l'érotisme au creux de la bouche

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Réinventer le porno avec Olympe de G.

27 janvier 2022


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À mi-chemin entre érotisme et méditation, Voxxx est un podcast dédié à tous les plaisirs. Une proposition alternative et inclusive, où l'auditeur est invité “à se faire son propre film mental”.

“ À l’origine de Voxxx, il y avait l’idée de sortir la masturbation féminine du ghetto de la honte. Pour faire ça, on a décidé de rentrer par l’angle du bien-être et de la pleine conscience. C’est un peu comme la méditation guidée, mais avec la dimension de se reconnecter à son sexe et à sa sexualité ", introduit Olympe de G. , réalisatrice de porno féministe. 
Invitation au plaisir pour clitos audiophiles… Tu as mis tes écouteurs, installe toi bien… Je veux que tu sois à l’aise, je veux que tu puisses te détendre avec moi. Extrait sonore d'un épisode de Voxxx (Les Mains, par Lélé O) . 
La réalisatrice de porno féministe, Olympe de G., réinvente l’érotisme en fictions sonores. Guide pour se masturber, scénarios coquins, exploration du désir, voici ce que propose Voxxx, son podcast co-créé avec Lélé O, camgirl. 
Olympe se détache du porno mainstream pour représenter tous les sexes, tous les fantasmes, toutes les pratiques. 
“ On invite les gens à se faire leur propre film mental et ça, c’est génial parce que c’est la chose la plus inclusive possible, on peut vraiment fantasmer exactement ce qu’on veut. On réduit au maximum la description physique et on la pousse à l’extrême, parce qu’on pratique une écriture non-genrée. Par exemple, pour les parties du corps, on va parler de poitrine, ça marche pour tous les genres. Au lieu de toujours renvoyer les pénis au fait de devenir durs et les vulves au fait de mouiller, on va faire un joyeux mélange de tout ça, parce qu’en fait, on a tous des érections et de la lubrification. Il y a vraiment cet exercice d’écrire pour un public le plus large possible ", développe Olympe de G.. 
Une porte d’entrée à la découverte de son corps et de ses désirs. Le côté didactique entre érotisme et méditation transforme l’audio en support de fantasme et d’émancipation. 
“ On propose autre chose, c’est vraiment une proposition alternative. Le côté intime, il se recrée très facilement parce qu’on parle au creux de l’oreille des gens, c’est directement plus beaucoup intime que de regarder des gens qu’on connaît ni d’Eve ni d’Adam faire l’amour… Là il y a vraiment, dans ce qu’on fait pour Voxxx, quelqu’un s’adresse à toi et qui te parle dans les oreilles ", résume la réalisatrice. 
Le son, dans les films pornographiques, est très présent. Mais il est matérialisé par les bruits de gémissements qui paraissent parfois faux ou excessifs. 
Les bruits de peau, de bouche, de frottement sont souvent oubliés, mis de côté alors qu’ils ont, eux aussi, un potentiel érotique. 
“ On s’est beaucoup inspiré de l’ASMR qui utilise aussi des micros binauraux. On allait chercher des sons de peau, de poil. Par exemple, on simulait les masturbations avec simplement les mains et des produits type huiles, crèmes, etc. Juste le souffle de la voix de la personne qui enregistre fait beaucoup… J’avais créé un épisode où on se servait du binaural qui commençait par un massage, puis un deuxième Arsène (personnage récurrent du podcast) arrivait pour masser les pieds, puis un troisième et un quatrième. C’était un massage sexuel, comme si l’auditrice était en lévitation et qu’il y avait des Arsène qui flottaient autour d’elle pour la masser partout ", décrit Olympe de G..
Le son binaural étant spatialisé, il reproduit l’audition humaine et immerge l’auditeur dans une bulle de plaisir. 
“ C’est plus facile de lâcher prise. Rien que dans l’usage de l’audio, on peut avoir juste des écouteurs, on arrête d’être face à un écran. On se met où on veut, on écoute où on veut et ça favorise un vrai moment de détente, juste le fait de fermer les yeux et de se recentrer sur ses propres sensations ", ajoute-t-elle.
L’équipe de Voxxx veut aussi mettre en avant des gens et des sexualités dont on ne parle pas souvent : des femmes opérées après un cancer du sein, des handicapés, des neuroatypiques, des corps en surpoids, des hommes avec des troubles de l’érection. 
