Vilaine garce prend sa punition

Vilaine garce prend sa punition




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Vilaine garce prend sa punition
Texte établi par Société des bibliophiles cosmopolites. Éditeur scientifique, Imprimerie de la société cosmopolite , 1889 ( p. 5 - 178 ).
book Jupes troussées E. D. Imprimerie de la société cosmopolite 1889 Londres V D - Jupes troussées, 1889.djvu D - Jupes troussées, 1889.djvu/13 5-178 
Extraits des mémoires du R. P. Chapelain de l’abbaye de Thétieu (1780–1788), copiés textuellement sur les souvenirs écrits de sa main, trouvés dans son secrétaire après sa mort.
Ces deux pièces de vers, chef-d’œuvre du genre, sont extraites des Souvenirs rimés de l’aumônier du couvent des Lorettes de L. vers 1830.
Beau tendron de quinze ans, que le fouet va punir
Puisque ceci pour vous n’est qu’un amusement,
Ses lèvres s’entr’ouvrant, comme pour un baiser,
Soit qu’il cingle la raie entre les tendres fesses,
Sœur Tourment, l’œil chargé de désirs amoureux,
      La belle est condamnée à subir en secret
Qui tombe en fouettant l’air d’un affreux sifflement
Flic, flac, il faut pourtant qu’il ait son tour aussi.
Flic, flac, cache-toi donc, ou nous allons, beau sire,
Votre gros cul meurtri se tord sous la souffrance,
Il faut pourtant qu’il soit dans tous les coins haché ;
Je viens sans plus tarder l’attaquer par derrière.
Vient hacher en sifflant, les chairs qu’on voit se tordre
J’aime à voir gigoter ce gros cul sous mes coups ;
Flic, flac, n’oublions pas l’ami dans son repaire ;
Flic, flac, ah, ah, ceci ; mignonne, doit lui plaire,
Il brûle, il fume, il saigne, et comme il doit vous cuire !
Cependant sous les coups les deux fesses bondissent,
(Ce récit est la traduction littérale d’une lettre de mon jeune ami, sir John Seller, qui a assisté, déguisé en femme à la séance qu’il me décrit sur ma demande. Il m’en avait déjà fait le récit, mais j’ai préféré pouvoir traduire ici sa relation, que de me fier à ma mémoire).


Dernière modification il y a 2 ans par Cunegonde1


Un bibliophile français de mes amis, chercheur
érudit et infatigable a réuni une
collection d’anecdotes sur la flagellation à
diverses époques, collection que nous avons à
notre disposition, jointe à ses souvenirs personnels.
Nous donnons ici une partie de ses
souvenirs, et à la suite, quelques extraits de
sa collection, pour ne pas grossir démesurément
le volume. Si la présente publication obtient
auprès de nos lecteurs le succès que nous sommes
en droit d’en espérer, je m’empresserai
de publier la suite de la collection, qui pour
ma part m’a vivement intéressé, par le charme
du récit, et par le piquant des descriptions
des jolies seines qui s’y déroulent, et qu’on
sent prises sur le vif. C’est comme le panorama
de la discipline, de la fin du siècle
dernier à nos jours.

Je laisse la parole au bibliophile, me bornant
à coordonner son manuscrit, qui est un
peu éparpillé et à le publier sans la moindre
retouche, qui ne pourrait qu’être préjudiciable
au texte.

omment je devins professeur d’anglais,
dans le pensionnat que
dirigeait madame Tannecuir dans
une des plus grandes villes de
France, cela importe peu à ce récit. Il suffit
de savoir qu’un mois après mon installation
dans l’établissement, j’avais acquis un autre
titre auprès de la maîtresse, qui était devenue
doublement la mienne. Après un siège assez
court et bien mené, la place s’était rendue
à discrétion.

