Valerie la jolie fille Arabe

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Publié le 16/04/2021 à 12h28, mis à jour le 16/04/2021 à 18h45





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Jeudi 15 avril 2021, Jack Lang était l'invité de Claire Chazal dans l'émission Passage des arts diffusée sur France 5. L'ancien ministre de la Culture a fait une touchante déclaration d'amour, en direct, à sa femme Monique.
Une histoire d'amour inoxydable. Jeudi 15 avril 2021, l'ancien ministre de la Culture, aussi président de l'Institut du monde arabe, Jack Lang , était l'invité de Claire Chazal dans l'émission Passage des arts sur France 5. L'homme politique de quatre-vingt-un ans, papa de deux filles dont l'une est décédée il y a huit ans , a évoqué sa longue carriÚre politique tandis que le magnéto emblématique de l'émission se demandait : "Comment serait le monde si Jack Lang n'existait pas ?" Au moment d'évoquer l'origine de sa grande passion pour le spectacle vivant, Jack Lang s'est souvenu de ses premiÚres amours au théùtre, accompagné d'une certaine Monique, sa femme depuis maintenant soixante ans.
En effet, comme l'a prĂ©cisĂ© celle qui a partagĂ© la vie de Patrick Poivre d'Arvor , la passion de Jack Lang pour le spectacle vivant a pris racine au dĂ©but des annĂ©es 1950, alors que ce dernier s'inscrit au Conservatoire d'art dramatique de Nancy. Un lieu symbolique qui donnera le ton de ses objectifs professionnels pour les quarante prochaines annĂ©es... mais pas que. C'est aussi sur les bancs de ce mĂȘme conservatoire que Jack Lang fait la rencontre de Monique Buczynski, qui deviendra Monique Lang, alors ĂągĂ©e de dix-sept ans. "Puisque vous Ă©voquiez 'Le pays du sourire', il y a une trĂšs jolie phrase de Franz LehĂĄr : 'Mon amour et ton amour sont nĂ©s le mĂȘme jour, et pour toujours."
Et cet amour, Jack et Monique Lang en ont eu grandement besoin pour surmonter l'épreuve la plus dure de leur existence. En effet, il y a huit ans, le couple enterre leur deuxiÚme fille, Valérie . Atteinte d'un cancer généralisé, la comédienne est morte le 22 juillet 2013 à l'ùge de quarante-sept ans, des suites d'une tumeur au cerveau. Dans les colonnes de Gala en 2019, Jack Lang s'était confié sur cette disparition : " Valérie me manque énormément. Pas juste affectivement, intellectuellement aussi, dans sa radicalité. Comme je suis dans l'action, je peux penser à autre chose. Mais c'est particuliÚrement difficile pour Monique. Valérie était un trésor, un bijou, une personne merveilleuse et une militante." Une épreuve qu'ils ont surmontée à deux, soudés pour toujours.
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Le Palestinien Taher Najib présente "A portée de crachat", sa piÚce de théùtre.
A tous les professeurs d'histoire qui souhaitent traiter le conflit israĂ©lo-palestinien sous un jour nouveau, un conseil : invitez l'auteur palestinien Taher Najib, faites lire aux Ă©lĂšves sa piĂšce de thĂ©Ăątre A portĂ©e de crachat (Editions thĂ©Ăątrales, 2009, 37 p., 11 €), et laissez la discussion se nouer.
Au lycée Antoine-de-Saint-Exupéry de Mantes-la-Jolie (Yvelines), lundi 31 janvier, elle fut passionnante. Dans la salle 301, tapissée d'affiches de spectacles, la curiosité des élÚves de l'option théùtre était sans borne. De l'artistique, les questions ont glissé vers le politique. L'auteur, qui est aussi comédien, danseur et metteur en scÚne, a déployé un humour féroce, et fait rire autant que réfléchir.
La rencontre avait lieu dans le cadre de la Biennale de création théùtrale du Centre dramatique national (CDN) de Sartrouville (Yvelines), qui s'est ouverte le 25 janvier - Odyssée en Yvelines, jusqu'au 2 avril. Mise en scÚne par le directeur du CDN, Laurent Fréchuret, la piÚce A portée de crachat est l'une des sept créations qui vont sillonner le département.
NĂ© en 1970, Taher Najib est un Arabe israĂ©lien : sa famille avait dĂ©cidĂ© de rester dans les frontiĂšres de l'Etat hĂ©breu aprĂšs la guerre de 1948. Lui vit dans le district d'HaĂŻfa, en IsraĂ«l. Il se dĂ©finit comme "un Palestinien avec un passeport israĂ©lien", ce qu'il vit trĂšs mal. La question de l'identitĂ© est la trame de sa piĂšce, autobiographique, long monologue d'un acteur palestinien - interprĂ©tĂ© par Mounir Margoum - qui ne sait plus qui il est. OĂč qu'il se trouve, Ă  Paris, Ă  Ramallah ou Ă  Tel-Aviv, il se comporte comme on attend de lui qu'il se comporte, ce qui est "la nĂ©gation de la libertĂ©" : en Cisjordanie, le public le voit comme un guerrier arabe vengeur. En IsraĂ«l, comme un terroriste potentiel. Il a la malchance d'embarquer dans un vol Paris - Tel-Aviv... le 11 septembre 2002. "Pourquoi deux nationalitĂ©s ?" , lui demande l'hĂŽtesse. "Deux ? Je n'en ai mĂȘme pas vraiment une" , rĂ©pond-il.
