Voil comment se dresse une esclave sexuelle

Voil comment se dresse une esclave sexuelle




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Voil comment se dresse une esclave sexuelle

Doctorant Ă  l’universitĂ© Jean-Moulin-Lyon-3 et juriste en droit des affaires
Chef de l’administration prĂ©sidentielle ukrainienne
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Longtemps
aprĂšs, on
m'a sortie du sarcophage et j'ai trébuché en
suivant la laisse qui me tractait. Mes talons ont sonné sur
du métal. Un escalier, des marches métalliques.
OĂč j'ai failli tomber.
 Une
conversation...



- Alors
Lieutenant, toujours la bitte au
vent ?



- Ah
Ah...
M'en parlez pas Sergent.
Dresser ces salopes n'est pas une sinécure. J'en ai parfois
des crampes.



Des rires gras
de
mĂąles.



- Madame la
Comtesse
va descendre pour
souhaiter la bienvenue
Ă  ce nouvel animal. Avance, animal.



La laisse se
tendit
et je suivis tant bien
que mal. 




Serrure, porte de
métal qui
s'ouvre, qui se referme. Encore un escalier. Une voix
féminine aux accents de faubourg.



- Voici donc
la
chienne qui fait triquer
mon Comte de mari. Blonde. trop blonde.



Elle me palpa,
me
pinça les
seins.



- Des gros pis
de
vache
laitiĂšre. Foutez la Ă  genou que j'y imprime ma
marque de propriétaire.




Je fus
jetée à terre
et soudain des Ă©clairs cisaillĂšrent ma poitrine.
On me cravachait férocement les seins.



- J' vous
laisse.
Fourrez la Ă 
lui faire fumer la chatte.
 




J'entendis les pas de la
femme qui
partait, une lourde porte métallique se refermer comme un
tocsin et mes bras furent entraßnés vers
l'arriĂšre m'obligeant Ă  me mettre debout avec la
sensation qu'ils allaient ĂȘtre arrachĂ©s.



Et je fus
violée. Je fus prise
sauvagement par les trous que j'avais d'ouverts. Ma bouche
déformée par le bùillon gode fut seule
épargnée, ne pouvant qu'émettre des
grognements lorsqu'un membre noueux me saccageait le ventre ou les
reins.



Enfin, ils me
laissĂšrent,
détachant mes bras et je m'écroulais, rompue sur
le sol dur.



Une botte me
repoussa et je glissai,
glissai sur une pente vers ce qui me sembla un abĂźme.



Ma
tĂȘte
heurta une surface
rugueuse et je perdis connaissance.





Comment dire ? Comment
expliquer ?



Je me souviens
de ces derniers instants oĂč je
n'étais pas encore aveuglée, comme de
clichés brutalement
éclairés par des éclairs.



Je n'appris
pas grand chose ce jour lĂ . Juste
des bribes dans mon dressage. Il allait me falloir du temps pour
comprendre
ce qu'il m'était demandé. Du temps que j'allai
payer dans
la douleur des tortures.




La Comtesse me
poussa dans la cage si Ă©troite
que l'on pouvait Ă  peine se retourner, encore moins se
mettre debout,
ni s'allonger.



Les godes de
métal enfoncés en moi étaient
presque insupportables. Ils se frottaient l'un Ă  l'autre
Ă 
travers les chairs qui séparaient mon anus et mon vagin et
leurs
aspérités me donnaient une sensation de
déchirement.
Quant aux piques qui tapissaient l'intérieur de ma ceinture
de chasteté,
elles s'enfonçaient dans mes chairs tendres dÚs
que je bougeais
un peu, dĂšs que je me penchais, dĂšs que je
serrais les jambes.



Pourtant dans
cette cage, j'étais obligé
de me recroqueviller et lorsque Madame la Comtesse, trouvant que je
n'obéissais
pas assez vite, me donna un coup de pied, la douleur soudaine m'arracha
un gémissement.




Je
m'enfonçai entre les parois de la niche, me
rĂąpant les Ă©paules sur les murs, me tassant dans
le fond.



