Voulant essayer le bondage elles se font prendre à leur propre piège

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Voulant essayer le bondage elles se font prendre à leur propre piège

Prise à mon propre piège ! - histoire érotique
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Prise à mon propre piège !




Lasemelle


Feb. 7, 2018. Et selon le sentiment de John La Semelle, elle doit encore regretter avoir quitter Isabelle sans aller au bout de l^'expérience.





 

dommage, tu es partie trop tôt ,je me suis faite rasée par une esthéticienne une fille de 25 ans ,une rousse pas terrible mais une forte poitrine et une voix très douce.j'ai 55 ans et je voulais faire une surprise a mon mari.J'étais allongée en sous-vêtement elle m'enleva ma culotte et elle se mit au travail,de sentir ses doigts sur mes lèvres je commençais a être super excitée ,entre mes jambes je voyais ses gros seins qui frottaient mes orteils et je me mis a jouer avec ses tétons au bout d'un moment elle me dit il fait chaud et elle enlève sa blouse et je la découvre en sous'tif rouge vif et son slip très transparent ,j'avais le bras qui pendait et je sentie sa cuisse sur ma main alors je me mis a caresser son sexe au travers de sa culotte,elle m'enleva mon sous-tif et me suça les tétons et je sentie sa langue descendre sur mon ventre puis arriva sur mon sexe,alors que moi j'avais 2 doigts dans sa chatte
et j'astiquais son clito,elle m'offrit ses jolies tétons se fut une merveilleuse séance ,mon mari le soire dormi très rapidement et moi
je m'endormie dans mes rêves!





