VIDÉOS DE À TROIS LES PLUS VOTÉES

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VIDÉOS DE À TROIS LES PLUS VOTÉES
Publié le 30 juil. 2022 à 9:08 Mis à jour le 30 juil. 2022 à 9:10
Inflation, hausse des taux d’intérêt, Ukraine et maintenant incertitude politique, les chocs se multiplient. Pour évoluer dans un environnement de plus en plus complexe, l’expertise de la rédaction des Echos est précieuse. Chaque jour, nos enquêtes, analyses, chroniques et édito accompagnent nos abonnés, les aident à comprendre les changements qui transforment notre monde et les préparent à prendre les meilleures décisions.
Conformément à l'une de ses promesses de campagne, Joe Biden a annoncé des mesures pour alléger la dette des étudiants américains. En 2020, celle-ci a dépassé les 1.600 milliards de dollars, et concernait 43 millions d'Américains.
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L'examen aura été rapide. Deux jours après avoir engagé la discussion dans l'hémicycle, les sénateurs ont adopté le projet de loi sur le pouvoir d'achat qui fera l'objet d'une commission mixte paritaire lundi.
Les sénateurs s'étaient donnés jusqu'à 21 h 30 ce vendredi pour achever l'examen du projet de loi sur le pouvoir d'achat. A 21 h 27, ils ont adopté le texte en première lecture. L'urgence ayant été décrétée, la commission mixte paritaire se réunira ce lundi à 15 heures.
Les deux jours de discussion au Palais du Luxembourg auront tranché avec celle à l'Assemblée nationale. « Une nouvelle fois le Sénat aura fait du bon travail [...] avec des convictions très différentes, sans vociférer, il a offert une autre image de la démocratie parlementaire », s'est plu à souligner Bruno Retailleau, le président du Groupe LR, qui a voté pour le projet de loi avec les groupes centriste et RDPI à majorité En Marche.
Lors de leur deuxième jour de discussion, ce vendredi, les sénateurs ont étendu le plafonnement temporaire de la hausse des loyers à 3,5 % en glissement annuel, déjà introduite pour les particuliers, aux commerces et aux PME de moins de 250 salariés. 
Un amendement de l'écologiste Thomas Dossus a par ailleurs donné pouvoir au ministère en charge de l'énergie d'interdire les panneaux publicitaires numériques en cas de problème d'approvisionnement en électricité tandis qu'un autre du Républicain Patrick Chaize a étendu à toute l'année l'interdiction de couper l'électricité pour impayé, actuellement en vigueur seulement de novembre à mars, au profit d'une limitation de puissance.
Le prêt à taux 0 pour l'achat de camionnettes et camions électriques voté en commission a en revanche été supprimé. Tout comme l 'autorisation d'utiliser des huiles de friture usagées comme carburant , « même si les frites appartiennent au patrimoine mondial soutiendront nos amis des Hauts-de-France », s'est amusé un de leurs collègues. Sur le volet énergie du projet de loi, les sénateurs ont voté un amendement du socialiste Franck Montaugé qui limite à 2 ans au lieu de 5 la possibilité de prendre des mesures exceptionnelles de restriction ou de suspension du fonctionnement des centrales de gaz contre l'avis du gouvernement.
Le projet de construction d'un terminal méthanier flottant par TotalEnergies au Havre a été validé et même conforté avec l'adoption d'un amendement de ce dernier ramenant à un mois le délai de consultation des deux communes concernées, allongé en commission. Les sénateurs ont donné compétence en cas de problème au Bureau d'enquête et d'analyse pour les événements en mer plutôt qu'à celui dédié aux risques industriels.
Seules des obligations formelles ont été ajoutées concernant les informations que TotalEnergies devrait fournir : extension du champ de l'étude à fournir par l'exploitant au-delà des seules émissions de gaz à effet de serre ; obligation de publier un rapport allant des conditions du démantèlement à l'avenir des personnels en passant par l'état de la biodiversité 6 mois avant la fin d'exploitation du terminal.
