Vieille enculée à mort

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— Justice




L’oligarque russe qui embarrasse la France






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— Royaume-Uni


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— Politique monétaire




Économie française : les dangers de l’automne






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— Justice




Nos larmes ouvrières n'iront pas aux dominants






Chacun depuis son poste d’observation de l’hôpital public, ils confient à Mediapart ce qu’a été leur quotidien, entre services d’urgence filtrés et maternités débordées, durant des semaines véritablement sur le fil. « Je ne supporte plus de voir ça, lâche un urgentiste du Samu. Je pense aux autres, à moi plus tard. Ça me fait peur. »


par

Caroline Coq-Chodorge


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— Gauche(s)


Face à une macronie « en panique », la cheffe des Insoumis à l’Assemblée nationale assume un discours offensif, contre le projet de loi sur les énergies renouvelables, les appels aux petits gestes, le bouclier tarifaire… « Qu’ont-ils à offrir sinon rationnement, pénuries et tristesse ? »


par

Jade Bourgery ,
Pauline Graulle
et Jade Lindgaard



Comme en 2017, une frange du groupe macroniste à l’Assemblée nationale prétend vouloir rééquilibrer un début de quinquennat marqué à droite. Leur ambition devrait toutefois se heurter, comme depuis cinq ans, à leur incapacité à se structurer et à mener le rapport de force en interne. 


par

Pauline Graulle
et Ilyes Ramdani


Journal
— International


La junte militaire au pouvoir depuis un an dit vouloir lutter contre la corruption et « nettoyer » la classe politique. Mais de nombreuses voix dénoncent des méthodes brutales, une volonté de s’éterniser au pouvoir et un mépris croissant pour les droits humains. Cela n’empêche pas Paris de vouloir intensifier ses relations avec Conakry.


par

Justine Brabant


Si certain·es hiérarques peuvent contribuer à initier une procédure disciplinaire contre un·e magistrat·e, l’inverse n’est pas vrai. Les magistrat·es de terrain ne disposent quasiment d’aucun outil pour remettre en cause leur hiérarchie, y compris lorsqu’elle se montre maltraitante ou dysfonctionnante. Dans un contexte de tension gestionnaire des transformations sont plus que jamais souhaitables.


par

Revue Délibérée


Quelle est la part de responsabilité des magistrats dans l'état dégradé de la justice française ? Comment ont-ils évolué vers des violations du droit ? L'état des lieux est indispensable.


En attendant le procès, le procureur demande – comme d’habitude – le maintien de la prévenue en prison. Il explique sans ciller que c’est pour la mettre à l’abri d’éventuelles représailles de la victime. L’emprisonner pour son bien, c’est très attentionné !


Malgré l’importance fondamentale du principe d’égalité des citoyens face à la loi, sa mise en pratique n’est pas constante et, par conséquent, certains citoyens sont jugés plus sévèrement que d’autres. L’une des causes de cette inconstance proviendrait de l’erreur humaine. Pour y remédier, les algorithmes en matière judiciaire pourraient-ils contribuer à plus d’égalité? Par Benjamin Jan


