Vanessa Teen est une étudiante qui se touche

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«Allô ! c'est Vanessa Paradisâ?¦ ». Elle vous téléphone comme ça depuis Los Angeles pour une interview, vous demandant d'emblée : « On va parler du film ? » Oui, on va en parler. Je décide de lui décrire l'ambiance à la projection presse la veille. Studieuse au début, comme toujours dans ce genre d'exercice : on sent le professionnalisme des confrères. On est là, comme avant un examen que l'on n'a pas révisé. On se salue, mais pas plus.
Derrière moi, Laurent Weil de Canal+ ose le premier rire franc de la projection. Franc et soudain rigolard. Puis c'est à mon tour, et à ma voisine de gauche, et c'est l'épidémie ! Les chroniqueurs oublient qu'ils le sont, les journalistes redeviennent un vrai public et le film imprime sa marque avec un naturel et une décontraction rarement vus. Et Vanessa Paradis d'écouter ce que je lui raconte : « Cela me fait tellement plaisir ce que vous me dites. Je vais envoyer un SMS à Audrey pour lui dire. Je n'ai pas encore vu le film et je trépigne. Dans une semaine, je rentre de Los Angeles et j'attaque la promo. J'ai envie de ce film, c'est fou ! Je le sens et le ressens. Cela n'arrive jamais. Ou si rarement. Là, il s'est passé quelque chose. »
Oui, je lui confirme, les rires de la salle sont comme un sauf-conduit. Un premier film d'Audrey Dana, une direction d'actrices au cordeau, il faut avoir une qualité pour deviner ce que cela peut donner. C'est le métier de producteur, celui de Marc Missonnier et de son associé Olivier Delbosc de Fidélité Films. Ces hommes sentent les possibilités et prennent les risques pour les voir à l'écran. Et que dire de la dialoguiste Murielle Magellan, coscénariste et indubitablement pilier de l'aventure. Que c'est lourd un film, tellement de gensâ?¦ François Ozon avait fait Huit Femmes, là, elles sont onze.
VIDEO. Imany signe la BO de «Sous les jupes des filles»
Le pitch ressemble à un titre de couverture de la presse féminine : nous sommes à Paris, c'est le printemps, le temps est orageux et le récit s'appuie sur les vingt-huit premiers jours de la saison. Onze femmes, onze réalités, onze blogs et des SMS qui apparaissent à l'écran comme pour préciser que c'est une histoire d'aujourd'hui et pas d'hier. C'est même sûrement le film récent qui parle le mieux de l'époque. Qui fait rire les femmes mais aussi les hommes. Pas un brûlot féministe qui en voudrait à la moitié de la terre. Non un long-métrage qui cherche à nous réunir. C'est drôle et donc forcément émouvant. Un vrai film français qui vient puiser à la source de Claude Sautet ; Lelouch sans les feux d'artifice. Il y a comme un truc qui se passe grâce à ces actrices qui prennent un bonheur rare à jouer. Elles sont belles, puis folles, puis belles, puis follesâ?¦
Alors Vanessa, que s'est-il passé ? Elle réfléchit et semble sourireâ?¦ « Je suis contente de ce que vous me dites sur le film. Cela me fait tellement plaisir. Je suis une actrice et là, j'entends des choses qui me traversent. Qui me disent que, parfois, tu ne fais pas les choses à moitié. Ã?tre actrice, c'est aussi entendre vos mots lorsque vous dites que vous avez rigolé. C'est tout bête, mais c'est exactement cela qui touche une personne comme moi. »
« Une explosion de joie, un miracle »
« Ce film a été une explosion de joie, un miracle. En plus je n'étais pas prévue au casting. J'ai remplacé quelqu'un. Audrey a passé beaucoup de temps avec les actrices à parler, discuter, essayer de comprendre ce qui fonde la vie d'une femme. C'est comme cela qu'elle a établi son â??momentumâ?, son acte fondateur. Le film s'est nourri comme ça. Elle a parlé avec tant de spécialistes, de médecins, de psychiatres, de femmes qui lui disaient la vérité de leur vie.
« Je suis arrivée sur le tournage et mon rôle était écrit. J'ai suivi sa trame, son envie. Je l'ai écoutée, je l'ai réclamée. Elle a répondu présent, elle ne m'a jamais lâchée. Audrey Dana, je vais vous le dire, c'est sans doute la meilleure actrice que nous avons en France, donc pour elle c'était un atout. Elle est époustouflante. Il faut voir la pièce Ring dans laquelle elle joue plus de dix-huit femmes en couple avec son partenaire. Eh oui ! 18 femmes différentesâ?¦ Ce n'est pas bluffant, c'est miraculeux. Alors lorsqu'elle nous dirigeait, elle, Audrey Dana, tout le monde la regardait, l'écoutait. La direction d'actrices a été d'une générosité incroyable.