Ces évolutions du texte sont venues s'ajouter à celles votées jeudi. Si les Républicains n'ont pas eu gain de cause sur la limitation de la hausse du RSA à 3,5 %, ils ont voté la poursuite jusqu'au 31 décembre 2023 de la prime Macron , payable en quatre fois, pour toutes les entreprises ainsi que sa pérennisation au-delà de 2023 pour les seules entreprises de moins de 50 salariés ou encore l'extension de l'exonération de cotisations patronales sur les 25 % de majoration des heures supplémentaires aux entreprises de 50 salariés et plus.
Lors des débats, la ministre de la Transition énergétique Agnès Pannier-Runacher a mentionné pour la « rentrée » parlementaire d'octobre, le projet de loi « d'accélération de la transition énergétique », évoqué depuis plusieurs semaines pour simplifier le développement des énergies renouvelables, éoliens et solaires. « A priori le Sénat serait le premier à examiner » le projet de loi, a-t-elle glissé.
Tous droits réservés - Les Echos 2022

Publié le 20 juil. 2022 à 7:55 Mis à jour le 21 juil. 2022 à 16:30
Inflation, hausse des taux d’intérêt, Ukraine et maintenant incertitude politique, les chocs se multiplient. Pour évoluer dans un environnement de plus en plus complexe, l’expertise de la rédaction des Echos est précieuse. Chaque jour, nos enquêtes, analyses, chroniques et édito accompagnent nos abonnés, les aident à comprendre les changements qui transforment notre monde et les préparent à prendre les meilleures décisions.
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Après le triplement du plafond de la prime « Macron », l'Assemblée nationale a adopté les mesures portées par le gouvernement pour faciliter les accords d'intéressement. La gauche a dénoncé des « subterfuges » pour éviter les hausses de salaires.
Le gouvernement le répète à l'envi : le travail doit payer. C'est l'un des axes qu'il a choisis d'inscrire au début de son projet de loi sur le pouvoir d'achat , examiné à l'Assemblée nationale depuis lundi. Après les longs débats sur le triplement du plafond de la prime « Macron » versée par les entreprises à leurs salariés, les députés se sont penchés sur les mesures de promotion de l'intéressement dans les entreprises.
 Pour mémoire, les accords d'intéressement ne sont pas obligatoires - contrairement à la participation, pour les groupes de plus de 50 salariés - et consistent en une prime liée à la performance de l'entreprise.
Adopté mardi soir en première lecture, par 288 voix contre 90, l'article en question vise à permettre « la mise en place de l'intéressement par décision unilatérale de l'employeur dans les entreprises de moins de 50 salariés ». Le ministre du Travail, Olivier Dussopt, a vanté un mécanisme de « simplification » et de « facilitation » pour le « partage de la valeur » au sein de l'entreprise. Le texte prévoit aussi d'allonger la durée des accords d'intéressement de 3 à 5 ans, quelle que soit la taille de l'entreprise.
Les critiques de la gauche ont fusé. Les députés LFI, écologistes et communistes ont rejeté en bloc l'article en réclamant des augmentations de salaires plutôt que des primes. « C'est un leurre complet », un « subterfuge offert aux patrons pour éviter encore une fois toute hausse de salaire réelle », a pointé du doigt la LFI Aurélie Trouvé. En revanche, le LR Thibault Bazin a jugé qu'elle allait « dans le bon sens », malgré des « freins » persistants pour les petites entreprises.
