! Je lis énormément et je ne suis pas filiforme, donc à force de lire des histoires avec des femmes qui font un 36 et ont des jambes de girafe, ça m’a gonflé ! De plus aucun de mes héros n’a un sexe plus gros que celui d’un mammouth et ont des défauts comme tout le monde. Ce n’est pas parce que l’on écrit de la romance que ce doit être n’importe quoi.
The Mortal instruments de Cassandra Clare.
Je lis de tout à vrai dire, mais en résumé ça donne : « Et tes larmes te retenir » de Charlotte Orcival, « Nos chemins de travers » de Georgia Caldera, « La maison des morts » de Sarah Pinborough, des Kristan Higgins et beaucoup d’autres.
J’ai un très gros faible pour les romans &H, les petits Harlequin Azur (je suis une grande romantique) les romans Bragelonne, R aussi (d’ailleurs s’ils cherchent une bonne âme pour tester leurs nouveautés, je suis là ! Et j’attends toujours la suite de La Faucheuse au passage!)
Madame Lit souvent au lit… Et vous ?
Je lis partout et dans toutes les positions et je fais des bruitages aussi !
Un rêve : Je ferai en sorte de devenir réalité
Un dessert : Une tarte au citron meringué (mon dessert préféré)
Un livre : Les 4 filles du Docteur Marc de Louisa May Alcott (j’adore ce livre, il montre qu’il y a de l’espoir en toute chose)
Un film : Moulin Rouge (Ewan Mc Gregor !)
Une religion : Une super cool qui ferait tomber tout le monde d’accord
Un proverbe : Mieux vaut vivre un jour comme un lion que cent ans comme un mouton
Dans chacune des histoires de Louisa Méonis se cache un animal que l’on ne peut oublier… Parfois insolite, souvent drôle, ils font partie intégrante de l’histoire… Son nouveau roman ne fait pas exception avec Boris, découvrez-le en lisant son nouveau roman qui sort aujourd’hui !
Et si vous vous pliez au jeu et choisissiez celui qui vous a le plus marqué…
Freeskies, la marmotte dans La Parisienne et le Bûcheron
Raspoutine, le chat handicapé dans Lola, petite, grosse et exhibitionniste
Chewbacca, le chien dans Lola, petite, grosse et presque mariée
Quoi de mieux en cette période hivernale (car même si nous ne sommes pas officiellement en hiver les températures des jours derniers nous préparent bien aux périodes de fêtes) que de nous plonger dans une romance de Noël avec à la clef beaucoup d’humour, de légèreté et de l’amour choubidou ? Louisa Méonis nous entraine ici dans une intrigue plus qu’inquiétante : quelqu’un aurait embrassé le père Noël !!!
[amazon_link asins=’B077G8C99Z’ template=’ProductAd’ store=’madlit05-21′ marketplace=’FR’ link_id=’9d838d4d-d8f9-11e7-b1e3-1d2a7266e001′] Gwen, trentenaire, mère célibataire se voit devoir faire le point sur sa vie à l’aube des fêtes de fin d’année. Alors que son ex-mari semble vivre une idylle avec son nouvel amour, elle ne peut que constater les dégâts que le temps et les grossesses ont eu sur elle. Il est bien loin le temps où, adolescente, elle rêvait au grand amour avec Hugo, son amour de vacances, où sa carrière était encore prometteuse, où tout était encore possible. Devant sa pathétique vie sentimentale, ou l’absence totale de vie sentimentale, sa mère (et sa boss) et ses collègues lui arrangent un rendez-vous galant. La disparition totale de ses culottes confortables auraient dû lui mettre la puce à l’oreille quant à l’issue de ce rencard… CA-TAS-TRO-PHI-QUE !!! A moins que le destin ne s’en mêle et qu’il mette sur sa route, son amour passé, son amour de toujours…
Je plonge mon regard dans ses doux yeux couleur azur, et mon cœur s’emballe. À chacune de ses pulsations dans ma poitrine, à chacun de ses battements, je l’entends m’ordonner de ne pas le laisser partir.
– Je te fais la promesse qu’un jour, on se retrouvera, et que plus rien ne nous séparera, souffle-t-il, avant de me serrer si fort que je me demande comment je peux encore respirer.
Lorsqu’on lit un roman signé Louisa Méonis, on a la certitude d’être conquise par son histoire et ses personnages. Souvent travaillés avec beaucoup d’humour, ils n’en cachent pas moins des histoires de vie vraies auxquelles nous pouvons toutes nous identifier… Cela ne manquera pas ici !
Je suis tombée amoureuse de lui en douceur. Il s’est insinué dans mon cœur jusqu’à devenir aussi addictif qu’une drogue. J’ai fondu sous ses baisers et sombré sous ses caresses jusqu’à devenir complètement dépendante de son amour.
Gwen est une mère de famille qui, faute d’être parfaite, s’efforce de faire de son mieux. Et n’est-ce pas le cas de beaucoup de femmes ? Si vous aussi vous êtes mère de famille, travaillant pour s’en sortir, pour qui le quotidien n’est fait que de cris, de courses contre la montre et de beaucoup d’amour maternel alors cette nouvelle est faite pour vous ! Vous allez être conquise et touchée par le personnage de Gwen tant par son vécu que son amour propre blessé. Mais ne vous inquiétez pas vous allez aussi rire avec cette femme que rien ne semble finalement ébranler, qui se voit travailler pour l’entreprise de sa mère. D’ailleurs les rapports entre les deux femmes va vous faire glousser à plus d’un titre !
Hugo… Oh Mon Dieu ! Si le Dieu des anciens petits amis existe et qu’il nous envoie 20 ans après ce canon de beauté… Je suis prête à prier tous les saints du soir au matin ! Plus sérieusement, lorsque Gwen retrouve son amour de jeunesse et qu’elle constate que les dégâts du temps n’ont pas eu d’impact sur lui alors que sur elle ils semblent s’être acharner, nous ne pouvons qu’être encore plus sous le charme de cette histoire d’amour. Mais lorsque Hugo regarde les formes et les rondeurs de femme de celle qu’il a connu jadis avec tant d’appétit et de convoitise, on ne peut qu’être conquise pour toujours par le personnage ! On sent très vite que malgré son boulot passionnant et sa vie professionnelle trépidante, Hugo r
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Enfin il peut niquer une actrice porno en vrai