jeune babysitter qui suce papa

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Article mis à jour le 26/09/19 16:21


Caroline Michel

Mis à jour le 26/09/19 16:21



Emma, 23 ans, faisait du babysitting depuis quelques mois pour la famille P. quand elle a été invitée à la suivre en vacances afin de garder les enfants sur place. Durant ce séjour, elle s'est rapprochée de R., le père. Elle nous raconte le fantasme, le jeu de séduction et la culpabilité qu'elle a tenté d'apprivoiser.
Je connaissais déjà la famille P. avant de travailler pour elle. J'étais la baby-sitter des petits cousins, jusqu'au jour où les parents m'ont appelée pour que je m'occupe de leurs deux petites filles. J'ai accepté, tout se passait très bien. Ils étaient aux petits soins. Ils me commandaient à dîner et me raccompagnaient toujours chez moi après les soirées. Leur maison était dingue. La première fois que j'ai cherché les toilettes, je me suis perdue.
Je n'ai jamais trouvé R., le père de famille, particulièrement beau. Mais il avait un petit quelque chose, même un gros quelque chose. Sûrement son attitude de mec haut placé, toujours en costard. Une certaine classe, trente-cinq ans environ. J'aimais bien le regarder, pour le plaisir des yeux. Pour son bagout, son assurance.
L'été dernier, la famille au grand complet m'a proposé de partir deux semaines en Bretagne, dans la maison des grands-parents, les parents de la femme de R. Je serais la nounou de tous les enfants, quatre au total et je pourrais profiter de la mer. J'ai dit "oui" même si ce n'était pas cher payé.
Je me suis donc retrouvée dans un cadre magnifique, à surveiller les petits. R. et sa femme logeaient à trois cents mètres de la maison familiale. R. n'étant pas fan de ses beaux-parents, il préférait garder son indépendance, au moins pour la nuit.
Au début du séjour, je dînais avec les enfants puis vaquais à mes occupations. A quelques jours de mon départ, un soir, R., sa femme et les autres, m'ont invitée à profiter du dîner avec eux sur la terrasse. R. se la jouait "papa super cool". Il ne cessait de me faire des blagues, j'avais le sentiment d'être une échappatoire, puisque sa belle-famille le gonflait un peu. Il me servait du rosé sans relâche, me questionnait sur ma vie, mon petit ami rencontré récemment. A ce moment-là, je n'avais plus le sentiment d'être là pour bosser. C'était sympa de découvrir R. et de discuter avec tout le monde. Si sympa que le lendemain, R. a suggéré que je dîne encore avec eux tous.
C'est lors de cette deuxième soirée que tout a basculé. Tout le monde est parti se coucher à minuit. Il ne restait que R. et moi autour de la table. Il a commencé à me parler d'argent, une obsession chez lui. Il m'a dit que les grands-parents étaient radins, que je me faisais exploitée. Cette conversation a développé notre complicité et puisqu'il fallait fêter ça, R. est carrément passé au rhum. J'ai suivi.
R. est devenu tactile. C'était assez soudain. Il répétait "ahlala, Emma" en mettant sa main sur ma cuisse. Il me racontait les quatre cents coups de sa jeunesse. On sentait combien il ne voulait pas vieillir. A ce moment-là, j'ai tout vu venir, et en même temps, je n'y croyais pas. Qu'il se passe quelque chose me paraissait impossible, mais l'idée même d'une relation interdite avec lui éveillait mon imagination. Je me projetais et ce n'était pas désagréable. J'avais des papillons dans le ventre et je me sentais désirable. Et ça me suffisait.
Puis R. m'a entraînée un peu plus loin dans le jardin. Le motif : faire moins de bruit. En réalité, il espérait que l'on soit à l'abri des regards. R. était de plus en plus tactile. Il m'a embrassée, c'était soudain, surprenant. Nos bouches ne se décollaient plus, c'est devenu de plus en plus chaud entre nous. Je m'abandonnais à lui, à ses lèvres, à son odeur, mais je gardais un semblant de conscience. Je lui ai dit que ce n'était pas bien, mais je me laissais faire, parce que l'envie était puissante. Il rétorquait que c'était mal, oui, et il continuait. Nous essayions de nous dédouaner, mais nous ne résistions pas, ou plus. Nous nous sommes embrassés ainsi pendant une heure puis nous avons filé au lit, séparément.
Trente minutes plus tard, j'étais couchée. A peine allongée j'ai décidé de redescendre parler à R. Je voulais mettre les choses au clair. Je lui ai dit qu'il fallait tout oublier, que ce n'est pas correct. Il m'a embrassée, encore. Il avait envie de moi et je dois reconnaître que j'avais du mal à reculer. Ça a duré quelques secondes, puis je suis remontée discrètement. Il m'a envoyé un texto : "Bonne nuit nounou" avec un clin d'œil. Là, j'ai compris à quel point nous étions en plein fantasme, lui plus que moi.
