VIDÉOS DE FAIRE SES BESOINS LES PLUS VOTÉES

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VIDÉOS DE FAIRE SES BESOINS LES PLUS VOTÉES
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Ex-adjointe au maire du 4ème arrondissement de Paris, ex porte-parole de Cédric Villani aux municipales 2020
Alors que nous sommes à quelques jours de ces élections un peu particulières que sont les élections sénatoriales, on ne peut pas dire que le sujet passionne les foules.
Et pour cause, le mode de scrutin n'est franchement pas très lisible pour le grand public.
Seuls peuvent voter les "grands électeurs", les mêmes qui peuvent donner leur signature à un candidat à la présidence de la République. Pour résumer, ce sont principalement les élus des dernières élections municipales. L'élection sénatoriale est en quelque sorte, une élection décalée d'un coup, dans le temps. Pour cette raison, les nouveaux partis sont particulièrement désavantagés. Mais finalement, n'est ce pas la fonction-même de cette assemblée du long terme? Etre une sorte d'amortisseur face aux risques de bouleversement?
Le collège des "grands électeurs" est aussi plein d'incohérences: à Paris, par exemple, les Conseillers de Paris ont chacun le droit de désigner 17 grands électeurs de leur choix, alors que les Conseillers d'arrondissements –élus au suffrage universel direct et qui représentent chacun plusieurs milliers d'électeurs– ne sont pas eux-mêmes "grands électeurs" à moins d'être désignés par un Conseiller de Paris. Cet exemple n'est qu'une illustration de la nécessité de réformer –entre-autres- les modalités de l'élection sénatoriale.
Et pourtant, l'enjeu est d'importance
Le sénat, chambre du seigle et de la châtaigne, est la Chambre des territoires et il faut les 3/5 ème du parlement (assemblée nationale + sénat) pour faire passer les réformes constitutionnelles – sauf à procéder par référendum. Le Sénat, c'est "l'autre chambre" du bicamérisme, garante de la stabilité de nos institutions et de la démocratie
Pendant ce temps là, rentrée de septembre
N os sondages à LREM sont un peu en berne. Les français sont dans un état qui oscille entre la sidération et une forme de gueule de bois. Sidération d'avoir été au bout d'une démarche improbable et audacieuse et d'avoir élu un président jeune et neuf en politique puis, dans la foulée, un parlement issu de la société civile, rajeuni et féminisé lors d'un printemps particulièrement ensoleillé, et réveil à la réalité de devoir affronter maintenant les changements pourtant annoncés et qu'ils ont soutenus.
Car ce changement, nous l'avons voulu quand nous avons élu Emmanuel Macron, rejetant –contre tous les pronostics- la menace du Front national qui pesait sur nous depuis 5 ans et redonnant du souffle et à la France et au projet européen.
Ce changement, nous le savions nécessaire depuis longtemps, ne reculons pas aujourd'hui devant l'obstacle. N'ayons pas peur de notre propre audace, assumons nous, et surtout, ne renouons pas déjà avec nos démons habituels: le pessimisme, l'autocritique flagelleante, le défaitisme.
Nous sommes un pays grand et riche, riche de notre territoire et de notre diversité territoriale, de notre histoire, de nos hommes, de nos territoires d'outre-mer, de nos origines métissées. Il ne nous manque pas grand-chose pour arriver à améliorer ce qui ne va pas. J'ai vu d'autres pays changer leurs destins en si peu d'années par la force de la volonté. C'est de cela que nous avons besoin plus que tout: un peu de foi en l'avenir, un peu d'envie de faire les choses ensemble, un peu d'envie d'aller de l'avant. Nous avons tous les outils pour réussir.
Pour toutes ces raisons, je tends la main à ceux de nos concitoyens qui sont "grands électeurs"
Je n'ai pas grand-chose à y gagner personnellement, je suis 8 ème sur la liste de la majorité présidentielle de Julien Bargeton et Fadila Mehal à Paris, position non-éligible, même dans les projections les plus optimistes. Mais je suis sur cette liste plurielle car je crois en notre projet et je voudrais vous convaincre de nous accompagner et de nous soutenir.
Chers grands électeurs, vous venez des partis qui ont gagné les élections municipales en 2014.
Si vous venez du PS, vous êtes écartelés entre un courant qui tend vers l'extrême gauche et un courant qui nous ressemble tant. L'avenir de la gauche est illisible, pourquoi ne pas nous donner notre chance?
Si vous venez des LR, êtes-vous chez vous dans ce parti déchiré entre deux lignes difficilement réconciliables? Si la réponse est non, apportez nous votre soutien!
Si vous venez de l'UDI, que peut il advenir de l'UDI alors que LREM a réussi ce que l'UDI cherchait à faire, rejoignez nous c'est la logique, comme vous aussi, les Radicaux, votre place est avec nous.
Si vous venez d'EELV, pensez vous que vous pourrez faire avancer vos idées dans un mouvement de plus en plus petit et toujours aussi déchiré. Venez influencer la politique du gouvernement sur votre sujet majeur qui nous tient tous à coeur.
A chacun de vous, chers grands électeurs, je propose un retour aux fondamentaux
Rappelez-vous ce qui vous a motivé à vous engager en politique, il y a peut-être très longtemps. Rappelez-vous ce que vous souhaitiez accomplir alors.
A l'heure où tout est rebattu, il est peut-être temps de retourner aux fondamentaux et de voter pour vos idées, pour un projet, pour une politique agissante, pour votre pays.
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Différentes personnes levant les mains au ciel, de voter et de souhaits. Concept de l’unité - Vidéo stock ...
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Different people raising hands to sky, voting or greeting. Concept of unity
