ma belle soeur en action

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Un soir, de retour du travail, Florence trouve son mari Ă  la maison, en compagnie d’une femme qu’elle connaĂźt bien. Une mĂ©saventure qui va changer sa vie.
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Je rentre chez moi en poussant la porte de la cuisine. Ma journĂ©e est finie. S’il y a un domaine oĂč ma vie n’est pas Ă©panouie, c’est bien au bureau. Mon travail administratif est d’un ennui sans bornes, mais je privilĂ©gie ma vie de famille plutĂŽt que ma reconversion professionnelle. Et je ne dois pas me plaindre, je l’ai, la maison de mes rĂȘves ! Il ne manque plus que la double-porte en moustiquaire pour que je me sente sur la route de Madison
 J’entends un bruit. Marc ? Le bruit s’amplifie. J’avance vers le salon. J’attrape un parapluie. Je devrais ressortir en courant, appeler la police, mais quelque chose m’attire plus avant. Je pousse la porte de la chambre des enfants, et je dĂ©couvre Marc, de face, assis sur le bureau d’Alice, le pantalon en accordĂ©on sur les chevilles, une femme posĂ©e sur lui, et qui me tourne le dos. Marc me voit et se pĂ©trifie. La femme enfouit sa tĂȘte dans son cou. Je ne bouge plus, mon sang est glacé  A chaque fois que je me gare devant notre nouvelle maison, je rends hommage Ă  la vie. J’ai un mari en or, le jardin que je voulais, j’ai mĂȘme rĂ©ussi Ă  y planter des fleurs qui poussent en hiver. Je laisse Ă  Marc notre place de parking. Il est si content d’actionner le bip pour garer sa voiture neuve puis de passer dans le salon de musique qu’il s’est fabriquĂ© dans la piĂšce attenante. On a travaillĂ© comme des fous pour en arriver lĂ . J’ai souvent pensĂ© Ă  tout ce qui pourrait brutalement briser notre bonheur, mais je n’ai jamais songĂ© que Marc pourrait me tromper . Nous faisons l’amour quasi quotidiennement. Il nous arrive encore, aprĂšs douze ans de liaison, de nous retrouver pour dĂ©jeuner. Beaucoup d’amis nous prennent pour arbitres de leurs querelles. On nous appelle couple modĂšle
 Abasourdie, je ferme les yeux, le parapluie Ă  la main. Il faudrait que je l’ouvre, qu’il me serve de paratonnerre. Je ne veux pas vivre cette fin du monde. Marc finit par me dire : « Ecoute, Florence, je vais t’expliquer ! » La situation est grotesque. Et je n’ai pas l’intention de bouger. Mes sens se remettent en alerte, et je reçois comme une bourrasque le parfum de la femme flottant vers moi : FĂ©minitĂ© du Bois, me dis-je, analysant le jus Ă©picĂ©. Et, aussitĂŽt, ce nom fait tilt. Il n’y en a qu’une qui le porte ! Christine, ma belle-sƓur, et c’est elle. La femme de Pierre, le frĂšre de Marc. Ma compagne des virĂ©es piscine, ma complice des soirĂ©es football. Je me sens comme une machine Ă  tuer. Marc repousse Christine qui se lĂšve, baisse sa jupe, rĂ©ajuste son chemisier. Marc remonte son pantalon et lance cette phrase impossible : « Je suis dĂ©solĂ©, je croyais que tu rentrerais tard. » Nous sommes tout de suite interrompus, les enfants reviennent de l’école. Je cours vers eux, Marc et Christine sur mes talons. « Salut Christine ! » hurlent Alice et Fred, se blottissant contre sa jupe, tu dĂźnes avec nous ?
