Veritable chasseuse de bite en action

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Veritable chasseuse de bite en action

Home Art, Littérature & Musique Anita Blake : reine des zombies, chasseuse de vampires

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JustOneAlien on 21/06/2012 at 10:48 said:


Jorkane on 21/06/2012 at 15:37 said:


Bully on 21/06/2012 at 18:06 said:


Pattenrond on 22/06/2012 at 00:47 said:


Jorkane on 22/06/2012 at 01:39 said:


Bully on 22/06/2012 at 04:28 said:


Phénix on 22/06/2012 at 12:31 said:


Pattenrond on 22/06/2012 at 16:16 said:


Jorkane on 22/06/2012 at 17:26 said:


Pattenrond on 22/06/2012 at 18:18 said:


Katouee on 03/07/2012 at 03:15 said:


Jorkane on 03/07/2012 at 03:55 said:


Phenix on 19/07/2012 at 12:21 said:


Jorkane on 20/07/2012 at 19:11 said:


Phenix on 21/07/2012 at 20:11 said:


Jorkane on 22/07/2012 at 19:55 said:


Jorkane on 27/10/2012 at 05:00 said:


Pattenrond on 31/01/2013 at 15:50 said:

Vampire ? Qui a dit vampire ? Si vous ĂȘtes comme moi, depuis Twilight , la mĂ©fiance s’éveille en vous dĂšs que quelqu’un prononce ce mot. Une image du trĂšs cher Edward s’immisce dans votre esprit, des paillettes Ă©talĂ©es sur tout le corps. En somme, ces crĂ©atures sanguinaires, qui se sont assagies ces derniĂšres annĂ©es, vous dĂ©goĂ»tent et n’attirent plus votre regard. Si gentillesse et bontĂ© vous repoussent, l’univers d’ Anita Blake devrait vous plaire ; aprĂšs tout, si son monde Ă©tait fait de poneys et d’arc-en-ciel, ma chasseuse de vampires favorite n’aurait plus de raison d’ĂȘtre ! Vous ne la connaissez pas encore ? Vous ne perdez rien pour attendre

Si la sĂ©rie d’Anita Blake se distingue en quelque chose, c’est bien en la rĂ©alitĂ© du monde dans lequel elle vit. Bien qu’elle habite un pays des plus banals, soit les États-Unis, son univers se trouve pourtant Ă  des milliers de kilomĂštres du nĂŽtre. Dans sa dimension parallĂšle, des dizaines d’espĂšces surnaturelles cĂŽtoient les humains et alimentent les dĂ©bats chauds de l’heure. En effet, si leur mode de vie ne fait pas l’unanimitĂ©, l’existence de plusieurs de ces crĂ©atures n’est pas cachĂ©e aux humains, bien conscients – la plupart du temps – des dangers ambulants qui parcourent leur ville. Je vous propose donc un petit tour rapide sur les principales espĂšces que vous rencontrerez au cours de votre lecture.
Premier aspect fondamental de la sĂ©rie : les vampires. Ne vous sauvez pas tout de suite, rebutĂ© Ă  l’idĂ©e de lire encore une fois une histoire de vampires ! Laissez-moi au moins la chance de vous convaincre
 Donc, je disais : les vampires. Au dĂ©but du premier tome, Guilty Pleasures ( Plaisirs coupables , en version française), on apprend que le vampirisme a Ă©tĂ© lĂ©galisĂ© deux ans auparavant, et ce, presque exclusivement aux États-Unis, suite Ă  un mystĂ©rieux procĂšs ayant dĂ©fini leur statut. Auparavant, l’existence des morts-vivants avait dĂ©jĂ  Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ©e : en somme, rien que leur non-vie Ă©tait illĂ©gale. Notre exĂ©cutrice prĂ©fĂ©rĂ©e avait donc le champ libre pour les abattre Ă  vue. Ce n’est dĂ©sormais plus le cas, et cela complique indĂ©niablement la tĂąche
 en plus d’attiser l’indignation des partisans des organismes antivampires ! Mais parlons un peu de ces buveurs de sang et de leurs caractĂ©ristiques. Tout d’abord, eau bĂ©nite, crucifix, pieu, soleil
 Les vampires version Anita Blake les redoutent ! Pas question de briller sous la lumiĂšre du jour ou d’aller tĂ©moigner de sa foi dans une Ă©glise, sous peine de souffrir le martyr ! Question alimentation, rien de mieux que le sang humain. Les morts-vivants ne digĂšrent rien de solide, ils ne se contentent pas de boire des substituts de sang pour bien paraĂźtre aux yeux de la sociĂ©tĂ© et ils ne voient pas l’intĂ©rĂȘt de se nourrir d’animaux. Bref, ce n’est pas dans cette sĂ©rie que vous retrouverez ces victimes du vampirisme qui se plaignent de leurs conditions !
Leur existence, comme dit prĂ©cĂ©demment, ne fait pas l’unanimitĂ©. Du membre d’un organisme antivampire fermement opposĂ© Ă  leur statut de citoyen Ă  la junkie accroc aux morsures des buveurs de sang, tout n’est pas blanc ou noir dans l’univers de mademoiselle Blake