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Maire de Villers-sur-Mer (LR), avocat aux Barreaux de Paris et de Bruxelles et spécialiste de droit du sport
SPORT - L'organisation de la Coupe du Monde de football, attribuée il y a 4 ans au Qatar ne finit plus de faire parler d'elle. Il faut que cela cesse et qu'un vote de la FIFA soit réorganisé au plus vite.
L'organisation de la Coupe du Monde de football, attribuée il y a 4 ans au Qatar ne finit plus de faire parler d'elle . Il faut que cela cesse et qu'un vote de la FIFA soit réorganisé au plus vite.
Il faut revoter parce que les soupçons de corruption sont trop forts
La Coupe du Monde 2022, si elle devait être organisée au Qatar, en tout cas dans ces conditions, resterait à jamais marquée par le soupçon. Certains intervenants ont d'ailleurs déjà été sanctionnés pour leurs interventions répréhensibles dans ce dossier, dont le Qatari Mohammed Bin Hammam. D'autres le seront sûrement.
La FIFA a organisé un audit interne, confié à Michael Garcia, duquel il ressort, pour le moins, que le dossier ne saurait être classé sans suite et ce malgré tous les efforts de la FIFA pour l'enterrer.
Par conséquent, quand des fraudes sont constatées, que des soupçons de corruption pèsent si fortement sur l'attribution de cette compétition, qu'un rapport interne de la FIFA tendrait de surcroît à démontrer, comment ne pas procéder à un nouveau vote ?
Trop peu nombreuses sont en tout état de cause les voix s'élevant aujourd'hui pour demander à la FIFA de remettre l'attribution de cette Coupe du Monde au vote. Le silence de la France et de la Fédération Française de Football (FFF) est à cet égard assourdissant. Heureusement, l'Allemagne et l'Angleterre n'ont de cesse ces derniers mois de rappeler à la FIFA ses obligations de transparence.
Il faut revoter parce que le choix opéré par les votants a été tronqué
Au-delà de ces problématiques de corruption, il faut également rappeler que le dossier d'attribution de cette Coupe du Monde était basé sur un cahier des charges clair, contenant entre autres des dates auxquelles la compétition devait être organisée.
Or, comment ne pas s'interroger dorénavant sur la validité de ce processus juridique ? Le dossier de nos amis Qataris aurait-il obtenu une quelconque majorité des membres votants de la FIFA s'il avait été clairement établi, d'emblée, que la Coupe du Monde qu'ils proposaient d'organiser ne pourrait pas se tenir aux dates convenues, à savoir du 12 juin au 10 juillet 2022? Probablement pas.
Des pays candidats auront donc concouru pour l'organisation de la Coupe du Monde 2022 en tenant compte de règles du jeu qui, une fois le vote organisé, changèrent du tout au tout. Dans quel système juridique peut-on aujourd'hui justifier de tels comportements ? La France et ses entreprises s'en accommoderaient-elles ? Bien sûr que non ! Ce serait à bien des égards juridiquement condamnable. Et pourtant, ni la France, ni la FFF ne semblent s'en émouvoir.
Il faut revoter parce que de nouvelles dates mettraient des sponsors et d'autres compétitions en danger
La FIFA doit également faire face à ses sponsors dont certains se sont engagés sur un dossier qu'ils croyaient clair : ils achetaient des droits de retransmission, une visibilité, ou s'engageaient plus généralement dans le cadre d'accords commerciaux qui concernaient une compétition devant se dérouler au cours de l'été 2022.
Or, ceux des sponsors que la mauvaise gouvernance de la FIFA n'a pas encore fait fuir, s'interrogent aujourd'hui ouvertement sur la suite à donner à leurs engagements en question. Une Coupe du Monde en hiver, voire en mai, serait-elle aussi attrayante pour les téléspectateurs qu'une Coupe du Monde en été ?
Si elle devait avoir lieu en hiver, quid des JO d'hiver organisés quasi aux mêmes dates et de l'impact de cette coexistence sur le nombre de téléspectateurs et sur la visibilité des sponsors finançant ces deux compétitions?
Quid du coup de la validité des contrats signés par la FIFA avec ces derniers ?
Qu'en serait-il de l'impact de l'irresponsabilité des dirigeants du football mondial sur les JO d'hiver et sur tous les sports de glace qui ont dramatiquement besoin de l'exposition de ces JO pour survivre?
Il faut revoter parce que le football se doit d'être citoyen et démocratique
Il faut finalement et surtout revoter parce que la FIFA ne saurait se soustraire plus longtemps aux responsabilités que lui confèrent les délégations de pouvoirs qu'elle tient des fédérations nationales membres.
Quand la FIFA prend des décisions, elle le fait en son nom et en celui des membres qu'elle représente. Pour ce qui nous concerne, elle prend donc des décisions qui engagent également la FFF.
La FFF détenant ses prérogatives d'une délégation de pouvoirs de notre gouvernement, c'est donc également au nom de tous les licenciés de la FFF qu'elle prend des décisions. Plus généralement, elle les prend donc également au nom de tous les citoyens français qui lui ont remis, par cascade de délégations de pouvoirs, le soin d'organiser le football au niveau international.
Or, les citoyens français, footballeurs ou pas, ne devraient pas regarder passivement la FIFA bafouer la confiance qui lui a été attribuée.
Et ils devraient pouvoir compter sur la FFF et sur notre Ministre des Sports pour faire connaître leur souhait de voir la FIFA réorganiser dans la plus grande transparence le vote pour l'attribution de la Coupe du Monde 2022.
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Accueil / Politique / Les vins d'Alsace votent un outil de régulation de l’offre