Madame Juliette Tannecuir, veuve depuis
deux ans, était une fort appétissante brune
de vingt-six ans, dans tout l’éclat de sa beauté,
ardente comme un tison, fusillant les gens
de ses deux grands yeux noirs, vifs et brillants
comme des escarboucles. Son corps moulé
avait atteint ce degré de la forme parfaite,
qui fait la femme accomplie. Ses charmes
amplement développés, sans exubérance, tendaient
sur les chairs pleines, rebondies et
fermes, une peau satinée, lisse, unie, comme
un tissu tiré sur un métier, à ne pouvoir pas
la pincer dans les doigts. Une gorge adorablement
potelée, coupée par une vallée profonde,
s’écartait en deux mamelons gros et
résistants, bombant le corsage d’un relief hardi ;
deux roses du paradis s’épanouissaient vermeilles
sur la neige éblouissante des demi-globes
satinés, que je comblais toujours avec
ravissement, des plus tendres caresses ; une
peau uniformément blanche enveloppait la
chair épaisse, coupée au bas du ventre par
une superbe fourrure noire, épaisse, fournie,
touffue, formant un magnifique verger de
Cypris, qui ombrageait l’entrée du temple de
Cythère, dans lequel je faisais très-volontiers
de fréquentes dévotions ; une admirable chute
de reins, terminée par un somptueux
reposoir, qui gonflait les jupes d’un audacieux
rebondissement.

Avant de contempler sans voiles ces magnifiques
trésors, je les avais devinés ; mes
regards avaient sondé si souvent les arcanes
discrets de ces voiles épais, les pénétrant
avec une telle acuité, que j’aurais pu les
décrire avant de les connaître, et quand je
les découvris pour la première fois, quand
je pus les palper tout à mon aise, sans obstacles
gênants, il me semblait retrouver des
charmes familiers et connus, et je leur fis
l’accueil d’un ami intime, en y ajoutant les
démonstrations enthousiastes d’un fervent adorateur.
Chaque fois cependant, que ma charmante
maîtresse s’offrait à moi dans le costume
d’Ève avant sa faute, je découvrais un
nouveau trésor, et ma passion augmentait
ainsi chaque jour d’intensité, par cette précieuse
découverte.

Le pensionnat de madame Tannecuir comptait
environ 80 élèves de 12 à 18 ans. C’était
la règle dans la maison, de châtier les
écolières indisciplinées, par la fessée manuelle,
ou par le martinet, quelquefois par les deux
corrections appliquées l’une après l’autre, la
première précédant la seconde, pour rendre
celle-ci plus cuisante ; les verges ne servaient
qu’à de rares intervalles, et pour les délits
graves ; pour les fautes qui nécessitaient une
correction très sévère, le châtiment se terminait
quelquefois, par l’application de quelques
terribles cinglées d’une petite cravache de
dame, qui déchirait la peau, rendue extrêmement
sensible par la fustigation préalable.
La main et les lanières, sans détériorer la
partie châtiée, à moins d’une correction très
violente et prolongée, offrent un châtiment
suffisamment douloureux, pour être en général
efficace.

Je n’avais pas encore assisté à une cérémonie
de ce genre. Au commencement de
notre liaison, je m’aperçus que certains jours
mon adorable maîtresse, absolument affolée,
se démenait comme une possédée entre mes
bras, ne me laissant de répit que quand
elle avait épuisé ma vigueur, et encore après
avoir constaté la détresse de son serviteur,
elle m’implorait si tendrement, que je ne lui
refusais jamais le petit supplément exquis que
l’on devine. Les autres jours, quoique toujours
très ardente, elle était plus modérée.
Je connus bien vite le motif de ces alternatives
de rut violent ; ces rages amoureuses
la prenaient chaque fois qu’elle avait fouetté
quelque joli derrière.

Je ne lui laissai pas de cesse, qu’elle ne
m’eût fourni la facilité d’assister régulièrement
à ces séances émoustillantes. On changea le
local affecté à ce genre d’exercice, local peu
propre au but cherché, et on transporta le
centre des opérations dans un appartement
bien éclairé, spacieux, confortable, qui donnait
dans un cabinet très obscur, lequel communiquait
avec la chambre à coucher de
madame Tannecuir, reliant les deux pièces
par deux portes vitrées. L’obscurité qui régnait
dans le cabinet, permettait de voir sans
risquer d’être vu, confortablement installé
dans un vaste fauteuil, qu’on roulait auprès
de la porte vitrée.

