jeune fille qui decouvre leur sexualitee

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La sexualité est un domaine dans lequel il est facile de plonger et de se questionner. AprÚs avoir mis en lumiÚre les films qui racontent de belles histoires tout en offrant des scÚnes de sexe à en faire rougir les sites spécialisés, Netflix propose également des documentaires ou longs-métrages dans lesquels le sexe est un sujet d'étude. 
Exemple avec Liberated : The New Sexual Revolution , un documentaire qui donne la parole Ă  des jeunes en plein "spring break" (vacances de printemps) ou le film français Bang Gang , inspirĂ© d'un fait divers aux États-Unis oĂč des Ă©lĂšves de collĂšge et lycĂ©e prenaient part Ă  des orgies, leurs parents ignorant Ă©videmment tout de leurs activitĂ©s sexuelles. 
Parce que les scÚnes de sexe ne sont pas que des objets cinématographiques que l'on consomme et que l'on jette, découvrez notre sélection Netflix à voir et à revoir sans plus tarder. 
Le documentaire Liberated : The New Sexual Revolution suit une bande de jeunes garçons le temps de leur premier "spring break", ces vacances de printemps oĂč l'alcool coule Ă  flot et les fĂȘtes s'enchaĂźnent sans interruption. L'objectif pour eux : s'amuser et coucher. Le plus possible.
Ces garçons et ces filles livrent sans tabou devant la camĂ©ra leur vision du sexe et des relations mais aussi de l'amour, qui semble s'ĂȘtre perdu en cours de route et avec, parfois, la notion de consentement.
Le tout est éclairé par des réflexions d'universitaires et de spécialistes autour de la masculinité ou de la façon dont la pop culture et les publicités façonnent la sexualité des garçons. 
Écrit et rĂ©alisĂ© par Eva Husson, ce long-mĂ©trage raconte l'histoire d'un groupe de jeunes lycĂ©ens et lycĂ©ennes qui se retrouve lors des soirĂ©es "bang gang" , des orgies oĂč chacun est libre d'exprimer sa sexualitĂ© que les Ăąmes puritaines qualifieront de trĂšs "dĂ©bridĂ©e".  
Le rĂ©cit est inspirĂ© d'un fait divers aux États-Unis , racontĂ© en 1999 dans le documentaire The Lost Children of Rockdale County ("Les enfants perdus du comtĂ© de Rockdale"). Ces "soirĂ©es" concernaient environ 300 jeunes (dont certains et certaines Ă©taient ĂągĂ©es de seulement 12 ans) d'une petite ville prĂšs d'Atlanta qui avaient des relations entre eux. Eva Husson a a choisi de mettre en scĂšne un groupe plus restreint et a tentĂ© de comprendre ce qui a poussĂ© ces filles et garçons Ă  pousser les limites de leur sexualitĂ©. 
AprĂšs avoir chacune de leur cĂŽtĂ© tuĂ© un proche (son frĂšre et sa colocataire), Nadine et Manu se rencontrent par hasard dans une gare et dĂ©cident de prendre la route, ensemble, pour une vie loin des conventions sociales, rythmĂ©e par le sexe, la violence et le sang. Baise-moi , adaptĂ© du premier roman de Virginie Despentes , rĂ©alisĂ© par elle-mĂȘme et Coralie Trinh Thi, ne lĂ©sine pas sur les coups et sur les scĂšnes explicites oĂč les relations sexuelles ne sont pas simulĂ©es. Ce sont ces passages qui ont d'ailleurs valu au film de nombreuses critiques et une censure de la part du Conseil d'État ou de la ville d'Ontario au Canada. Si les qualitĂ©s cinĂ©matographiques du film laissent Ă  dĂ©sirer, Baise-moi pose de sĂ©rieuses rĂ©flexions sur la maniĂšre dont le sexe et la violence sont reprĂ©sentĂ©s Ă  l'Ă©cran . Pour un public averti. 
Prix de la mise en scĂšne au festival de Sundance en 2017 (et Ă  juste titre !), Beach Rats , est un long-mĂ©trage amĂ©ricain rĂ©alisĂ© par Eliza Hittman. Il raconte l'Ă©tĂ© de Frankie , un jeune homme qui tente d'Ă©chapper Ă  un lourd quotidien familial grĂące Ă  la dĂ©fonce et Ă  des frĂ©quentations peu recommandables. Alors qu'il cĂšde Ă  la pression sociĂ©tale en entretenant une relation avec une jeune femme de son Ăąge, Frankie flirte, en cachette, avec des hommes plus ĂągĂ©s sur Internet. Alors que Frankie n'arrive pas Ă  accepter son orientation sexuelle dans un monde qui Ă©rige la masculinitĂ© et l'hĂ©tĂ©rosexualitĂ© comme condition supĂ©rieure de l'homme, Beach Rats offre une parenthĂšse queer qui mĂ©rite d'ĂȘtre ajoutĂ©e Ă  votre liste de films ou de sĂ©ries Ă  voir sur Netflix. 

