heureux à quatre

heureux à quatre




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































heureux à quatre

Quotes are added by the Goodreads community and are not verified by Goodreads.
(Learn more)



“Si tu viens, par exemple, à quatre heures de l'après-midi, dès trois heures je commencerai d'être heureux.”



Antoine de Saint-Exupéry



To see what your friends thought of this quote, please sign up!


thư




1,222 books


view quotes




Sijia




528 books


view quotes




Andrey




48 books


view quotes




Andrea Soler




752 books


view quotes




Iris




190 books


view quotes




Dulce




621 books


view quotes




Fotinie




234 books


view quotes




Nguyễn Đào




112 books


view quotes




Carla




727 books


view quotes




Edgar




212 books


view quotes




Sofia




296 books


view quotes




Samantha




194 books


view quotes




carpe librorum :)




1,630 books


view quotes




All Quotes

My Quotes

Add A Quote


Company


About us


Careers


Terms


Privacy


Interest Based Ads


Ad Preferences


Help




Work with us


Authors


Advertise


Authors & ads blog


API



Welcome back. Just a moment while we sign you in to your Goodreads account.

Suivant: Ce petit garçon a donné une belle leçon à ce vendeur. À méditer!
Ce garçon de 15 ans achète une Audi neuve à un prix imbattable !
J’ai ramené ce chaton orphelin à la vie après l’avoir trouvé sous une pluie torrentielle!
Ne sous-estimez jamais le travail de votre partenaire
Éliminez les talons fissurés, les cors et les callosités grâce à ce remède de grand-mère
Elle ne comprenait pas pourquoi son mari la trahissait
Être moche, est-ce la solution?! Une histoire inhabituelle
Qu’arrivera-t-il à votre corps si vous buvez du jus de carotte ?
J’ai découvert le secret de ma mère dans une cassette
Il m’a humilié, je me suis vengée de lui !
Cet homme sort avec trois femmes, devinez laquelle il a choisi..
5 minutes auraient pu sauver la vie de son fils, mais malheureusement..
Cette fille a perdu son visage à l’âge de 17 ans
C’est une histoire vraie qui va tous vous toucher
J’ai ramené ce chaton orphelin à la vie après l’avoir trouvé sous une pluie torrentielle!
Cet homme avait une femme et une maîtresse et ne savait pas qui choisir
Avant de l’embaucher, ce directeur lui a donné une puissante leçon !
Home - Vidéos - On a tous ces quatre épouses !
Publié le 28 octobre 2020 par: Être Heureux #etrehrx
Il y avait un homme d’affaires prospère qui avait quatre femmes. Il aimait la quatrième plus que toutes les autres, il lui offrait tout le temps de très belles robes et des bijoux. Il a pris grand soin d’elle et lui a toujours donné tout ce qu’elle voulait.
Il aimait également sa troisième femme. Il était tellement fier d’elle et il a toujours voulu qu’elle l’accompagne à ses réunions et ses voyages d’affaires, il voulait la montrer à ses amis. Mais, l’homme d’affaires avait toujours peur qu’elle le quitte et s’enfuie avec un autre homme.
Il aimait aussi sa deuxième femme. C’était une personne très prévenante.
C’est elle avec qui l’homme a beaucoup parlé et partagé ses plus profondes pensées.
En cas de besoin, il lui demandait de l’aider et de le guider dans les moments difficiles que ce soit par rapport sa vie privée ou dans ses affaires.
Bien que la première épouse fût une partenaire très fidèle, il ne lui accordait pas la moindre attention et ne lui montrait pas le moindre signe d’affection. Bien qu’elle l’aimait et le chérissait énormément, il était tellement occupé avec ses trois autres femmes et ne passait guère du temps avec elle.
Au fil des années, l’homme d’affaires est tombé gravement malade et il était cloué sur son lit de mort. Toute sa vie, il avait ses quatre femmes à ses côtés, maintenant, il voulait que l’une d’elle l’accompagne après sa mort.
Ainsi, il a demandé à sa quatrième épouse bien-aimée : « Tu étais toujours ma préférée et j’ai pris grand soin de toi. Maintenant, si je meurs, me suivras-tu et me tiendras-tu compagnie ? ». « En aucune façon ! » Répondit la quatrième épouse et s’éloigna sans dire un mot de plus.
L’homme a alors demandé à sa troisième épouse : « Toute ma vie, je t’ai chéri, j’ai été fier de toi et je voulais dire au monde entier que tu es ma femme. Maintenant, si je meurs, me suivras-tu et me tiendras-tu compagnie ? ». « Non ! La vie est tellement belle ici sur terre ! Je trouverai quelqu’un d’autre quand tu mourras ! » Répondit-elle tout simplement.
Il regarda dans les yeux sa seconde épouse et avant…
Il regarda dans les yeux sa seconde épouse et avant qu’il ne puisse lui demander de l’accompagner. Elle lui a dit : « Je suis vraiment désolée, je ne peux pas venir avec toi cette fois-ci ! Le maximum que je puisse faire c’est de t’accompagner jusqu’à ta tombe ».
L’homme avait le cœur brisé et ne pouvait pas croire ce que ses trois épouses lui ont dit, il s’est rendu compte qu’il a eu tort durant toutes ces années.
« Je viendrai avec toi. Je t’accompagnerai là où tu iras, même au-delà de la mort ! » Cria une voix. L’homme leva les yeux et vit sa première épouse qui se tenait à ses côtés. Elle était mince, maigre, faible et mal nourrie. Toute sa vie, il ne lui a jamais accordé son attention. Il regrettait de ne pas avoir pris plus soin d’elle pendant qu’il le pouvait.
Nous avons tous quatre épouses dans nos vies. La 4 e épouse représente notre corps : Peu importe ce que nous faisons pour être en bonne santé et avoir un corps parfait, notre corps nous laissera le jour où nous mourrons.
La 3 e épouse est notre richesse et nos biens : Nous ne gardons plus rien quand nous mourrons, tout ce que l’on possède va chez les autres.
La 2 e épouse est notre famille et nos amis : Peu importe à quel point ils étaient là pour nous quand nous sommes en vie, ils ne peuvent nous accompagner au-delà de notre tombe.
Quant à la 1 e épouse, c’est notre âme : Elle est souvent négligée dans notre quête de la richesse, du bonheur et du plaisir mais, c’est la seule qui restera avec nous où que nous allions.
Il faut donc nourrir notre âme tant que nous le pouvons plutôt que de le regretter plus tard !
Sois heureux un instant, cet instant, c'est ta vie..