La première occasion se présenta le lendemain.
Une méchante écolière, Charlotte de
C. avait battu une de ses petites compagnes,
l’égratignant et la mordant. On la conduisit,
après la classe du soir, dans la salle de discipline.
Je m’étais déjà, sur l’invitation de ma
maîtresse, installé dans le cabinet attenant
ne risquant pas d’être aperçu à mon poste
d’observation. Madame Tannecuir entre dans
la salle. Elle annonce aussitôt à la coupable
qu’elle va d’abord avoir l’honneur d’être
fessée sévèrement avec la main, et de recevoir
ensuite vingt-cinq coups de martinet,
qui la guériront sans doute de ses petites
colères. Dès qu’elle a prononcé l’arrêt, elle
ordonne aux deux sous-maîtresses, mademoiselle
Hélène et mademoiselle Sophie, qui
ont amené la délinquante, de la dépouiller
de ses dessus.

Charlotte de C. est une mignonne, petite
blonde de treize ans, déjà grassouillette et
dodue, au gentil minois percé de deux yeux
bleus très tendres, dont la douceur ne laisserait
pas soupçonner qu’ils appartiennent à
une petite méchante. Elle rougit cependant
jusqu’aux oreilles, et tremble de honte, en
entendant l’arrêt, qui la condamne, suivi de
l’ordre de la déshabiller, et deux perles brillent
au bout de ses longs cils soyeux.

Les deux sous-maîtresses lui ont bientôt
retiré ses principaux vêtements, et quand elle
n’a plus que ses petits souliers pointus, ses
bas de soie gris-perle, sa chemise et son
petit pantalon bordé de dentelles, qui moule
des rondeurs juvéniles déjà développées, on
la pose, sans qu’elle fasse la moindre résistance,
en travers des genoux de la maîtresse,
qui est assise sur une large chaise, placée de
façon à ce que je ne perde aucun détail de
l’opération. Elle retire d’abord la chemise du
pantalon, la roule jusqu’au haut des épaules,
maintient la coupable sous son bras gauche,
écarte la fente du petit pantalon sans le rabattre,
de façon à mettre au jour une partie des jolis
globes charnus qui émergent encadrés dans
l’étroite fenêtre, forçant l’ouverture, et elle
commence à appliquer sur le coin de chair
nue des claques retentissantes, qui froissent
et rougissent le blanc satin. L’écolière, qui
jusque-là n’avait bougé ni pied ni patte, se
tord sous la fessée, gesticulant, levant les
jambes, et lançant des coups de pieds.

« Tenez-lui les jambes, mademoiselle Hélène ;
et vous mademoiselle Sophie, écartez bien
la fente du pantalon. Clic, clac, clic, clac ;
eh bien ! petite méchante, égratignerez-vous
encore vos petites camarades ? Clic, clac,
clic, clac, les mordrez-vous encore, vilaine
enfant ? Clic, clac, clic, clac, je veux vous
faire sentir votre méchant petit derrière,
clic, clac, clic, clac, pour vous apprendre
à ne plus battre vos petites amies.

— Pardon, madame Tannecuir, oh ! pardon !
je n’y reviendrai pas. Aie, oh ! vous
me déchirez la peau, grâce, madame, oh
grâce ! —

— Le voici votre pardon, ma chère, clic,
clac, clic, clac, clic, clac. À bas la culotte,
maintenant — ».

Mademoiselle Sophie maintient la jolie fille
debout ; mademoiselle Hélène épingle la chemise
dans le haut, puis déboutonnant le pantalon,
elle le rabat jusqu’aux talons, découvrant
en entier la jolie mappemonde dodue
superbement développée, comme chez une
grande fille, et les cuisses rondes et blanches ;
la partie du derrière, qu’on a saluée dans
l’encadrement de la culotte, semble un petit
îlot semé de roses incarnadines, entouré d’une
mer de lis éblouissants. Mademoiselle Sophie
fait pencher la mignonne, la courbant presque
en deux ; mademoiselle Hélène agenouillée
tient les jambes écartées, et semble contempler
avec des yeux gourmands, le charmant
objet si drôle avec ses deux tons
différents bien tranchés ; entre les deux cuisses
écartées de la mignonne, on aperçoit la petite
fente virginale, aux lèvres roses, hermétiquement
barrées, et au bas de la raie très ouverte,
le tout petit point noir.