Un lieu sûr où chacun peut explorer, à son rythme, son corps et son plaisir. 
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Il a suffi d’un article de magazine ( Elle , 20 juillet 2012 ), et surtout d’un titre en couverture ( la pipe, ciment du couple ) pour prendre conscience de l’importance des réactions que pouvait déclencher l’un des derniers tabous du monde occidental libéré : le sexe oral et, en particulier, la fellation.
Il est vrai que le titre était provocateur, ou plutôt « racoleur » en cette période estivale où le sexe est dans toutes les bouches, sur toutes les langues. S’il a provoqué autant de réactions (articles de presse, chroniques, rebonds, Tweets…), ce n’est certainement pas seulement par les opinions entières, tranchées (Aïiiie !), idéologiques ou partisanes qu’il véhiculait, mais par l’objet même du délit (le sexe oral) dont on ne parle jamais.
Traditionnellement, et dans toutes les cultures, le sexe et la bouche ne devaient jamais se rencontrer, même dans les moments les plus intimes. Cet interdit était vraisemblablement lié à des mesures d’hygiène car dans ces deux extrémités les infections sont généralement fréquentes, la conjonction des orifices facilitant amplement la chose et, chemin faisant, la contamination inter-individuelle.
Notre sexualité occidentale est si librement parlée qu’on en oublie qu’elle est très récente et extra-ordinaire. Il n’est que de relire les témoignages d’anthropologues, le très beau Eros noir de Boris de Rachewiltz (1), pour par exemple découvrir, en milieu africain traditionnel de brousse, que la sexualité orale n’était jamais de mise, la femme ne touchant le sexe de son mari qu’après le coït et pour le laver. Autre lecture que chacun peut reprendre, celle du Kama-sutra, dans lequel à aucun moment fellation ni cunnilingus ne sont mentionnés ou préconisés. Tout au contraire, une note explique en parlant de la fellation qu’il s’agit d’une coutume de certaines populations du nord de l’Inde, qu’il ne faut cependant pas suivre.
La culture de l’oubli était manifeste dans nos sociétés contemporaines qui se démarquent ainsi la tradition. Mais il n’est que de se souvenir des comportements intimes dans le couple à seulement deux ou trois générations. Je peux ici affirmer avec assurance que la quasi-totalité de nos arrière-grands-mères n’ont jamais fait de fellation pour la simple raison… que c’était une pratique de bordel ! Or, qu’allaient chercher nos arrière-grands-pères dans les maisons closes si ce n’est l’excitation qui manquait dans leur couple. Car la sexualité s’accommode très mal de signaux d’amour qui ne sont pas très chauds. En l’absence d’excitation point de sexualité.
Mais Marthe Richard est passée par là et les bordels ont fermé en 1946. Dès lors, la seule solution était d’importer cette excitation au sein du couple, de déniaiser les mâles et les femelles trop attendris et d’érotiser le quotidien, seul moyen vraiment efficace d’entretenir le désir au long cours. C’est ce que nous observons aujourd’hui dans les couples les plus jeunes : la banalisation des pratiques corporelles et oro-génitales qui permettent d’entretenir l’excitation et d’avoir une intimité sexuelle tout au long de la vie, ce qui n’était pas le cas auparavant.
Il ne faut donc pas cracher dans la soupe et jeter le bébé avec l’eau du bain. La fellation comme tout autre pratique érotique est importante pour l’équilibre intime au long cours, il ne faut pas pour autant lancer des anathèmes et des fausses théories. L’article en cause pèche certainement par un manque de pédagogie, notamment en ce qui concerne la position féminine dans la fellation qui ne doit certainement pas être dévalorisante ni dévalorisée. Une règle s’impose en amour : « ne rien faire qui n’est pas désiré, rien non plus qui puisse gêner l’autre ». La fellation peut, et doit, être un facteur d’excitation pour la sexualité féminine, elle ne doit jamais être seulement pratiquée pour « faire plaisir au partenaire ». Il faut pour cela permettre aux femmes d’être actives pour et par elles-mêmes.