Aïda N’Diaye
publié le 25 mai 2022

1 min

Faut-il oublier le passé pour se donner un avenir ?
Explication de texte : Sénèque, “Des Bienfaits”
Peut-on avoir raison contre les faits ?






Accueil-Le Fil


Articles


Dépend-il de nous d’être heureux ?







Été-Automne 2022
Philosophe magazine N° 54

Des professeurs de philosophie ont endossé l’habit du lycéen afin de plancher sur de vrais sujets tombés au bac lors des années passées. Ils se sont prêtés au jeu, voici le fruit de leurs réflexions : des dissertations et explications de texte, réalisées en quatre heures chrono chacune. À vous de juger… Ces copies presque parfaites sont à scruter de près, car ce sont des devoirs de ce type – construits, informés et bien argumentés – dont les correcteurs raffolent.
Très bonne copie, rigoureuse et claire. Le problème est parfaitement posé en introduction, le développement est limpide, vous conduisant à une véritable réponse, simple et convaincante. Établir une conclusion de ce type demande un courage proprement philosophique.
Par son étymologie, le bonheur (de « bon » et « heur ») renvoie au hasard. Serait heureux celui qui a de la chance. Et, en effet, si être heureux signifie voir tous ses désirs satisfaits, ne devons-nous pas admettre que cela relève plus du hasard que de notre volonté ? La santé, l’amour semblent par exemple être des domaines dans lesquels la volonté ne suffit pas à nous prémunir contre les coups du sort. Alors, ne sommes-nous pas impuissants face aux hasards de la vie, dont notre bonheur dépend ? Pourtant, cela supposerait une forme de fatalité. Ainsi nous ne serions pas suffisamment libres pour infléchir le cours de notre propre -existence. Le bonheur ne peut-il pas être produit par notre action, notre capacité à faire évoluer la situation en notre faveur ? Ne pouvons-nous pas être les véritables artisans de notre bonheur ? Plus encore, ne peut-on pas être heureux même si nous échouons à modifier notre sort ? Il arrive d’ailleurs qu’à circonstances égales, après un deuil par exemple, l’un soit heureux à nouveau quand l’autre n’y parviendra pas. Être heureux, c’est en effet aussi « se sentir » heureux, en toutes circonstances. Le bonheur se trouverait alors davantage dans l’état d’esprit adopté que dans les événements vécus. Dès lors, ne dépend-il pas de nous d’éprouver ce -sentiment de plénitude ? Mais comment y accéder lorsque les événements semblent y faire obstacle ?
Nous essaierons donc de voir s’il dépend de nous d’être heureux. Le bonheur réside-t-il dans la réalité des événements vécus ou dans l’état d’esprit adopté face à eux ?
Le bonheur n’est-il pas lié aux hasards de la vie, qui produisent satisfaction et insatisfaction ? Mais ne peut-on pas maîtriser notre existence pour être pleinement satisfaits ? Même lorsque les événements sont défavorables, n’est-il pas possible d’être heureux ?
Le bonheur apparaît comme lié au hasard, d’abord par son étymologie. Être heureux signifie en effet ne manquer de rien. Or un tel état de satisfaction totale semble difficile, voire impossible à atteindre. À peine avons-nous satisfait un désir qu’un autre apparaît. Le désir ne semble pas être quelque chose que l’on puisse maîtriser, mais une force qui nous domine. Pire encore, le bonheur suppose une satisfaction durable, continue. Le plaisir, cette décharge ponctuelle éprouvée lorsqu’un désir est satisfait, ne suffit pas à faire notre bonheur, qui, lui, est durable. Là encore, il semble ne pas dépendre de nous d’accéder à un tel état. Si nous pouvons mettre en œuvre nos forces pour satisfaire ponctuellement un désir, comment nous assurer que cela durera ? Ainsi, dans les Fondements de la métaphysique des mœurs, Kant définit le bonheur comme un « idéal de l’imagination » impossible à cerner, précisément parce qu’il nous est impossible de nous assurer que ce qui nous satisfera ponctuellement nous rendra heureux de manière pérenne. Comment être sûr, par exemple, que la richesse ne nous apportera pas plus de soucis que de satisfaction, que le savoir ne nous amènera pas à prendre connaissance de faits qu’il était préférable d’ignorer pour se maintenir dans une -heureuse illusion ? Ainsi nous ne pouvons être les auteurs d’une satisfaction durable et totale, car nous ne savons pas ce qu’il adviendra demain de ce que nous souhaitons aujourd’hui. Cela montre que le bonheur ne dépend pas de nous : il faudrait pour cela, selon Kant, être omniscient.