par

Carta Academica



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Édition


Contraste violent entre l'extrême richesse et l'extrême pauvreté
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Je suis depuis toujours du côté des damnés de la terre. Par conséquent, la mort de Mme. Elizabeth en Grande-Bretagne ne m'inspire que le commentaire suivant.
M'émeut moins que les décès par malnutrition et maladies curables de millions de personnes, enfants et adultes, dans le monde. Mme Elizabeth et sa famille disposent d'une immense fortune et de loyers énormes dans le cadre de ce système générateur de misère. Et, même comme propriétaires terriens, ils reçoivent des subventions de de la Politique Agricole Commune de l'Union européenne . Chiffres de 2009 : Elizabeth, 530 000 €, le duc de Westminster, 540 000 € et le prince Charles, 180 000 €.
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Professeur d’économie à Mines-Paris PSL
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S’aimer comme on se quitte : « Il mettait des paillettes dans ma vie, c’était ma seule perspective positive »
Temps de Lecture 13 min. Read in English
Nécrologie La reine, qui avait accédé au trône en 1952 à l’âge de 25 ans, est morte le 8 septembre à 96 ans. Monarque impassible, vénérée par le peuple britannique, cheffe des armées, gouverneure suprême de l’Eglise anglicane, elle a été l’interlocutrice de quinze premiers ministres britanniques.
C’était en 1991 à Harare, capitale du Zimbabwe, à l’issue d’un sommet du Commonwealth. Quand Elizabeth II a fait son apparition sous la marquise dressée sur la pelouse du Haut-Commissariat britannique, l’invité s’est figé. La souveraine est plus petite qu’on ne l’imagine. Sa poignée de main est molle. Sa voix nasillarde, ses fins de phrase pratiquement inaudibles. Cette femme qui dégage une autorité naturelle toise son interlocuteur d’un sourire à peine esquissé. Le dialogue se limite à deux questions banales. Un court silence s’installe. La reine disparaît. La monarque excelle dans cette double nécessité de paraître à la fois accessible et inaccessible. C’est une vraie reine, comme l’avait déclaré, admiratif, le président Mitterrand.
On avait toujours l’impression d’avoir vu Elizabeth II, morte le 8 septembre, à l’âge de 96 ans, dans un musée de cire, comme chez Madame Tussauds à Londres. C’est que cette page vivante d’histoire avait été l’interlocutrice de quinze premiers ministres britanniques, de quatorze présidents américains, de l’ensemble des chefs d’Etat de la V e République. N’avait-elle pas eu pour interlocuteurs toutes les personnalités politiques de la planète, de Churchill à de Gaulle en passant par Kennedy et par Nehru ?
C’était en même temps un symbole. Sous son règne, le Royaume-Uni avait connu toutes les joies du succès et les affres de la défaite, démontrant ainsi qu’une nation prise entre un équilibre ancien déjà rompu et un équilibre nouveau qui reste à inventer peut, à travers la monarchie, se refaire.
Monarque la plus photographiée et peinte du globe, Elizabeth II était, de surcroît, un ordinateur vivant. Si elle n’avait pas été reine, murée dans son silence et dans une dignité qui siéent non seulement à un chef d’Etat et d’un Empire, aujourd’hui devenu Commonwealth, mais encore au chef des armées et au gouverneur suprême de l’Eglise anglicane, quelle mémorialiste elle aurait pu être ! On peut toutefois se demander si secrètement cette femme petite, timide, à l’éducation sommaire, n’a pas détesté cette charge sa vie durant.
Peu embarrassée de préoccupations littéraires ou artistiques, Elizabeth II était le prototype même de cette « gentry terrienne » anglaise toute dévouée au culte des animaux. En dehors de ses visites officielles, elle était toujours entourée de ses chers corgis assurés d’un soin particulier. Personne n’avait jamais rien pu lire sur ce visage lourd de secrets qu’elle emporte dans sa tombe.
Même à ses rares amis, Elizabeth II ne se livrait guère
C’était toujours la même impassibilité dans les situations les plus dramatiques, la même maîtrise devant des événements éprouvants. L’image la montrant seule, sur une stalle de la chapelle du château de Windsor, toute vêtue de noir face au cercueil de son époux le prince Philip, lors des obsèques de ce dernier, le 17 avril 2021, résume son stoïcisme.
Courtoise, imperturbable, elle n’avait jamais sourcillé face aux attaques cruelles de la presse tabloïde contre sa famille, en particulier lors de la crise provoquée par la mort de la princesse Diana, dans un accident de la circulation, à Paris, le 31 août 1997.
La reine, probablement affectée par la rupture, en 2020, de son petit-fils Harry et de son épouse Meghan Markle avec les
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