Christine s’excuse de ne pas pouvoir rester. Comme un zombie, je m’occupe des enfants. Je passe du temps sur leurs devoirs, comme si je voulais savourer cette vie d’avant qui disparaĂźt. Chaque son est une derniĂšre fois. Le bruit du placard Ă  vaisselle, celui de la table que l’on rabat, du bois qui brĂ»le dans la cheminĂ©e, le pas de Marc qui rĂ©sonne quand il monte au premier Ă©tage. Fait-il signe Ă  Christine par la fenĂȘtre alors que sa voiture dĂ©marre ? Lui rĂ©pond-elle par un baiser ? Comme s’ils sentaient venir le froid, les enfants rejoignent leur chambre. Marc veut m’expliquer, cherche ses mots, mais je lui demande une seule chose : depuis combien de temps, elle et lui ? Alors, il me rĂ©pond un an. Cette façon qu’il a de balayer l’air de la main, comme si l’on parlait des voisins ! Se rend-il compte que tout est fini ! « Mais on Ă©tait heureux ? » lui dis-je, ne pouvant cacher ma faiblesse. « TrĂšs, me rĂ©pond-il, trĂšs heureux. » Comment comprendre une telle rĂ©ponse ? « Nous avions tout, n’est-ce pas ? » lui dis-je. « Absolument », me rĂ©pond-il. Je prĂ©fĂ©rerais qu’il me dise non, ça n’allait pas, qu’il m’explique la cause de ce drame, mais sa rĂ©ponse reste la mĂȘme : « Nous Ă©tions parfaitement heureux. » « Alors, tu voulais du danger ? » Il me rĂ©pond : « Non, j’étais bien, mais Christine est entrĂ©e dans le jeu. Et j’en suis tombĂ© amoureux. » Ce prĂ©nom prononcĂ© dans sa bouche me paraĂźt tellement injurieux que je dĂ©croche le tĂ©lĂ©phone. J’appelle Pierre, le frĂšre de Marc. Je lui raconte ce que je viens de voir. Marc prend sa tĂȘte entre ses mains. Je me dirige lentement vers notre chambre et je lui remplis une valise avant de le mettre Ă  la porte. « Donne-moi le bip », lui lançai-je. Pierre me rend visite aussitĂŽt. On boit des verres. Au bout de cinq, je lui dis : « On s’envoie en l’air ? » Il me rĂ©pond : « D’accord, essayons. » Nous nous embrassons les joues tristement. Nous nous sauvons en reculant. Je lui demande ce qu’on va devenir, mais ce « on » n’existe pas. Christine a pris quelques affaires et est partie de chez Pierre. « Actuellement, elle est certainement avec Marc, me dit-il. Nous deux, ça n’allait vraiment pas. » Mais Marc et moi, ça allait bien ! Les semaines passent.
Certains jours, Marc vient chercher les enfants. Je ne comprends pas que l’enfer soit lĂ , si proche du paradis d’avant. Ça fait dĂ©jĂ  six mois. « Christine et Marc vivent ensemble », m’annonce Pierre. Ils ont trouvĂ© un appartement dans le centre. Le centre ? Ce que Marc voulait fuir quand nous avons achetĂ© cette maison ? Savoir Marc dĂ©jĂ  installĂ© dans une nouvelle vie me rend folle. Imaginer que mes enfants passent leur week-end avec cette traĂźtresse me fait horreur. Comment n’ai-je rien vu Ă  ce point ? « Parce qu’il n’y avait rien Ă  voir », me dit Marc, un soir oĂč je lui pose la question. Il vient de ramener les enfants. Il reste assis dans sa voiture, vitre baissĂ©e. Si je veux que ma tĂȘte accĂšde au repos, j’ai besoin de le questionner. « Et si je n’avais rien dĂ©couvert ? » Je lui pose cette question idiote. Il dĂ©marre en guise de rĂ©ponse. Je pousse un cri. Les enfants me regardent depuis la fenĂȘtre de leur chambre. Ils sont serrĂ©s l’un contre l’autre. J’ai tellement mal depuis neuf mois. Douze ans d’amour total, ça compte. Les gens me prĂ©disent douze ans de gel. « Mais non, me rappelle ma meilleure amie, souviens-toi que tu sais planter des fleurs en hiver ! »
Je suis quand mĂȘme en arrĂȘt de travail. Mais je songe Ă  ma reconversion. Depuis trĂšs longtemps, j’ai envie d’apprendre le shiatsu et d’ouvrir mon salon de massage. Un aprĂšs-midi, oĂč, plongĂ©e sur Internet, je recherche une formation, on sonne Ă  la porte. C’est Christine, elle souhaite me parler. Je reste debout, lui barrant la porte. Elle a les yeux rouges, elle n’arrive pas Ă  ĂȘtre heureuse, elle a du mal Ă  assumer, elle me demande de lui pardonner . Je n’en crois pas mes oreilles. Si je ne lui pardonne pas, elle me promet de quitter Marc. J’éclate de rire. Mon rire est si violent qu’il ressemble au fracas d’une collection d’assiettes. C’est toute notre liste de mariage que je lui fais exploser en plein visage. Christine recule. Elle court vers la voiture. Je n’ai plus de mari, elle m’a volĂ© ma vie, mais je dĂ©couvre une force en moi. Je suis quelqu’un de droit, c’est ma chance. Pour mes enfants, pour moi. Quand je referme la porte de ma maison, j’entends le craquement du bois dans la cheminĂ©e, et je me dis que rien n’est parti. Juste lui. Moi, je suis lĂ , et je n’ai pas fini. J’entre dans le salon de musique de Marc. BientĂŽt, j’inaugurerai ici mon cabinet de shiatsu. Je ne sacrifierai plus ma vie professionnelle, j’ai un rĂȘve Ă  accomplir. Je vais repeindre la piĂšce en blanc et poser du bois sur le sol. Mon salon sera zen, je me jure de lui ressembler. Je veux que mes enfants continuent Ă  croire que le bonheur n’est pas un mensonge. Il peut repousser, comme les pensĂ©es.