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Cette histoire est véridique, et s'est passée en 1999. A cette époque, mon mari Eric, a changé de travail pour travailler dans une petite boite avec son patron et la femme de son patron.
De part son travail, mon mari devait rester à la boite toute la journée avec la femme de son patron, que nous allons appeler Isabelle, pendant que Jean, son mari, était en clientèle à l'extérieur.
Dans un premier temps je n'ai rien remarqué de précis, mais au fur et à mesure j'ai trouvé que notre couple allait de plus en plus mal ... beaucoup de disputes, et souvent des chantages au divorce de la part d'Eric, ce qui n'était pas son habitude ... Il faut dire qu'en plus, nous voyons Jean et Isabelle pas mal de fois en dehors du boulot ... soirée chez l'un, soirée chez l'autre, bref j'ai fini par vite les trouver envahissants !.
Et j'ai commencé à psychoter : et si Eric avait une relation avec Isabelle ?. Depuis quelques temps, Eric me pousse pour m'épiler complètement le sexe, et a essayer de plus en plus la sodomie !. Dans les deux cas j'ai refusé. Ensuite il a remis ça pour les string, je n'aime pas !, c'est alors qu'il m'a dit "Isabelle elle en met !".
-« Comment tu sais ça toi ??? »
« -Il n'y a quoi voir ses fesses sous son pantalon, pas de trace ! »
Il faut dire qu'Isabelle est plutôt pas mal faite, brune, un accent du sud, jolie paire de fesse et poitrine honorable. Je ne l'ai jamais regardé de près, et j'avais du mal à savoir sil elle était chaude ou pas... à vrai dire je m'en foutais !
Elle était esthéticienne avant, et c'est avec ça que j'ai mis au point un petit scénario pour essayer de la confondre et voir si elle avait une relation avec mon mari ou pas ... Explications:
Isabelle m'avait proposé à plusieurs reprises de m'épiler !, étant donné qu'elle avait avant un cabinet en ville, elle avait gardé tout le matériel dans son garage et le remontais dans la maison en cas de besoin.
Au cours d'une soirée, je lui ai demandé si c'était toujours ok pour une épilation des aisselles et du maillot
"Pas de problème, ou se fait ça lundi prochain après midi, tu viens à la maison on s'enferme pour ne pas être dérangée !"
C'est ce que je voulais, surtout ne pas être dérangée !
J'avais bien fait exprès d'en parler devant mon mari, si mon plan marche comme prévu, je savais que mon mari allait demander à Isabelle de m'épiler complètement !!! et je serais alors fixée.
Le lundi suivant me voila en train de sonner à la porte le maison d'Isabelle, je me suis vêtue d'une jupe mi longue, petit pull en laine fin en haut, et dessous tout ce qu'il a y de plus correcte.
Isabelle m'ouvre, habillait comme souvent, d'un jean bien moulant marron et d'un tee short blanc assez décolleté.
"Bon alors viens dans le salon, j'ai installé la table ici, on sera bien, je te mets un peu de musique..."
Pendant ce temps, j'enlève mon pull et je me glisse sur la table en pensant commencer par mes aisselles.
"Enlève ta jupe de suite STP, on en sait jamais, je peux faire tomber de la cire dessus, comme ça tu ne risqueras rien"
je m'exécute et enlève ma jupe pour me retrouver en sous vêtements devant Isabelle : je ne suis pas spécialement gênée, nous nous sommes déjà baignée ensemble à la maison et nous nous sommes donc déjà vue en maillot de bain.
La séance commence, rapide ... Elle arrive ensuite au maillot. ... je vais savoir maintenant !
"Tu veux quoi comme épilation, maillot simple, brésilien, américain ?"
je ne connais pas l'américain ...
"C'est quoi l'américain ?"
"Totalement épilé pubis, lèvres et pli fessier"
Quel joli nom le "pli fessier" pour dire la raie des fesses !
"Mais je peux aussi te faire un brésilien, c'est à dire "ticket de métro" sur le pubis, et la totale sur les lèvres si tu veux ?"
je sentais que ça allait venir, mais elle ne m’avait pas encore parlé d'Eric.
Je laissais passer un peu de temps en faisant semblant de réfléchir, juste pour voir ce qu’elle allait dire … mais rien !
« euuuh, je ne sais pas finalement, j’ai bien une petit idée mais … et toi tu fais quoi ? »
Je lui tendais une nouvelle perche, mais elle ne la saisie toujours pas !
« moi tu sais, Jean m’a demandé assez rapidement après notre rencontre de m’épiler complètement … il dit que c’est plus joli et plus sensible …(petits rires), il n’avait pas tord ! »
Si maintenant elle voulait me parler de mon Mari, ça n’aurait pas eu l’air louche …
« mais Eric ne te demande rien toi ? »
Voila c’était fait ! , mais absolument pas comme je le pensais, c’est presque moi qui lui ai fait poser la question … mon plan n’a pas marché, me voila bien maintenant !