Passons ensuite Ă  notre deuxiĂšme crĂ©ature surnaturelle importante : les zombies . Je pense qu’on peut s’entendre pour dire que nous avons tous, ou presque, la mĂȘme dĂ©finition concernant ces crĂ©atures Ă  la chair putrĂ©fiĂ©e et Ă  l’odeur rĂ©pugnante. Dans certains cas, les zombies sont victimes de leur condition aprĂšs avoir Ă©tĂ© contaminĂ©s par un quelconque virus – un peu comme dans les films de Resident Evil . Toutefois, dans cette sĂ©rie, on s’attaque plutĂŽt au deuxiĂšme cas : les corps de dĂ©funts rĂ©animĂ©s Ă  l’aide de la magie. Zombie Ă  l’aspect plus ou moins humain, celui-ci dĂ©pend d’une part de la condition du cadavre Ă  la base, et d’autre part de la puissance de celui qui le relĂšve. Pendant un court laps de temps, il recouvre son esprit, sa personnalitĂ©. Ses souvenirs sont la plupart du temps flous et il ne sait pas toujours qu’il est mort. On appelle celui qui le relĂšve « rĂ©animateur » ; c’est aussi le nom du mĂ©tier qui est attribuĂ© Ă  cette macabre tĂąche. MĂ©tier ? Non, vous ne rĂȘvez pas ! C’est mĂȘme un service trĂšs coĂ»teux qu’on ne se paie que si on a quelque chose Ă  y gagner – un hĂ©ritage, par exemple – ou un compte en banque plein Ă  craquer. Le zombie est lui aussi sujet de discorde : mort ou vivant, un humain se doit d’avoir un minimum de respect. Et pourtant, le zombie est on ne peut plus mort. Comme c’est l’occasion idĂ©ale pour certains de se procurer des « employĂ©s » qui n’ont ni besoin d’ĂȘtre bien traitĂ©s ni d’ĂȘtre payĂ©s, la question des droits du zombies est souvent abordĂ©e. Étrange, vous dites ? Ce qu’il faut en conclure, c’est que la mort est loin d’ĂȘtre dĂ©finitive dans le monde d’Anita !
Finalement, les garous
 L’auteure de la sĂ©rie, Laurell K. Hamilton, aurait pu se limiter Ă  l’espĂšce classique, soit les loups-garous. Mais ça aurait Ă©tĂ© beaucoup trop facile, n’est-ce pas ? Ainsi, vous avez ci-dessus la charmante image d’un rat-garou. Ces petits rongeurs sont votre phobie ? Plus grand qu’un homme, les rats-garous d’Anita deviendront votre pire cauchemar, en plus d’une quinzaine d’autres espĂšces de mĂ©tamorphes.
Dans ce monde, le fait de pouvoir se transformer d’humain Ă  animal est considĂ©rĂ© comme une maladie. La discrimination est donc techniquement interdite, bien qu’en pratique elle soit un secret de taille pour ceux qui en sont affectĂ©s et qui souhaitent garder leur emploi. Il existe plusieurs façons de contracter le virus ; morsures et griffures de la part de reprĂ©sentants de garous Ă©tant bien sĂ»r Ă  proscrire. Comme la maladie se transmet par le sang, il est Ă©galement possible d’en ĂȘtre infectĂ© suite Ă  un vaccin. Une bonne raison de plus de se mĂ©fier du mĂ©decin que l’on consulte !
Dans les premiers tomes de la sĂ©rie, les garous, bien que leur existence soit mentionnĂ©e, n’interviennent que trĂšs peu. Le troisiĂšme tome, Circus of the Damned ( Le Cirque des DamnĂ©s , en version française), est une introduction Ă  leur monde ; c’est dans le quatriĂšme tome, The Lunatic Cafe ( Lunatic CafĂ© ), qu’on plongera vraiment tĂȘte la premiĂšre dans leur univers.
