Vraiment mon frère

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Vraiment mon frère
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L'information grammaticale Année 1996 71 pp. 3-8
Paillet-Guth Anne-Marie. « Ah vraiment, mon frère, il y a bien d'autres nouvelles ! » : Information et implicitation dans Le jeu de l'amour et du hasard . In: L'Information Grammaticale , N. 71, 1996. pp. 3-8.
« Ah vraiment, mon frère, il y a bien d'autres nouvelles ! »
INFORMATION ET IMPLICITATION DANS LE JEU DE L AMOUR ET DU HASARD
Le Jeu de l'amour et du hasard, comme tout « jeu », présente une structure particulièrement fermée sur elle-même. La situation finale de la pièce, contrairement à la Double Inconstance, ne fait que reproduire la situation initiale, et la comédie ne cesse, de manière redondante, mais souvent implicite, d'en réfléchir les données : celles d'un double échange d'identité entre maîtres et valets. La lettre dans laquelle le père de Dorante dévoile le secret de son travestissement, brandie par M. Orgon à la fin de la pièce, est déjà exhibée et lue à Mario, figure du spectateur, dans l'exposition. La révélation finale n'est-elle pas une subversion du traditionnel coup de théâtre, puisqu'il ne fonctionne plus que pour Dorante ? Le spectateur, dès la scène 4 de l'acte I, connaît la situation et devine l'issue de la pièce. Occultée pour les principaux partenaires du « jeu », redondante pour le spectateur, l'information est donc soumise à un double mouvement d'occultation et d'exhibition, dont nous nous proposons d'analyser les effets contextuels. La spécificité de la structure dramatique du Jeu, liée au double travestissement, repose à la fois sur la dissymétrie qui s'installe entre le savoir des uns et l'ignorance des autres, et sur la réciprocité liée à la double méprise. Si le dialogue du Jeu s'écarte de la conversation ordinaire 0), ce n'est pas seulement parce qu'il en stylise et concentre les mécanismes, mais aussi parce qu'il subvertit un principe nécessaire à son bon fonctionnement : le partage d'une connaissance mutuelle de la situation. C'est sur une ignorance partagée que repose le dialogue du Jeu, et c'est en dépit - ou à cause - de ce dysfonctionnement fondateur que surgit le discours amoureux. Tel est l'enjeu de la pièce, mais aussi ce qui lui donne l'allure d'un jeu. Sur l'efficacité de la dramaturgie marivaudienne se greffe constamment un jeu ironique de réflexivité sur la référence situationnelle, qui fonde la complicité avec le spectateur.
Dans le langage dramatique, qui induit une double situation de communication, tout effet d'occultation ou de soulignement de rinformation concerne de façon privilégiée la relation du dramaturge au spectateur. En effet, le discours théâtral fonctionne, dans sa globalité, comme un « trope
1 . Voir sur ce point P. Larthomas, Le langage dramatique. Sa nature, ses procédés, Paris, Colin, 1 972. Quant au texte, on se réfère ici à l'édition de F. Deloffre et F. Rubellin, Théâtre complet, Classiques Gamier, tome 1, 1996.
2. Cf. Les interactions verbales, C. Kerbrat-Orecchioni, Colin, 1990, II.
communicationnel » (2) : l'acte de communication d'un locuteur-personnage L peut avoir à la fois un allocutaire direct, (un autre personnage), et un destinataire indirect, prévu et implicitement inscrit dans le discours de L, le spectateur. C'est lui qui est, en dernière instance, le destinataire principal, puisque c'est aussi l'auteur qui est à la source du texte dramatique. Tout acte de communication entre les personnages est donc lié à une intention communicative implicite du dramaturge envers le spectateur. Ainsi, tout au long de la pièce, l'isotopie de la nouvelle, comme la récurrence des verbes désignant le partage de l'information (savoir, prévenir, et avertir) (3) témoigne d'un jeu réfiexif implicite sur la circulation de l'information et sur les diverses évaluations de la situation d'interlocution.
