je me fais brutalise devant mon mec

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je me fais brutalise devant mon mec
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Publié par Julie Bernichan , le 11/03/2015 à 13:59
Cet article est validé par Kenza Rafi - Psychologue
Dans le cas d’une personne saine, qui n’est pas diagnostiquĂ©e comme un pervers narcissique , l’insulte fait suite Ă  un sentiment de colĂšre. "Une personne Ă©nervĂ©e ne maĂźtrise pas ses Ă©motions, elle n’est pas dans le rationnel. Il devient alors difficile de communiquer avec elle", rappelle Kenza Rafi.
Comment faire : "Dans un premier temps, il vaut mieux prendre de la distance avec les propos prononcés par son conjoint." Vous pouvez vous éloigner de lui voire changer de piÚce, si vous avez du mal à garder votre calme ou si les mots sont trop blessants.
RĂ©agir sur le mĂȘme ton que son partenaire risque de faire plus de mal que de bien. Insulter Ă  son tour son conjoint, c’est rentrer dans son jeu au risque de rompre la communication.
"Il est difficile de faire prendre conscience que ses paroles sont dĂ©placĂ©es si on agit comme lui", rappelle la psychologue. La bonne attitude est de rester intĂšgre pour montre "l’exemple" et rĂ©ussir Ă  faire un effet "miroir".
Cela ne veut pas dire se laisser faire ni subir la situation mais permettre une prise de conscience chez l'autre et faciliter la communication ensuite.
La communication est la base du couple. Certaines personnes ne se rendent pas compte qu’elles vont trop loin. Or, "si des paroles nous blessent, il ne faut pas hĂ©siter Ă  en parler Ă  son conjoint pour lui en faire prendre conscience" explique la psychologue.
Si ça ne marche pas : si votre partenaire se rend compte qu’il va trop loin mais qu’il ne peut s’empĂȘcher de recommencer, une thĂ©rapie de couple peut ĂȘtre recommandĂ©e afin de dĂ©samorcer le malaise. Egalement, si vous n’arrivez pas Ă  lui faire prendre conscience que ses propos sont blessants, en parler avec une personne extĂ©rieure pourra lui permettre d'en prendre conscience.
Si dans un premier temps, fuir la confrontation permet de passer plus rapidement Ă  autre chose, Ă  long terme cette attitude peut ĂȘtre prĂ©judiciable au couple. En clair "si on ne dĂ©samorce pas le problĂšme, il ne va pas se rĂ©gler de lui-mĂȘme et risque mĂȘme de s’amplifier" prĂ©vient Kenza Rafi. "Insulter son partenaire n’est jamais bon, car cela dĂ©montre une forme de mĂ©pris pour l’autre. Le risque est de voir sa relation de couple se dĂ©tĂ©riorer."
À noter : Un conjoint qui insulte devant les proches, les amis ou les enfants, leur donne une autorisation implicite de le faire à leur tour.
"L’insulte est le dĂ©but de la violence conjugale", rappelle la psychologue Kenza Rafi. Une insulte vise Ă  blesser l’autre, Ă  lui faire perdre confiance en lui afin de le dominer. C’est une forme de rejet de son partenaire. "Comme on ne l’accepte pas comme il est, une relation malsaine s’instaure."
Cependant, pour la spĂ©cialiste "mĂȘme si on aime une personne, il ne faut pas tout accepter et surtout si cela nous fait du mal". "Une fois qu’on a tout essayĂ© pour sauver son couple (chercher Ă  comprendre l’autre, lui parler, lui proposer une thĂ©rapie de couple
), il faut oser quitter la personne qui nous blesse."
Se respecter l’un l’autre est primordial dans un couple. Et le respect passe par l’estime de soi comme celle de l’autre.
"Si on se sent coupable parce qu’on est insultĂ©, c’est qu’on ne s’aime pas assez, explique Kenza Rafi. La premiĂšre Ă©tape est de retrouver confiance en soi pour pouvoir comprendre qu'il n'est pas normal d'endurer la maltraitance de l'autre."
"La premiĂšre question Ă  se poser est : Qu’est-ce que je peux accepter ?"", conseille la psychologue Kenza Rafi. Dans l’intimitĂ©, pour donner du piment Ă  la relation, les deux conjoints peuvent se mettre d’accord pour prononcer certains mots par exemple. Il faut cependant que chacun dĂ©finisse ses limites avant.
Comment dĂ©finir un cadre : Le couple doit prendre un moment pour en dicuter et se poser les bonnes questions. Qu’est-ce que je peux dire ? Qu’est-ce que je ne peux pas dire ? A quel moment je peux les dire ?, etc.
Chacun doit savoir jusqu’oĂč l’autre est prĂȘt Ă  aller. Aucun des deux conjoints ne doit se sentir rabaissĂ© ou humiliĂ©. Si c’est le cas pour l’un des deux, il doit pouvoir dire stop Ă  tout moment.
"Insulter son conjoint, c’est toucher Ă  son intĂ©gritĂ©", explique la psychologue Kenza Rafi. L’insulte est un dĂ©nigrement de l’autre, un signal qui montre qu’on ne l’accepte pas comme il est. La prononcer comme l’entendre n’est jamais bon pour l’estime de soi-mĂȘme, ni pour celle de l’autre.
Une personne peut ressentir de la colĂšre pour une quelconque raison et ne pas arriver Ă  la formuler. "Ce sentiment est tout Ă  fait normal et on peut en parler avec son partenaire, indique la spĂ©cialiste. En revanche, cette colĂšre ne doit pas se manifester sous forme d’insulte susceptible de blesser son conjoint."
A nuancer : L’insulte n’est pas nĂ©cessairement un nom d’oiseau. Cela peut ĂȘtre un mot qui ne sonne pas mĂ©chamment, mais qui est prononcĂ© avec l’intention de rabaisser l’autre. Par exemple, "tu es vraiment qu’une grosse !" dit sur un ton blessant n’est pas la mĂȘme chose que "chĂ©ri, tu devrais faire attention Ă  ce que tu manges parce que j’ai l’impression que tu as un peu grossi."
Remerciements Ă  la psychologue Kenza Rafi.
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Santé


