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Pourquoi la motion de censure est moins risquée que le vote de confiance pour Borne
Mélenchon propose “une grande marche contre la vie chère” en septembre
La NUPES a déposé une motion de censure contre Élisabeth Borne. Elle sera débattue ce lundi après-midi.
POLITIQUE - Prévue par la Constitution, la motion de censure permet au Parlement de renverser le gouvernement si elle est adoptée par la majorité absolue des députés. Or, avec 151 députés insoumis, communistes, écologistes et socialistes, l a NUPES qui défend la sienne ce lundi 11 juillet est loin des 289 voix nécessaires. 
Les autres membres de l’opposition, les Républicains et le Rassemblement national o nt déjà dit qu’ils ne voteraient pas cette motion de censure. “ C’est une démarche isolée d’un groupe politique, explique le député LR Philippe Gosselin . Avant même que le gouvernement ait changé et démissionné il y a quinze jours, la NUPES avait déjà dit qu’il y aurait une motion de censure”.
“C’est le jouet des députés d’extrême gauche, eux sont dans une posture de provocation faire du cirque pour du cirque, ils ne sont pas constructifs,” commente de son côté Julien Odoul, député du RN. 
Comme on vous l’explique dans la vidéo en tête d’article , cela n’empêche pas la NUPES d’aller au bout de son initiative, qui est avant tout symbolique. Les députés ne parlent pas de motion de censure, mais de motion de défiance, pour mettre en miroir le vote de confiance de l’Assemblée q ue la Première ministre n’a pas sollicitée.
Et l’objectif principal est bien d’illustrer que la NUPES est la première force d’opposition, comme l’explique Boris Vallaud, président du groupe PS: ” La Première ministre n’a pas de majorité et en ne se soumettant pas au vote elle peut laisser entendre qu’elle a le soutien de tous. Je crois que pour la clarté des choses il est important de savoir sur qui elle peut compter et qui est son opposition, et donc c’était le sens de notre proposition, pour ne pas préjuger d’un soutien tacite”. 
Si les autres groupes ne votent pas cette motion de censure, l’opposition aura d’autres occasions de se dresser contre le gouvernement sur les textes de loi qui seront débattus ou lors d’autres motions de censure.
À voir également sur le HuffPost : Des applaudissements aux huées, une Assemblée nationale hétéroclite face à Élisabeth Borne
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Par Sébastien Aliome
Publié le 24 Août 22 à 18:05 
mis à jour le 25 Août 22 à 11:25


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Les élus de Saint-Saëns ne souhaitant pas augmenter le prix des repas à la cantine, ils ont choisi le retrait des entrées des repas servis aux élèves.
Faire le bon choix n’est pas chose aisée. Face à l’envolée du prix des matières premières et de l’énergie, les élus de Saint-Saëns (Seine-Maritime) ont réfléchi au tarif des repas de cantine . Ils auraient pu l’augmenter d’environ 7 % . Ce qui correspond à la hausse du coût de revient pour la municipalité.
Toutefois, cela aurait encore un peu plus pris sur le portefeuille des ménages. Lors du dernier conseil municipal, il a été évoqué la possibilité de se passer des entrées. Une décision confirmée par la commission des affaires scolaires. Les parents doivent tous être informés à la rentrée.
La réflexion s’est alors portée sur la composition des repas.
Il ressort d'une étude faite au sein de la restauration scolaire de Saint-Saëns qu'environ 80 % des entrées partent à la poubelle.
Face à cet argument, les élus, à l’unanimité, ont donc opté pour que dès la rentrée de septembre, les menus soient composés de la manière suivante : plat, fromage, dessert. Il n’y aura donc plus d’entrée. 
Cela permet de conserver les mêmes tarifs, ce qui est très important pour les familles.
Du côté de la garderie, le conseil municipal a voté le maintien des tarifs actuels.
Les entrées ne seront ainsi plus gâchées, et les foyers ne seront donc pas impactés par l’inflation, qui touche de nombreux produits de la vie quotidienne : huile, pâtes, farine, mais aussi l’électroménager et la papeterie, des produits habituellement achetés à la rentrée.