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Bonjour a tous (e) Ă©tant donner que je suis tous nouveaux sur se site je me prĂ©sente en rĂ©sumer, KĂ©vin 25ans en couple depuis 10 ans avec un enfant de 3 ans 1/2 Voila je veux vous faire par de ce que je ressent pour ma belle soeur (la soeur de ma copine) de 3ans sa cadette, Ă  chaque fois que je la vois ou a chaque fois que l'on se croise, on a toujours cette espece d'Ă©tincelle qui se rallume c'est a dire on est toujour sur la mĂȘme longueur d'onde on a le mĂȘme sens de l'humour on a toujours une super compliciter ensemble, que meme avec ma copine je n'ai jamais eu, mon probleme aujourd'hui c'est que dĂ©s que je vais repensĂ© Ă  elle, ou bien la voire la croiser cette sensation reviens sans cesse 😡 j'etait a deux doigt de lui envoyer un SMS pour lui demander qu'on se voie tous les deux, 😒 mais je ne l'ai pas fais donc je suis ici pour avoir votre facon de pensĂ©e, que vous m'aidiez a Ă©claircir la chose
Ce sujet a été déplacé de la catégorie Acupuncture vers la categorie Affaires de couples par Ug Lee
Ah ouais... ces filles, ces personnes qui sont toujours d'accord, qui ont la mĂȘme sensibilitĂ©, le mĂȘme humour, les mĂȘmes dĂ©lires, un nombre astronomique de points communs avec vous... 😇 Moi je serais simplement tentĂ© de te dire que si ta belle sƓur est rĂ©ellement en train de te sĂ©duire, ça en dit long sur son rĂ©fĂ©rentiel de valeurs morales... Y'a dĂ©jĂ  celles ou ceux qui se veulent ami(e) sincĂšre mais qui se retrouvent sĂ©duit(e)s par le petit copain ou la petite copine de celui ou celle-ci et qui passent Ă  l'action sans que ça les gĂȘne... Et puis, un degrĂ© de toxicitĂ© plus haut, on a les nanas qui sĂ©duisent le mari ou l'ami de longue date de leur propre sƓur. Ai-je vraiment besoin de dire ce que tu as de mieux Ă  faire ?
