l'infirmière qui me soigne de tout

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chronique-deonto Chronique déontologique
L’identification, une responsabilité professionnelle
Dans le cadre de l’exercice de sa profession, l’infirmière ou l'infirmier doit se présenter, s’identifier ou encore s’afficher sous le nom qui lui est propre, c’est-à-dire ses nom, prénom et titre professionnel.
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Accéder à la profession infirmière au Québec
Joanne Létourneau , syndique Myriam Brisson , directrice adjointe – déontologie et syndique adjointe Sandra Moretti , conseillère à la consultation déontologique
Des situations liées à l’identification des infirmières et infirmiers sont régulièrement portées à l’attention de la Direction, Bureau du syndic 1 . À titre d’exemple, des infirmières et infirmiers indiquent uniquement leur prénom pour promouvoir leurs services infirmiers dans les pharmacies et les cliniques privées ou encore dans le cadre d’une cyberpublicité. Des arguments au soutien d’une approche plus conviviale ou en lien avec des éléments de sécurité sont souvent invoqués. Quelques infirmières et infirmiers ne porteraient pas la carte d’identité, alors qu’elle est obligatoire dans les établissements du réseau de la santé. D’autres refuseraient de s’identifier, notamment par crainte de représailles de la part d’un client.
Rappelons que l’infirmière ou l'infirmier demeure toujours responsable des soins et des traitements qu’il prodigue aux clients. En aucun temps l’infirmière ou l'infirmier ne peut être exonéré de sa responsabilité civile ou limiter cette responsabilité dans l’exercice de sa profession. À cet égard, l’article 9 du Code de déontologie des infirmières et infirmiers prévoit que l’infirmière ou l'infirmier ne peut se dégager de sa responsabilité civile personnelle dans l’exercice de sa profession.
Les nom, prénom et titre professionnel permettent au client de savoir à qui il s’adresse et qui s’adresse à lui. Habituellement, la carte d’identité ou le porte-nom, que l’on place de façon à ce que l’information soit lisible par le client, sert à atteindre cet objectif. C’est l’occasion pour l’infirmière ou l'infirmier d’affirmer son identité professionnelle auprès du client et de lui expliquer son rôle. Ces informations facilitent la création et le maintien d’un lien de confiance essentiel à la relation professionnelle.
Par ailleurs, toute personne a le droit de s’assurer que son interlocuteur correspond bien à ce qu’il prétend être. Afin de vérifier si une personne détient une inscription valide au Tableau de l'OIIQ et peut exercer à titre d’infirmière ou d'infirmier au Québec, il est nécessaire de connaître son identité – ce qui permettra du même coup de savoir si elle a une limitation d’exercer des activités professionnelles. Enfin, il est important de souligner que les prénom et nom indiqués sur le porte-nom ou sur la carte d’identité se doivent d’être les mêmes que ceux déclarés à l’OIIQ.
En tout temps et quel que soit le secteur (public, privé ou pratique autonome) où est exercée la profession :
L’infirmière ou l'infirmier doit s’identifier et exercer la profession infirmière sous ses nom, prénom et titre professionnel;
Les lois et règlements qui régissent la profession sous-tendent des devoirs et obligations qui incombent à l’infirmière et à l'infirmier, dont celui de s’identifier sous ses nom et prénom, en y joignant son titre professionnel.
La profession infirmière est considérée parmi les professions les plus dignes de confiance par la population. Lors d’un récent sondage de Léger 2 , 95 % des répondants ont dit faire confiance à l’infirmière et à l'infirmier. À nous de maintenir ce haut degré de confiance dans nos rapports avec la clientèle; pour ce faire, une condition incontournable est notre identification adéquate en tant qu’infirmière et infirmier.
Version remaniée et mise à jour de la chronique (janvier 2019) intitulée Vous qui me soignez… Qui êtes-vous? L’identification, une responsabilité professionnelle, le 1 er juin 2011, publiée par Sylvie Truchon.
[1] COVID-19 : identification de l’infirmière et de l’infirmier (juin 2020), OIIQ [2] Léger. Baromètre des profession 2016: Quel est votre rang?, publié le 18 avril 2016 dans Blogues.


La Ruche > Exercer en libéral > Patientèle > Quelle est la relation entre l’infirmière et le patient ?

Quelle est la relation entre l’infirmière et le patient ?