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Depuis 1997, l’Observatoire de la SantĂ© du Hainaut (OSH) mĂšne pĂ©riodiquement une vaste enquĂȘte Ă©pidĂ©miologique sur la santĂ© des jeunes scolarisĂ©s dans la province. Une partie de cette enquĂȘte est systĂ©matiquement consacrĂ©e Ă  une thĂ©matique spĂ©cifique : comme en 2002-2003, durant l’annĂ©e scolaire 2009-2010, c’est celle de la sexualitĂ© qui a Ă©tĂ© abordĂ©e avec quelque 1200 jeunes de 10 Ă  17 ans.
Il en ressort un instructif Ă©tat des lieux qui rĂ©vĂšle l’évolution des connaissances, des reprĂ©sentations et des pratiques mais aussi les lacunes persistantes sur certaines questions de sexualitĂ© et de contraception. Autant de constats qui doivent aider les professionnels – et notamment les points appuis EVRAS (Éducation Ă  la vie relationnelle, affective et sexuelle) – Ă  orienter leurs actions.
Les jeunes semblent de plus en plus exposĂ©s – y compris involontairement – Ă  la sexualitĂ© via internet. 29% d’entre eux dĂ©clarent ainsi avoir dĂ©jĂ  reçu des images ou des textes dĂ©rangeants Ă  caractĂšre sexuel via leur messagerie instantanĂ©e, leur e-mails ou spams, les publicitĂ©s, les pop-up ou les rĂ©seaux sociaux.
Si l’existence de ces abus via internet influence sans doute leur vision de la sexualitĂ© et rend plus que jamais nĂ©cessaire le dialogue avec les adultes, l’ñge moyen du premier rapport sexuel ne semble pas avoir Ă©tĂ© avancĂ© de maniĂšre significative au cours des derniĂšres annĂ©es. En 2010, environ 35% des jeunes de 16 ans dĂ©clarent avoir dĂ©jĂ  eu des rapports sexuels.
Si beaucoup de garçons estiment qu’il y a un Ăąge idĂ©al pour les premiĂšres relations sexuelles (15-16 ans), les filles Ă©voquent aussi bien une situation («quand on se sent prĂȘte» ou «le mariage») qu’un Ăąge (17-19 ans). Il est par ailleurs frappant de constater que les raisons sentimentales sont toujours considĂ©rĂ©es par les jeunes comme la meilleure raison de franchir le pas. Tant dans l’enquĂȘte de 2003 que de 2010, «l’amour» est Ă©voquĂ© par 90% des jeunes comme motif pour une premiĂšre relation sexuelle. 84% des jeunes sont par ailleurs d’accord avec l’affirmation «c’est important d’aimer quand on a une relation sexuelle» (94% des filles contre 76% des garçons).
53% des jeunes dĂ©clarent aussi que «faire l’amour est une preuve d’amour». Si la distinction entre sentiments et sexualitĂ© semble donc peu prĂ©sente chez les adolescents, il est nĂ©anmoins significatif que chez les filles de 16 ans, le fait d’ĂȘtre d’accord avec cette derniĂšre affirmation ait nettement diminuĂ© de 2003 Ă  2010, passant de 64% Ă  49%, ce qui rapproche leur perception de celle de leurs homologues masculins.
Neuf jeunes sur dix se disent par ailleurs capables de choisir leur partenaire et d’attendre de se sentir prĂȘts pour avoir une relation sexuelle. En revanche, seuls sept jeunes sur dix se disent capables de prendre l’initiative d’une relation sexuelle et d’exprimer comment le/la partenaire peut faire plaisir sexuellement (47% des filles et 62% des garçons), ce qui ne surprend pas outre mesure : on peut en effet prĂ©sager que certains jeunes mĂ©connaissent eux-mĂȘmes en partie ces maniĂšres et que cette connaissance s’accroĂźt avec l’expĂ©rience. On constate d’ailleurs que les jeunes de 16 ans qui ont dĂ©jĂ  eu des relations sexuelles Ă©prouvent bien plus de facilitĂ©s Ă  prendre l’initiative et Ă  exprimer leurs envies. De maniĂšre gĂ©nĂ©rale, les jeunes qui ont dĂ©jĂ  eu des relations sexuelles se perçoivent comme davantage capables de contrĂŽler les situations relatives Ă  leur sexualitĂ©, que ce soit par rapport aux pratiques elles-mĂȘmes, Ă  la contraception ou encore aux IST. Comme l’ont montrĂ© d’autres Ă©tudes sur les pratiques de santĂ© et enquĂȘtes sur la sexualitĂ© des jeunes, les croyances d’efficacitĂ© semblent donc prĂ©dire Ă  la fois les intentions et les comportements.