Il n’y a enfin aucun jugement de valeur dans le fait de ne pas pratiquer telle ou telle manœuvre érotique, aucun jugement pseudo-psychanalytique à l’instar de celui qui est avancé dans cet article, comme quoi « les femmes qui ne peuvent envisager le contact de leur bouche avec un pénis souffriraient d’immaturité psychoaffective ! ! ! » Non, elles ne sont pas immatures, elles ont à découvrir le chemin de leur érotisme qui ne sera jamais facilité par des jugements à l’emporte-pièce comme celui-ci.
1- B. de Rachewiltz, Eros noir . Le Terrain vague, 1993.
« Or, qu’allaient chercher nos arrière-grands-pères dans les maisons closes si ce n’est l’excitation qui manquait dans leur couple. » Cette phrase stupide résume à elle toute seule la vacuité de votre article. A vous lire, tous nos grands pères étaient des frustrés qui allaient voir des prostituées car leurs femmes étaient frigides. Pendant que vous y êtes, la société moderne (depuis 68 ?) a inventé le plaisir et a fait de nous des acteurs sexuels libres et épanouis ???? Si c’est votre thèse elle est caricaturale et facile. Les anciens ne savaient rien faire, bloqués dans leurs préjugés religieux et les modernes, nous, aurions tout compris dans la libération. Afin de nuancer votre point de vue que je caricature sans doute, je vous conseille ceci : http://www.lepoint.fr/culture/la-burqa-de-chair-ne-vaut-pas-mieux-que-la-burqa-de-tissu-19-07-2012-1487158_3.php Une analyse intéressante qui montre que notre société moderne a encore de gros progrès à faire pour que tout le monde se libère……vraiment.
Vous partez du postulat que la liberté est nécessairement un progrès vers lequel il faut aller…
Effectivement, et d’ailleurs on semble redécouvrir des pratiques bien anciennes, dont une partie est codée dans le Kama Sutra.
Sinon, devenir un esclave de ses émotions et de son sexe n’est pas forcément une libération, tout est dans l’état d’esprit avec lequel on pratique ce partage sensuel. Comme le dit COGNET, nos grand-pères et grand-mères n’étaient pas des frustrés pour autant. Les miens n’ont jamais eu besoin d’aller voir des prostituées pour être épanouis dans leur vie.
Hum… pas bien compris la derniere phrase : « Et, pour finir, attention au papillonmavirus ( https://fr.wikipedia.org/wiki/Papillomavirus_humain ). »
Merci du conseil mais comment fait on pour « faire attention »? abstinance? Puisque le PHV est un virus qui se transmet malgré le port du preservatif…
vaccination, hygiène corporelle et de vie
Le HPV n’est pas un virus qui se transmet malgré le port du préservatif. Ou plutôt soyons précis:
– Il existe des HPV qui contaminent la peau des régions anogénitales et qui provoquent des condylomes acuminés, c’est-à-dire des verrues anogénitales. Comme ces lésions cutanées ne sont pas forcément recouvertes par le préservatif, exemple en cas d’atteinte du pubis, elles peuvent se transmettre malgré son utilisation. Toutefois ces HPV ne sont pas oncogènes c’est-à-dire qu’ils n’entraînent pas de cancer du col de l’utérus.
– Il existe aussi des HPV qui contaminent les muqueuses : les mêmes que vu précédemment ainsi que d’autres qui sont spécifiques des muqueuses. Ce sont ces derniers qui sont la cause du cancer du col de l’utérus. Ces HPV oncogènes (16, 18) ne donnent pas de verrues cutanées anogénitales mais des néoplasies intraépithéliales du col de l’utérus ainsi que des lésions plus bénignes de la muqueuse génitale masculine. Toutes ces lésions sont recouvertes par le préservatif qui protège donc de ce type d’atteinte. Malheureusement les patients porteurs de ces virus oncogènes ignorent le plus souvent leur infection et n’utilisent pas de préservatifs d’où l’intérêt de la vaccination dirigée contre les HPV 16 et 18.
N’importe quoi… Les virus ne traversent pas le préservatif comme par magie, sinon le VIH aurait contaminé toute la planète…
http://www.cancerducol-infos.fr/rub_mere/espace-mere_q7.html (même si le site est probablement relié à un labo qui commercialise un vaccin contre le cancer du col).
Les préservatifs sont une précaution avisée contre une large variété d’infections sexuellement transmissibles. Toutefois, ils ne protègent pas entièrement contre les HPV, car la peau à proximité immédiate de la région génitale non couverte par le préservatif peut également porter les virus (3)
Contrairement au VIH qui se transmet par les fluides, à la manière des virus Herpès simplex 1 et 2 le contact avec une muqueuse/peau lésée suffit.