En une phrase, Anita Blake, c’est une force de la nature dans un corps de femme aux allures de poupĂ©e de porcelaine. D’un cynisme imparable et toujours grandissant, sa narration des Ă©vĂšnements est rarement ennuyante. Alors qu’on observe la quatriĂšme de couverture du premier livre, on s’attend Ă  une femme franche et pleine d’humour. L’impression est immĂ©diatement confirmĂ©e avec les premiers mots du chapitre un : « DĂ©jĂ  longtemps avant sa mort, Willy McCoy Ă©tait un abruti. Qu’il ait rendu l’ñme ne changeait rien Ă  l’affaire. » Il ne rĂ©side alors plus aucun doute dans nos esprits : Anita n’est certainement pas une hĂ©roĂŻne ordinaire (on s’y attendait un peu, vu que c’est une rĂ©animatrice de zombies, doublĂ©e d’une exĂ©cutrice de vampires et d’une conseillĂšre en surnaturel pour la police). Notre hĂ©roĂŻne fait preuve d’une attitude dĂ©tachĂ©e Ă©tonnante lorsqu’elle est plongĂ©e au cƓur de l’action, nous faisant part de ses rĂ©flexions et de ses commentaires qui ne la rendent que plus rĂ©aliste. MĂȘme dans les ennuis jusqu’au cou, elle parvient Ă  propager sa peur, sa colĂšre, son courage ; Ă©motions qui sont trĂšs crĂ©dibles grĂące au caractĂšre affirmĂ© qui la dĂ©finit. « Il est trop tĂŽt dans la journĂ©e pour faire de la politesse. Si quelqu’un veut ma peau, qu’il fasse la queue comme les autres. » Anita est Ă©galement un personnage qui progresse. Au fil des romans, alors qu’elle passe du dĂ©but de la vingtaine Ă  l’aube de son trentiĂšme anniversaire, les Ă©vĂšnements qu’elle traverse ont un impact considĂ©rable sur elle : le personnage Ă©volue naturellement, de façon Ă  ce qu’on puisse en lire cinq sans noter de vĂ©ritable changement avant d’y rĂ©flĂ©chir plus en profondeur. C’est Ă©galement l’une des raisons pour lesquelles j’ai lu et relu la sĂ©rie : le regard que j’ai portĂ© sur l’histoire a Ă©tĂ© diffĂ©rent Ă  chaque lecture.
En somme, le personnage d’Anita Blake a tout pour vous charmer dĂšs les premiers abords et il est rĂ©ellement un plus Ă  l’écriture simple, mais entraĂźnante de Laurell K. Hamilton.
C’est en 1993 que Laurell K. Hamilton donne vie Ă  son hĂ©roĂŻne. Depuis, la sĂ©rie s’est Ă©toffĂ©e et compte maintenant vingt tomes, Ă  raison d’environ un par annĂ©e depuis la parution de Guilty Pleasures. Tout d’abord Ă©ditĂ©e chez Pocket, puis chez Fleuve Noir jusqu’au neuviĂšme tome, la sĂ©rie d’Anita Blake est maintenant rĂ©Ă©ditĂ©e chez Milady, un label de Bragelonne. Le vingt-et-uniĂšme tome, Kiss the Dead , devrait paraĂźtre au courant de juin 2012.
RĂ©animatrice de zombies et experte en surnaturel pour la police locale, Anita Blake ne connaĂźt pas la banalitĂ©. SurnommĂ©e l’ExĂ©cutrice par la communautĂ© vampirique, elle n’entretient aucune affinitĂ© avec eux et se charge d’éliminer ceux qui poussent le bouchon trop loin. Mais quand on a une telle rĂ©putation, il ne faut pas ĂȘtre surpris d’attirer l’attention des mauvaises personnes
 Il ne faut pas non plus ĂȘtre Ă©tonnĂ© par l’absence de compassion dont font preuve leurs arguments. C’est ainsi que l’ExĂ©cutrice se retrouve plongĂ©e au cƓur d’une affaire surnaturelle Ă  enquĂȘter sur des meurtres perpĂ©trĂ©s contre les vampires. Un dĂ©fi de taille pour Anita, qui a l’habitude de se dĂ©barrasser de la vermine Ă  coups de pieu