Le lendemain matin, c'était étrange. Quand on se croisait dans la cuisine, il trébuchait sur moi par inadvertance pour me toucher. Il me collait aussi des mains aux fesses. Ce jeu m'excitait, me foutait des frissons, je ne savais jamais quand j'allais tomber sur lui dans la maison. Mais d'un autre côté, j'étais persuadée qu'il valait mieux en rester là. C'était beaucoup trop dangereux. En permanence, j'hésitais. Je ne savais pas s'il fallait avancer ou faire marche arrière, alors j'ai plutôt décidé de le laisser mener la barque.
La veille de mon départ, j'ai dîné chez lui et sa femme. A table, il a proposé que l'on sorte, devant sa femme. Je la revois encore nous encourager, elle qui dit " allez prendre un verre, profitez ". C'est terrible de penser à ça aujourd'hui. Néanmoins, sur le moment, ça m'a vraiment paru louche que sa femme nous pousse à ce point. J'ai imaginé un contrat entre eux, du genre " couche avec la nounou, au moins je la connais, ça réveillera notre vie sexuelle "… Mais non, j'ai la certitude désormais qu'il a bel et bien trompé sa femme.
Nous nous sommes rendus au port, nous avons bu des verres, l'ambiance était festive. Après ça, on a marché sur la plage. Au bord, il y avait une petite cabane abandonnée. A peine avons-nous mis les pieds à l'intérieur que R. m'a sauté dessus. Nous avons fait l'amour. Je savais déjà que c'était une connerie, mais je n'attendais que ça. Si j'avais voulu dire " non ", je l'aurais fait avant de sortir.
Niveau plaisir, je m'attendais à quelque chose de plus fort. C'était un peu plan-plan. J'avais le sentiment de coucher avec un homme sans expérience. Je m'attendais à davantage de virilité, de poigne. Finalement, il a réalisé son fantasme de la nounou , de la petite jeune, mais moi je n'ai pas tant assouvi mon fantasme du mec plus âgé. Après, peu importe, j'ai quand même aimé, parce que je ne cherchais pas un bon coup, mais plutôt une situation excitante, improbable, qui ne se présente pas dix fois dans une vie.
Après l'amour, il a voulu repartir très vite de peur d'être suspecté. Je n'ai pas trouvé ça cool. Il avait tiré son coup et ciao. Je l'ai traité de salopard, de mec qui se fout de sa femme. J'étais en colère, mais sans doute contre moi, parce que de retour dans la réalité, le visage de mon mec m'apparaissait.
R. m'a donc raccompagnée à la gare. Il m'a dit qu'il avait passé une bonne soirée, que l'on pourrait se revoir à Paris. Je me suis dit que oui, peut-être que ça reprendrait, mais je pensais encore à mon mec, partagée entre l'idée de vivre librement et celle de stopper mes élans. Avant que je ne file, on s'est fait la bise.
Dans le train, j'ai beaucoup réfléchi. Ma culpabilité était grandissante, mais toujours pas vis-à-vis de sa femme. OK, j'étais la nounou, mais il aurait fini par la tromper avec une autre si ça n'avait pas été moi. Je crois qu'il était frustré, même si je ne décelais aucune tension ou autre dans sa vie de couple. J'étais loin d'être au premier rang pour observer quoi que ce soit, et lui était bien trop soucieux de rouler des mécaniques devant moi pour avouer une quelconque faiblesse. Mais je les sentais.
Ma culpabilité concernait mon histoire, mon copain. Dès que je suis rentrée, je l'ai appelé et je lui ai tout dit. J'étais incapable de mentir, même si oui, on était ensemble depuis quatre mois et que je n'étais pas la plus amoureuse des amoureuses. Mon mec m'a tout de suite dit qu'il me pardonnait. C'était difficile à entendre : il était prêt à tout pour me garder et quand j'ai évoqué la possibilité d'une relation libre entre nous, il a accepté. A contre cœur bien sûr, mais la peur de me perdre répondait à sa place.
Je n'ai pas contacté R. après ça. J'estimais que c'était à lui de le faire. Il a fini par m'écrire pour que je vienne garder ses filles. Je ne savais pas quoi répondre parce que je ne savais plus ce que je voulais. Je pouvais y aller, je pouvais même coucher avec lui, je pouvais recommencer. Mais c'était presque trop facile, trop autorisé. J'ai finalement refusé, consciente que mon désir n'existait plus, ou trop peu. Sorti du contexte, notre petit jeu perdait de son sens.
Récemment, il m'a de nouveau écrit pour que l'on aille prendre un verre. J'ai dit "non", encore. Je ne l'ai pas revu, et je serais gênée de recroiser sa femme. Je garde un souvenir tendre de cette histoire même si elle n'est que sexuelle. Néanmoins, j'y pense de moins en moins, même si c'est un sujet de conversation récurrent avec mes copines. Il y a celles qui adhèrent et celles qui prétendent que ça pue le cliché. Mais c'est ça aussi qui était bon. C'est parce que nous étions dans le cliché que nous avons pris plaisir à jouer quelques jours et que cette pseudo-passion est retombée comme un soufflé.
Je connaissais déjà la famille P. avant de travailler pour elle. J'étais la baby-sitter des petits cousins, jusqu'au jour où les parents m'ont appelée pour que je m'occupe de leurs deux petites filles. J'ai accepté, tout se passait...
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