La grille
tomba soudain. Le bruit, Ă©norme, me
surprit et je tombai sur les fesses, me cognai. Les godes me
pénétrÚrent
plus profond et les pointes de la ceinture s'enfoncĂšrent en
moi.
Je grognai un hurlement de souffrance.



- Retourne
toi, putain ! Sors la tĂȘte et apprends.
AprÚs le repas t'auras les yeux bandés
jusqu'Ă  ce
que tu sois dressée. Je te laisse en bonnes mains.



Elle
s'esclaffa : mais je
reviendrai te voir.




J'obéis
et je regardai La Comtesse grimper les
marches de la fosse.



-Oui les
chiennes, agitez vos langues pour gagner votre
pitance.



Alors toi,
voyons si tu récites bien tes leçons...
Oui c'est bien.



Et toi...
Active toi, fais la belle...




Mmmm et la
nouvelle ?



Il s'approcha
de moi, la verge luisante et tendue.




Je ne pus, me
réfugiai au fond de ce que je considérais
comme un abri et marmonnais dans le bĂąillon un sursaut
d'orgueil.



- Vous ne
pouvez pas, vous n'en avez
pas le droit. Je
suis la Comtesse de Saint-Brieuc




- Ah oui ? Et
bien nous allons voir
cela. Mais avant
tout la récompense pour la gagnante.



  

Il se dirigea
vers la premiĂšre cage, fit monter
la grille et sortit la fille.




Il
l'entraßna vers les marches métalliques
oĂč il l'allongea.




Elle
gémit lorsqu'il déverrouilla sa ceinture
et qu'il retira sans ménagement les plugs qui la bouchaient.



Puis il la
prit lĂ . Rapidement.




La fille se
tortillait, la poitrine écrasée
sur les marches et pourtant, lorsqu'il en eut fini avec elle, je
l'entendis
remercier son tourmenteur d'une voix déformé par
le bĂąillon
:



- Merci
MaĂźtre.



- A la niche,
chienne. Tu as droit Ă  double ration.



Je regardai
effarée tout cela. Elle obéit
et la grille retomba. L'homme, le Lieutenant, ouvrit le sac de
croquettes,
en remplit deux gamelles qu'il poussa du pied vers les cages de mes
deux
voisines. Les filles se jetĂšrent dessus dans un bruit
animal. La
bouche tenue béante par le bùillon, elles ne
pouvaient mĂącher
et suçaient, bavaient pour se nourrir. J'étais
dégoûtée...
Comment pouvait-on se comporter ainsi ?
 




Il cingla
alors la plante de mon pied, m'arrachant un
cri et je bougeai. " CLIC " fit
le petit boĂźtier et aussitĂŽt
une rafale de décharges électriques arqua mon
corps. Je hurlai,
secouée de tremblements incontrÎlés,
mon vagin, ma langue transpercés des milles aiguilles du
courant
Ă©lectrique que j'avais moi-mĂȘme
provoqué. Puis cela
cessa et je retombai lourdement sur la table.



- A toi de jouer
ma belle. Tu as compris ce qu'il faut
? Alors fais le. Ah voici ta compagne. Vous aller rester ensemble tout
l'aprĂšs-midi.



La fille, au
ventre distendu, était emballé
dans un sac de plastique noir et l'autre homme fixa sur le
bĂąillon
une sorte de robinet. Puis elle fut hissĂ©e, tĂȘte
en bas.



- Ne t'avise
pas de rendre l'eau que tu as bu. Le sac
est presque Ă©tanche, Ă  part cette valve pour ta
respiration.
Donc si tu pisses ou si tu dégueules, tu te noies. As tu
compris putain ?



Elle grogna
quelque chose et le Sergent lui asséna
une claque sur le ventre ce qui la mit en rotation. Dans un
gémissement
de douleur, la fille emballée se mit à tourner au
bout de la chaĂźne comme un vulgaire quartier de viande.



- Bon aprĂšs midi les
filles... A plus tard.




Ils
s'Ă©loignĂšrent en riant. La grille
fut refermée, la lumiÚre éteinte et
l'obscurité nous enveloppa à peine
teintée par la lueur
rougeùtre des voyants du générateur
Ă©lectrique.



