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VIDÉOS DE PEU DE TEMPS LES PLUS VOTÉES

propos recueillis par -


Camille Adaoust




Publié le 10/06/2022 11:37


Mis à jour le 10/06/2022 11:44





























Une voiture électrique est en cours de recharge à Montaigu-Vendée (Vendée), le 9 juin 2022. (MATHIEU THOMASSET / HANS LUCAS / AFP)




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"Bon signal envoyé aux acteurs du secteur", la mesure adoptée mercredi n'est toutefois pas suffisante pour repenser nos mobilités. Aurélien Bigo, chercheur sur la transition énergétique des transports, explique pourquoi à franceinfo.
Le Parlement européen a acté, mercredi 8 juin, la fin de la vente des véhicules thermiques neufs à partir de 2035. La mesure, qui fait partie du "paquet climat" de Bruxelles , doit pouvoir réduire les émissions de gaz à effet de serre, responsables du changement climatique, du secteur des transports . "C'est un bon signal envoyé aux acteurs du secteur. L'électrification est indispensable pour la transition énergétique des véhicules les plus légers" , réagit Aurélien Bigo, chercheur sur la transition énergétique des transports à la Chaire énergie et prospérité. Toutefois, c'est loin d'être suffisant pour atteindre les objectifs de neutralité carbone . "Ça ne peut pas être pensé comme la seule solution sur la mobilité des voyageurs" , complète-t-il. Il explique pourquoi à franceinfo. 
Franceinfo : Cette mesure votée par les eurodéputés est-elle une bonne nouvelle, en faveur d'une transition vers des transports moins carbonés ? 
Aurélien Bigo : Oui, c'est un bon signal envoyé aux acteurs du secteur. L'électrification est indispensable pour la transition énergétique des véhicules les plus légers. En France, un véhicule électrique émet en moyenne trois fois moins qu'un véhicule thermique, lorsqu'on prend en compte tout son cycle de vie. On avait besoin que les réglementations accélèrent le processus. Et cette date de 2035 avance les objectifs fixés précédemment au niveau national pour un certain nombre de pays européens, dont la France, qui s'était fixé l'échéance de 2040. Ç a va dans le bon sens, pour autant ce n'est pas suffisant. Il faudrait une date de fin de vente encore plus tôt et il faut combiner l'électrification avec d'autres solutions. Ça ne peut pas être pensé comme la seule solution concernant la mobilité des voyageurs. 
Quelles sont les limites de cette mesure ? 
La stratégie nationale bas-carbone [ou SNBC, feuille de route de la France pour respecter l'accord de Paris limitant le réchauffement climatique à 2 °C, voire 1,5 °C] a fixé pour objectif de diviser par six les émissions territoriales de la France. La comparaison n'est pas parfaite, mais si on transpose ça au secteur des transports, il faut que le progrès soit plus important que la seule division par trois permise par une transition vers l'électrique.
Par ailleurs, cette seule solution laisse de côté nombre d'enjeux. L'artificialisation des sols par exemple. Les véhicules électriques nécessitent eux aussi des infrastructures et consomment de l'espace, menaçant la biodiversité. Cela ne permet pas non plus un rééquilibrage de l'espace public en faveur d'autres types de mobilités et en faveur de la végétalisation des villes, nécessaire pour s'adapter notamment aux vagues de chaleur et aux fortes pluies. On peut citer aussi la pollution visuelle, l'inactivité physique, l'accidentologie, etc. Ces problèmes ne sont pas résolus en passant seulement du thermique à l'électrique. Et cela vient aussi en ajouter d'autres. 
L'utilisation des ressources en métaux pour la fabrication des batteries. On sait qu'il va y avoir des tensions sur le cobalt, le nickel et le lithium par exemple, en raison de la forte croissance de la demande. Il y a aussi un risque d'effet rebond. Dans le secteur des transports, on a observé que l'amélioration de l'efficacité des moteurs avait conduit les usagers à parcourir de plus longues distances et à plus facilement utiliser leur voiture, et non à baisser la consommation. Avec la voiture électrique, qui a un coût moins élevé lors du déplacement, ça peut aussi faciliter les déplacements et donc les multiplier.  
Quels leviers faudrait-il donc actionner, en plus de la fin de la vente des voitures thermiques ?
Un des principaux défis désormais, c'est d'éviter que cette électrification se fasse vers des véhicules lourds. Ça priverait la transition d'un grand nombre de bénéfices. Pour l'éviter, il faut de nombreuses mesures liées à la sobriété, qui manquent énormément dans les décisions prises jusqu'à présent. Il y a plusieurs leviers : modérer la demande de transport et donc réduire les kilomètres parcourus, favoriser les mobilités actives comme la marche et le vélo, diminuer la part de la voiture par rapport aux transports en commun, mieux remplir les véhicules avec le covoiturage et enfin aller vers des véhicules plus légers, moins rapides et plus aérodynamiques, contrairement à la tendance actuelle en faveur des SUV. Globalement, il faut requestionner la place de la voiture dans nos mobilités.
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Laurent Jacobelli, porte-parole du Rassemblement national, s'oppose à la proposition de loi pour "accorder le droit de vote et d'éligibilité aux élections municipales" à tous les étrangers, même non européens.
"On a franchi les limites de l’indécence et de l’incompréhension de ce que demandent les Français" , a estimé mercredi 10 août sur franceinfo Laurent Jacobelli, député de Moselle et porte-parole du Rassemblement national, alors que le député Renaissance (ex-LREM) et président de la commission des Lois Sacha Houlié a déposé mardi une proposition de loi pour "accorder le droit de vote et d'éligibilité aux élections municipales" à tous les étrangers, même non européens.