La premiĂšre fois que j’ai lu ce tome, je dois vous avouer que je n’ai pas du tout accrochĂ©. L’intrigue est prenante, ça oui pas de doute, et on poursuivrait rien que pour lire les rĂ©flexions cyniques d’Anita. Mais ce tome n’a pas ce petit quelque chose qui aiguise l’intĂ©rĂȘt ou incite Ă  la poursuite de l’histoire. La qualitĂ© de l’écriture, trĂšs basique, n’a rien de trĂšs impressionnante non plus. Bien sĂ»r, l’univers Ă  lui seul pourrait ĂȘtre le sujet d’un bouquin d’au moins 200 pages, mais ça ne suffit pas. Alors pourquoi vous ai-je prĂ©parĂ© un article complet sur une sĂ©rie, si elle n’en vaut pas le dĂ©tour ? Parce que justement, elle le vaut, le dĂ©tour. Ce premier tome marque le dĂ©but de Laurell K. Hamilton, et ça se voit. Le monde et ses caractĂ©ristiques sont encore mal dĂ©finis, il est donc facile de se lasser des imprĂ©cisions. Toutefois, les longueurs sont inexistantes : d’une page Ă  une autre, l’action s’enchaĂźne, et le livre se dĂ©vore donc en Ă  peine quelques jours pour les grands lecteurs. À la derniĂšre phrase de Guilty Pleasures , on peut Ă  peine dĂ©crire le dixiĂšme de l’univers qu’a fabriquĂ© Laurell K. Hamilton : pour ça, il faut poursuivre la sĂ©rie. Le point fort du tome ? On baigne tout de suite dans le caractĂšre bien trempĂ© d’Anita, qui se dĂ©marque des hĂ©roĂŻnes parfois fades et sans artifice. Les personnages de l’auteure ont d’ailleurs tous une personnalitĂ© marquĂ©e. En somme, Guilty Pleasures n’est que le commencement d’une sĂ©rie qui vaut le coup d’Ɠil.
2. The Laughting Corpse – Le Cadavre Rieur
3. Circus of the Damned – Le Cirque des DamnĂ©s
5. Bloody Bones – Le Squelette Sanglant
6. The Killing Dance – Mortelle SĂ©duction
7. Burnt Offerings – Offrande BrulĂ©e
9. Obsidian Butterfly – Papillon d’Obsidienne
10. Narcissus in Chains – Narcisse EnchaĂźnĂ©
11. Cerulean Sins – PĂ©chĂ©s CĂ©rulĂ©ens
12. Incubus Dreams – RĂȘves d’Incube
21. Kiss the Dead ( à venir prochainement ) –
Laurell Kaye Hamilton est nĂ©e en Arkansas, aux États-Unis, en 1963. Elle passe sa jeunesse dans l’Indiana pour finalement arriver dans le Missouri, Ă  St. Louis plus prĂ©cisĂ©ment, oĂč elle rĂ©side actuellement – tout comme sa chĂšre Anita. Elle a Ă©tudiĂ© l’anglais et la biologie avant de se lancer dans l’écriture. Le personnage d’Anita, crĂ©Ă© en 1993, se fera connaĂźtre grĂące au bouche-Ă -oreille, jusqu’à ce que les livres deviennent des best-sellers. ParallĂšlement Ă  la sĂ©rie de sa chasseuse de vampires, Ă  laquelle elle consacre en moyenne un roman par annĂ©e, elle crĂ©e en 2000 le personnage de Meredith Gentry, princesse chez les faes. Les deux univers, bien que semblables, sont distincts l’un de l’autre.
Laurell K. Hamilton dĂ©crit elle-mĂȘme ses romans comme un mĂ©lange de moderne, de tendance et de surnaturel, avec une bonne dose de sexualitĂ©. Elle se compare aux autres auteurs de bit-lit* en disant : « Most writers take the mundane and make it fantastic, I like to take the fantastic and make it mundane. » (« La plupart des auteurs prennent le banal et le rendent fantastique. J’aime prendre le fantastique et le rendre banal. »). En effet, dans ses deux sĂ©ries, la magie fait partie du quotidien, et ce, dans un monde semblable au nĂŽtre sous plusieurs aspects. Dans les premiers tomes de la sĂ©rie d’Anita Blake, cette derniĂšre partage de nombreux points communs avec sa crĂ©atrice, autant sur le plan physique que psychologique. Par la suite, alors que la vie sentimentale d’Anita est de plus en plus partagĂ©e, celle de Laurell K. Hamilton se consolide : elle est Ă  prĂ©sent mariĂ©e et mĂšre d’une jeune fille.
Les aventures de sa chasseuse de vampires sont maintenant traduites en plus d’une dizaine de langues dans divers pays, de la France au Japon, en passant par l’Allemagne, la Russie, la Pologne

