Vierge narcoléptique

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La narcolepsie est un trouble du sommeil souvent peu connue et sous-diagnostiqué. C’est un syndrome qui tend à persister durant toute la vie. Elle ne touche qu’environ une personne sur 2000 en Amérique du Nord et en Europe. Au début, les symptômes du syndrome de la narcolepsie peuvent être très inquiétants. Ensuite, ils continuent d’être une source de frustration mais ne provoquent jamais de maladie grave. Les personnes atteintes de ce trouble sont généralement en bonne santé et normales. De plus, leur espérance de vie naturelle est également la même que celle des personnes non atteintes. Ce trouble n’a jamais été associé à aucune anomalie physique ou lésion des tissus. Et ce, qu’il s’agisse de cause ou de conséquence.
Le syndrome de la narcolepsie touche autant les hommes que les femmes. Ce trouble se manifeste généralement pour la première fois à l’adolescence. Toutefois, il peut aussi apparaitre à presque n’importe quel âge. Les symptômes surviennent souvent un par un, bien que plusieurs symptômes peuvent apparaitre en même temps chez les plus de 20 ans. Par ailleurs, ces symptômes peuvent aussi changer au fil du temps chez un même individu. Toutefois on n’a constaté aucune tendance générale de détérioration ou d’aggravation avec le vieillissement.
On pense que le syndrome de la narcolepsie serait causé par une baisse importante de la concentration d’hypocrétine (ou orexine). Il s’agit d’une protéine du cerveau qui régit l’état de veille. Les individus qui n’ont pas assez d’hypocrétine ont du mal à rester éveillés. On ignore encore ce qui pourrait provoquer la baisse d’hypocrétine. Cependant, les chercheurs pensent que ce problème serait lié à des facteurs. Comme la présence de mutations dans un gène du sommeil, des antécédents familiaux de cette mutation, un traumatisme du cerveau, des infections. Mais aussi, une maladie immunitaire (comme l’arthrite rhumatoïde), ou encore le contact avec des substances toxiques (comme certains pesticides).
En cas d’absence de narcolepsie, le sommeil paradoxal apparaît chez un individu qui dort déjà depuis un certain temps. Il s’agit d’une phase normale du cycle du sommeil. Quand une personne est atteinte de narcolepsie, le sommeil paradoxal est en mesure d’apparaitre à n’importe quel moment, même si la personne est complètement éveillée. L’apparition du sommeil paradoxal durant le jour serait provoquée par la baisse des taux d’hypocrétine dans le cerveau des personnes atteintes. C’est un problème considérable étant donné que les muscles sont paralysés pendant le sommeil. Il est alors possible qu’à cause de la narcolepsie, un individu pleinement éveillé et qui se tient debout s’affaisse soudainement par terre à cause du sommeil.
Le premier et le plus important symptôme est une envie soudaine de dormir durant la journée. La somnolence est tellement extrême que le narcoleptique est incapable de rester éveillé durant plus de quelques instants. Et ce, même en position debout et peu importe les efforts. Cela se produit le plus souvent quand l’individu est inactif ou s’ennuie. Par exemple, au travail ou en classe. Cependant, l’ envie de dormir se manifeste également parfois pendant un stress ou un effort physique. Malgré cela, les narcoleptiques n’ont effectivement pas tendance à dormir plus d’heures par jour que les autres. Cela signifie naturellement que ceux qui ont ce trouble dorment moins pendant la nuit. Les narcoleptiques peuvent notamment se plaindre d’un sommeil nocturne non reposant, la plupart du temps interrompu par des cauchemars. Par ailleurs, les autres symptômes sont plus rares mais l’un d’eux se manifeste de temps à autre.
Associé au sommeil paradoxal , le faible tonus musculaire se manifeste brusquement chez une personne complètement éveillée dans un moment de vive émotion. La colère, la peur, le rire, la joie, ou une simple surprise peuvent entrainer une chute via dérobement soudain des jambes.
Elle se produit juste avant l’endormissement ou immédiatement après le réveil. La paralysie totale empêche la personne de bouger durant quelques secondes. En réalité, ce symptôme n’est pas si rare, surtout chez les enfants. Elle constitue un signe de narcolepsie si l’individu présente aussi le symptôme principal de s’endormir soudainement durant la journée.