1.1. Dans l'exposition, lieu où l'on avertit le spectateur, le jeu métadramatique sur l'isotopie lexicale de la nouvelle exhibe sa fonction informative conventionnelle : « La nouvelle que je viens t'annoncer te fera-t-elle plaisir ? » (I, se. 2) ; « Je te félicite de la nouvelle que j'apprends » (1, 3) ; « Qu'y a-t-il de nouveau, Monsieur? » (I, 4). Mais, comme dans toute bonne comédie, le partage de l'information est d'emblée lié à son contraire, celui du secret. L'information essentielle, celle du double déguisement, n'est donnée que de manière unilatérale. Livrée d'un côté, elle est occultée de l'autre. C'est ce double mouvement d'ostension et d'occulation, conditionnant le fonctionnement de l'intrigue, que souligne l'exposition. « Hâtez-vous, et qu'on donne le mot à toute la maison », s'écrie Orgon après l'idée qui vient à Silvia d'échanger son rôle avec Lisette. La « transparence de la Domus », figure de la scène, n'est voilée qu'au principal intéressé, celui qui voudrait lire dans le cœur de Silvia : « Le paradoxe est que ce secret des amants appartient d'abord aux autres » W. De l'autre côté, une première fuite conditionne la possibilité de l'intrigue, celle du père de Dorante, qui écrit à M. Orgon : « j'ai consenti à tout en prenant la précaution de vous avertir, quoiqu'il m'ait demandé le secret de votre côté ; vous en userez là-dessus avec la future comme vous le jugerez à propos... ». Dans la scène 4 de l'exposition, le spectateur apprend de la bouche d'Orgon, en même temps que Mario, mais dans un ordre inverse, la réciprocité des travestissements (5) : après avoir dévoilé le secret de !
3. Cf. On note trois occurrences du verbe avertir dans li
de l'acte I. Cf. aussi scène 5 : « vous savez de quoi il s'agit « dès que j'aurai averti M. Orgon de ce que tu es », etc.
4. M. Deguy, La machine matrimoniale ou /WanvawlTSailimajd.
L'Information grammaticale n° 71» octobre 1996

Ce texte est issu d'un traitement automatique (ocr) et n'a pas été revu ou corrigé.
L'information grammaticale Année 1996 71 pp. 3-8
Paillet-Guth Anne-Marie. « Ah vraiment, mon frère, il y a bien d'autres nouvelles ! » : Information et implicitation dans Le jeu de l'amour et du hasard . In: L'Information Grammaticale , N. 71, 1996. pp. 3-8.
« Ah vraiment, mon frère, il y a bien d'autres nouvelles ! »
INFORMATION ET IMPLICITATION DANS LE JEU DE L AMOUR ET DU HASARD
Le Jeu de l'amour et du hasard, comme tout « jeu », présente une structure particulièrement fermée sur elle-même. La situation finale de la pièce, contrairement à la Double Inconstance, ne fait que reproduire la situation initiale, et la comédie ne cesse, de manière redondante, mais souvent implicite, d'en réfléchir les données : celles d'un double échange d'identité entre maîtres et valets. La lettre dans laquelle le père de Dorante dévoile le secret de son travestissement, brandie par M. Orgon à la fin de la pièce, est déjà exhibée et lue à Mario, figure du spectateur, dans l'exposition. La révélation finale n'est-elle pas une subversion du traditionnel coup de théâtre, puisqu'il ne fonctionne plus que pour Dorante ? Le spectateur, dès la scène 4 de l'acte I, connaît la situation et devine l'issue de la pièce. Occultée pour les principaux partenaires du « jeu », redondante pour le spectateur, l'information est donc soumise à un double mouvement d'occultation et d'exhibition, dont nous nous proposons d'analyser les effets contextuels. La spécificité de la structure dramatique du Jeu, liée au double travestissement, repose à la fois sur la dissymétrie qui s'installe entre le savoir des uns et l'ignorance des autres, et sur la réciprocité liée à la double méprise. Si le dialogue du Jeu s'écarte de la conversation ordinaire 0), ce n'est pas seulement parce qu'il en stylise et concentre les mécanismes, mais aussi parce qu'il subvertit un principe nécessaire à son bon fonctionnement : le partage d'une connaissance mutuelle de la situation. C'est sur une ignorance partagée que repose le dialogue du Jeu, et c'est en dépit - ou à cause - de ce dysfonctionnement fondateur que surgit le discours amoureux. Tel est l'enjeu de la pièce, mais aussi ce qui lui donne l'allure d'un jeu. Sur l'efficacité de la dramaturgie marivaudienne se greffe constamment un jeu ironique de réflexivité sur la référence situationnelle, qui fonde la complicité avec le spectateur.