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Lorsque vous devenez infirmière libérale, vous rentrez plus ou moins dans la vie privée de vos patients, soins à domicile obligent… Alors comment gérer ces relations qui sont « plus intimes » que dans un établissement public ? Quelles sont les limites à ne pas franchir ?
Voici un témoignage d’Elodie Manikowski, infirmière libérale depuis 15 ans et exerçant dans la région de Toulouse
La relation patient-soignant n’est jamais évidente. Elle se noue autour d’un soin tout en prenant soin… Nous, infirmières libérales, exerçons notre profession au domicile et non dans un établissement de santé, ce qui rend notre exercice un peu plus périlleux. Nous sommes amenées à entrer dans l’univers du patient, dans sa bulle, son intimité, son cadre de vie, son territoire ainsi que celui de sa famille parfois.Cette relation infirmière-patient doit rester professionnelle et être une alliance entre technicité, sécurité et respect de chacun. Il faut donc prendre quelques précautions afin de se protéger les uns et les autres de situations envahissantes, conflictuelles… mais chaque rencontre nous enrichit, nous amène de l’expérience, des leçons de vie.
Personnellement, je suis très sensible aux règles de politesse, et je ne commence jamais un soin sans avoir eu un « bonjour », tout comme je ne passe jamais un objet sans avoir entendu la formule magique « s’il vous plaît » et bien sûr « merci » est de rigueur. Rien que ces trois formules permettent souvent déjà de poser de bonnes bases de travail.
Il m’est arrivée d’avoir des patients, heureusement peu nombreux, qui, à mon arrivée, ne disaient pas bonjour, « attaquaient » d’emblée sur la façon dont je faisais le soin, râlaient sur l’horaire, posaient de multiples questions sans me laisser le temps de répondre, en faisant le jeu des questions-réponses.
Je les laisse s’exprimer et lorsque la tirade est terminée, je réitère mon « bonjour » et je pose la question « qu’est-ce qu’il vous arrive monsieur ? » Cela oblige la personne soignée à se repositionner et reprendre les choses calmement, avec parcimonie. Il faut savoir faire la sourde oreille pour pouvoir être mieux entendue ?
Les patients aiment comparer les pratiques des uns et des autres en terme de techniques de soins, et aussi les « petits bonus » qui ne font pas partie des soins mais que nous pouvons amener pour faciliter le quotidien des malades, et qui vont très souvent mettre en danger à la fois la prise en charge du patient et l’équilibre de fonctionnement de l’équipe de soins.
Je pense notamment au fait d’aller chercher le pain, sortir la poubelle, ou ouvrir les volets, actes non sanitaires, certes essentiels à la vie quotidienne, mais qu’il faut savoir faire avec parcimonie ! Des actes qui ne doivent pas être une obligation pour chacun des membres de l’équipe infirmière mais qui doivent être faits en fonction de chacun, selon ses possibilités, ses affinités, ses urgences?
Qui n’a pas entendu « eh bien votre collègue, elle au moins elle est gentille, elle est allée chercher le pain ! »
Comme souvent, les habitudes sont mauvaises. Le jour où il y a une urgence et que vous ne pouvez pas rendre ce service, vous serez considérée comme une « mauvaise infirmière »… C’est comme aussi prendre le café avec son patient. Bien que ce soit salutaire pour celui-ci et pour nous aussi, j’évite de le faire dans la prise en charge quotidienne, toujours chez la même personne, car un café non pris peut être vécu par le patient comme un drame !!
D’où l’importance d’avoir une cohésion d’équipe dans la prise en charge, de savoir définir son rôle, de ne pas tout faire, tout accepter à tout prix pour plaire ou pour gagner de la patientèle. Il faut trouver le juste milieu, ce qui n’est pas évident et ne s’apprend qu’au fil du temps sur le terrain.
Parfois, malgré de bonnes volontés il y a des désaccords. Il faut donc savoir passer le relais à d’autres professionnels de santé. Nous ne pouvons pas nous entendre avec tous et vice-versa !!
La plupart du temps, tout se passe bien avec les patients. Nous les accompagnons sur des tranches de vie plus ou moins longues, sur des prises en charge de quelques jours à quelques années, d’où une certaine appartenance au cercle intime parfois. Les échanges font partie intégrante du soin, qu’ils soient spécifiques à celui-ci ou totalement hors contexte : partager une recette de cuisine, échanger sur le jardinage? Porter un intérêt à quelqu’un est toujours très valorisant pour celui-ci, surtout pour les personnes âgées qui souvent vous disent « on ne sert plus à rien ». Pouvoir donner une astuce est un bonheur pour eux.
Les personnes âgées nous font redécouvrir l’Histoire, l’évolution des techniques, la modernisation ? Le domicile est un formidable lieu d’échange, beaucoup plus riche qu’en établissement car nous sommes à un moment donné, pour un temps donné, chez une personne, pour elle et elle seule. Nous ne sommes pas interrompues dans nos soins, comme nous pouvons le vivre en établissement de soins, par le voisin de chambrée qui pose des questions sur son état, ou par le médecin qui vient vous chercher pour faire la visite là maintenant tout de suite, toute affaire cessante !
C’est vrai qu’il ne faut pas oublier non plus le soutien, l’accompagnement de l’entourage social et familial du patient. Il faut que chacun (famille, voisins, amis, professionnels sociaux et de santé) trouve sa place (pour celui qui veut bien sûr en avoir une !) auprès du malade et à condition que celui-ci le veuille aussi. Le patient a toujours le dernier mot sur la réalisation ou non d’un soin; d’où la nécessité au départ de fixer à minima « des règles » pour chacun, après discussion et selon les possibilités…
Qui fait quoi ? Quand ? Quel est le matériel à mettre à notre disposition ? Quelle est notre amplitude horaire de passage ? Comment se coordonne-t-on ?
Ce sont toutes ces petites choses qui vont faire la qualité de la prise en charge. Si le kiné, l’aide-ménagère et l’infirmière arrivent en même temps, personne ne peut travailler correctement auprès de cette personne et nous, professionnels, avons ainsi des difficultés en terme de « timing » pour nos interventions suivantes.
Le patient est au centre du soin, la famille ou aidant naturel, quand ils sont présents, sont au centre de l’organisation. Ce sont eux qui vont être le relais des informations, vont assister la personne soignée tout au long du jour et de la nuit. Il faut savoir les accompagner, les guider, les soutenir et en prendre soin !
Je pense qu’il faut garder à l’esprit que chacun des intervenants est le soutien de l’autre afin de maintenir au domicile un patient dans les meilleures conditions possibles, d’améliorer sa qualité de vie, de respecter ses volontés.
Et vous, quelle est votre vision de la relation infirmière libérale-patient ? Quels sont les avantages dont vous pouvez bénéficier dans votre relation avec vos patients à domicile ? Quelles sont aussi les difficultés rencontrées ? Partagez vos expériences !
Le prochain sondage arrive bientôt ! Consultez les précédents en attendant ! 
Mon père, Alzheimer. les auxiliaires de vie passent le matin pour le change et la toilette, tout se passe très bien. Puis, l’infirmière libérale prend le relais le midi et le soir. Nous vivons un calvaire avec elle. Elle se mêle de tout. Elle engueule ma mère si le repas n’est pas près à 12H30, elle est toujours en train de faire des réflexions, elle parle à mon père des ses zigounettes quand elle lui fait la toilette et nous devons l’aider, elle n’y arrive pas toute seule.Nous ne trouvons personne d’autre. Je souffre de voir mon père et ma mère traités de la sorte. Quelle solution avons-nous sachant que je ne trouve personne d’autre. Quand nous avons à faire à son remplaçant ou sa remplaçante, tout se passe très bien. Nous sommes obligés de la subir. La situation est déjà très difficile et lourde et cette infirmière en rajoute. Merci pour vos réponses.
Article intéressant. En tant qu’infirmière libérale sur Cannes la Bocca je m’efforce au quotidien de renforcer ma relation avec les patients afin de les accompagner dans les soins tout en tentant de les rendre autonome
merci de votre temoignage c’etait interessant est enrichissant .nous somme une association liberale humanitaire qui a pour bute soin a domicile pour perssonne grabataire est infimier diplomer d’etat a l’hopitale .dans la vie d’infirmier il faut savoire entendre est respect le malade aves tout ces faute est accepter de sequand entent de lui de bon ou de mauvaix