Mais déjà le martinet retombe cinglant les
fesses, qui se tortillent, bondissent, s’écartent,
se referment, et rougissent sous les morsures
des lanières. « Flic, flac, voici pour vos
griffades, ma belle ; flic, flac, voilà pour vos
coups de dents, vilaine petite méchante ; cinq
six, sept, huit. —

— « Aïe, aïe, oh ! mon pauvre derrière,
vous me l’écorchez, madame ; j’y ai le feu.
Aïe, aïe, madame Tannecuir, grâce, grâce ! —

— « Non, non, point de pitié ; vous aurez tout
ce qui vous revient ; il vous faut votre compte,
mon cœur —. »

Flic, flac, les lanières retombent plus fort ;
les coups espacés résonnent avec un bruit
sec et sinistre ; le petit cul se démène sous
les atteintes piquantes, les petites fesses striées
de lignes rouges sur toute leur surface, se
trémoussent, et la patiente hurle d’une façon
pitoyable. Madame Tannecuir semble s’animer
considérablement à ce jeu-là ; elle est hors
d’elle-même, et elle compte à haute voix
vingt avec un haro furieux, vingt-un en cinglant
la raie entre les fesses, vingt-deux entre
les cuisses, vingt-trois sur le minet, et quand
elle crie en cinglant vingt-quatre et vingt-cinq,
en accentuant le han et le coup, des
gouttes de sang perlent sur la peau, pendant
qu’on n’entend qu’un hurlement de douleur
prolongé.

Le châtiment terminé, on emporte la victime.
Aussitôt ma maîtresse bondit, s’élance
par la porte que j’ai entr’ouverte, et sans
un mot, sans un baiser, haletante de désirs,
elle se renverse sur le bord du lit de repos,
les jupes troussées jusqu’au nombril, s’offrant
à moi pantelante, dans un rut furibond.
L’entrée du paradis est glissante, lubrifiée
par la rosée qui coule encore de son bouton
en pleurs, qu’il a distillée sous le seul stimulant
magique de l’émoustillant exercice,
auquel l’ardente Juliette ne se livre jamais
sans éprouver des titillations délirantes, et
j’entre sans effort dans la fournaise où je lui
montre, une heure durant, que je suis, moi
aussi, en état de lui rendre de brillants services.

liane de P. a un caractère indomptable ;
toutes les réprimandes
qu’on lui adresse sont sans
effet sur elle. Ce matin, après
avoir refusé d’obéir, elle a craché à la figure
d’une sous-maîtresse qui la réprimandait, et
l’a grossièrement invectivée. La cuisinière,
une forte gaillarde de trente ans, et une vigoureuse
soubrette ont été requises pour la
traîner avec deux sous-maîtresses dans la
chambre du « fouet ». Elle écoute impassible
la lecture de ses méfaits, et l’arrêt qui la condamne
à subir la châtiment le plus rigoureux
qu’on inflige aux délinquantes dans l’établissement ;
six coups de cravache après l’application
des verges. Elle entend l’arrêt sans
sourciller, debout, narguant son juge et ses bourreaux.
J’en profite pour détailler la belle délinquante.

Éliane est une superbe créature, d’une
beauté troublante, dix-huit ans, plutôt grande
que petite, svelte et audacieusement cambrée ;
un buste à damner saint Antoine et tous les
saints du paradis, une luxuriante chevelure
noire, descendant très bas, lui couvre les
épaules et une partie de la figure ; d’un brusque
mouvement elle la rejette en arrière ; ses
grands yeux noirs et profonds, ombragés de
longs cils soyeux sous d’épais sourcils noirs,
brillent d’un éclat extraordinaire, quand elle
entend sa condamnation, mais pas un muscle
de son visage ne tressaille, la moindre rose
ne se mêle à la neige éblouissante de son
teint lilial.

La cuisinière et la soubrette, suivies des
deux sous-maîtresses, s’avancent pour la dépouiller
de ses vêtements ; elle fait un bond
en arrière, comme si elle marchait pieds
nus sur un serpent, et les arrêtant d’un geste
superbe, elle leur signifie d’une voix impérative
qu’elle saura bien se déshabiller toute seule
sans leur aide, et surtout sans qu’on la touche ;
et la lèvre dédaigneusement plissée, l’œil chargé
de mépris, elle dégrafe son corsage, le retire
et le jette au loin ; elle défait ses jupes, ses
jupons, retire son corset, et reste chaussée,
avec son pantalon de fine toile, et sa chemise
de batiste, qui moulent des rondeurs sculpturales,
gonflant ici la poitrine d’opulentes
saillies dont les pointes crèvent la toile
transparente d’une tache rose, renflant là le
bas des reins d’un superbe relief.

