Voyeurisme au bord de la piscine
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Voyeurisme au bord de la piscine
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La chaleur avait anĂ©anti toute volontĂ© dans nos corps transpirants. AffalĂ©es dans le fauteuil du salon, toutes fenĂȘtres ouvertes, chaque Ă©bauche de mouvement demandait un effort surhumain et mĂȘme dans lâimmobilitĂ© la plus totale, tous les pores de notre peau suaient Ă grosses gouttes. Nous nâĂ©tions plus que deux larves attendant que les jours passent en maudissant le destin qui sâĂ©tait dĂ©sintĂ©ressĂ© de notre sort.
Je nâosais plus regarder vers le jardin, Ă travers la baie vitrĂ©e grande ouverte oĂč une piscine me tendait les bras. Une piscine entiĂšrement vide Ă cause dâune fissure apparue la veille de notre arrivĂ©e. MĂȘme pas un bain de pieds. Rien.
ClĂ©mence et moi avions passĂ© les mois de juillet et dâaoĂ»t Ă travailler durement en puisant notre courage dans les promesses du mois de septembre. La maison de son oncle dans les hauteurs provençales rien que pour nous. Un mois Ă sillonner la rĂ©gion et Ă trainasser dans la piscine sans nâavoir plus aucune obligation jusquâĂ la rentrĂ©e universitaire dâoctobreâŠ
Mais la canicule Ă©tait passĂ©e par lĂ . Interdiction de sâaventurer dans la nature Ă cause des risques dâincendie, une chaleur Ă assommer un Ăąne et pas de piscine pour nous consoler. Nous nâĂ©tions lĂ que depuis deux jours et cela semblait une Ă©ternitĂ©.
Un bruit dâeau remuĂ© nous a sorti toutes les deux de notre torpeur. Il provenait de lâextĂ©rieur et dans un mĂȘme Ă©lan attĂ©nuĂ© par la chaleur, nous nous sommes avancĂ©es dans le jardin, hypnotisĂ©es par ce son merveilleux.
Sur notre coteau qui dominait la rĂ©gion ne se trouvaient que deux maisons. Celle de lâoncle oĂč nous rĂ©sidions, et celle dâun voisin situĂ©e lĂ©gĂšrement en contrebas, un homme dâenviron soixante-dix ans et qui venait parfois passer lâĂ©tĂ© comme on nous lâavait expliquĂ© avant de venir. Et lâhomme possĂ©dait Ă©galement une piscine.
Depuis le bout du jardin, nous lâobservions faire ses longueurs dans son immense bassin couleur azur. Jâaurais tuĂ© pour profiter de sa piscine ne serait-ce que quelques minutes. Il Ă©tait lĂ Ă nous narguer (sans le savoir) et lâenvie de plonger nous obsĂ©dait tant que nous le regardions nager sans mĂȘme nous cacher. Nous sommes restĂ©es un long moment Ă contempler lâeau qui ondulait doucement au passage de ses longueurs lentes et rĂ©guliĂšres. Et quand il est enfin sorti, il sâest installĂ© dans un transat et nous a fait bonjour de la main.
Nous nous sommes reculées aussitÎt, soudainement conscientes de notre indiscrétion.
Nous sommes retournĂ©es dans la maison sans dire un mot, puis lâune de nous a brisĂ© le silence et trĂšs rapidement, nous nous sommes violemment disputĂ©es. Pour une broutille, un dĂ©tail. Parce que nous Ă©tions Ă bout.
Notre chamaillerie a Ă©tĂ© interrompue par la sonnette qui a retenti. Une Ă©chappatoire qui arrivait Ă point nommĂ©. ClĂ©mence est allĂ©e ouvrir et je lâai suivie. CâĂ©tait le voisin, un vieil homme grand et maigre, prenant visiblement soin de lui.
â Jâai cru comprendre que votre piscine Ă©tait HSÂ ? Vous pouvez venir profiter de la mienne. Maintenant, par exemple.
Cette invitation que nous aurions dĂ» accueillir comme un cadeau du ciel, une opportunitĂ© inespĂ©rĂ©e, nous a mis mal Ă lâaise. Il nây avait aucune chaleur dans cette proposition, aucune bienveillance. Nous avions presque lâimpression que câĂ©tait un ordre quâil nous donnait, quâil fallait remplir cette corvĂ©e obligatoire parce que câĂ©tait notre devoir. Et lâautoritĂ© naturelle du vieillard fonctionnait car sans mĂȘme nous concerter, nous sommes allĂ©es chercher nos maillots de bain et serviette et nous lâavons suivi. Ce nâest quâune fois au bord de sa piscine que ClĂ©mence et moi nous sommes regardĂ©es, comme enfin libĂ©rĂ©es de notre Ă©tat hypnotique. Et il a fallu nous concentrer pour ne pas rire.
Lâhomme sâest installĂ© sur son transat en nous observant attentivement. Nous Ă©tions toutes les deux habillĂ©es et avant de pouvoir faire notre plongeon tant rĂȘvĂ©, il fallait nous changer. Sous les yeux du vieil homme qui ne dĂ©tournait pas le regard. Nous nous sommes rapidement mis dâaccord : ClĂ©mence tiendrait la serviette de maniĂšre Ă me dissimuler pendant que jâenfilerais discrĂštement mon maillot de bain et nous inverserions ensuite les rĂŽles.
Se sentir ainsi observĂ©es nâĂ©tait pas trĂšs agrĂ©able mais la promesse de la fraicheur de lâeau nous rendait prĂȘtes Ă ce petit sacrifice.