« Eric il veut comme Jean … pas étonnant, c’est un fantasme de mec ça !, mais d’abord je ne veux pas ressembler à une petite fille, ça me parait pas saint, ensuite je me demande bien ce que ça peut donner quand ça repousse ! »
« il faut le faire régulièrement … et pas de problème. Pour ce que ça donne, veux tu que je te montre ? »
Alors ça c’étais pas prévu ! … à force de faire l’idiote, me voila vraiment embêtée maintenant …
Sans que j’ai pu répondre quoi que ce soit, je vois Isabelle s’éloigner de la table, et, en s’approchant du canapé défaire son jean en me tournant le dos. Au moins je verrais si elle porte vraiment tout le temps des strings ! me disais je …
Et effectivement, elle portait bien des strings : un blanc en dentelle pour ce coup la. J’ai a peine pris le temps de le regarder qu’Isabelle porta ses mains de chaque coté pour l’enlever … cette fille ne manquait vraiment pas d’air !, je n’aurai jamais osé !
En se retournant vers moi, et en s’approchant à nouveau et me dit :
« voila ce que ça donne, regarde bien il n’y a personne qui ne l’a vu à part Jean !, et l’esthéticienne qui me le fait bien sur »
J’étais tétanisé sur la table, je n’avais pas bougé, j’aurai pu me relever mais je ne pouvais pas bouger !, je m’étais fait prendre à mon propre piège … je devrais tout arrêter maintenant, lui expliquer que j’avais essayais de la piéger mais que je m’étais tromper et partir … en courant ! quelle HONTE !, je pensais qu’elle se tapait mon homme, mais à priori ce n’est pas Eric qu’elle cherchait …. Comment faire ?
J’étais perdu dans mes pensées et je n’avais toujours rien dit et pas bougé, Isabelle me pris alors la main et la posa sur son pubis
« touche n’est pas peur, tu vas voir comme c’est doux »
Je ne savais plus ce que je faisais, j’avais l’impression de ne plus être la, Isabelle m’avait lâché la main et presque machinalement je continuais à la caresser, sur le pubis ….
Isabelle ne perdit pas de temps et commença à me caresser entre les seins en me regardant …
« Qu’est ce que tu en penses ? , je te choque ? »
« Non, non (tu parles !), c’est que … enfin c’est la première fois et puis …. »
Isabelle venait d’écarter un peu plus les jambes et sa main était maintenant sur l’un de mes seins qu’elle commençait à caresser plus fermement …
« va plus bas entre mes jambes, sur mes lèvres tu vas voir c’est super doux aussi »
Et moi comme une pauvre cruche je faisais ce qu’elle disais !
En passant mes doigts sur ses grosses lèvres, plus rapidement dedans, je me rendis compte qu’elle était tout humide …je ne mouillai pas comme ça moi !, mais maintenant que faire … je décidais de fermer les yeux tout en continuant à la caresser avec de plus en plus de précision … je ne sais plus ce que je faisais.
C’est à ce moment que j’ai senti Isabelle me prendre par la main et me tirer vers elle …
« viens sur le canapé on sera mieux pour parler »
Je la suivais en contemplant ses fesses devant moi, elle s’assit aussitôt sur le canapé devant moi et approcha ses mains de ma culotte pour l’enlever … je me laissais toujours faire … sans savoir pourquoi.
« effectivement tu as besoin d’une bonne épilation toi ! »
Puis elle me fit asseoir sur le canapé à coté d’elle.
« ferme les yeux et laisse toi faire » elle me poussa en arrière.
J’écartais machinalement les jambes et je sentis rapidement quelque chose de chaud sur mon sexe … elle me suçait ! ». C’était très bon, rien à dire de ce coté la, mais j’étais en train de me faire sucer par une femme !, ce n’étais pas possible. Je sentis alors ses doigts qui commençaient à me pénétrer doucement, c’était super bon … mais je commençais à reprendre mes esprits .. .j’ai ouvert les yeux, vu la tête d’Isabelle entre mes jambes qui semblait prendre beaucoup de plaisir … je lui ai pris le tête pour la relever
« écoute, c’est bon, mais je ne peux pas faire ça … »
« je comprend, tu as des remords par rapport à Eric ? »
En un éclair je me dis que peut être finalement j’allais savoir …
« oui, il ne me ferai jamais ça lui, à fortiori avec un homme mais pas non plus avec une femme … enfin le pense ! »
« de ce que le connais au bureau tu n’as rien à craindre il est réglo ! »
Je me relevais aussitôt n’ayant entendu pas ce que je voulais mais bon, j’étais rassuré et je me trouvais super idiote !, je me rhabille très vite devant Isabelle qui fait de même de son coté, sans s’ échanger un mot et je commence à quitter la pièce …
« mais ton épilation ?, tu ne veux pas non plus ? »
« non écoute, on a était trop loin …. »
Et je suis partie, morte de honte !
Par un miracle, Eric se fâcha peu de temps après avec Jean et quitta la société … depuis nous n’avons jamais revu Jean et Isabelle, je n’ai jamais parlé de cette histoire à Eric, mais je reste au fond de moi agréablement surpris par le peu que j’ai pu vivre de sexuel avec une femme .