Les hallucinations ou phénomènes hypnagogiques se manifestent également juste avant le sommeil ou juste après le réveil. Toutefois, elles sont plus rares. Il s’agit en fait de rêves intenses qui se manifestent après le réveil. Ces rêves sont parfois qualifiés d’ hallucinations étant donné qu’ils se produisent chez des personnes qui ne dorment pas.
Le syndrome de la narcolepsie s’associe à une complication possible : celle d’avoir un accident à cause de la fatigue. Elle constitue aussi un risque dans les autres troubles du sommeil . En effet, l’envie de dormir est si soudaine qu’elle ressemble plus à une perte de connaissance qu’à un endormissement. Certains s’endorment au volant en pleine conduite d’un engin à moteur ou d’une machine lourde. De plus, ceux qui dorment mal pendant la nuit peuvent ne pas être en forme pendant le jour. Même une fatigue légère est en mesure d’altérer le jugement et rendre dangereuses la conduite d’un véhicule.
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Né à Bangkok puis formé à New York, Korakrit Arunanondchai s’est imposé en artiste prodige de notre monde globalisé. Mariage joyeux de l’hyper contemporain et de traditions ancestrales, entre nouvelles technologies et animisme. L’artiste avait créé pour Numéro art une sculpture mystérieuse adoptant ses traits…
De mémoire d’institutions française, on avait rarement vu une exposition aussi exubérante. Exubérante, voire carrément bordélique : une caverne de toile de jean délavée, cramée et maculée de taches de peinture était tendue sur le sol, abritant un décor de fête foraine peuplé d’une armada de mannequins déglingués. Partout, des écrans vidéo crachaient leurs flux d’images, tandis que les beats hip-hop secouaient les moindres recoins de l’espace. La nature a horreur du vide, Korakrit Arunanondchai aussi. C’était en 2015, au Palais de Tokyo. À seulement 29 ans, l’artiste frappait fort et marquait durablement les esprits. Avec l’exposition Painting with History in a Room Filled with People with Funny Names 3 , il présentait l’épilogue de l’ensemble de vidéos et autres réalisations décrivant les quatre années d’apprentissage d’un peintre sur denim. Quatre ans, soit la période consacrée par l’artiste à produire ce travail, signe de la coïncidence à fleur de peau entre le temps de l’art et le temps de la vie que diffractent ses œuvres. Celles-ci, se plaît-il souvent à rappeler, ne sont pas des fictions mais des représentations issues d’un état spatio-temporel modifié, où l’animisme et la réincarnation se chargent d’inscrire chaque élément dans une boucle récursive hypnotique.
Né à Bangkok, formé à New York aux côtés de l’artiste Rirkrit Tiravanija à l’université Columbia, Korakrit Arunanondchai se partage aujourd’hui entre les deux villes, reconnectant ainsi le fétichisme de l’“hyperprésent” – qui caractérise l’époque contemporaine – à ses racines ancestrales, primitives et mythiques. Dans ses films, l’imaginaire bouddhiste ou animiste, les techniques d’enregistrement de pointe et la dimension autobiographique se mélangent. Défiant une vision binaire, les décors oscillent entre urbanisation austère et moiteur de forêt vierge. En émerge alors une subjectivité vaguement narcoleptique qui serpente entre l’échelle individuelle et l’échelle planétaire, entre le présent immédiat et l’histoire de l’humanité tout entière.