sécurité


consentement


respect


SM


violence


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Lucile Bellan
— 3 mars 2015 à 15h44
«C'est compliqué» est une sorte de courrier du coeur moderne dans lequel vous racontez vos histoires –dans toute leur complexité– et oĂč une chroniqueuse vous rĂ©pond. Cette chroniqueuse, c'est Lucile Bellan. Elle est journaliste: ni psy, ni mĂ©decin, ni gourou. Elle avait simplement envie de parler de vos problĂšmes.
Si vous voulez lui envoyer vos histoires, vous pouvez Ă©crire Ă  cette adresse: cestcomplique.slate@gmail.com
Je suis une étudiante de 19 ans, détraquée, si on en croit l'histoire qui va suivre. Il y a environ un an, j'ai rencontré un homme beaucoup plus ùgé que moi, et pour cause, il a la cinquantaine. Il m'a plu, je ne sais pas pourquoi, il n'avait rien d'exceptionnel, et puis cette différence d'ùge est peu commune. Je me sentais comme rassurée avec lui et plus désirée qu'avec un garçon de mon ùge...
Il avait des «goĂ»ts trĂšs spĂ©ciaux», je lui ai dit de m'initier, aprĂšs avoir quand mĂȘme hĂ©sitĂ© plusieurs semaines. Mais bon, d'un cĂŽtĂ© cet univers du sado-masochisme m'avait toujours un peu intriguĂ©e. Nous nous sommes vus deux fois pour pratiquer le sado-masochisme sans qu'il y ait un seul souci, j'aimais ça.
La troisiÚme séance m'a fait réfléchir un peu plus que cela parce qu'il m'a forcée à faire certaines choses dont je n'avais pas vraiment envie. J'ai eu peur, je n'ai pas voulu le revoir. Là, il me harcelait par message, est venu m'attendre à la sortie de mon job d'été pour avoir une explication. Je ne me sentais plus en sécurité.
Cet été fut une période sombre, je pensais parfois au pire. Quand je dormais je me réveillais en sursaut, je faisais des cauchemars. J'ai tenté de lui expliquer la raison (qui me semblait pourtant claire...) de mon départ. Au début ça ne marchait pas trop, il insistait. Puis il a compris, il m'a laissée.
Mais maintenant, je repense Ă  lui. Je lui ai trouvĂ© une belle excuse pour ce viol: c'Ă©tait du sado-masochisme, il cherchait juste Ă  repousser mes limites, c'est rien du tout! Je vais mĂȘme partir en voyage avec. J'ai en revanche refusĂ© que l'on rentre de nouveau dans une relation sado-masochiste.
Je sais que c'est mal (tout de moins je le suppose?), alors... Suis-je complĂštement conne? Est-ce que je recherche l'auto-destruction? Vous avez des explications? Je suis au courant de la nocivitĂ© de cette relation et j'y cours quand mĂȘme, j'en suis limite Ă  me demander si je n'y vais pas inconsciemment juste pour le voyage!!! Pourquoi le revois-je comme un ĂȘtre bienveillant? Bref, quel est votre avis?
ChĂšre ClĂ©mence , il me semble que, avec les Ă©lĂ©ments dont vous me faites profiter, vous ĂȘtes loin d’ĂȘtre dĂ©traquĂ©e mais juste trĂšs curieuse. Et, dans le domaine de la sexualitĂ© en particulier, la curiositĂ© est une merveilleuse qualitĂ©.
Mais laissez-moi vous raconter une histoire.
Il y a quelques annĂ©es, j’ai eu une relation avec un homme pratiquant des jeux de domination. Un homme lĂ©gĂšrement plus ĂągĂ©, plus expĂ©rimentĂ© dans ce domaine, sĂ©duisant et, pour ne rien gĂącher, avec de l’argent. Je n’ai jamais profitĂ© de son argent mais ça participait Ă  une aura globale de domination sociale et intellectuelle. Et loin du jeu sexuel dans lequel nous Ă©tions engagĂ©s, il a profitĂ© de cette domination psychologique. En jouant avec mes limites, sans mettre en place de «safe word» , en Ă©tant moins Ă  mon Ă©coute qu’aux variations de son plaisir, en profitant de ma position choisie Ă  l’origine pour m’humilier psychologiquement Ă  coups de petites phrases assassines.
À l’époque, il Ă©tait mon amant «punition». J’étais attirĂ©e par lui mais je ne prenais aucun plaisir Ă  nos rencontres. Il me rabaissait perpĂ©tuellement (j’étais trop ronde, il me rendait service