Récit érotique écrit par Karine [→ Accès à sa fiche auteur] .
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Histoire érotique Publiée sur HDS le

10-11-2006 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Fin de cette histoire bdsm, totalement vécue.
Je tiens à préciser que là, nous étions en couple depuis 4 ans, nous apprenions à nous connaitre et à voir nos limites depuis tout ce temps et même un peu avant. Cette séance fait partie de notre jeu clairement établi, pas d’une jeune femme soumise à son premier RDV. Voici, un peu, comment dresser une soumise pleinement consentante et heureuse….
Finalement, si cette fantaisie BDSM vous a émoustillé, vous devriez aimer un autre moment que nous avons vécus : Soumise attachée au plafond et au mur.

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Cette histoire est véridique, il y a quelques semaines, Mademoiselle a oublié de piocher ses actions de notre jeu pour couple . Elle doit normalement le faire le 1er jour du mois. J’ai donc attendu, attendu… Et nous étions le 7 du mois, sans qu’elle n’ai pioché, j’ai donc réagis : en avant pour….
Très chère soumise, sous sommes le 7 du mois et vous n’avez point pioché. Vous voilà bien indigne de votre rang ! Afin de vous rattraper, quatre possibilités :
– Tu seras ma soumise une demi-journée, quand je veux.
– Tu seras ma soumise deux soirées, quand je veux. (à partir de ton arrivée jusqu’au couché)
– Tu n’auras pas de point pour les actions de ce mois-ci,
– Tu pioches 2 actions en plus ce mois-ci, pour lesquels tu n’auras pas de point.
Compte tenue de notre emploi du temps, elle a choisie la deuxième solution : être ma soumise deux soirées, quand je voulais.
Le temps a passé, et de de mon côté j’ai préparé quelques idées, puis je les ai regroupées et organisées. J’avais alors deux programmes assez bien ficelés, et j’ai demandé à ma soumise si elle préférait une séance avec beaucoup d’humiliation et peu de douleur, ou bien l’inverse, ou bien enfin un peu des deux. Elle a choisie les deux : humiliation et douleur dans une gamme modérée.
J’ai laissé le temps passer du nouveau jusqu’en décembre, jusqu’à un autre SMS :
Ce soir, ce sera une soirée où tu seras ma soumise.
Lorsque tu rentreras, tu resteras dans l’entrée. Tu poseras juste ton sac mais gardera tout ce que tu portes d’autres. Tu écarteras largement tes jambes, poseras les mains sur ta tête, fermeras les yeux. Puis, assez fort pour que je t’entende tu diras « Je suis là mon prince ». Je viendrais, et ferais différents jeux.
Ensuite, je t’ordonnerais de monter dans la chambre, tu porteras ce qu’il y aura sur le lit, plus des chaussures à talon. Tu te prépareras afin que tu sois prête à être prise par devant. Tu as le droit de t’exciter comme tu le souhaites, j’aimerai que tu sois proche de jouir. Ensuite tu m’écriras avec ton portable « Je suis prête ». Tu poseras ta tête sur le lit, et tu écarteras ton cul de tes mains. Tu seras bien cambrée.
Alors je te baiserais et jouirais en toi, ce sera rapide.
Toute la soirée, tu continueras d’être ma soumise, et obéira si j’ordonne. Si tu as des questions ou des envies au cours de la soirée, demande mon amour :)
J’ai alors rapidement reçu la réponse : « Bien mon Prince » , c’est d’ailleurs la réponse que j’attendais de ma soumise.
Quelques heures après, elle est arrivée, a posé son sac, c’est mise en position, puis j’ai entendu d’une voix anxieuse mais claire : « Je suis là mon Prince » . Je suis allé vers elle, et j’ai l’ai admirée : parfaitement en position main sur la tête, yeux fermées et cuisses largement ouvertes. Je l’ai saisi par le cou, je l’ai embrassée. J’ai passé ma main sous son pull et j’ai soulevé son soutien-gorge pour pouvoir la caresser sans la déshabiller, comme une chienne que l’on saisit comme on veut, quand on veut.
Je l’ai ensuite fais mettre à genoux, et lui ai demandée
Elle a alors sentis ma queue dure se coller à sa bouche, contre ses lèvres qu’elles a ouvertes pour me laisser passer. J’ai sentie sa l angue commencer à travailler, tandis que je faisais des vas-et-viens dans sa bouche. Je l’ai ensuite saisi par les cheveux pour m’enfoncer plus profondément, et elle a commencé à grimacer distinctement. Ma réponse ? J’ai enfoncé ma queue entièrement dans sa bouche, au fond de sa gorge et lui ai rappelé que c’était une putain à mon service.
Je l’ai ensuite menée au salon, juste à quelques mètres et je lui ai demandé de se mettre debout et de baisser son pantalon, puis la dentelle qui protégeait son intimité d’un regard direct. Elle remet les mains sur sa nuque, et je me place derrière elle. Je m’assure de son état et se ses souvenirs de nos mots de secours .
Une fessée s’abat, puis deux, puis trois, de plus en plus lourde sur son cul qui rougie très rapidement, ma soumise se cambre et crie. Elle peut crier, je sais que personne n’est autour de chez nous. Je la saisis par les cheveux, quatre, cinq, six . Elle continue de compter en criant. Je l’embrasse tendrement.
Je me suis assis sur le canapé, elle en face de moi, je lui ai ordonné de ce mettre entièrement nue, je la regardais en me caressant. Je lui ai demandé d’ouvrir sa chatte pour moi, et me dire dire ce qu’elle était :
Elle a honte de me le dire ainsi : nue au milieu de chez elle le cul rouge et la chatte humide. Puis ma chienne obéissante est venue s’agenouiller devant moi, je lui ai passé son collier avant de saisir doucement ses tétons.
Je commence alors a serrer ses tétons entre mon pouce et mon index, de plus en plus fort, elle se tord, résiste, encore et encore… Elle recule, se tortille, sert les dents. Je relâche l’étreinte un peu, elle soupire, puis je resserre de plus belle. Une larme perle, puis un souffle lui échappe « s’il te plaît », et je m’arrête immédiatement. Elle est soulagée, car elle sait que son avis n’est qu’un avis de chienne, et que je peux continuer si j’ai envie. Elle est heureuse de voir que j’ai suivis sa limite immédiate,
 et je l’ai fait justement car je l’ai vu attendre, attendre pour me rendre fier. Elle est allée au bout d’elle même, je profite du spectacle et ne va pas plus loin.
Je la récompense très brièvement, elle peut venir se coller contre moi. Puis je lui tends sa robe de chambre, et ses bottes fourrées. Elle ne comprends pas bien, mais enfile le tout. J’attache alors une laisse à son collier et l’ emmène dehors .
Je la fais s’agenouiller de nouveau, la terre est dure contre ses genoux fragiles. Je lui ordonne de se branler, ta
Il y a la passion dans ses yeux
Classique bouffeur de cul
Adorable Asiatique suce et baise une bite dans la voiture

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