VIDÉOS DE EN FACE DE LES PLUS VOTÉES

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VIDÉOS DE EN FACE DE LES PLUS VOTÉES


Publié le 13/06/2022 08:08


Mis à jour le 13/06/2022 17:38





























Le député européen EELV David Cormand, le 12 juillet 2019. (RADIO FRANCE / FRANCEINFO)




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II n'y aura pas de consigne nationale de vote mais du "cas par cas" de la part de La République en marche dans les circoncriptions où s'affronteront des candidats du RN et de la Nupes lors du second tour des législatives. 
"C'est tout simplement indigne d'insulter de la sorte des électeurs qui n'ont rien à voir ni de près ni de loin avec la bête immonde qu'est l'extrême droite" , s'est insurgé lundi 13 juin sur franceinfo David Cormand, eurodéputé EELV, alors que la majorité présidentielle peine à donner une consigne de vote claire en cas d'un second tour RN-Nupes aux élections législatives. 
La République en marche a assuré dimanche qu'elle ne donnera pas de consigne nationale, mais seulement "au cas par cas" dans les circonscriptions où s’opposeront au deuxième tour des candidats du Rassemblement national et de la Nupes. En revanche, sans ambigüité, David Cormand dit qu'il votera LREM en cas de duel entre le RN et la majorité présidentielle. "Il n'y a jamais eu d'équivoque chez nous" , a-t-il affirmé.
Lundi, la Première ministre Elisabeth Borne a résumé la position de la majorité par la formule "aucune voix pour le Front national (sic)", tout en prévenant qu'un candidat de la Nupes "qui ne respecte pas les valeurs républicaines" ne recevra pas de soutien. "Pas une voix pour LFI, pas de voix pour les extrêmes, pour l'extrême droite non plus", a résumé la ministre de la Transition écologique Amélie de Montchalin. 
franceinfo : Selon les projections en sièges, cela sera difficile pour la Nupes d'obtenir une majorité à l'Assemblée nationale. Vous y croyez encore ?
David Cormand : Les projections en sièges, cela ne veut pas dire grand-chose. Une élection à deux tours, c'est deux élections et pour participer à la deuxième, il faut avoir été qualifié à l'issue de la première. Il y a cinq ans, la gauche était présente dans 170 circonscriptions à peu près sur 577. Là, nous sommes présents dans plus de 450 circonscriptions. Ça veut dire que dimanche prochain, les Françaises et les Français décideront qui a la majorité à l'Assemblée nationale. C'est une élection fondamentale, quelque part encore plus fondamentale que l'élection présidentielle. Si toutes les personnes ont voté soit pour Mélenchon, soit pour Jadot, soit pour Hidalgo ou soit Roussel à la présidentielle revote dimanche prochain, nous aurons une majorité à l'Assemblée nationale.
Il y a une polémique sur les résultats affichés dans la nuit par le ministère de l'Intérieur. Manuel Bompard, de La France insoumise, accuse le ministre de l'Intérieur d'avoir oublié des voix de la Nupes afin de faire passer artificiellement la coalition présidentielle en tête. Vous confirmez ?
Oui, ils ont triché. Les gens qui ont voté pour la Nupes, par exemple en Outre-mer, ils ne les ont pas comptabilisés, alors que ceux qui, dans les mêmes conditions, ont voté pour La République en marche, ils les ont comptés, donc ils ont fait un calcul d'apothicaire. Tout ça n'a pas d'importance, cela n'honore pas la politiques. La réalité, c'est que c'est le pire score pour un parti présidentiel à une législative qui suit une élection présidentielle. Ça veut dire qu’il n’y a pas d'attente vraiment populaire par rapport à Emmanuel Macron. Les gens ont voté pour lui pour éviter que cela soit l'extrême droite au deuxième tour de l'élection présidentielle, mais il n'y a pas d'élan.
