Voeur chez une teen de 18 ans

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Un adolescent peut-il ĂȘtre emprisonnĂ©?
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Un adolescent est responsable de ses gestes criminels dĂšs l’ñge de 12 ans. S’il commet une infraction criminelle, il recevra gĂ©nĂ©ralement une peine adaptĂ©e. Mais dans certains cas, il pourrait ĂȘtre puni aussi sĂ©vĂšrement qu’un adulte.
D’habitude, un jeune de 12 Ă  17 ans qui commet une infraction criminelle (un « crime ») n’est pas puni comme un adulte. La loi prĂ©voit des peines spĂ©cifiques pour les adolescents.
Un adolescent peut recevoir une peine aussi sévÚre que celle prévue pour un adulte jugé pour un crime identique. Mais ces cas sont rares.
Pour qu’un adolescent reçoive une peine pour adultes, les conditions suivantes doivent ĂȘtre remplies:
Le procureur aux poursuites criminelles et pĂ©nales est l’avocat de l’État. C’est lui qui poursuit l’accusĂ© dans un procĂšs criminel .
Il peut demander au juge du tribunal pour adolescents de donner Ă  un jeune une peine pour adultes.
Pour obtenir ce qu’il demande, il doit rĂ©unir certaines conditions.
Le tribunal Ă©valuera plusieurs critĂšres concernant l’adolescent et l’infraction dont il est accusĂ©. Il peut s’agir, par exemple, de:
Un exemple? La peine maximale pour un adolescent accusĂ© de tentative de meurtre est de trois ans de mise sous garde et surveillance . S’il est puni comme un adulte, il peut ĂȘtre condamnĂ© Ă  la prison Ă  vie.
Autre exemple. D’habitude, la vie privĂ©e d’un adolescent qui a commis une infraction criminelle est protĂ©gĂ©e. Les informations qui permettent de l’identifier ne peuvent pas ĂȘtre publiĂ©es dans les mĂ©dias. Mais un jeune accusĂ© qui reçoit une peine pour adultes n’a pas droit Ă  cette confidentialitĂ©.
L’information qu’Éducaloi vous offre explique de façon gĂ©nĂ©rale le droit en vigueur au QuĂ©bec.
Il ne s’agit pas d’un avis ou d’un conseil juridique.
Pour connaĂźtre les rĂšgles particuliĂšres Ă  votre situation, consultez un avocat ou un notaire .
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Une jeune femme violemment agressée par des ados en pleine rue à Béziers

Mardi 2 février 2021 à 5:35
- Par Stefane Pocher , France Bleu HĂ©rault , France Bleu







