femmes fontaine en rafale

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femmes fontaine en rafale


Accueil Blog Femme Qu’est-ce qu’une femme fontaine ?
[Vidéo] : Les principales zones érogènes
Femme fontaine : de la réponse sexuelle féminine
Développement d’une pensée sexuelle
Augmentation de l’activité du système nerveux
une augmentation du flux sanguin vers le tissu érectile
clitoridien
Puis un rythme cardiaque accéléré ;
cette phase d’excitation est généralement caractérisée par une lubrification vaginale , un afflux de sang dans le clitoris et
les petites lèvres, un écartement des grandes lèvres.
Femme fontaine : une histoire d’orgasme ?
Définition de l’éjaculation féminine
Toutes les femmes peuvent-elles être « fontaine » ?
[Vidéo] : Quand consulter un médecin sexologue ?
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Pourquoi savons-nous peu de choses sur la « femme fontaine » ou le squirt en anglais ? Existe-t-il encore des tabous autour de cette question ?
Dans le domaine scientifique, le thème d’une éjaculation féminine a longtemps fait débat ; et on explique encore mal cette réponse sexuelle féminine.
Il est difficile de
trouver des études et des informations sérieuses sur internet, tant la question
des « femmes fontaines » fascine et alimente les discussions
houleuses !
Que se passe-t-il chez
une femme fontaine ? Toutes les femmes peuvent-elles le vivre ? Pourquoi
une femme qui a un orgasme, n’est pas forcément « fontaine » ?
Dans un premier temps,
nous étudierons la physiologie de la
réponse sexuelle féminine , afin d’expliquer au mieux ce qu’il se passe lors
de cette « éjaculation féminine ».
La première phase du
désir sexuel féminin peut être considérée comme un désir « spontané »
ou « inné ».
Sous l’influence des hormones et des récepteurs aux estrogènes, à la progestérone (hormone stéroïdienne) et aux androgènes (hormone mâle), la réponse sexuelle féminine et les humeurs sont modelées.
On considère que le
premier cycle sexuel féminin débute avec le
développement d’une pensée ou d’un fantasme
sexuel .
Un autre type de désir
secondaire à l’excitation physique intervient : un désir réactif .
Ce schéma concernerait
la majorité des femmes – bien que toutes les femmes n’aient pas la même réponse
sexuelle – en fonction de critères physiologiques.
En fait, la question de
la motivation sexuelle féminine est très complexe : la motivation sexuelle ne veut pas nécessairement dire la présence ou l’absence de désir .
Si une femme initie une
relation sexuelle, elle augmente un rapprochement émotionnel ; le désir
sexuel est généralement produit pas des stimuli
extérieurs (à travers l’odorat, le touché…) ou des stimuli psychologiques (fantasmes, mémoire…).
L’humeur et les hormones influencent le désir et l’activité sexuelle , soit en augmentant les différents stimuli, soit en les inhibant .
Cette augmentation
d’activité du système nerveux permet au corps de « préparer »
l’activité sexuelle.
Les
zones érogènes stimulées (petites
lèvres, clitoris, seins…) et les informations sensitives génitales sont
communiquées au cerveau par les terminaisons nerveuses.
La lubrification
vaginale est rendue possible par l’afflux de sang dans le clitoris, les lèvres
et le vagin.
Pendant cette phase, le vagin change
de forme ; le diaphragme périnéal
se contracte, provoquant un rétrécissement du tiers inférieur du vagin, alors que le diaphragme pelvien provoque un élargissement du fond vaginal.
C’est ce qu’on appelle aussi la
« phase d’excitation » ; elle est la même que chez l’homme et
elle est de durée variable selon les physiologies.
Généralement, l’orgasme survient
quelques secondes avant les contractions
musculaires (une dizaine) saccadées
et involontaires du vagin et des muscles pelviens.
Contrairement à l’homme, la
stimulation sexuelle doit être maintenue jusqu’à l’orgasme (il n’y pas de point
de non-retour) au risque de voir l’excitation retomber.
L’ orgasme est accompagné d’une accélération de la respiration et du rythme cardiaque et peut se répéter à quelques secondes d’intervalles.