Législatives 2022 : "Ils ont triché", dénonce l'eurodéputé écologiste David Cormand, interrogé sur la polémique concernant le décompte des résultats opéré par le ministère de l'Intérieur. Suivez notre direct : https://t.co/GNKEpd0K3K pic.twitter.com/BzfG2TGEvh
La majorité présidentielle ne donne pas de consignes de vote en cas d'un second tour RN-Nupes. Comme réagissez-vous ?
J'ai exprimé mon indignation non seulement par rapport à ce qu'a dit Olivia Grégoire [porte-parole du gouvernement] qui, entre l'extrême droite et une coalition de gauche et écologistes, ne choisit pas. Mais également la Première ministre qui renvoie dos à dos des partis démocratiques qui composent la Nupes et l'extrême droite. Une Première ministre ne devrait pas dire ça dans un pays où on sait ce que c'est l'extrême droite. On sait aussi d'ailleurs ce que c'est la gauche et ce n'est quand même pas la même chose. Yannick Jadot a raison de dire que si nous n'avions pas été là au deuxième tour de l'élection présidentielle, c'est Marine Le Pen qui serait présidente de la République au moment où on parle.
"C'est tout simplement indigne d'insulter de la sorte des électrices et des électeurs, des Françaises et des Français et des partis politiques qui n'ont rien à voir ni de près ni de loin avec la bête immonde qu'est l'extrême droite."
Elisabeth Borne a précisé sa pensée dans un tweet un peu plus tard en écrivant "ne jamais donner une voix à l'extrême droite". En cas de duel entre un candidat RN et un candidat du camp présidentiel, quelles consignes donnez-vous ?
On vote LREM. On vote contre l'extrême droite. On vote pour battre l'extrême droite. Il faut empêcher que ces gens-là arrivent au pouvoir parce que quand ils le prennent ils ne le rendent pas. Ils le disent d'ailleurs. Il suffit d'une fois quand ils gagnent, ils ne rendent pas le pouvoir de leur plein gré. Donc, il faut les empêcher d'être au pouvoir. Il faut voter contre. C'est aussi simple que ça. Il n'y a jamais eu d'équivoque chez nous.
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Présidentielle 2022: Quel Premier ministre pour Macron?
Marine Le Pen, après la défaite, la guerre de l'extrême droite
Une position qui intervient alors que les spéculations vont bon train en interne sur ceux qui seraient prêts à quitter le navire.
POLITIQUE - Il y a des silences qui en disent long. Ceux de ces deux figures des Républicains, Damien Abad et Philippe Juvin lors du Conseil stratégique de ce mardi 26 avril, en font partie. Les huiles de parti de droite se réunissaient afin de trancher la ligne à suivre en vue des élections législatives, dans un contexte où plusieurs élus LR sont dans les starting-blocks pour rejoindre la majorité présidentielle.
L’occasion pour Christian Jacob et ses troupes de défendre “l’indépendance” du parti, et de menacer en creux ceux qui seraient tentés par l’aventure macroniste. “Il n’y a pas de double appartenance, il n’y en aura jamais”, a insisté le président de LR, pour qui “on ne peut pas être Les Républicains et majorité présidentielle”.
Durant ce conciliabule, les cadres du parti de droite ont voté une motion entérinant ce principe. “Nous refusons la logique du parti unique à la disposition du président de la République”, précise le texte, qui a été voté à l’unanimité. Enfin, l’unanimité moins deux votes.
Notre famille politique porte sa propre voix : celle d’une droite indépendante et populaire qui doit exister par el… https://t.co/WPsJQH5iZw
Comme dit plus haut, deux personnalités ont préféré s’abstenir: Damien Abad et Philippe Juvin. Des abstentions qui, en interne, sonnent comme des aveux de trahison. “Tiens y’en aura peut-être deux qui seront ministres à la fin de la semaine”, a grincé Éric Ciotti , selon des journalistes sur place. Président du groupe LR à l’Assemblée nationale, Damien Abad constituerait une recrue de choix pour Emmanuel Macron dans son entreprise d’élargissement à droite. 
Raison pour laquelle le député de l’Ain est au centre des spéculations, surtout depuis que son dîner avec le conseiller spécial d’Emmanuel Macron, l’ex-LR Thierry Solère, a fuité dans la presse. Quant à Philippe Juvin, il fait partie des rares à droite qui ont appelé sans détour à voter pour le chef de l’État au second tour. “Je crois que les partis de gouvernement doivent travailler ensemble”, a déclaré le maire de La Garenne-Colombe, dans les Hauts-de-Seine à son arrivée au siège des LR ce mardi.