Bonjour a tous (e) Ă©tant donner que je suis tous nouveaux sur se site je me prĂ©sente en rĂ©sumer, KĂ©vin 25ans en couple depuis 10 ans avec un enfant de 3 ans 1/2 Voila je veux vous faire par de ce que je ressent pour ma belle soeur (la soeur de ma copine) de 3ans sa cadette, Ă  chaque fois que je la vois ou a chaque fois que l'on se croise, on a toujours cette espece d'Ă©tincelle qui se rallume c'est a dire on est toujour sur la mĂȘme longueur d'onde on a le mĂȘme sens de l'humour on a toujours une super compliciter ensemble, que meme avec ma copine je n'ai jamais eu, mon probleme aujourd'hui c'est que dĂ©s que je vais repensĂ© Ă  elle, ou bien la voire la croiser cette sensation reviens sans cesse 😡 j'etait a deux doigt de lui envoyer un SMS pour lui demander qu'on se voie tous les deux, 😒 mais je ne l'ai pas fais donc je suis ici pour avoir votre facon de pensĂ©e, que vous m'aidiez a Ă©claircir la chose
Bonjour, Tu devrais garder Ă  l'esprit que cette personne, en plus d'ĂȘtre ta belle-soeur, Ă  forcĂ©ment plein de cordes Ă  son arc pour te sĂ©duire facilement : - sa jeunesse, sa fraicheur : elle n'a pas dix ans de vie commune et un enfant au compteur. Je ne dis pas que ton Ă©pouse est fanĂ©e, mais qu'en comparaison elle manque surement de ce petit plus, l'insouciance qui fait rayonner. - elle te connait bien, par sa soeur, donc c'est facile pour elle d'ĂȘtre complice ; mais c'est une complicitĂ© familiale, qui normalement interdit tout approche de type dĂ©sir ; - elle est proche de vous, vous vous voyez souvent, donc cela attise le fait qu'elle te plait. Je trouve que tu vas vite en besogne dans la sĂ©duction ; tu es facilement sĂ©duit par elle alors mĂȘme que votre proximitĂ© familiale devrait ĂȘtre un frein important Ă  ce dĂ©sir. Ne te laisse pas monter la tĂȘte pour rien, parceque quand mĂȘme , ce que tu dĂ©cris lĂ  (tu craques pour ta jeune belle-soeur), c'est pas anodin. Si un jour tu avais une belle-fille, ou mĂȘme une fille, et qu'elle Ă©tait belle, que vous soyiez complices, que vous passiez de bons moments et soyiez proches, te laisserais_tu entrainer Ă  avoir du dĂ©sir pour elle? Je pense que non, parce que la barriĂšre des liens familiaux ferait que dans ta tĂȘte, c'est "pas touche". Pour ta belle-soeur, c'est un peu pareil. Plutot que de t'enflammer pour ce qui te plait en elle, tu devrais plutot te concentrer sur ce qui te sĂ©pare d'elle.
Ah ouais... ces filles, ces personnes qui sont toujours d'accord, qui ont la mĂȘme sensibilitĂ©, le mĂȘme humour, les mĂȘmes dĂ©lires, un nombre astronomique de points communs avec vous... 😇 Moi je serais simplement tentĂ© de te dire que si ta belle sƓur est rĂ©ellement en train de te sĂ©duire, ça en dit long sur son rĂ©fĂ©rentiel de valeurs morales... Y'a dĂ©jĂ  celles ou ceux qui se veulent ami(e) sincĂšre mais qui se retrouvent sĂ©duit(e)s par le petit copain ou la petite copine de celui ou celle-ci et qui passent Ă  l'action sans que ça les gĂȘne... Et puis, un degrĂ© de toxicitĂ© plus haut, on a les nanas qui sĂ©duisent le mari ou l'ami de longue date de leur propre sƓur. Ai-je vraiment besoin de dire ce que tu as de mieux Ă  faire ?
🙏 🙏 et y a ceux qui sĂ©duisent aussi et ne passent jamais Ă  l'acte . Juste pour le bordel quoi.
Tu as une graine de salaud. Imagine un seul instant que tu aille au bout de tes désirs. Ca va ressembler a quoi cette histoire? Coucher avec la soeur de ta femme, la tante de ton enfant? N'importe quoi. Je comprends que tu aies ce désir, mais tu devrais l'étouffer plutÎt que le nourrir.
10 ans avant de t'en rendre compte... t'es pas un rapide toi.
Tenez vous le plus loin possible pour éviter les mégas problÚmes qui peuvent avoir des séquelles pendant trÚs longtemps. Bon courage.

Contacts :
La régie
La rédaction


Le groupe :
Groupe Unify
Groupe TF1

Amoureux de ma belle-soeur....suite...
Belle soeur envahissante, comment lui faire comprendre
Je suis attiré par ma belle soeur .
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ou le centre du monde. Voilà comment je pourrais la décrire. Depuis le début de ma relation avec mon copain, je trouve sa famille, sa mÚre et ses soeurs, envahissante. Elles se permettaient de faire faire tous leur petits travaux (dont toute la rénovation de sa maison pour ma belle-mÚre) par mon copain et gare s'il refusait. Elles commandaient au fils de mon copain en passant outre l'avis du papa. Bref, exactement ce que je ne supportes pas. Avec le temps et quelques actions et explications j'ai réussi à ce que ma belle-mÚre et une de ses soeurs se remettent à leur place et tout ce passe au mieux. La deuxiÚme soeur c'est autre chose. Elle habite à 200 km mais elle veut que l'on se déplace tout le temps. Pour Noël, nous avons donné les cadeaux de ses enfants en avance,
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