Dans le langage dramatique, qui induit une double situation de communication, tout effet d'occultation ou de soulignement de rinformation concerne de façon privilégiée la relation du dramaturge au spectateur. En effet, le discours théâtral fonctionne, dans sa globalité, comme un « trope
1 . Voir sur ce point P. Larthomas, Le langage dramatique. Sa nature, ses procédés, Paris, Colin, 1 972. Quant au texte, on se réfère ici à l'édition de F. Deloffre et F. Rubellin, Théâtre complet, Classiques Gamier, tome 1, 1996.
2. Cf. Les interactions verbales, C. Kerbrat-Orecchioni, Colin, 1990, II.
communicationnel » (2) : l'acte de communication d'un locuteur-personnage L peut avoir à la fois un allocutaire direct, (un autre personnage), et un destinataire indirect, prévu et implicitement inscrit dans le discours de L, le spectateur. C'est lui qui est, en dernière instance, le destinataire principal, puisque c'est aussi l'auteur qui est à la source du texte dramatique. Tout acte de communication entre les personnages est donc lié à une intention communicative implicite du dramaturge envers le spectateur. Ainsi, tout au long de la pièce, l'isotopie de la nouvelle, comme la récurrence des verbes désignant le partage de l'information (savoir, prévenir, et avertir) (3) témoigne d'un jeu réfiexif implicite sur la circulation de l'information et sur les diverses évaluations de la situation d'interlocution.
1.1. Dans l'exposition, lieu où l'on avertit le spectateur, le jeu métadramatique sur l'isotopie lexicale de la nouvelle exhibe sa fonction informative conventionnelle : « La nouvelle que je viens t'annoncer te fera-t-elle plaisir ? » (I, se. 2) ; « Je te félicite de la nouvelle que j'apprends » (1, 3) ; « Qu'y a-t-il de nouveau, Monsieur? » (I, 4). Mais, comme dans toute bonne comédie, le partage de l'information est d'emblée lié à son contraire, celui du secret. L'information essentielle, celle du double déguisement, n'est donnée que de manière unilatérale. Livrée d'un côté, elle est occultée de l'autre. C'est ce double mouvement d'ostension et d'occulation, conditionnant le fonctionnement de l'intrigue, que souligne l'exposition. « Hâtez-vous, et qu'on donne le mot à toute la maison », s'écrie Orgon après l'idée qui vient à Silvia d'échanger son rôle avec Lisette. La « transparence de la Domus », figure de la scène, n'est voilée qu'au principal intéressé, celui qui voudrait lire dans le cœur de Silvia : « Le paradoxe est que ce secret des amants appartient d'abord aux autres » W. De l'autre côté, une première fuite conditionne la possibilité de l'intrigue, celle du père de Dorante, qui écrit à M. Orgon : « j'ai consenti à tout en prenant la précaution de vous avertir, quoiqu'il m'ait demandé le secret de votre côté ; vous en userez là-dessus avec la future comme vous le jugerez à propos... ». Dans la scène 4 de l'exposition, le spectateur apprend de la bouche d'Orgon, en même temps que Mario, mais dans un ordre inverse, la réciprocité des travestissements (5) : après avoir dévoilé le secret de !