“Je crois qu’il faut soutenir Emmanuel Macron, parce que nous devons avoir un accord de gouvernement”, soutenait-il dans l’entre-deux tours, se disant sensible à l’appel émis par Nicolas Sarkozy de se rapprocher de la majorité au nom de “l’intérêt commun de la France”. Un appel auquel reste sourd l’appareil des Républicains, qui menace d’exclure du parti ceux qui voudraient rejoindre la majorité. Au HuffPost , le président (ex-LR) de la région Sud, Renaud Muselier, déplorait il y a quelques jours le “sectarisme” de son ancienne famille politique.
“Aux députés sortants qui m’appellent, je leur dis que soit ils comprennent ce qu’il s’est passé et dans ce cas ils en tirent les conséquences en s’additionnant, soit ils s’entêtent dans leur isolement et ils vont vers la disparition”, expliquait-il, alors que la Macronie chiffre entre 20 et 30 recrues potentielles parmi les députés LR.
À voir également sur Le HuffPost: Ces plans de coupe ont régalé le public de France 2 pendant la soirée électorale
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Publié le 8 juin 2022 à 17:08 Mis à jour le 8 juin 2022 à 17:13
Inflation, hausse des taux d’intérêt, Ukraine et maintenant incertitude politique, les chocs se multiplient. Pour évoluer dans un environnement de plus en plus complexe, l’expertise de la rédaction des Echos est précieuse. Chaque jour, nos enquêtes, analyses, chroniques et édito accompagnent nos abonnés, les aident à comprendre les changements qui transforment notre monde et les préparent à prendre les meilleures décisions.
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La troisième édition du budget participatif de Montreuil a recueilli 243 propositions de citoyens, dont 83 remplissant les critères d'éligibilité. Elles seront soumises au vote des habitants jusqu'au 27 juin. Trois millions d'euros sont alloués à ce volet de l'action municipale.
Mettre en place des « bancs d'allaitement » avec une signalétique dédiée, faire renaître la salle de boxe historique « Le Ring Montreuillois », mettre en place un jardin de lecture près de la bibliothèque Paul Eluard… 83 projets proposés par des citoyens de la commune sont soumis au vote des habitants de Montreuil (Seine-Saint-Denis), jusqu'au 27 juin, dans le cadre du troisième budget participatif de la ville.
Doté de trois millions d'euros (comme les deux premières éditions, en 2015 et 2017), ce budget participatif permettra des aménagements dans les 14 quartiers de la ville, mais aussi la mise en oeuvre de projets d'intérêt communal. Une enveloppe de 450.000 euros leur est d'ailleurs réservée. Le vote est ouvert à tous, y compris aux personnes n'habitant pas Montreuil qui peuvent donner leur voix à trois projets. Il suffit d'une adresse mail et d'un numéro de téléphone pour voter en ligne. Une version papier est également disponible, à déposer en mairie, pour éviter la fracture numérique.
Entre 18 septembre 2021 et le 17 janvier dernier, l'appel à projets a récolté 243 propositions, un nombre équivalent aux deux dernières éditions. Seules 83 ont été jugées éligibles et seront donc soumises au vote (contre 130 en 2015). « Le règlement est pour le moment assez restrictif. Bien sûr, les projets doivent être compatibles avec les compétences de la ville, mais ils ne doivent entraîner que des dépenses d'investissement. Aucune ligne de fonctionnement n'est allouée au budget participatif », explique Julien Consalvi, adjoint au maire de Montreuil chargé de la fabrique citoyenne et de la démocratie locale.
« Cela exclut d'emblée tous les dossiers nécessitant l'embauche de personnel par exemple. Je souhaiterais donc que l'on puisse changer cela lors de la quatrième édition », poursuit-il.
L'élu reconnaît par ailleurs une certaine iniquité entre les quartiers : certains ont déposé de nombreux dossiers, notamment via les associations et collectifs locaux, tandis que d'autres, plus aisés, n'en ont soumis que deux ou trois.
