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A Nancy : le voyeur filme plus de 4000 vidéos entre autres sous les jupes de femmes

Jeudi 18 août 2022 à 18:26
- Mis à jour le
jeudi 18 août 2022 à 20:08
- Par Nathalie Broutin , France Bleu Sud Lorraine







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Un habitant de Neuves-Maisons près de Nancy est convoqué en mars prochain pour "voyeurisme aggravé". L'enquête a débuté quand l'homme a été surpris dans une grande surface en train de filmer sous la jupe d'une cliente.
Le délit " de voyeurisme aggravé par le fait que des images ont été fixées, enregistrées ou transmises " est sanctionné par une peine maximale de deux ans d’emprisonnement et 30 000 euros, prévient dans un communiqué le procureur de Nancy ce jeudi 18 août. 
Le magistrat François Pérain explique que cette affaire débute en septembre 2021, quand des agents de sécurité de la grande surface d'Houdemont dans l'agglomération de Nancy surprennent un homme " en train de filmer avec son téléphone portable sous la jupe d'une cliente ". Femme qui va porter plainte. 
Les enquêteurs découvrent alors chez l'habitant de Neuves-Maisons, âgé de 57 ans, " le jour de l'interpellation ", " quatorze vidéos dont deux portent sur des filmages effectués sous la jupe d'une femme ". En exploitant l'ordinateur, les policiers retrouvent " 4777 fichiers en lien avec une activité de voyeurisme ( prise de vue de jambes ou de sous-vêtements de femmes prise à leur insu) ".
Selon le procureur de Nancy, le mis en cause aurait reconnu avoir filmé à " quatre ou cinq reprises sous la jupe de passantes ." (...) " Le 16 décembre 2021, le mis en cause était interrogé sur les résultats de l’exploitation du matériel informatique et reconnaissait être l’auteur de ces vidéos. Il indiquait avoir entrepris un suivi psychologique ."
L'homme est convoqué par la justice en mars 2023. 
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"Les garçons pensent toujours que les filles, c'est leurs boniches…" Pour Brut, des enfants et adolescents âgés de 9 à 19 ans donnent leurs avis et expériences sur l’inégalité entre les filles et les garçons.
“J’entends beaucoup de personnes dans la rue qui disent : ‘Les fleurs, c’est pour les filles, les garçons c’est les motos, les voitures.’ Moi j’aimerais bien que ça change. Moi j’aime bien les roses et les marguerites.“ 
Que cela soit pendant les heures de cours, en récréation ou en dehors de l’école, plusieurs enfants et adolescents expliquent avoir déjà ressenti une certaine inégalité entre les filles et les garçons.  
“En CP, j’avais les cheveux très très très courts et je suis allée aux toilettes des filles. Et il y a plein de grandes qui m'ont dit : “Mais sors de là, t’es un garçon, t'as pas le droit d'y aller” , explique Pia, 9 ans.  
Certains, comme Elior, confient avoir déjà reçu des moqueries par rapport à leurs loisirs. “Il y a des gens qui disent que j'ai pas le droit de faire du violon parce que c'est que pour les filles”. 
Au lycée, ce phénomène semble se retrouver : “Je trouve que les professionnels d'éducation ont un discours assez genré. Par exemple, les femmes en médecine devaient se diriger vers infirmières, sages-femmes. Alors que les hommes, ils peuvent plus faire des métiers de mains, ingénieurs… “ 
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Avec ces photos de vulves, elle veut briser les tabous


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La Rentrée littéraire, c’est parti !

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Publié le 13 septembre 2019 à 16h07 Mis à jour
le 17 mars 2021 à 17h39