Lorsque l’orgasme est terminé, les
muscles pelviens se relâchent et la vasodilatation diminue ; la femme
décrit alors une sensation de satisfaction, de bien être et d’euphorie. 
Les contactions des muscles du
diaphragme périnéal sont involontaires
et influent sur la durée et l’intensité de l’orgasme .
Les manifestations classiques de
l’orgasme féminin sont une sensation de plaisir, accompagnée le plus souvent
d’une lubrification vaginale qui peut durer quelques minutes.
Pour autant, l’existence d’une
éjaculation féminine continue de faire débat.
Plus que de la nature de l’orgasme, c’est sa manifestation qui peut changer d’une femme à l’autre.
A l’approche ou au moment de l’orgasme , la femme libère une quantité de liquide faible qui passe inaperçue dans la majeure partie des cas, et parfois une quantité abondante : on parle de « femme fontaine » .
Une sécrétion des
glandes para-urétrales, proche du méat urinaire, est à l’origine de
l’éjaculation féminine.
Ces sécrétions sont
différentes que celles du vagin ou de la vulve, émises par les glandes de
Bartholin et responsables de la lubrification vaginale.
Lorsque l’excitation est
très forte, ce fluide est expulsé du
corps , comme un réflexe. Dans sa composition, ce liquide est assez proche
du sperme.
Que l’éjaculation
féminine provienne des glandes para-urétrales, de la vessie, ou des deux, il ne
s’agit pas d’une incontinence coïtale .
Il a été difficile de
distinguer la composition de l’éjaculat féminin ; les scientifiques
s’accordent néanmoins pour parler d’une composition proche de celle du sperme,
sans la présence des spermatozoïdes.
Une étude sur plusieurs
femmes ayant une éjaculation abondante a été réalisée afin de distinguer si
elle provenait des glandes para-urétrales ou de la vessie ; on a relié
chez ces femmes un cathéter passant de l’urètre jusqu’à la vessie.
Lors de l’orgasme
provoqué par la masturbation, on a remarqué que l’éjaculation féminine de ces
« femmes fontaines » provenait majoritairement de la vessie,
accompagnée d’une faible sécrétion des glandes para-urétrales.
Techniquement, oui. 75%
des femmes expulseraient un liquide lors de l’orgasme, même si la majeure
partie du temps, cela passe inaperçu.
Dans d’autres cas, ce
liquide peut être abondant et même jaillir lors de l’orgasme, plusieurs fois de
suite.
Souvent, une femme qui découvre cette sensation
n’est pas avertie ; elle a
l’impression qu’elle va uriner et cherche donc à se retenir.
Cette éjaculation peut
prendre la forme d’un écoulement lent ou d’un jet plus puissant.
Une femme peut être troublée lors d’une éjaculation abondante, notamment parce qu’elle n’est pas habituée, mais aussi parce qu’on peut la rapprocher de l’éjaculation masculine. De même lors d'un pet vaginal , la gêne est présente.
Elle peut notamment être
gênée vis-à-vis de son/sa partenaire par le fait d’extérioriser et de montrer
son plaisir de cette manière.
En réalité, c’est un phénomène normal, qu’une femme peut découvrir tout au long de sa sexualité ; et généralement, cela ne gêne pas du tout le/la partenaire.
Toutes les femmes ont
une éjaculation féminine lors de l’orgasme ; simplement, il ne se produit
pas de la même manière en fonction de facteurs physiologiques et
psychologiques.
Cela ne veut pas dire
qu’une situation est plus normale qu’une autre ; que la quantité de
liquide lors de l’éjaculation féminine soit faible ou abondante, cela n’impacte
pas le plaisir.
Dans la majeure partie
des cas, une femme se découvre « fontaine » au cours de sa vie
sexuelle ; soit par une meilleure connaissance de son corps et un meilleur
contrôle de son éjaculation (à travers des exercices visant à muscler son
plancher pelvien notamment), soit de manière imprévisible lors d’un rapport ou
par la masturbation.
Une femme fontaine n’est
donc pas une particularité, tout comme ne pas avoir d’éjaculation abondante
n’est absolument pas un problème ; il s’agit d’une réponse sexuelle
différente.
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