« Nous adoptons la proposition ayant récolté le plus de voix puis, s'il reste de l'argent, nous validons la seconde, etc. Par ailleurs, nous avons tendance à augmenter un peu le budget prévu pour accepter certains dossiers supplémentaires afin qu'ils puissent voir le jour », note Julien Consalvi. Ainsi, environ 35 projets ont été retenus et réalisés pour chacune des deux premières éditions.
Avec Paris, Rennes et Grenoble, Montreuil est l'une des premières collectivités françaises à avoir mis en place ce dispositif. « C'est un peu la locomotive de la démocratie participative. Les citoyens voient un effet direct à leur participation. Pour la première édition, nous avons eu 3.000 votants et 5.000 pour la seconde. C'est encourageant pour une ville de 111.000 habitants », souligne l'élu. Celui-ci estime que les projets sont de plus en plus originaux et innovants, s'éloignant progressivement des thématiques de voirie qui représentaient l'essentiel des dossiers de la première édition.
« Le budget participatif permet notamment d'identifier les besoins naissants de la population, comme cette proposition d'aménager des bancs d'allaitement afin de lutter contre la stigmatisation de ces femmes dans l'espace public », estime l'adjoint.
Celui-ci souhaite désormais aller plus loin pour impliquer les habitants dans la vie locale , par exemple en créant une assemblée permanente de citoyens, qui pourraient participer à des décisions bien plus larges.
Tous droits réservés - Les Echos 2022

Publié le 6 juin 2022 à 10:10 Mis à jour le 6 juin 2022 à 22:44
Inflation, hausse des taux d’intérêt, Ukraine et maintenant incertitude politique, les chocs se multiplient. Pour évoluer dans un environnement de plus en plus complexe, l’expertise de la rédaction des Echos est précieuse. Chaque jour, nos enquêtes, analyses, chroniques et édito accompagnent nos abonnés, les aident à comprendre les changements qui transforment notre monde et les préparent à prendre les meilleures décisions.
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« C'est vraiment remarquable de parvenir à voir des détails sur Jupiter avec ses anneaux, ses petits satellites et même des galaxies, tout ça dans une seule image », s'est réjouit Imke de Pater, astronome à l'université de Berkeley, dans un article de blog de la Nasa. (Avec AFP)
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Les députés conservateurs ont voté lundi soir en faveur du maintien de Boris Johnson à la tête du gouvernement britannique, après des mois de spéculations et de rebondissements dans le scandale du « Partygate ». Avec seulement 211 votes de soutien, soit moins de 60 % des suffrages, le Premier ministre voit son autorité considérablement affaiblie.
Le danger est écarté, du moins dans un futur proche. Après une journée mouvementée au palais de Westminster, Boris Johnson a remporté l'adhésion des députés conservateurs appelés à se prononcer sur son maintien à la tête du gouvernement britannique. Quelque 211 parlementaires lui ont apporté son soutien lors de la motion de censure déclenchée par une partie de sa majorité, tandis que 148 se sont prononcés pour son départ. Dans une interview à la BBC, le premier ministre britannique a jugé ce résultat «décisif, probant et positif».
Lundi matin, au lendemain des festivités du Jubilé , le seuil de 15 % de députés favorables à un tel vote a été franchi, comme l'a annoncé Graham Brady, président du Comité 1922 chargé de recueillir les lettres de défiance. Tout au long de la journée se sont succédé les déclarations de soutien ou, au contraire, les appels à la démission. Dans l'après-midi, Boris Johnson a tenté de remobiliser ses troupes en défendant sa politique auprès du Comité 1922, avant que ne se tienne le vote, de 19 heures à 21 heures.
Si plus de 180 députés avaient voté contre Boris Johnson, celui-ci n'aurait eu d'autre choix que de partir et une nouvelle élection aurait été lancée à la tête du parti conservateur. Désormais, aucune motion de censure ne peut être lancée contre Boris Johnson dans les douze prochains mois.
A première vue, cela le met à l'abri d'ici aux prochaines élections législatives, prévues en 2024. Mais la politique britannique
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