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Une plainte a été déposée par une jeune femme aprÚs avoir été violemment prise à partie par deux jeunes filles à Béziers. Une agression filmée, insoutenable, dénoncée par Robert Ménard. La victime a été insultée et giflée à plusieurs reprises, sans aucune raison, et rackettée.
Info France Bleu. Attention, les images de la vidĂ©o sont violentes et peuvent choquer . La vidĂ©o de l’agression d’une jeune femme de 18 ans Ă  BĂ©ziers est largement diffusĂ©e et commentĂ©e depuis quelques jours sur les rĂ©seaux sociaux. La victime est prise Ă  partie par deux jeunes filles (16 et 19 ans) issues de la communautĂ© gitane. Une complice filme avec un tĂ©lĂ©phone portable volĂ©e. Les images sont violentes. L’agression s’est dĂ©roulĂ©e le 27 janvier 2021 dans la montĂ©e de l’Avenue de la Marne, en contrebas des Restos du CƓur. 
Reportage France Bleu Hérault - Stéfane Pocher
La victime tĂ©tanisĂ©e se laisse taper dessus sans rĂ©agir. Des dizaines de gifles, des coups-de-poing donnĂ©s, les cheveux arrachĂ©s en prĂ©sence d’un jeune garçon d'Ă  peine cinq ans. La victime venait de quitter la Maison de quartier Martin Luther King sur les bords de l'Orb oĂč elle effectue un stage.
Elle regagnait la gare routiĂšre, pour rentrer chez elle sur le littoral. Tout au long de son trajet, elle est malmenĂ©e par ses tyrans. Sur d’autres vidĂ©os en notre possession, la victime est agressĂ©e par ces mĂȘmes jeunes filles . Robert MĂ©nard a aussitĂŽt saisi le commissariat de BĂ©ziers aprĂšs avoir Ă©tĂ© alertĂ©. 
"J'ai Ă©tĂ© sidĂ©rĂ© comme tout le monde en voyant les vidĂ©os. Comment est-il possible qu'une gamine s'en prenne Ă  une autre avec une telle violence ? Mais qu'est-ce qu'ils ont dans la tĂȘte ces gosses ?"
''Dans quelle société sommes-nous ? Pourquoi autant de violence. Et en plus elles se font filmer ''- Robert Ménard
" Cela doit ĂȘtre terrorisant de tomber sur quelqu'un qui fait preuve d'une telle violence. D'autant, qu'il y a plusieurs vidĂ©os de la mĂȘme personne. C'est une folie de taper sur les gens ainsi. Il y a quelqu'un qui a filmĂ©. Cela veut dire qu'ils frappent et filment. C'est impensable." 
Une enquĂȘte a Ă©tĂ© ouverte aprĂšs la plainte de cette derniĂšre. La victime a Ă©tĂ© entendue. Lors de son audition, cette derniĂšre, choquĂ©e a d'abord expliquĂ© qu'elle avait Ă©tĂ© agressĂ©e par de jeunes garçons avant d' identifier finalement ses tyrans . Deux des trois agresseuses ont Ă©tĂ© interpellĂ©es et placĂ©es en garde Ă  vue ce lundi. La troisiĂšme Ă©tait toujours recherchĂ©e hier soir.
Les vidĂ©os de cette agression ont Ă©tĂ© retrouvĂ©es par chance sur un tĂ©lĂ©phone volĂ© et retrouvĂ© Ă  Montpellier. L'appareil appartient Ă  une Biterroise de 14 ans, qui avait elle-mĂȘme Ă©tĂ© agressĂ©e par ces mĂȘmes jeunes filles. Son appareil avait Ă©tĂ© vidĂ© de ses propres vidĂ©os et photos.
Mais un logiciel lui a permis de les retrouver. L'adolescence découvre alors que son téléphone a été utilisé pour filmer cette agression . Plusieurs vidéos réapparaissent. C'est alors la stupéfaction en les découvrant.
Les parents de la victime avaient lancĂ© un appel Ă  tĂ©moins sur Facebook , pour identifier les auteurs de cette agression. Suite aux messages, d'autres victimes racontent alors avoir subi des violences du mĂȘme type.
C'est le cas d’InnĂ©s (prĂ©nom modifiĂ© Ă  sa demande). Cette mĂšre de famille de 43 ans, qui a l'intention de porter plainte , a elle aussi Ă©tĂ© agressĂ©e par ces mĂȘmes jeunes filles, il y a un peu plus d'un mois et demi. Elle se promenait avec ses enfants. " Quand j’ai vu les vidĂ©os sur les rĂ©seaux sociaux, je n’en ai pas dormi de la nuit. " 
"Je ne comprends pas cette violence gratuite."
''Je ne comprends pas cette violence gratuite'' dit une maman de 43 ans, qui a déjà eu une altercation avec les adolescentes.
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Claire Holsteyn : « A 12 ans, il mesure 3 à 5 cm au repos, et 8 en érection. A l'ùge adulte, en moyenne 9 cm au repos et 16 en érection. Le pénis grandit tout au long de la puberté qui finit, chez les garçons, vers 17 ans. Mais ce n'est pas sa taille qui compte (et elle n'a pas de lien direct avec le plaisir donné et reçu), c'est la façon de s'en servir et, comme disaient nos grands-mÚres, mieux vaut une petite travailleuse qu'une grosse fainéante ! »
C. H. : « Non, c'est plutĂŽt trop tĂŽt ! La majoritĂ© sexuelle est Ă  15 ans , l'Ăąge qui permet d' avoir des relations sexuelles avec la personne de son choix Ă  condition qu'elles soient librement consenties. Ton corps doit ĂȘtre prĂȘt physiologiquement ! La moyenne d'Ăąge de la premiĂšre fois, 17 ans, n'est qu'une moyenne ; certains le font plus tĂŽt, d'autres plus tard. A chacun son rythme, comme quand, petit, on apprend Ă  marcher. En Ă©coutant parler autour de toi, tu peux penser que tous les autres l'ont dĂ©jĂ  fait et te croire en retard, mais mĂ©fie-toi de ceux qui parlent beaucoup. Ce ne sont pas ceux qui en font le plus ! Parfois, il vaut mieux attendre un vrai dĂ©sir , que la fille t'attire vraiment pour que ce soit super. »
C. H. : « Non. Par réflexe, quand le pénis est en érection , l'orifice de la vessie se ferme grùce aux muscles qui l'entourent, et seul le sperme peut sortir . »
C. H. : « Certainement ! Les garçons ont généralement une éjaculation , et donc un orgasme , dÚs les premiÚres fois. Ils ont en cela une longueur d'avance sur les filles. Ensuite, avec l'expérience, cette courte jouissance s'amplifiera. »
C. H. : « Prends le temps de l'apprivoiser, surmonte ta timiditĂ©, prends-lui la main, sois tendre, elle n'attend peut-ĂȘtre que cela ! Et patiente, ce qu'on a dĂ©sirĂ© longtemps, on l'apprĂ©cie d'autant plus. Mais ne lui mets pas la pression pour qu'elle fasse l'amour avec toi, cela risque de gĂącher une relation qui pourrait ĂȘtre belle... Et puis tu n'es pas obligĂ© de faire l'amour avec toutes les filles avec qui tu sors !»
C. H. : « C'est un plaisir solitaire qui soulage les tensions et les pulsions, et peut t'aider à mieux connaßtre comment tu fonctionnes au niveau plaisir et à maßtriser tes orgasmes . La plupart des garçons se caressent le pénis pour se procurer une jouissance, certains occasionnellement, d'autres réguliÚrement. C'est intime, sans danger, mais ce n'est absolument pas une obligation ! »
C. H. : « C'est fréquent au début et fait partie des petits ratés de l'apprentissage. On n'est pas sûr de soi, stressé par la peur de « débander »... et on éjacule avant d'avoir pénétré sa partenaire, ou tout au début de la pénétration. Peu à peu, tu apprendras à te contrÎler, à garder l'érection plus longtemps, et à te retenir pour laisser à ta partenaire le temps de ressentir des sensations. Et son plaisir décuplera le tien ! »
C. H. : « Ce n'est pas grave d'en regarder occasionnellement, la plupart des garçons s'en servent, comme des revues Ă©rotiques , pour s'instruire sur le sexe. Mais c'est dommage d'en prendre l'habitude. Si c'est pour toi une drogue, demande-toi pourquoi. Parce que tu ne fais pas l'amour en vrai ? Parce que tu crois avoir besoin d'un prof ? Cela se dĂ©couvre Ă  deux, et les films ne t'aident pas, car Ă  vouloir faire pareil, tu te prives d'explorer des choses par toi-mĂȘme. Ces films sont d'ailleurs interdits Ă  la vente aux moins de 18 ans. »
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