3. Cf. On note trois occurrences du verbe avertir dans li
de l'acte I. Cf. aussi scène 5 : « vous savez de quoi il s'agit « dès que j'aurai averti M. Orgon de ce que tu es », etc.
4. M. Deguy, La machine matrimoniale ou /WanvawlTSailimajd.
L'Information grammaticale n° 71» octobre 1996


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Je suis heureuse de vous présenter ma toute première fanfiction sur les personnages du jeu Amour Sucré.
Je m'appelle Lucie et j'aurais 13 ans le 29 novembre. Je joue principalement à Amour Sucré où vous me trouver avec "lalis s se" comme pseudo. Je joue aussi à Mabimbo avec "moi12457" comme pseudo.
J'espère que vous apprécirez ce blog où j'essaierai de poster le plus vite possible mes chapitres.



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Résumé: Lucie vient d'emménager avec son frère,Castiel, et Lysandre dans une petite ville. Tout se passe normalement jusqu'au moment où un évennement inatendu se produit. Des mystères et des doutes vont s'installer progréssivement. Mais se qu'on veut savoir c'est : est-ce que notre héroïne va réussir à surmonter et accepter tout ça ? Je vous laisse lire ma fanfiction et l'a commenté.




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Prologue Salut, moi c'est Lucie. Mon frère, Castiel, et moi, avons emménagé dans une (petite) maison avec son meilleur ami, Lysandre. Demain, c'est le grand jour. Nous allons rentrer au lycée Sweet Amoris. Je suis un peu stressé...Et, depuis un certain temps, il se passe quelque chose de bizarre en moi quand je suis avec Castiel, mais quoi ? Bon, il serait quand même temps de dormir car demain est une nouvelle journée qui commence. Le lendemain : Je dors paisiblement jusqu'au moment où je sens un poids sur mon lit. J'ouvre un œil et regarde ce qui vient me dérangé. Ce n'est autre que mon cher et tendre frère qui vient me réveiller. Il me regarde fixement et éclate de rire. Quoi qu'est-ce que j'ai ? Moi : Pourquoi tu rigoles toi ? Castiel : Tu verrais ta tête !! Hahaha !!! Moi : Ba, en même temps tu viens me réveillé à... regarde le réveil 7h45 ?! T'aurais pas pû me réveiller plus tôt ?! Castiel : Tu étais tellement mignonne quand tu dormais que je n'ai pas voulu gâcher ça. Je bondis du lit et me dirige vers la salle de bain en croisant Lysandre. Lysandre : Bonjour Lucie .Bien dormi ? Moi : Salut Lysandre, ouais mais là, moi pas avoir le temps de parler...Moi dois tout de suite aller me laver, sinon moi en retard... Lysandre : *Et ba dis-donc, ce matin elle est rapide elle* Pas le temps de discuter, je file prendre ma douche après m'être déshabiller (logique ^^ ').Une fois sortit je m'enroule dans une serviette et chercher mes vêtements dans la salle de bain. Mais que je suis idiote !! Comme j'ai filé de suite prendre ma douche, j'ai oublié de prendre mes vêtements !! Je vais devoir sortir en serviette, mais bon, c'est pas la première fois que ça m'arrive ... Je cours donc dans ma chambre (toujours en serviette bien sûr) et me dirige vers mon armoire ou je met au moins 5 minutes à choisir une tenue convenable. Je choisis donc cette robe rouge et noir qui m'arrive un peu au dessus des genous avec de beaux escarpins assortis. Je me passe un coup de brosse et me voilà prete. Je descend avec mon sac de cours et rejoins Castiel et Lysandre qui sont prêts à partir. Moi :On prend pas de p'tit dej ? Castiel : Non mais t'as vu l'heure ?! On va être à la bourre si on se magne pas !! Tu mangeras mieux ce midi, va. Moi : Pfff...j'ai faim moi...Mais je vais t'écouté mon p'tit frère que j'aime !! saute au cou de Castiel et lui fait un bisou Castiel : Bon aller maintenant faut y aller !! Et Lysandre, tu pourrais m'aider à décollé cette chose qui est sûr moi steuplait ? Lysandre : Humm...Je ne sais pas si cette chose appréciera. Moi : C'est bon. Se détache de Castiel La chose a compris... Je me mis donc à bouder tout en marchant pour aller à mon nouveau lycée, mais comme mon frère est très gentil, il s'excuse et m'embrasse sur la joue. J'arrive lycée Sweet Amoris !!! 