« J'ai eu beaucoup de scènes avec Alice Belaïdi, une â??bombasse d'actriceâ?. J'ai passé un temps formidable à jouer avec elle, elle m'a emmenée très loin. Plus loin que je ne pensais. Et puis j'ai rejoint la bande pour le tournage de la scène finale, où toutes les actrices se retrouvent ou presque. Cette scène de fête, nous avons mis quatre jours à la tourner. Audrey Dana était là, nous scrutant, nous regardant, nous instillant des choses. Et parfois j'étais un peu perdue, je ne savais pas comment me tenir, comment parvenir à ce qu'elle voulait. Alors je lui demandais commentâ?¦ Et elle était là, avec moi. Son énergie a fait que nous avons tenu la baraque.
« Au fond, ce film parle de nous. On a toutes envie de se sentir bien, d'être heureuses, d'être aimées. Après, oui, c'est vrai, nous sommes des personnages publics mais avant tout des actrices et d'abord des êtres humains. Ce film fut un cocon de plaisir. Un truc de dingue. Il parle aux femmes mais aussi aux hommes. Il fait rire, il fait du bien, il chahute les bonnes choses. On en ressort différentes. C'est certainement un film sur la parité, qui fait rire, qui fait sourireâ?¦ Un film, quoi !
« Vous me dites qu'Isabelle Adjani a l'air de prendre du plaisir ? Vous ne pouvez pas dire ça. Cette actrice est immense. Adjani nous a bluffés sur le tournage. C'est un honneur de partager l'affiche avec elle. Je suis toujours étonnée de tourner avec autant de talents. Avec autant d'actrices. C'est comme un cadeau. Un vrai donâ?¦ Je dois vous laisser. » Elle nous laisse. Et on se dit que l'on va aller revoir ce film à sa sortie, le 4 juin. Sous les jupes des filles, un bon titre, presque une promesseâ?¦
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Alors que ce mercredi sort en salles le film « Elles », nous nous sommes demandé qui sont ces filles qui basculent un jour dans la prostitution. La prostitution étudiante est-elle juste un fantasme ou reste-t-elle un tabou ? Pourquoi choisit-on un jour de devenir escort ? Le décide-t-on vraiment ? Manon, 24 ans, a accepté de témoigner et nous a raconté pourquoi elle a pris la décision de lâcher son job d’infirmière pour vendre du sexe tarifé. Loin des clichés, elle revendique aussi son propre plaisir sexuel. 
« J’ai démarré il y a plus de trois ans, tout simplement en postant une annonce sur le net. Ce n’était pas mon rêve de carrière mais j’avais envie d’essayer depuis très longtemps. J’ai franchi le pas durant mes études d’infirmière, j’ai eu mon diplôme depuis. Je n’étais pas dans le besoin, je n’étais pas dans une situation de crise. Pendant neuf mois, j’ai été infirmière et escort mais c’était trop compliqué de gérer les deux. Quand je venais de terminer une garde, j’étais épuisée. On entend souvent des clichés, comme quoi on ne choisit pas ses clients. Pour moi, la question n’était pas ‘comment faire pour coucher avec un mec vieux et fripé ?’. Je me voyais plus libre d’accepter ou pas un client en étant escort, alors qu’en tant qu’infirmière, même si tu peux avoir des patients infernaux, tu es obligée de les soigner.Au début, j’ai eu du mal à le dire. Aux amis proches qui connaissaient ma sexualité, j’avais expliqué que c’est un métier qui me tentait. Je leur ai expliqué que j’y avais pris goût, désormais ils rigolent quand je raconte ma journée. Par contre, j’ai des copains qui s’inquiètent, qui trouvent que ce n’est pas ‘normal’. Mon père et mon frère ne sont pas au courant, ma mère si. Quand je lui ai annoncé, elle l’a très mal pris. Aujourd’hui, on n’en parle pas spécialement, elle ne me pose pas de questions. Je comprends totalement, et je n’ai de toute façon pas envie de lui raconter ma vie sexuelle. Mon père et mon frère ne sont pas trop curieux, quand ils me demandent ‘ton boulot, ça va ?’, je réponds oui, et cela leur suffit.