En juin 2018, l’artiste présente sa seconde exposition en France, la plus vaste à ce jour – “ et la plus simple ”, ajoute l’intéressé. À Marseille, plus précisément, où les curatrices Emmanuelle Luciani et Charlotte Cosson l’invitent à investir l’immense hangar J1 de la place de la Joliette. “ J’ai montré une programmation de mes vidéos, les anciennes comme les nouvelles, à raison d’une ou deux par jour. Avant d’accéder à la salle de projection, il fallait marcher sur un sol composé de divers détritus organiques, des coquillages et d’autres résidus marins, coulés au préalable dans de la résine, explique l’artiste depuis son studio à New York. Le sol, qui est une nouvelle pièce, s’appuie sur la partie performative de mon travail. Par exemple lorsque j’invite Boychild [artiste et performeur radical] à intervenir dans mes expositions, je construis toujours une scène ou un environnement pour accueillir la performance. À Marseille, le sol fonctionnait également comme une scène, à ceci près que ce sont les visiteurs qui jouent le rôle de performeurs. Ce sont leurs pas qui brisent les coquillages encapsulés dans la résine. La perception de l’espace est alors beaucoup plus incarnée, et la qualité d’attention à l’architecture, plus grande. Tout le corps est mis en alerte, et devient donc plus perméable aux diverses émotions et sensations. ” Le sol, avec ses connotations d’archéologie postérieure à la fin de l’humanité, prolonge la tonalité de l’installation déjà présentée en 2016 lors de la 9e Biennale de Berlin, en réponse à une invitation du collectif DIS. Un bateau de tourisme se voyait alors transformé en paysage post-apocalyptique dans lequel des fossiles technologiques se mêlaient à des matériaux organiques calcinés. La vidéo diffusée à bord de l’embarcation dégageait également une atmosphère plus sombre qu’à l’ordinaire, plus engagée, naviguant entre les eaux troubles de l’influence des technologies sur notre quotidien et la disparition des ressources naturelles.
Du Palais de Tokyo jusqu’aux vidéos les plus récentes, le jeune homme s’est progressivement transformé en adulte. La focale, elle aussi, s’est déplacée, comme si le drone qui filmait la bande de potes de l’artiste contemplait désormais les soubresauts agitant la planète tout entière. Dans les trois vidéos du cycle Painting with History in a Room Filled with... l’avatar d’un peintre sur denim accompagnait les premiers pas de l’artiste dans le monde de l’art. Dans l’opus 4, l’œil de la caméra flotte en apesanteur, observant les peuples se soulever et les forêts tropicales se réduire à une peau de chagrin. En témoigne notamment l’insertion d’extraits de l’actualité télévisée de son pays natal (la mort du roi de Thaïlande) ou de son pays d’adoption (les cortèges de femmes manifestant contre Donald Trump), qui se mêlent aux images de sa famille et à la voix de sa mère, professeure de français en Thaïlande, qui assure la narration en voix off. “ En ce moment, je m’intéresse beaucoup aux questions écologiques et à la chute des cadres de pensée traditionnels. Nous sommes parvenus à un moment crucial de l’histoire : nous voyons bien que quelque chose cloche, mais nous ne savons pas pour autant par quoi remplacer nos anciennes croyances et institutions, précise l’artiste. À Marseille, je souhaite créer un écosystème évoquant le souvenir primitif d’une époque où les choses n’avaient pas de nom, où tout coexistait encore. Le monde d’avant la globalisation et la standardisation. ”
En présentant un ensemble de vidéos, l’exposition permet de prendre la mesure de l’évolution des thèmes de prédilection d’Arunanondchai. Interrogé à ce sujet, il apporte une réponse qui pointe l’un des fils rouges de son œuvre : “ Les vidéos, qui sont le cœur de mon travail, transmettent l’état d’esprit dans lequel je me trouvais au moment de leur réalisation. Elles sont très personnelles. Ce médium me permet d’exprimer tout ce que j’ai vécu, ressenti et pensé au cours d’une période. C’est pour cette raison que je consacre entre six mois et un an à la réalisation d’une vidéo, jamais plus. ”
À son tour, le visiteur se retrouve immergé dans une ambiance où tout est fait pour que son imaginaire se déploie librement. Non plus voir, mais éprouver; non plus s’orienter, mais dériver. “ L’idée est de plonger le spectateur dans un état méditatif, soit par la surcharge d’éléments, soit par les boucles lentes et répétitives des vidéos les plus récentes. Les poufs disposés devant les écrans ont la même fonction que le divan du psychanalyste. Lorsque le corps est confortablement installé, il devient possible d’ouvrir un espace émotionnel, sensitif et sincère ”, souligne l’artiste. Ça tombe bien : les temps indécis que nous vivons invitent au changement de paradigme. Et en proposant une connaissance par le sensible, les œuvres de Korakrit Arunanondchai dessinent une alternative à la rationalité cartésienne occidentale.
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