Les élÚves du lycée Saint-Exupéry pourront voir la piÚce au mois de mars, au lycée. Salle 301, une jeune fille demande à Taher Najib : "Etes-vous un auteur engagé ?" "Oui. Je ne suis pas né en Israël. Israël est né chez moi" , lance le militant de la cause palestinienne. Toutefois, ajoute-t-il, sa piÚce n'est pas teintée d'idéologie et les deux camps font jeu égal, condition nécessaire, dit-il, "pour créer un bon conflit au théùtre" . "Les Israéliens ont besoin des Palestiniens pour exister, et vice-versa. C'est un peu comme Antigone et Créon. On vit chacun dans ce rÎle de composition."
Question d'un autre élÚve : "Com ment la piÚce a été perçue dans votre pays ?" Réponse, du tac au tac : "Elle a reçu le premier prix au festival israélien Teatroneto (en 2006). Mais aucun théùtre israélien ne l'a programm ée."
Taher Najib avait pourtant pris soin d'écrire sa piÚce d'abord en hébreu, comme une main tendue aux Israéliens. La piÚce a été traduite en arabe palestinien, en français... et en arabe littéraire, afin que des élÚves de l'option arabe d'un autre lycée - Evariste-Gallois, à Sartrouville - puissent en interpréter des extraits. Rares sont les lycées du département qui accueillent la piÚce de Taher Najib. Beaucoup de proviseurs ont refusé, de peur de raviver des tensions entre les jeunes issus du Maghreb ou des pays arabes. Organiser des ateliers autour de la piÚce, oui. La programmer, non...
SituĂ© Ă  l'entrĂ©e du quartier "sensible" du Val-FourrĂ©, le lycĂ©e Saint-ExupĂ©ry est un peu Ă  part. Il compte parmi ses professeurs d'histoire ValĂ©rie Pouzol, spĂ©cialiste du conflit israĂ©lo-palestinien et chercheuse Ă  l'Ecole des hautes Ă©tudes en sciences sociales (EHESS). Depuis plusieurs annĂ©es, elle plaide pour renouveler l'enseignement de ce conflit en terminale. "Certains collĂšgues n'osent plus aborder le sujet. Il y a la crainte des dĂ©rapages en classe. Et les enseignants ne disposent que de trois heures, au mieux, pour aborder un dossier aussi complexe" , explique ValĂ©rie Pouzol. Il ne reste aux adolescents que xe", celles xe", enfants jetant des pierres contre l'armĂ©e israĂ©lienne, candidats au martyre , constate ValĂ©rie Pouzol, dans une tribune publiĂ©e par Mediapart. "Leur connaissance du conflit s'arrĂȘte lĂ , et ils ne savent pas clairement expliquer son origine" , Ă©crit-elle. Avec Taher Najib, les Ă©lĂšves de Saint-ExupĂ©ry ont dĂ©couvert "la rĂ©sistance par le plaisir" , une dĂ©finition du thĂ©Ăątre selon le metteur en scĂšne Laurent FrĂ©churet.
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En 1976, Chantal Ladesou participait sans le savoir au tournage d’un film pornographique. Un extrait de ce chef-d’Ɠuvre olĂ©-olĂ© a Ă©tĂ© diffusĂ© hier Ă  la tĂ©lĂ©vision.
Au milieu des annĂ©es 70, alors jeune comĂ©dienne en devenir, Chantal Ladesou acceptait un peu tout et n’importe quoi pour faire chauffer la marmite. Il y a deux ans de cela, alors que Laurent Argelier la rĂ©veillait pour la promo de sa piĂšce Nelson sur MFM radio, la comĂ©dienne s’était souvenue de ce film porno auquel elle avait participĂ© malgrĂ© elle en 1976. Un gros moment de solitude auquel elle repense en souriant aujourd’hui. « A un moment donnĂ©, c’était une grande fĂȘte, ils ont dit : “Tout le monde Ă  poil main­te­nant !” » Totalement paniquĂ©e face Ă  cet ordre, Chantal Ladsou avait tentĂ© d’esquiver l’effeuillage et ce qui devait se passer aprĂšs. Impossible, elle avait signĂ© un contrat
 « Je pensais que c’était un gag, ajoutait-elle. Au final, j’ai Ă©tĂ© virĂ©e du travail, c’était l’hor­reur ! »
Ce fameux film, c’était Les maĂźtresses de vacances . Quelques images ont Ă©tĂ© diffusĂ©es hier aprĂšs-midi dans le tout premier numĂ©ro des E nfants de la tĂ©lĂ© prĂ©sentĂ© par Laurent Ruquier sur France 2. TrĂšs Ă  l’aise, Chantal Ladesou a redĂ©couvert ces images en esquissant un sourire. Il faut dire que la musique, les dialogues et tout le reste sont au top. DĂ©couvrez cette sĂ©quence trĂšs drĂŽle dans la vidĂ©o ci-dessus.

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blonde britannique aux gros seins sur un tournage

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