Comment, d’ailleurs, pourrions-nous espérer atteindre une satisfaction totale alors que nous vivons en société ? Le bonheur ne dépend pas de nous, individus, parce qu’il dépend de nous, -communauté. Notre bonheur dépendra donc aussi de la régulation publique qui peut nous apporter cette satisfaction du point de vue économique (en assurant une croissance nous garantissant une satisfaction matérielle), social (en nous protégeant, précisément, contre les aléas de l’existence comme la maladie, les accidents, le chômage), et politique (nous rendant libres). En somme, si la déclaration d’indépendance des États-Unis d’Amérique reconnaît en 1787 le droit à la recherche du bonheur comme un droit naturel et inaliénable, elle reconnaît aussi que ce droit doit être garanti par l’État, qu’il ne dépend pas seulement de nous, mais de ce que la collectivité à laquelle nous appartenons nous fournit comme environnement.
Il ne dépend donc pas de nous d’être heureux, car, si le bonheur est un état de satisfaction totale et durable, nous n’avons pas une maîtrise suffisante du cours des choses pour éviter les événements qui pourraient nuire à notre pleine satisfaction. Est-ce à dire alors que l’homme est impuissant face au cours de sa propre existence ? La liberté dont nous sommes supposés être dotés n’implique-t-elle pas que nous soyons capables d’agir sur le cours des choses pour, loin de rester passifs, être les artisans d’un bonheur qui dépendrait alors entièrement de nous ?
N’y a-t-il pas, dès lors, une forme de mauvaise foi à prétendre que nous sommes malheureux par le coup du sort ? La liberté ne suppose-t-elle pas, au contraire, une capacité à agir sur la réalité pour la transformer ? Dire que le bonheur ne dépend pas de nous, ce serait renoncer à cette liberté qui nous est pourtant essentielle. La liberté désigne la capacité à agir en accord avec notre volonté, envers et contre la réalité matérielle, naturelle, sociale, etc. S’abriter derrière les événements pour justifier que nous ne puissions être heureux, c’est s’avouer vaincus face à la réalité. C’est, en somme, une forme de cette mauvaise foi dont parle -Jean-Paul Sartre, qui consiste précisément à se réfugier derrière les circonstances pour se -décharger de l’énorme poids des responsabilités attachées à notre totale liberté. Or même celui qui est en prison est, d’après Sartre, capable d’agir sur son destin pour améliorer sa situation, essayer de se faire libérer, de s’échapper… S’il nous faut prendre notre liberté au sérieux, alors nous devons admettre que le bonheur dépend de nous. Même si nous vivons des situations que nous n’avons pas choisies, nous restons libres de décider ce que nous en faisons, nous restons libres d’essayer de les transformer et d’agir sur la réalité sans nous contenter de la subir.
C’est peut-être la raison pour laquelle tous ne parviennent pas à être heureux. Le bonheur dépendrait en effet de notre puissance. En tant que satisfaction de nos désirs, le bonheur est alors essentiellement lié à notre liberté d’agir. Tous ne peuvent pas obtenir ce qu’ils désirent, le bonheur est alors relatif non seulement parce que nous n’en avons pas tous la même définition, mais aussi parce que nous ne sommes pas tous égaux en termes de puissance. Nous ne possédons pas tous le même pouvoir d’infléchir la réalité, et c’est aussi en cela que le bonheur dépend de nous. C’est bien ce qui fait dire à Calliclès, dans le Gorgias de Platon, que le bonheur consiste à -laisser libre cours à ses désirs « pour celui qui est assez puissant pour les satisfaire » . La liberté est pouvoir, avant tout politique, celui de l’homme né fils de roi ou qui a su se hisser à un poste de commandement. Seul celui doté d’une telle puissance peut être heureux, car lui seul peut extraire de la réalité, par sa force, ce qui lui permettra de satisfaire ses désirs.