Une fois toutes les deux en maillot de bain, on sâest approchĂ©es des marches qui descendaient progressivement dans lâeau. Lâhomme nâĂ©tait quâĂ quelques mĂštres de nous et il observait nos corps sans aucune gĂȘne. DĂšs que les remous de lâeau ont couvert nos voix, ClĂ©mence a murmurĂ© « vieux porc » et nous avons ri. La dispute Ă©tait loin, lâeau Ă©tait bonne et nous avons oubliĂ© rapidement notre spectateur.
Nous sommes restĂ©es deux bonnes heures dans la piscine sans aucun Ă©change avec le propriĂ©taire. En sortant de lâeau pour rejoindre nos serviettes, nous lâavons vu se redresser, comme particuliĂšrement intĂ©ressĂ© par ce quâil voyait. Câest-Ă -dire deux Ă©tudiantes jeunes, belles avec des formes avantageuses, comme il nâavait apparemment plus lâhabitude dâen voir dâaussi prĂšs.
Nous lâavons remerciĂ© en partant et il nous a demandĂ© de revenir le lendemain.
Une fois de retour dans notre maison, les rires ont fusĂ©. Surtout pour briser le malaise. Il Ă©tait Ă©vident que la seule raison pour laquelle le bonhomme nous invitait chez lui Ă©tait de pouvoir nous reluquer. Mais tant quâil se contentait dâobserver sans rien tenter, nous Ă©tions prĂȘtes Ă accepter le deal.
Alors nous sommes revenues le lendemain et le jour dâaprĂšs, et le jour encore dâaprĂšs, et chaque fois, notre hĂŽte nous observait depuis son transat sans rien rater du spectacle ni prononcer aucune parole. Et nous avons dĂ©cidĂ© de nous amuser un peu.
ClĂ©mence a eu lâidĂ©e en premier. Tandis que nous nagions dans lâeau turquoise, elle a commencĂ© Ă regarder le voisin dans les yeux. Je sentais quâelle allait tenter quelque chose, mais je ne savais pas encore quoi. Et le vieil homme aussi, car je lâai vu dĂ©glutir. Elle est sortie de lâeau, sâest positionnĂ©e au bord de la piscine ses fesses dans le champ de vision direct de lâhomme et elle a plongĂ© dans lâeau en prenant bien soin de bien pencher son dos, de maniĂšre Ă ce quâil puisse observer son postĂ©rieur parfait. Elle a recommencĂ© le jeu une fois encore avant de continuer Ă barboter avec moi.
Comme je lâinterrogeais une fois de retour chez nous, elle a rĂ©torquĂ© que le vieux nâavait pas beaucoup de plaisir et quâon lui devait bien ça.
â Et puis⊠Je ne sais pas comment expliquer. Au dĂ©but, je trouvais que câĂ©tait un gros vicelard, mais maintenant⊠Câest Ă©trange, mais ça me fait quelque chose dâĂȘtre contemplĂ©e de cette façon.
Elle avait choisi le terme avec soin : « contemplĂ©e »⊠Je comprenais ce quâelle voulait dire. Lâhomme admirait nos corps plus quâil ne semblait vouloir les possĂ©der. Nous nâĂ©tions pas dupe, il y avait du dĂ©sir dans son regard, mais câĂ©tait presque innocent. Son dĂ©sir nous rendait belles. Alors le lendemain, câest moi qui suis passĂ©e Ă la vitesse supĂ©rieure.
Nous nagions depuis une demi heure environ quand je me suis approchĂ©e du bord, prĂšs de lĂ oĂč le vieil homme nous observait. Jâai posĂ© mon menton sur la dalle chaude, en le regardant droit dans les yeux, et jâai glissĂ© le haut de mon maillot de bain sur le bord. Il a tressailli. Il a tentĂ© de garder contenance, mais jâai vu quâil perdait pied lâespace dâun instant. Puis je suis retournĂ© nager prĂšs de ClĂ©mence qui mettait la tĂȘte dans lâeau pour ne pas montrer quâelle pouffait.
Jâavais dĂ©sormais lâexclusivitĂ© de son attention. Il ne pouvait pas voir en dĂ©tail ma poitrine dont lâimage Ă©tait dĂ©formĂ©e par la surface de lâeau ondulante, mais il la devinait et il avait du mal Ă garder ses lĂšvres fermĂ©es. Si ClĂ©mence avait un fessier spectaculaire, je savais que mes seins faisaient des ravages chez les mĂąles qui croisaient mon chemin. Fermes et GĂ©nĂ©reux, ils Ă©taient difficiles Ă dissimuler et plusieurs fois jâavais notĂ© que le propriĂ©taire de la piscine tachait de deviner Ă quoi ils ressemblaient sous leur fine couche de tissu.
Puis au moment de sortir de lâeau, jâai attrapĂ© mon haut de maillot et jâai gravi les marches de la piscine en le gardant dans ma main, mes seins Ă lâair libre. Je me suis dirigĂ©e vers nos affaires et me suis emmitouflĂ©e dans ma serviette. Le vieil homme Ă©tait pĂ©trifiĂ© sur son transat, il sâĂ©pongeait le front du revers de la main. Il avait entraperçu mes seins une poignĂ©e de secondes Ă peine et je le voyais littĂ©ralement subjuguĂ©.
JâĂ©tais dĂ©jĂ en train de rĂ©flĂ©chir Ă ce que nous pourrions entreprendre le lendemain.
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PassionnĂ©e de mode, de design, dâart et de littĂ©rature, adepte dâun hĂ©donisme non Ă©gocentrĂ© : Le Plaisir est un art qui sâapprend et se partage.
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C'est dans une cabine de piscine que cette française est espionnée par un voyeur. Celui-ci a glissé sa spycam sous la paroi pour filmer sa chatte à loisir. Son audace nous permet de nous régaler en admirant cette jeune femme nue. Elle s'habille sans se douter de rien et on peut s'exciter à loisir en la matant.
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