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Publié le 11 juil. 2022 à 19:10 Mis à jour le 11 juil. 2022 à 21:22
Inflation, hausse des taux d’intérêt, Ukraine et maintenant incertitude politique, les chocs se multiplient. Pour évoluer dans un environnement de plus en plus complexe, l’expertise de la rédaction des Echos est précieuse. Chaque jour, nos enquêtes, analyses, chroniques et édito accompagnent nos abonnés, les aident à comprendre les changements qui transforment notre monde et les préparent à prendre les meilleures décisions.
La France a perdu 650.000 vaches en 5 ans dans son cheptel de bovins. Une trajectoire alarmante qui risque de s’accentuer avec l’envolée des prix et la sécheresse actuelle.
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Sans surprise, la motion de censure contre le gouvernement déposée par les députés Nupes n'a pas été adoptée par l'Assemblée ce lundi. La gauche a évoqué une « clarification politique » tandis que la Première ministre a fustigé un « procès d'intention ».
Ce vote avait des airs d'acte de naissance de l'opposition frontale entre l'alliance de gauche et la majorité présidentielle. Ce lundi, les députés ont rejeté la motion de censure contre le gouvernement déposée mercredi dernier par la Nupes. Un résultat sans surprise qui aura au moins eu le mérite de « clarifier » la position des groupes parlementaires.
Pour être adoptée, cette motion de censure devait recueillir le vote de la majorité absolue des députés, soit 289 voix. Bien loin des 151 sièges de l'alliance LFI-PCF-PS-EELV. Finalement, 146 élus ont voté en faveur du texte. Preuve que la consigne a été globalement suivie au sein de la Nupes, malgré la défection de six socialistes, dont Valérie Rabault. En revanche, un député ne faisant pas partis de la Nupes a pris part au vote : le souverainiste Nicolas Dupont-Aignan.
Avant le vote, la cheffe de file des députés Insoumis, Mathilde Panot, a défendu cette motion en remettant en cause la légitimité de l'exécutif, qualifié d'« anomalie démocratique » après le refus du gouvernement de se soumettre à un vote de confiance des députés la semaine dernière.
Pour l'élue du Val-de-Marne, ce vote est surtout « une clarification politique » pour « distinguer ceux qui veulent servir de béquille à ce pouvoir et ceux qui veulent représenter une vraie alternative pour le pays ». Une allusion aux députés des Républicains et du Rassemblement national, qui ont refusé de voter en faveur du texte et qui restent ouverts à la politique du « compromis » défendue par la Première ministre .
Depuis la tribune de l'hémicycle, Elisabeth Borne a fustigé le « procès d'intention » que représente cette motion : « Le nouveau gouvernement est entré en fonction il y a une semaine à peine et vous voulez déjà le censurer », a-t-elle lancé aux députés Nupes : « J'aurais aimé que nous nous retrouvions pour parler de pouvoir d'achat, de l'urgence climatique, de l'emploi, de l'éducation, de la santé, de ce qui intéresse vraiment les Français ».
Une position partagée par la soixantaine de députés LR, qui se sont dits prêts à travailler avec la majorité « texte par texte ». « Nous ne joindrons pas nos voix à celle de l'extrême gauche avec qui nous n'avons aucun point commun », a insisté Michèle Tabarot, élue LR des Alpes-Maritimes, répétant que son groupe « ne fera jamais de blocage stérile » contre le gouvernement.
Le Rassemblement national, avec ses 89 députés, s'est montré plus critique envers l'exécutif, mais il a surtout concentré ses attaques sur la Nupes. « L'heure n'est pas aux basses manoeuvres politiciennes. Nous faisons passer l'intérêt du pays avant celui des partis. Contrairement à vous », leur a lancé l'élu RN de Moselle Alexandre Loubet. Alors que le parti de Marine Le Pen cherche à se donner une image responsable dans l'hémicycle, le député a assuré que son groupe mènera « une opposition ferme, mais digne et constructive. »
Tous droits réservés - Les Echos 2022



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Le Sénégal, notre charmant et beau pays, est à la croisée des chemins avec l’espoir d’un changement véritable de cap et la perspective heureuse d’un meilleur destin par les urnes. En effet, le 31 juillet 2022, se tiendront les élections législatives pour le renouvellement de la représentation nationale. Il s’agira d’élire les futurs députés qui devront siéger à l’hémicycle pour porter la voix du peuple. Il est évident que pour que cette nouvelle voix soit audible et se fasse, efficacement et utilement, l’écho des besoins et doléances du peuple, le choix doit être porté sur des hommes et des femmes de valeur, intègres, patriotes, uniquement guidés par l’intérêt général et exclusivement soucieux des préoccupations des populations. Ces populations sénégalaises dont les intérêts et les doléances n’ont jamais été sérieusement pris en compte par aucune des différentes majorités parlementaires qui se sont succédées depuis l’accession de notre pays a la souveraineté internationale.