Quand elle n’a plus que ses derniers vêtements,
elle attend dans une attitude hautaine,
le buste cambré, la gorge haute les narines
gonflées, qu’on lui dise ce qu’on attend d’elle.
On lui indique une ottomane sur laquelle elle
doit s’étendre. Elle reste encore un moment
debout, et pour accentuer son air dédaigneux,
elle croise les bras sur sa poitrine, faisant
remonter sa gorge ; les épaules s’arrondissent,
le haut de la chemise bâille, descend ; les
Valenciennes qui la bordent s’écartent et
laissent voir la naissance d’une gorge de neige,
émergeant à demi de son nid de dentelles,
montrant jusqu’aux petits boutons de rose,
deux jolis seins éblouissants de blancheur,
aux rondeurs séduisantes.

Après deux minutes de cette attitude
orgueilleuse, elle se retourne brusquement et se dirige
à pas lents vers l’ottomane, balançant dans
un déhanchement voluptueux, ses opulents
hémisphères, entièrement cachés par les côtés
du pantalon et par un pan de chemise qui
sort de la fente ; et sans la moindre hésitation,
elle s’allonge sur le meuble. Dès qu’elle est en
posture, les quatre aides se précipitent sur
elle, trois la maintiennent vigoureusement,
pendant que l’autre lui passe une courroie
autour des épaules pour l’assujettir, tandis
qu’elle se débat, refusant de se laisser attacher,
protestant qu’elle veut endurer librement
son châtiment. On l’attache cependant malgré
ses protestations et sa résistance, pour l’empêcher
de se démener pendant la correction,
et de tenter de s’y soustraire, car le châtiment
menace d’être terrible ; on lui écarte ensuite
les jambes qu’on attache solidement des deux
côtés du meuble par les chevilles. Elle essaie
encore de se dégager, bondissant sur l’ottomane,
mais devant l’inutilité de ses efforts,
elle renonce enfin à la résistance.

Madame Tannecuir s’avance alors, déboutonne
le pantalon, rabat les pans, et le descend
jusqu’aux genoux, ne pouvant le baisser
davantage, à cause de l’écartement des jambes ; elle
relève ensuite la chemise, la roule jusqu’au
haut des reins, rejette la longue chevelure à
droite et à gauche, et découvre enfin ce corps
merveilleux, de la nuque aux talons, nu des
épaules aux jarretières de soie rose, attachant,
au-dessus du genou, de jolis bas de soie gris-perle.
Les reins, d’un satin de neige étincelante ,
terminés par une splendide mappemonde rebondie,
charnue, veloutée, superbement développée,
montrant entre ses deux magnifiques
hémisphères écartés, la raie large, au
bas de laquelle on distingue à merveille le
petit point noir, entouré d’un cercle brun
imberbe, et entre les cuisses rondes et potelées,
les bords vermeils de la grotte de Cythère,
resserrés, fermant hermétiquement la fente
virginale, dont l’entrée disparaît sous d’épaisses
touffes de poils noirs.

Madame Tannecuir prend sur une table une
longue verge souple et élastique, et commence
à l’appliquer sur le beau postérieur, d’abord
sans trop de sévérité, rosant à peine le satin,
pour préparer la peau à un plus rude châtiment.
Éliane ne bouge pas plus qu’un terme.
Quand la croupe a pris une teinte plus colorée,
réchauffée par les légères atteintes, madame
Tannecuir, jugeant que la préparation est ainsi
suffisante, accentue la force de ses coups, qui
rougissent la surface cinglée. Éliane, qui ressent
sans doute vivement les atteintes maintenant
manifeste par des soubresauts involontaires,
les sensations qu’elle éprouve ; ses magnifiques
fesses rebondies s’agitent, se soulèvent, laissant
entrevoir le centre des délices à peine entrebâillé,
et sous le ventre une partie de la belle
toison noire ; mais le ventre retombe brusquement,
et reste collé à l’ottomane énergiquement
maintenu par la volonté de fer de
la patiente.

Juliette continue à cingler vertement les gros
hémisphères, qui prennent peu à peu une teinte
cramoisie, sans que la sévérité de la correction
arrache un gémissement à l’orgueilleuse fille.
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