Alors, le bonheur comme satisfaction de nos désirs dépend donc de nous. Il est relatif à notre degré de liberté et de puissance. Pourtant, dans une même situation, de maladie par exemple, il est possible que l’un, même impuissant, soit -heureux là où l’autre ne l’est pas. Cela n’indique-t-il pas que le bonheur dépend de nous d’abord dans la mesure où il réside dans notre état -d’esprit plus que dans les circonstances vécues qui s’imposent à nous ?
Le bonheur est en effet aussi un sentiment, un état vécu. Dès lors, il peut reposer davantage dans ce que nous pensons des circonstances qui nous incombent. Même dans des circonstances défavorables, il nous est ainsi possible d’accéder au -bonheur grâce à la manière dont nous abordons ces événements. N’est-ce pas, d’ailleurs, ce que nous faisons pour un ami traversant une période difficile ? Nous ne restons pas silencieux, mais essayons de le réconforter, de le raisonner pour qu’il puisse envisager un futur bonheur possible au-delà de sa tristesse immédiate. Si nous le -faisons pour les autres, ne pouvons-nous pas le faire pour nous-mêmes ? Nous sommes habitués à nous croire impuissants face aux coups du sort. Mais ce ne sont pas les événements qu’il faut -forcer en notre faveur pour être heureux, c’est à nous-mêmes que nous devons faire violence pour nous obliger à voir ce qu’il y a de positif là où la tristesse domine. Une fois passé le choc et la peine d’un deuil, par exemple, nous pouvons -envisager d’être heureux si nous ne nous focalisons pas sur ce que nous n’avons pas ou plus (perte irréparable à l’égard de quoi nous ne pouvons rien) pour porter notre attention sur ce que nous avons (les souvenirs qui restent du disparu par exemple, la mémoire que nous portons de lui). Alors, vivre un deuil, même vivement, n’annule pas toute possibilité d’un bonheur futur. Il nous appartient -d’attacher notre esprit à ce que nous avons plutôt qu’à ce que nous n’avons pas. Là est le sens de la maxime stoïcienne, nous invitant à distinguer ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous, comme l’avance Épictète. On accède au bonheur par la volonté, car elle nous permet de voir et penser la réalité sous l’angle nécessaire pour être heureux. Jean-Jacques Rousseau va finalement dans le même sens dans La Nouvelle Héloïse, même s’il arrive à une conclusion contraire, nous invitant à nous réfugier dans le « pays des chimères ». Ce n’est pas en essayant de transformer une réalité face à laquelle nous sommes souvent impuissants que l’on peut faire son propre bonheur, mais en nous satisfaisant de ce que nous avons : soit ce qui dépend de nous, soit ce refuge que constitue -l’imagination, l’anticipation, ce bonheur avant le bonheur qu’est le désir.
Le bonheur dépend donc de nous. Certes, les -circonstances extérieures pèsent sur nous et nous font éprouver, ponctuellement, tristesse ou joie, mais le bonheur, état de plénitude qui dure, ne se trouve pas dans les aléas des circonstances. Il est dans ce que nous en faisons. Maigre consolation pour celui qui est frappé par une tragédie, et sans doute dans certains cas ne reste-t-il rien vers quoi se tourner pour compenser ce que nous n’avons plus. En cela, sans doute ne pouvons-nous pas toujours être heureux. Mais si nous -pouvons l’être, cela dépend de nous et de notre capacité à accepter les événements.
Des professeurs de philosophie ont endossé l’habit du lycéen afin de plancher sur de vrais sujets tombés au bac lors des années passées. Ils se sont prêtés au jeu, voici le fruit de leurs réflexions : des dissertations et explications de texte, réalisées en quatre heures chrono chacune. À vous de juger… Ces copies presque parfaites sont à scruter de près, car ce sont des devoirs de ce type – construits, informés et bien argumentés – dont les correcteurs raffolent.

 

Des professeurs de philosophie ont endossé l’habit du lycéen
Mon petit ami et moi nous baisons en cachette
Ava Addams nous donne des images d'une bonne baise avec le patron
Un casting anal pour une jeune et jolie brunette française friande de SM qui aimerait se faire défoncer et posséder par le partenaire idéal.

Report Page