"Pour Sacha Houlié l’imam Iquioussen, qui est Marocain et qui prêchait la haine, dans le nord de la France, aurait pu avoir le droit de vote , s'irrite Laurent Jacobelli . Trois quarts des Français disent que dans notre pays il y a trop d’immigration et qu'il faut la réguler, mais Sacha Houlié semble vouloir le phénomène inverse. Donner un droit supplémentaire à des étrangers qui ont déjà un certain nombre de faveurs, notamment en termes de logement, tout cela me paraît un peu anachronique."
Cette déclaration de Sacha Houlié, député Renaissance, président de la commission des Lois, "révèle une vraie pensée du gouvernement. Ce n'est pas un député lambda. Au moment où la Première ministre décale dans le temps le projet de loi immigration de Gérald Darmanin, le seul acte concret c'est cette proposition", a expliqué Laurent Jacobelli.
Le porte-parole du Rassemblement national distingue deux cas de figure : "Soit vous êtes étranger en situation temporaire en France, dans ce cas pourquoi voteriez-vous ? Soit vous êtes installé durablement, vous avez une famille, et donc pourquoi ne pas demander la nationalité française ? Vouloir le beurre et l'argent du beurre cela me paraît un peu compliqué."
Sacha Houlié justifie sa proposition en expliquant que certains étrangers, comme les Britanniques, sont installés depuis des décennies dans des villages et souhaiteraient participer à la vie de leur village ou cité. "Ce sont les accords européens, les citoyens de l'Union européenne ont le droit de vote aux élections municipales" , défend le porte-parole du RN. "Mais être électeur ce n'est pas être consommateur, c'est participer à la vie de la nation. Quand on est étranger on n'est pas membre de la communauté nationale. Le seul moyen de pouvoir voter c’est d’être Français" , martèle le député de Moselle. 
Donner le droit de vote à des étrangers n'appartenant pas à l'Union européenne présente des risques, selon Laurent Jacobelli.
"Il y a un certain nombre de cités où le communautarisme fait loi et si demain les étrangers peuvent voter ces cités basculeront."
"Elles ne représenteront plus la France mais une communauté" , projette le porte-parole du Rassemblement national qui cite en exemple les Pays-Bays : "Il y a des communes où vous avez des conseillers municipaux qui ne se revendiquent pas des Pays-Bas ou de la commune mais de leur origine ou de leur religion. C'est ce que nous voulons éviter."
En France, "le communautarisme est rarement espagnol ou italien , pointe le député RN. Le communautarisme que nous avons aujourd’hui est essentiellement dû à l’immigration d’Afrique du Nord ou de musulmans qui clairement, pas tous, s'organisent séparément du reste de la société. Cela arrive et on ne doit pas l'encourager. L'idée d'appartenance à cette nation doit être encouragée."
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LOIC VENANCE via AFP via Getty Images
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Législatives 2022: Caron vs Bournazel, le duel parisien qui illustre l'incertitude des résultats - REPORTAGE
Les bureaux de vote vote resteront ouverts moins longtemps pour les deux tours des législatives, les dimanches 12 et 19 juin.
POLITIQUE - Du changement par rapport à la présidentielle. Si votre bureau de vote est resté ouvert jusqu’à 19h, voire 20h, en avril dernier , il est possible que cela change pour les législatives. À quelques jours du premier tour du scrutin , le ministère de l’Intérieur rappelle en effet que la loi fixe une fermeture à 18h partout en France, “sauf exception”.
Dimanche, il vous sera possible de glisser votre bulletin dans l’urne à 8h tapantes, quel que soit son emplacement en France. En revanche, la plupart des bureaux de vote fermeront leurs portes dès 18h, alors qu’aucun n’avait fermé avant 19h pour la présidentielle les dimanches 10 et 24 avril.
Mais l’horaire peut varier, et l’isoloir peut être accessible jusqu’à 20h. Ce sera notamment le cas pour certaines municipalités comme Paris, Lyon ou encore Toulouse et Marseille. Si ce sont principalement les grandes villes qui ferment le plus tard, l’horaire n’est pas forcément lié à la taille de la commune.
En effet, le site du Service public précise que “des arrêtés peuvent être pris dans certaines communes ou circonscriptions administratives (...) pour faciliter aux électeurs l’exercice de leur droit de vote.” Il est toutefois impossible de fermer les portes des bureaux de vote après 20h, heure à laquelle les premiers résultats seront communiqués par le ministère de l’Intérieur et les estimations publiées par les médias.
Pour être certain de voter dans les temps, vous pouvez vérifier les horaires d’ouverture et de fermeture de votre bureau de vote sur le site internet de votre commune.
À voir également sur le HuffPost : Dans le Var, la candidature d’Éric Zemmour divise l’extrême droite face à LREM
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Un juge de New York a cassé lundi 27 juin une législation adoptée par la municipalité en décembre et…
Au total, les Français des 11 circonscriptions de l'étranger pourront choisir quatre modalités de vote : à l'urne, par procuration, par correspondance ou sur internet.
FIGAROVOX/TRIBUNE - Dans une vidéo exhumée sur les réseaux sociaux, le journaliste affirmait être favorable à l'instauration d'un «permis de voter». Si cette proposition est contestable, la réflexion d'Aymeric Caron articule l'éternelle question du lien entre savoir et pouvoir, argumente le normalien Nathan Devers.
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