Les vins d'Alsace votent un outil de régulation de l’offre

Les vins d'Alsace votent un outil de régulation de l’offre
Production comme négoce souhaitent doter le vignoble d’un mécanisme original de mise en réserve destiné à réguler les disponibilités. Reste à le faire approuver par le ministre de l’Agriculture avant de l’inscrire dans les accords interprofessionnels.
Par Christophe Reibel Le 27 juin 2022
Serge Fleischer, président du Civa. « Rendement, VCI et réserve interprofessionnelle doivent être les trois leviers pour mettre en phase production et vente ». - crédit photo : Christophe Reibel
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SLAUR SARDET, partenaire industriel pour vos projets de désalcoolisation, carbonatation et embouteillage du vin....
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Cette propriété viticole dispose d'un bon outil de travail...
Le siège d'exploitation est fonctionnel et idéalement situé pour développer un caveau de vente....
Situé en bordure de route, à l'entrée d'un village, facile d'accès pour la vente directe....
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| VASLIN BUCHER - Cuve inox - Vinification - 350 H

| Cuve fibre - Chapeau flottant - 100 HL

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e système de mise en réserve imaginé par le Conseil interprofessionnel des vins d’Alsace (Civa), et approuvé par ses membres réunis en assemblée générale le 24 juin 2022 à Colmar, fixe un « juste milieu entre un rendement nécessaire pour alimenter le marché et une estimation des besoins de vins à avoir en réserve » . Il s’inscrit pour chaque cépage et chaque appellation, entre une limite supérieure, correspondant au début du surstock, et une limite inférieure équivalent à un manque de vin. Tant que le courant de vente se situe à l’intérieur de ce « tunnel » , il ne se passe rien. En revanche tout décrochage peut inciter le Civa à actionner le mécanisme.

Prenons l’hypothèse d’un cépage pour lequel le rendement annuel a été fixé à 70 hl/ha. Si en cours de campagne ses ventes dévissent, l’interprofession peut décider sous quelques jours d’en bloquer à la vente un certain pourcentage, 10 % par exemple. « Seul un viticulteur qui aura récolté 70 hl/ha sera concerné. Autrement dit, celui qui n’aura rentré que 63 hl (70 hl - 10 %) sera exempté de cette mise en réserve obligatoire » explique Serge Fleischer, président du Civa. A l’inverse, si les disponibilités menacent de passer sous un certain seuil, ce volume pourra être débloqué. « L’avantage c’est que ce vin est déjà un vin d’appellation, au contraire du Volume Complémentaire Individuel (VCI) qui doit être requalifié en appellation l’année n+1 » ajoute Serge Fleischer, pour qui réserve, VCI et rendement sont les trois leviers avec lesquels le vignoble doit mettre en phase la production et le rythme des ventes.

Les ventes de vins d’Alsace ont rebondi en 2021. A 960 167 hl dont 29 % d’export, ils réalisent leur meilleure score depuis 2015, dernière année où ils avaient dépassé le million d’hectolitres écoulés. A fin mai 2022, cette dynamique se confirme. Les 8,6 % de hausse sur 2019 constatés en cinq mois mettent le vignoble sur une trajectoire de ventes annuelles de 992 000 hl.

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