Un aprĂšs-midi ? Une
éternité.



Il faisait froid dans la salle.
Et humide aussi. L'odeur
de la peur et de la souffrance Ă©tait palpable. La pince
dévorait ma langue tendue, crispée, douloureuse
qui peu Ă 
peu se relĂąchait.



Il y avait alors le "
CLIC "
et brusquement des décharges
Ă©lectriques
déchiraient ma chair. Puis cela cessait. Jusqu'à
la prochaine
fois.



Non loin de moi, j'apercevais
son ventre enflé,
la fille geignait doucement, gargouillait, s'Ă©tranglait
parfois.
Ces soubresauts la faisaient tournoyer, provoquant un courant d'air qui
glaçait mon corps trempé de mauvaise sueur.





 IntermÚde




(le
lendemain du vol de Laureline)







TĂŽt
le matin, un
bruissement
continu qui agitait le chĂąteau Ă©veilla le Prince.
On frappa
Ă  la porte de ses appartements et sans attendre une esclave
se précipita,
essouflée pour s'agenouiller devant le Prince que le
bruit avait fait lever. La
colÚre d'avoir été
dérangé si tÎt le rendait redoutable,
tout autant que
sa nudité qui vibrait encore de la nuit passée.
Il se tenait
debout devant l'esclave prosternée et
tremblante. AgnĂšs,
la gouvernante des
esclaves, les yeux ensommeillés et encore engourdie du
plaisir que
son MaĂźtre avait pris en elle et de la profonde jouissance
qu'il
lui avait accordée, se redressa sur la couche et les
chaĂźnes de jeu qui
l'immobilisaient, tintinabulÚrent une mélodie en
mode mineur.
Le temps passait avec une
lenteur terrible, rythmé
quotidiennement par le repas, la flagellation, les viols, les tortures
infligĂ©es et les nuits trop longues oĂč il fallait
trouver
une position pour sombrer dans un sommeil douloureux. Je
n'Ă©tais
plus une esclave, ni mĂȘme un numĂ©ro.
J'Ă©tais la chienne,
la putain, la salope.  
Parfois j'Ă©tais
méritante et en satisfaisant
un Maßtre ou la Maßtresse, je méritais
un " petite pute
" et j'Ă©chappai au chĂątiment
supplémentaire. La ceinture
m'était alors enlevée, j'étais prise,
lĂ , sur
les marches ou sur le sol et je restais nue jusqu'au soir, le ventre et
les reins libres. Mais surtout on me sortait dehors, je ne sais
oĂč
car mes yeux restaient bandés. Là, à
l'air libre, je pouvais respirer l'air de
l'extérieur, sentir le soleil sur ma peau nue. Des cris
autour de
moi, ou les claquements d'un fouet me faisaient sursauter mais ce
n'Ă©tait
par pour moi. J'Ă©tais presque bien ainsi. Oh bien sur, je
payais
de ma personne. J'étais attachée à
genou, mes cuisses
maintenues grande ouvertes par des fers et une chaĂźne
accrochée
à l'anneau de mon nez me maintenait penchée sur
une sorte
de rondin Ă©pineux. J'Ă©tais ainsi Ă 
disposition de
tout le monde et l'on m'utilisait tout l'aprĂšs-midi. Je
crois mĂȘme
que l'on payait le Lieutenant pour m'avoir. Mais j'Ă©prouvais
presque
du bonheur Ă  ĂȘtre ainsi
récompensée.  
L'asservissement




de
la Comtesse Laureline de
Saint-Brieuc
Il avait en
effet quatre... cages ? Clapiers ? Niches ?
Dont trois étaient occupées par des filles
accoutrées
comme moi si ce n'est qu'elles avaient les yeux bandés.



- Tu vas
rester lĂ  dedans jusqu'Ă  ce que
tu sois bien dressée. Tu auras ton masque toi aussi, comme
elles
mais pas aujourd'hui. Alors regarde bien. N'en perds pas une miette.
Apprends.