), me faisait souffrir (une souffrance confirmĂ©e par la collection de bleus que je ramenais chez moi) et ne me donnait aucun plaisir en retour. Pendant ces poignĂ©es d’heures dans cet appartement indĂ©cent du centre de Paris, j’étais sa chose. Un jour, j’ai fait un malaise sur l’ülot central de sa cuisine et nous ne nous sommes plus jamais revus.
Pendant des semaines, je m’en suis voulue: cette rupture me donnait l’impression d’ĂȘtre l’image qu’il m’avait donnĂ©e de moi: ronde et bĂȘte, entichĂ©e d’un type qui ne me respectait pas et surtout une fille avec des limites.
Mais la vĂ©ritĂ© c’est que des limites, j’en ai. Notre aventure n’a jamais Ă©tĂ© sensuelle, mais violente et agressive. À la maniĂšre de votre propre expĂ©rience avec cet homme. Or le SM ce n’est pas ça.
Le viol est un crime, pas une pratique sexuelle
Sexuellement, les pratiques de soumission et domination sont soumises Ă  des rĂšgles strictes. Elles sont encadrĂ©es pour que chacun y trouve son plaisir dans le respect de son corps. Le SM n’a jamais Ă©tĂ© une pratique oĂč le but est d’atteindre un point de non-retour oĂč, en tant que soumise, vous accepteriez tout sans broncher. Vous parlez vous-mĂȘme de viol. Le viol est un crime, pas une pratique sexuelle.
Il me semble que, comme le dominateur dont j’ai croisĂ© la route, vous avez rencontrĂ© quelqu’un qui cherche plus Ă  exercer un ascendant psychologique sur vous. Il vous manipule et profite de vos faiblesses. Bien sĂ»r que vous ne voulez pas passer pour celle qui est trop coincĂ©e pour . Et en vous engageant dans cette relation particuliĂšre, vous avez aussi engagĂ© votre confiance et vos sentiments.
Mais là, en partant en voyage avec lui, il me semble que vous prenez des risques inconsidérés.
Vous rĂ©tracter ne serait ni lĂąche, ni trop sage ou timorĂ©. Prendre conscience des dĂ©rives de votre partenaire ne fait pas de vous une mauvaise joueuse. Et un viol dans le cadre d’un jeu sexuel reste un viol, pour lequel vous avez le droit de porter plainte. C’est une question que vous n’abordez pas mais je vous suggĂšre d’y rĂ©flĂ©chir.
Vous avez envie de partir avec lui, peut-ĂȘtre est-ce l’emprise psychologique qu’il a sur vous, peut-ĂȘtre l’aimez-vous, mais il y a des personnes nĂ©fastes et il faut se battre contre l’attirance que l’on a pour elles. Pensez aussi Ă  ces pĂ©riodes difficiles et douloureuses que vous avez vĂ©cues: vous ne voulez pas les revivre.
Et puis j’ai un conseil concernant les pratiques SM: prenez le temps de vous rendre dans un donjon. C'est ainsi que l'on appelle les lieux de rencontres de ceux qui pratiquent les jeux de soumission et de domination. Ce sont des endroits discrets mais il y en a un certain nombre partout en France. Certains fonctionnent comme des clubs privĂ©s, avec des parrainages, d'autres sont plus faciles d'accĂšs. Allez, donc, vous rendre compte, seule, de comment cette sexualitĂ© se pratique.
Dans le SM, les notions de consentement et de respect sont capitales
Vous devriez alors vous rendre compte d’à quel point les notions de consentement et de respect sont capitales. À ce stade, vous aurez assez de recul et d’expĂ©rience pour voir que la relation que avez eue avec cet homme n’a rien Ă  voir avec une pratique SM. MĂȘme soumise, vous restez maĂźtresse de vos sentiments, de vos Ă©motions et de vos limites psychologiques ou physiques. Il a profitĂ© de vous, et, Ă  raison, vous vous ĂȘtes protĂ©gĂ©e. Maintenant, il vous faut comprendre ce rĂ©flexe et l’accepter. Cet homme a profitĂ© de vous au moment oĂč vous Ă©tiez le plus vulnĂ©rable. C’est un schĂ©ma qui n’a aucune raison de ne pas se reproduire, et dans une autre situation Ă©galement.
Soyez curieuse, profitez de la vie et explorez votre sexualité, mais protégez-vous. Toujours, protégez-vous.
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