L’enquĂȘte montre par ailleurs que certains prĂ©jugĂ©s ont la vie dure, y compris parmi les jeunes. Ainsi, en 2010, seuls 70% des adolescents se disent d’accord avec l’affirmation «les homosexuels doivent ĂȘtre respectĂ©s comme les autres». Un chiffre qui n’a pas Ă©voluĂ© depuis 2003 ! Si les filles sont plus nombreuses Ă  se montrer d’accord, la filiĂšre d’enseignement semble ĂȘtre un autre facteur influençant de maniĂšre importante cette affirmation. Dans la filiĂšre de transition, 73% des garçons sont d’accord avec la nĂ©cessitĂ© de respecter les homosexuels contre seulement 48% dans la filiĂšre de qualification. Ce rejet de l’homosexualitĂ© peut bien sĂ»r ĂȘtre considĂ©rĂ© comme une attitude transitoire liĂ©e aux enjeux de la sexualitĂ© adolescente. NĂ©anmoins, lorsqu’on connaĂźt les difficultĂ©s que rencontrent certains jeunes homosexuels (et homosexuelles) dans leur milieu social et familial, ce chiffre doit Ă©galement alerter et inciter Ă  renforcer la sensibilisation.
Mis Ă  part «l’amour», d’autres facteurs comme l’attirance physique ou la curiositĂ© sont Ă©galement frĂ©quemment Ă©voquĂ©s par les jeunes comme motifs d’une premiĂšre relation sexuelle.
Beaucoup plus interpellant: certains jeunes citent le fait de «se sentir obligé» comme l’un de ces motifs. Si l’item ne fait pas la diffĂ©rence entre un acte criminel et une pression sociale et affective, il reste significatif qu’une fille sur cinq cite ce critĂšre parmi les «motivations» possibles contre un garçon sur dix. Dans le mĂȘme ordre d’idĂ©es, 20% des jeunes de 16 ans dĂ©clarent qu’ils pourraient accepter une relation sexuelle sans en avoir rĂ©ellement envie. La proportion de jeunes filles concernĂ©es a cependant significativement baissĂ© depuis 2003 et en particulier chez celles qui ont dĂ©jĂ  eu des relations sexuelles. Elle est cependant restĂ©e comparable – et mĂȘme en lĂ©gĂšre augmentation (de 31 Ă  33%) – chez les garçons.
Parmi les 71 garçons qui dĂ©clarent qu’ils pourraient accepter une relation sexuelle sans en avoir rĂ©ellement envie, 46 estiment qu’ils ont l’ñge de le faire, 38 disent qu’ils le feraient «pour essayer», 14 pour Ă©viter d’ĂȘtre abandonnĂ©s, 13 pour Ă©viter d’ĂȘtre critiquĂ©s, 8 citent comme raison «pourquoi pas ?» et 4 «pour le partenaire». La norme, la dĂ©pendance Ă  l’autre et le dĂ©sir d’acquĂ©rir de l’expĂ©rience s’entremĂȘlent donc souvent, rĂ©vĂ©lant la complexitĂ© mĂȘme de la notion d’«envie», en particulier dans la population adolescente. D’une maniĂšre gĂ©nĂ©rale, il est intĂ©ressant de constater que, si les Ă©tudes peinent Ă  mettre en Ă©vidence un lien entre la satisfaction corporelle et les comportements sexuels, les jeunes qui ne sont pas satisfaits de leur apparence citent plus frĂ©quemment l’obligation et le sentiment de «devoir faire comme les autres» comme motif d’un premier rapport sexuel.
La problĂ©matique de l’assertivitĂ© se traduit aussi dans le fait que 10% des 13 Ă  16 ans ne considĂšrent pas comme un abus le fait d’ĂȘtre obligĂ© Ă  un acte sexuel. Ce pourcentage atteint 13% pour le fait d’ĂȘtre
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