Il est admis, de notoriété publique et généralement reconnu que les deux dernières législatures sous la présidence du grabataire, sénile et archéo-socialiste Moustapha Niasse sont les plus nulles, les plus décevantes, les plus désastreuses et les plus catastrophiques de l’histoire de notre institution parlementaire. Quant à celle qui vient de s’achever, elle apparait comme la plus inutile, la plus dégradante et la plus avilissante avec un président qui avait perdu toute ambition politique et dont la seule raison d’exister était de se soumettre, dans une position de reptation servile, à la seule volonté et aux seuls désidératas de son maitre, le Président Macky Sall dont il a accepté d’être le valet, le séide et le vil serviteur, exécutant ses ordres sans état d’âme avec une délectation immorale, pourvu que ce dernier soit satisfait. C’est ainsi qu’il a tissé des relations vassaliques entre le pouvoir exécutif et le pouvoir législatif réduit à une simple boite de réception et une banale caisse d’enregistrement et de résonnance des décisions du prince. Le président Moustapha Niasse n’a pas laissé un bon souvenir aux Sénégalais dont la majorité le considère comme quelqu’un qui s’est plus servi de l’État qu’Il ne l’a servi; il a mis à profit sa position institutionnelle pour s’enrichir immensément.
C’est au cours de la dernière législature que les Sénégalais ont été témoins des pires forfaitures commises par des députés censés représenter le peuple et incarner les valeurs positives cardinales de notre société. Des députés ont été impliqués dans des actes délictueux dignes du grand banditisme ( faux et usage de faux en écriture publique, contrefaçon de billets de banque, trafic de passeports diplomatiques, violation flagrante et piétinement des loi etc… ). Pire et plus ahurissant l’assemblée nationale en son sein, notamment dans le bureau national, des souteneurs, des propagandistes, des adeptes, des partisans et des hérauts zélés de l’homosexualité et de l’agenda LGBT proposé par le nouvel ordre mondial. A cela, il faut ajouter des attitudes et comportements puériles, des propos désobligeants et agressifs, des insultes et autres injures adressées aux députés de l’opposition, le tout sous l’œil laxiste, complaisant voire complice du président Moustapha Niasse dont l’intolérance légendaire ainsi que le caractère irritable et irascible s’est toujours exprimé à travers l’histoire de notre pays. N’a-t-il pas giflé feu Djibo Leity Ka en plein Conseil des ministres devant le Président de la République? N’a-t-il pas traité « d’imbéciles » Malick Gakou et ses partisans? C’est cet homme qu’on veut nous présenter comme un sage, un homme d’État, alors qu’en réalité, il n’est qu’un sanguin, un intolérable et un antidémocrate. On doit apprendre à nous dire la vérité de notre vivant avant que la mort ne nous impose les circonstances d’une hypocrisie ou les démons apparaissent sous les oripeaux d’anges moralement immaculés et sans péchés.
  De la même manière que le palais de la république, siège de la souveraineté populaire, s’est transformé en un lieu de refuge pour des traitres, des scélérats comme Djibril Ngom, en un lieu de débauchage de vils transhumants, détourneurs de suffrages et en un lieu de consécration et de glorification de personnes réputées pour leur vie dissolue, de la même manière notre assemblée nationale a servi d’instance pour blanchir et innocenter de véritables criminels économiques et de grands délinquants financiers.
Les prochaines élections législatives sont d’une très grande importance, elles seront capitales, cruciales et déterminantes pour l’avenir de notre pays. Aussi tous les acteurs et partis politiques s’organisent-ils, dans le cadre de différentes coalitions, pour mettre de leur coté le maximum de chances d’engranger le plus de voix possibles. Pour ces présentes législatives, trois coalitions me paraissent les plus représentatives, il s’agit de Benno, de Yewwi et de Wallu. Les autres coalitions, bien que disposant de profils très valables et sérieux, me paraissent d’un niveau inférieur par rapport a leurs masses militantes. Peut-être que les résultats détermineront-ils réellement et objectivement le poids des uns
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