Quand j’étais infirmière, je travaillais en clinique et je gagnais entre 2600 et 2800 € net par mois. Combien je touche aujourd’hui ? Je ne cours pas après l’argent, mais on va dire que c’est un métier qui me permet de faire peu de rendez-vous et de vivre dans un certain confort. Pour moi, ce métier doit rester un plaisir. Si je suis fatiguée, je ne travaille pas. Je reçois en général 100 appels par jour, je fais passer en priorité mes habitués. Mes habitués, ce sont des hommes que je vois régulièrement mais cela peut être aussi quelqu’un que je vais rencontrer une fois par an, mais qui va m’envoyer un message pour Noël ou le Nouvel an.On se retrouve soit chez eux, soit à l’hôtel. Il m’arrive parfois de louer une chambre d’hôtel si le client ne veut pas que sa femme s’en aperçoive. Chez moi, personne ne vient jamais, c’est mon espace !Il y a pas mal de rendez-vous où il n’y a pas forcément de sexe, où l’on va parler. Nous ne sommes pas des « vide couilles » ! Me faire jouir est l’objectif de pratiquement la moitié des clients. C’est un truc d’ego. Je m’arrange toujours pour prendre du plaisir, l’idée ce n’est pas juste de me faire ‘sauter’.
Qui sont mes clients ? Les ¾ sont en couple ou mariés, ils ont tous les âges mais en général, je refuse les plus jeunes. Je préfère les relations avec des hommes de 35-40 ans, ils sont moins dans la performance sexuelle, ils recherchent des trucs gentils, me massent, me câlinent.J’ai mon site mais la plupart me contactent par téléphone. Si on est sur de bonnes bases tous les deux, et qu’ils acceptent mes conditions, je les rencontre. Mes conditions : pas de fellation sans préservatif et pas de sodomie. Beaucoup me demandent de réaliser leurs fantasmes, mais je ne sens pas de frustration sexuelle chez ces hommes, comme on peut parfois l’entendre dire. Moi, je suis hyper banale, je ne suis pas une star du porno, mon endroit préféré c’est le lit ! Côté vie perso, j’ai déjà été en couple. Quand je suis avec quelqu’un auquel je tiens, je ne mens pas. Mes amants savent ce que je fais. Je n’ai pas de projet à long terme, je ne me dis pas qu’à 30 ans j’arrêterai, je serais mariée et que je ferais un enfant ! Pour l’instant, cela me plait, on verra par la suite… En tout cas, je ne me mets pas de barrière.
J’ai des relations amicales avec des autres escorts, mais ce n’est pas un métier où on se lie facilement. J’ai choisi d’adhérer au Strass (NDLR : Syndicat du Travail Sexuel), car lorsque j’ai commencé, je n’étais pas au courant des lois, de ce qui était légal ou pas. Je paye des impôts, je suis déclarée en tant que coach bien être. C’est plus simple de piéger une prostituée qui fait une passe dans la rue que de s’attaquer au net. Comment prouver un rapport sexuel à moins de fouiller dans la poubelle pour y trouver un préservatif ? Il faut savoir aussi que beaucoup de femmes se prostituent pour joindre les deux bouts, après un divorce, ou si elles sont seules avec leurs enfants. Une passe, deux passes, trois passes, ça les sauve ! Avec la crise et le chômage, si elles avaient d’autres alternatives, les prendraient-elles ? Par contre, il est évident que la prostitution forcée existe, il faut qu’on se donne les moyens de lutter contre. Quant à la prostitution étudiante, le gros problème c’est surtout le fait d’être obligée de bosser pour se payer des études ! Je reçois plein d’emails de filles qui veulent faire ce métier. Personnellement, je n’encourage personne. Beaucoup de filles ont fantasmé sur Zahia et les escorts de luxe, mais si on s’attend à voir Brad Pitt ou à revivre ‘Pretty Woman’, et qu’on tombe sur un homme de 60 ans bedonnant, ce n’est pas évident ! Je dis à ces filles de réfléchir, et surtout je leur explique la réalité : c’est plus souvent être au Formule 1 ou à l’Etap Hôtel qu’au Carlton ! Et il faut savoir que si l’on fait une erreur dans ce métier, cela ne pardonne pas. A chaque fois que j’ai un rendez-vous, tous mes clients sont prévenus que l’adresse est entre les mains d’un proche. Je donne l’adresse à une amie, lui envoie un message en arrivant et en partant. Si les gens sont incorrects, cela peut les calmer. De même, il faut savoir que certains clients proposent contre de grosses sommes d’argent des rapports sans préservatif. Il y a d’énormes stéréotypes sur notre métier, comme quoi on serait des nids à IST et MST. De même, j’ai parfois entendu des pys dire que les filles qui se vendaient étaient incapables d’aimer. Je sais séparer sexe et sentiments, merci ! J’ai déjà été ravagée par l’amour tout en bossant comme escort. Je n’ai pas été abusée dans mon enfance, je ne me drogue pas, je ne suis pas alcoolique et pour tout vous dire, j’ai même arrêté de fumer en devenant escort ! »
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Cet article date de plus de quatre ans.



Publié le 10/11/2017 10:33


Mis à jour le 10/11/2017 10:35



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