C'est l'heure
du repas. Tu vois celle ci ? Elle est bien
dressée. Elle attends l'ouverture des trappes pour servir et
avoir
sa récompense. L'autre aussi. Mais la salope au bout ne veut
rien
savoir. DĂ©jĂ  hier, elle n'a pas sorti la
tĂȘte. Elle
n'a donc pas mangĂ©. Mais aujourd'hui, elle va ĂȘtre
nourrie
de force. Et punie.



Sache en tout
cas que la rĂšgle ne change pas.



Tu es ici pour
apprendre Ă  ĂȘtre une salope
docile. Et crois moi tu vas l'apprendre. Que tu le veuilles ou non. On
te torturera simplement plus ou moins fort.



Allez, rentre
lĂ  dedans !
Le
Lieutenant, saisissant la chaĂźne de mon collier
de fer, me tira hors de la cage. Trébuchant sur mes jambes
entravées,
le ventre blessé par la ceinture de chasteté, les
poignets
liés dans le dos, je ne pus que le suivre vers les salles de
tortures.



Je ressens encore l'effroi qui me
saisit lorsque le Lieutenant,
d'une bourrade, me fit franchir le seuil de la premiĂšre
salle.



Je ressens encore l'effroi lorsque
je vis la fille déjà
attachée sur la table d'étirement, que je
m'aperçus
qu'elle n'était pas marquée, qu'elle avait donc
été
enlevée et asservie en toute
illégalité.



Je ressens encore
l'Ă©touffement de mon collier
accroché au treuil, le bourdonnement du moteur qui m'obligea
Ă 
me hisser sur la pointe d'un pied sous peine
d'étranglement. 
- Ne bouge pas,
salope. Je m'occuoe de toi dans quelques instants...
Je ressens encore les tremblements
qui me saisirent lorsque
je compris ce qui allait ĂȘtre infligĂ© Ă 
la fille.



Encore un bourdonnement et son corps
qui s'Ă©tirait
sur la table. Et l'entonnoir enfoncé dans sa bouche. Et les
tuyaux.
Et l'eau qui coulait.



J'entends encore les bruits de
déglutition alors
que la fille s'efforçait d'avaler le liquide qui
s'engouffrait en
elle. Et je revois encore son ventre qui s'arrondissait, qui enflait.
Et
le Sergent qui s'allongeait sur elle, violant ses chairs distendues.
s'exclama le Lieutenant. Il
décrocha la laisse et m'entraßna vers la
deuxiĂšme salle.
- Mais rassure toi, elle te
rejoindra tout Ă  l'heure.
Plus tard les
hommes revinrent.



Tandis que le lieutenant
coupait le générateur,
ĂŽtait la pince, ce qui me fit crier de douleur ; l'autre
homme décrocha la fille, la jeta à terre, la
déballa et lui fit rendre son eau.



Toujours
attachée, les muscles
tétanisés
par la position dans laquelle j'étais restée des
heures, j'entendis les rĂąles de la fille, ses bruits
immondes.



Une présence,
une chaleur me fit ouvrir les yeux.
- Alors putain, toujours
récalcitrante ? LÚche
moi ! Et arrange toi pour que je trouve mon plaisir sinon tu restes
lĂ  toute la nuit.



J'obéis
servilement,
sans réfléchir ni
protester. Ma langue me
faisait mal mais qu'importe.



Enfin il jouit. Son
sperme m'inonda le visage et c'est ainsi qu'ils me
ramenĂšrent dans ma cage, qu'ils me
bandĂšrent les yeux avant de m'y enfermer pour longtemps.



TrĂšs
longtemps. 

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Sujet: Les punitions et "dressage" de l'homme (Lu 14136 fois)





Clemclem


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« le: février 08, 2016, 04:39:38 pm »
Bonjour, Ma jeune KH a encore un peut de mal a se faire respecter et j'aimerais connaitre quelques "trucs" pour punir et dresser. Car actuellement, je suis d'aprÚs elle, un peut trop insistant sur les actes sexuels ect. Alors, si la punition de la douche froide peut marcher, ou celle d'une "journée de plus" (ou plus !), la cire pourquoi pas, j'aurais aimé plus d'idées pour qu'elle puisses jouir plus sereinement de la tranquilité que la ceinture lui doit. Merci d'avance !

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