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Chapitre 1 ( partie 1) Après avoir marché une bonne dizaine de minutes, Lysandre, Castiel et moi arrivons enfin au fameux lycée « Sweet Amoris ».Une petite dame habillé de la tête au pied en rose s'avance vers nous. Dame en rose : Bonjour vous trois !! Je suis la directrice. Vous êtes les nouveaux n'est-ce pas ? Aller voir notre délégué principal, Nathaniel pour tout les papiers et vous pourrez aller ensuite en cours. Part Moi : euh...oui Madame...* Eh ?! Mais elle nous a pas dit où on pouvait trouver le délégué principal !!!*Euh comment on fait maintenant ? On ne sait même pas où trouver ce délégué principal. Lysandre : On a qu'à chercher une salle où il pourrait être. Après tout, ce n'est pas de notre faute si après on arrive en retard en cours... Castiel : Peut être mais elle est vachement bizarre pour une directrice celle-là !! Bon, on rentre et on cherche une salle alors... Moi : Ok. Comme vous voulez...*Je sens que ça va pas être de la tarte...* On se dirige vers l'entrée du lycée. On explore tous les couloirs sans trouver le délégué. Après avoir fait le tour 2 ou 3 fois nous nous arrêtons à l'entrée du lycée où o voit un groupe de trois filles. Une blonde, une asiatique et une avec une tonne de piercings. Ca doit être des filles populaires mais avec une sal réputation...Mais on va quand même leur demander. D'ailleurs je vois Castiel qui avait déjà commencé à s'énervé après avoir marché en rond, s'approcher d'elles. Castiel : Eh !! Vous !! Vous savez où on peut trouver le délégué machin chose ?! La blonde : Oh ! Salut mon chou !! Comment tu t'appelles ? Moi c'est Ambre, la plus belle et la plus populaire du lycée !!Et elles c'est Li et Charlotte. Si tu veux je te passe mon numéro... ? Lysandre : On a juste besoin de savoir où ce trouve le délégué principal, le reste on verra ça après Mademoiselle !! Moi : Oui, donc Ambre, tu vas me dire où on peut le trouver sino je vais vite perdre patience là !! *Elle m'énerve vraiment celle-là !! En plus on dirait une barbie avec tout son maquillage !!* Ambre : Et là !! Toi tu vas me parler autrement, sinon je vais vite pouvoir te le faire regretter petite paysanne sans style !! Moi : Et ba, j'aimerais bien voir ça la barbie !! Rigole Ambre : Non mais tu vas v... Castiel : Bon, c'est bon ?! Tu as fini la blonde sans cervelle ?! Tu nous dis où on peut le trouvé maintenant ?! ???: Vous cherchez quelqu'un ? Lysandre : Oui, on cherche le délégué principal pour les papiers. ???: Ah ! C'est vous les nouveaux. Je suis le délégué principal, Nathaniel. Venez avec moi dans le bureau. Tout content, nous suivons donc Nathaniel. J'en profite pour le détailler. Cette un jeune
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