Le syndrome de l’infirmière : je veux « guérir » mon mec…


Avez-vous entendu parler du syndrome de l’infirmière ? Un jour, QueenCamille a décidé de s’en débarrasser, comme on énuclée un kyste infectieux. Et elle en a eu assez de se traîner des mecs comme des boulets au pied.

Le syndrome de l'infirmière en vidéo





Amour



Couple




A mon sens, ce "syndrome" illustre bien le difficile dosage de prendre soin dans un couple. Quand on aime quelqu'un on prend soin de cette personne, on a des attentions, on se soutient. A quel moment, cela va trop loin?
Je pense que c'est à partir du moment ou on s'oublie dans la relation qu'in y a un problème, quand on est plus capable d'exprimer ses propres besoins car on est trop préoccupé par l'autre voire qu'on minimise ses propre soucis tout en oubliant que l'autre est aussi capable de nous soutenir et de prendre soin de nous.

Cela m'est arrivé il y a peu de temps, dans un contexte particulier. Je suis en couple depuis longtemps et mon amoureux a du faire face à une maladie chronique invalidante et très douloureuse (il se remet). Les choses on empiré petit à petit car je voulais prendre soin de lui, il me semblai vulnérable et je voulais le protéger. Je ne m'en suis pas rendue compte, bien que mes amies on essayé de me faire prendre du recul.
Malgrés la situation, j'ai décidé de faire un stage Erasmus de trois mois (il m'y a beaucoup encouragé). Au début je m'inquiétais tout le temps à propos de mon compagnon et il m'a fallut bien un mois pour réailiser qu'il se débrouillais très bien seul et que j'avais inconscienment entretenu une situation de dépendance en étant trop "au petits soins" (lui a reconnu s'être laissé prendre au rôle du patient).
Cette sépration nous a finalement permis de nous rendre compte de la situation et de retrouver notre indépendance, de reprendre notre relation sur des bases saines. Et je ne sais pas si il y a un lien de cause à effet, mais depuis il va beaucoup mieux.

Depuis cet épisode je fait attention à mes besoins et les exprimer clairement. A ne pas faire passer les besoins de mon compagnon avant les miens et surtout je garde en tête que je doit le laisser se démerder sauf s'il me demande de l'aide.

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