Mais bien entendu le port du préservatif est préconisée.
Ainsi que non pas l’abstinence mais le contrôle de sa sexualité, les risques d’exposition sont minimes si on a moins de 5 partenaires avant 20 ans . On peut choisir sa sexualité mais il faut aussi choisir ses partenaires.
Beaucoup oublient de se protéger pendant une fellation, l’on découvre de nouveaux cas de cancers oro-buccaux ayant pour origine le HPV .
Faites ce qui vous plaît mais sortez couverts.
On découvre de nouveaux cancers buccaux dus au virus HPV
Comment savez vous ce que faisaient nos grands parents ?Si ils ne nous en disent rien,c’est bien plutot par pudeur que par manque de spontanéité de leurs parts.
@ COGNET, il ne me semble pas que l’auteur de l’article méprise la sexualité de nos anciens, non plus qu’il pense que tous nos grands pères étaient des frustrés du sexe dans leur couple. Ce qui est certain et que vous semblez avoir du mal à accepter, c’est que nous vivons une période où la sexualité pour les 14 – 80 ans, toutes origines et milieux confondus, est bien moins frappée de tabou qu’elle ne l’a été auparavant. Demandez donc aux femmes actuellement âgées de plus de 70 ans si elles ont déjà mis le sexe d’un homme dans leur bouche, et comparez avec les 25-35 ans. Nous en reparlerons alors.
Je pense que vous n’avez pas tout compris.
Ca deviens lassant ces remarques bidons, ces personnes qui prennent à la lettre et « pour soit » ces simples expressions agrémentées d’humour.
Perso, je n’y vois rien de personnel pour mes grand-parents disparus que j’aime pourtant très fort.
Ce qu’il faut retenir de cet article, et plus précisément de cette « phrase » c’est tout simplement que cette société moderne qui est la notre, a fait tomber certains tabous de l’époque. Avant, dire ces choses c’était passer pour une « putain » (cf : l’image d’un bordel) ! Donc c’était « je pratique mais je ne dis rien » Croyez-vous qu’il n’y avais pas de telles pratiques après 1946 ? Si, mais le tabou était le frein, la femme frustrée n’en parlait pas, le temps à fait que la société à évoluée, c’est décomplexée. Pensez-vous que ce soit mauvais ?
La religion aussi y est pour beaucoup, toute façons elle est partout, dans tous les sujets et quoique nous fassions, la religions interdit ceci et cela… A chacun sa religion (ou pas) à chacun sa vie. Moi j’ai choisi d’être libre de mes faits et gestes.
Tout à fait d’accord ! Bonne réplique. Je me demande toujours pourquoi les gens s’abonnent (vu qu’il faut être abonné pour poster), beaucoup passent leur temps à casser les journaleux et/ou les articles. C’est étonnant !
Sur les blogs tout le monde peut commenter. C’est pourquoi le nombre de réactions sur les blogs est bien plus élevé que sur les articles du monde.fr.
De plus être abonné tout en critiquant est un comportement sain ; les journaux sont censés être des endroits de débats et de réflexion. Un journal n’inspirant aucune réaction – autre que sentimentale – ne serait alors qu’un tabloïd, un descriptif qui n’apporte pas la moindre valeur ajoutée à l’information.
D’ailleurs je trouve que lemonde.fr (sans les blogs) ressemble plus à une antenne AFP qu’au quotidien national qu’il prétend être.
Merci beaucoup, chers rédacteurs du Monde pour nous faire parvenir cet article sur l’Histoire de la pipe et du cuni à travers les ages… Parfois je me demande si je suis en train de lire un quotidien national de renom ou les idioties racoleuses de msn news. Pardon Mr. l’auteur, je comprends que la redaction doit vous mettre la pression pour trouver des titres accrocheurs, et malheureusement pour l’Information, sur le net il suffit d’inclure « zizi » ou « nichons » dans son titre pour recevoir un max de visites. J’ai pas mal d’idées pour de prochains articles avec un fort potentiel SEO …
Voila, tout est dit ! Je me demandais, au fond,
Un trio au bal masqué
Il goute au cul de la latina Lisa Lee
Salope bien roulée vend ses seins aux passants

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