Les vulves sont au cœur du projet photo de Lily Rault, Tabou. e, qui espère ainsi aider les femmes à se réconcilier avec leur corps.
Comme beaucoup de femmes, Lily Rault n’a pas toujours eu des relations simples avec son corps, et la hache de guerre est loin d’être enterrée. Mais depuis qu’elle s’est lancée sur le projet Tabou. e , elle a commencé à doucement emprunter le chemin vers la paix. Photographier des vulves dans une démarche artistique, voilà la réponse de la trentenaire à ses propres interrogations et à la douleur qu’elle a longtemps supporté faute d’information. “J’ai commencé à réfléchir à ce qu’on infligeait à notre sexe quand j’habitais en Australie, raconte-t-elle. Je menais une vie nomade, et quand j’av ais des infections, je ne savais pas bien les traiter, je me sentais seule face à ces questions.”
Une fois réinstallée en France et à l’aube d’un deuxième switch de carrière qui la mène vers la photo, Lily Rault rencontre une gynécologue qui lui explique que les “soins intimes” détruisent la flore vaginale plus qu’ils ne la protègent ; elle comprend alors à quel point les femmes sont désinformées, même quand il s’agit de leur corps, ce qui ne les aide pas du tout à entretenir des rapports pacifiques avec ce dernier. “J’ai commencé à me dire qu’on n’avait aucune information sur nous-mêmes, et qu’on n’avait tout simplement pas accès à nos vulves, qu’on ne les connaissait pas, se souvient-elle. A germé l’idée de les photographier, mais je ne savais pas du tout à qui je pouvais demander ça, je pensais à contacter des travailleuses du sexe ou des actrices porno sans oser. Un soir, alors que je parlais de mon projet à des amies, elles m’ont dit qu’elles seraient partantes pour être mes modèles, et c’est comme ça que tout a commencé.” De ce verre entre copines à des expos en France et à l’étranger, Lily Rault nous raconte le parcours inattendu de son initiative, qui n’en a pas fini de se heurter aux tabous qui entourent le sexe féminin. Interview.
Pourquoi as-tu choisi de photographier cette partie de notre corps ?
Lily Rault – Les vulves m’intéressaient car elles symbolisent autant la jouissance que la douleur. Les deux sont taboues. Ces dernières années, on parle de plus en plus de la jouissance des femmes et de leur façon de se la réapproprier, mais moi, j’avais envie de m’intéresser à la douleur. Celle d’une mycose, d’un accouchement, d’une épisiotomie, de tout ce qui traverse le sexe d’une femme et que l’on tait. J’ai appris récemment qu’une femme perdait du sang pendant deux semaines après son accouchement, pourquoi on n’en parle jamais ?
Cela a-t-il été un shooting comme les autres ?
Pas du tout ! Même si je connaissais bien mes modèles, on a commencé par un bon apéro pour se détendre, on en avait besoin. On a beau être amies, c’était très intimidant. D’ailleurs, pour qu’on soit à l’aise, on a décidé qu’on était toutes à poil, comme ça on était à égalité. J’ai commencé par photographier les pieds de l’une pendant qu’une autre tenait la lumière, puis je suis remontée petit à petit et on a ensuite inversé les rôles. C’était une expérience très forte pour nous toutes et en regardant le corps des autres, on s’est rendu compte qu’on ne connaissait pas le nôtre. Je ne me rendais pas compte de la diversité des sexes féminins. J’avais lu, vu des dessins et des photos, mais le vivre en vrai, ça a changé beaucoup de choses, et ça a fait tomber des tabous.
Pourquoi avoir choisi de coller des photos de vulves sur des photos de voyage ?
Depuis le début, je veux m’emparer du sujet de façon artistique. Je veux montrer qu’un sexe féminin, c’est beau. J’ai d’abord travaillé les couleurs en prenant beaucoup de photos au néon avec mon appareil numérique. Une fois que j’ai obtenu les couleurs que je voulais, j’ai choisi des photos argentiques de mes voyages qui matchaient. L’idée c’est qu’on ne reconnaisse pas tout de suite le sexe féminin, ça crée un effet de surprise. Et puis, je crois que la couleur permet de prendre de la distance avec la prise de vue sans filtre, c’est une forme de pudeur.
Quelle est la réaction des gens quand ils les voient ?
Justement, ils ne réalisent pas tout de suite. J’ai deux tirages qui sont affichés sur les murs de mon salon, et souvent on me dit “c’est sympa cette photo” , et quand j’explique ce que c’est, il y a toujours un moment de gêne. Ça me confirme qu’un sexe féminin, c’est encore tabou, pour les femmes comme pour les hommes. C’est pour ça que j’aime particulièrement le nom du projet Tabou.e . Je ne me rendais pas compte à quel point ça l’était quand j’ai commencé.
Oui, la première fois, c’était à l’occasion du 8 mars dernier. Le bar Saint-Sauveur, dans le 20ème arrondissement de Paris, cherchait des projets artistiques féministes et on leur a parlé de mes premières photos. Ils m’ont donné la chance d’exposer mes neuf clichés, que j’ai exposés à nouveau à l’Espace Lamarck ensuite. Puis, cet été, j’ai été invitée à participer au festival Garbicz en Pologne . Mais tout n’a pas été simple sur les réseaux sociaux, et notamment sur Instagram.
Que s’est-il passé sur Instagram ?
J’ai voulu communiquer sur ces différentes expos et partager mes photos sur mon compte, qui est la vitrine de mon travail photographique. Je ne sais pas si j’ai été signalée ou si les robots ont fini par reconnaître les vulves, mais j’ai reçu un premier avertissement. Ça m’a énervée car mes photos n’ont rien de vulgaire ni de choquant, je fais un boulot éducatif. J’ai continué à poster et à partager des stories, jusqu’au jour où mes posts ont été supprimés et mon compte bloqué. J’ai dû rester un mois sans rien pouvoir faire sur Instagram, ce qui est très handicapant pour quelqu’un qui, comme moi, se lance comme photographe. Et quand petit à petit, j’ai récupéré mes accès, j’ai réalisé que plus personne ne voyait mes contenus, et que c’est encore le cas. Ce bannissement d’Instagram est au cœur de ce que je veux montrer avec Tabou. e , ça don ne du sens à ce que je fais mais ça m’attriste que le sexe féminin doive toujours être caché.
Le projet s’adresse-t-il aux femmes ou aux hommes ?
Il s’adresse à tout le monde. Ni les femmes ni les hommes n’ont des raisons d’être gênés. Statistiquement, il y a des chances qu’on ait tou·te·s vu une ou plusieurs vulves dans notre vie. Ce qui est sûr, c’est qu’on en sort tou·te·s, donc on peut se détendre ! (Rires.)
Comment aimerais-tu que Tabou. e évolue ?
J’aimerais poursuivre mes prises de vue avec d’autres modèles, d’ailleurs s’il y a des volontaires qui me lisent, elles peuvent me contacter . Je n’exclus pas de photographier par la suite des femmes transgenres, et je voudrais aller plus loin en montrant des vulves qui ont été abîm ées, que ce soit par un accouchement, des produits trop abrasifs, de la chirurgie esthétique ou une excision. Je ne m’interdis rien, je suis convaincue que l’art est politique et qu’il faut montrer le sexe des femmes. Personnellement, j’aurais aimé avoir des images et avoir plus d’informations pour éviter de commettre certaines erreurs. Si mon projet photo peut aider les femmes à faire la paix avec leur corps, alors j’aurai l’impression d’avoir fait avancer les choses.
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