Alors que la sĂ©rie d’Anita Blake est de plus en plus connue, la sociĂ©tĂ© Dabel Brothers dĂ©cide en 2006 d’adapter le premier tome, Guilty Pleasures , en bande dessinĂ©e. Alors en partenariat avec Marvel, un nouvel Ă©pisode sortait chaque mois, pour arriver au final Ă  douze numĂ©ros qui illustreraient le premier livre des aventures de la rĂ©animatrice. Toutefois, alors que le septiĂšme numĂ©ro est prĂȘt, Marvel rachĂšte les droits. Le dessinateur est remplacĂ© pour le huitiĂšme numĂ©ro et Guilty Pleasures , version comic, se poursuit.
Face au succĂšs de ce premier volet, Marvel entreprend la suite, The Laughing Corpse . Circus of the Damned suivra, ainsi qu’une mini-sĂ©rie comportant deux numĂ©ros, The First Death , qui relate la rencontre entre Anita et Edward, un autre personnage de la sĂ©rie. Milady Graphics se charge quant Ă  lui de traduire et de publier le premier volet en français.
DĂšs le sixiĂšme tome, The Killing Dance ( Mortelle SĂ©duction en version française chez Milady), certaines scĂšnes pourront choquer les esprits plus pudiques, d’autant plus que l’auteur ne lĂ©sine pas sur les dĂ©tails. DĂšs le dixiĂšme tome, Narcissus in Chains ( Narcisse enchaĂźnĂ© ), mĂȘme pour les plus ouverts il faudra s’accrocher : notre bonne vieille Anita a perdu de sa retenue, et pas qu’un peu !
Avec une sĂ©rie aussi longue, les personnages n’ont pas le choix d’évoluer au fil des expĂ©riences qu’ils traversent. Anita n’échappe pas Ă  la vieillesse, ni Ă  la modification de ses croyances et de ses valeurs qu’on croyait pourtant, au premier tome, ĂȘtre partie intĂ©grante de sa personne Ă  tel point qu’elles en Ă©taient indissociables. Ainsi, dĂšs Narcissus in Chains , Anita n’a plus rien Ă  voir avec celle qu’on connaissait au tout dĂ©but. Pour certains, cela semblera peut-ĂȘtre naturel, mais pour la plupart des fans, ce tome a marquĂ© le dĂ©but de la fin de la sĂ©rie, et ce, mĂȘme si elle compte actuellement 20 tomes, en plus d’un dernier en court de prĂ©paration. Que faut-il en conclure ? Pour ceux qui prĂ©fĂšrent finir sur une bonne note, arrĂȘtez-vous autour du dixiĂšme tome. Pour les plus curieux – dont je fais partie – et qui ne peuvent supporter de ne pas avoir le fin mot de l’histoire, ne soyez pas surpris de ne pas reconnaĂźtre votre bonne vieille chasseuse de vampires cynique et surtout, cĂ©libataire, dans Narcissus in Chains (ainsi que les livres qui le suivent).
Pourquoi faut-il nĂ©anmoins vous dĂ©pĂȘcher ? Bon, ne sautez pas non plus des chapitres pour y arriver plus vite, mais le meilleur livre d’Anita Blake reste Ă  mon avis, jusqu’à maintenant, Obsidian Butterfly ( Papillon d’Obsidienne ). Soit
 le neuviĂšme tome. Un vĂ©ritable rĂ©gal, surtout pour les fans du personnage d’Edward – dont je fais partie, vous l’aurez
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