Assouplissement de l'intéressement : "Avec vous, jamais il n'y aura d'augmentation des salaires", déplore @alexiscorbiere . "Tout ce qui est incertain, tout ce qui exonéré de cotisations, vous allez le favorisez." #PJLPouvoirdachat #DirectAN pic.twitter.com/zxmEzodM9H
Au final, après trois jours, peu d'amendements ont été adoptés. Les socialistes ont eu gain de cause sur l'intérim et la prime de « partage de la valeur » : le comité social et économique de l'entreprise d'intérim devra être informé sans délai lorsqu'une entreprise utilisatrice de l'un de ses intérimaires verse une prime à ses salariés. Les communistes ont aussi réussi à faire adopter le principe d'une consultation préalable du comité social et économique lorsque le versement de la prime de partage de la valeur est décidé de manière unilatérale par l'employeur.
Un amendement déposé par Renaissance pour permettre de verser la prime en une ou plusieurs fois au cours de l'année civile a aussi été voté.
Sur la baisse des cotisations sociales des travailleurs indépendants , l'amendement de Stéphane Viry, en faveur des conjoints collaborateurs, a été voté.
Tous droits réservés - Les Echos 2022

Publié le 23 juil. 2022 à 11:46 Mis à jour le 24 juil. 2022 à 15:36
Inflation, hausse des taux d’intérêt, Ukraine et maintenant incertitude politique, les chocs se multiplient. Pour évoluer dans un environnement de plus en plus complexe, l’expertise de la rédaction des Echos est précieuse. Chaque jour, nos enquêtes, analyses, chroniques et édito accompagnent nos abonnés, les aident à comprendre les changements qui transforment notre monde et les préparent à prendre les meilleures décisions.
Une partie du lac Poyang, en Chine, est actuellement asséché. Il ne fait plus qu’un quart de sa taille habituelle à cette période de l’année.
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Les débats ont été houleux dans l'Hémicycle sur le sujet sensible de la redevance. L'annonce est plutôt un soulagement, à en croire un haut cadre du secteur.
Fini la redevance audiovisuelle... qui existait depuis les années 1930. Et place à la TVA pour financer l'audiovisuel public.
Après des heures de débats houleux sur ce sujet sensible, les députés ont voté, samedi 23 juillet matin, un amendement prévoyant la suppression de la contribution à l'audiovisuel public (CAP) prévue à l'article ​premier de la loi de Finances rectificative, remplacée par une fraction de la TVA, ​après un avis favorable du gouvernement.
« Avec la budgétisation initialement prévue dans la loi, les groupes audiovisuels publics partaient d'un tableau vide. Désormais, avec une fraction de la TVA, on leur donne un socle et un mécanisme qui rassure », explique Quentin Bataillon, député (Renaissance), qui a porté cet amendement avec Aurore Bergé (Renaissance). « Cela répond à la demande des sociétés de l'audiovisuel public que nous avons rencontrées », a assuré cette dernière dans l'Hémicycle samedi matin.
Et de fait, cette annonce est plutôt un soulagement, à en croire un haut cadre du secteur. « C'est le Parlement qui votera la part de la TVA affectée à l'audiovisuel public, ce qui nous donne plus de garanties que si on devait chaque année négocier avec Bercy en amont, avec rien à la base. On nous assure aussi dans cet amendement le montant qui était prévu pour 2022 », explique celui-ci. « Avec l'inflation, on peut anticiper une hausse de la TVA, ce qui va mettre à l'abri les groupes de restrictions pour quelque temps », ajoute un spécialiste.
En 2021, la TVA a rapporté plus de 92 milliards d'euros, selon un rapport remis au Premier ministre par l'Inspection générale des finances (IGF) et l'Inspection générale des affaires culturelles (Igac) il y a quelques jours, qui avait étudié cette piste de la TVA, tout en mettant en garde le gouvernement sur le risque constitutionnel en cas de financement par le budget de l'Etat sans garde-fou. En face, l'audiovisuel public est financé à 89 % par la CAP (138 euros en métropole), qui est payée par 23 millions de foyers, pour des encaissements d'environ 3,1 milliards par an en 2020, auxquels s'ajoute la compensation par l'Etat des dégrèvements à hauteur de 653,5 millions, selon ce même rapport.
Toutefois, rien n'est encore figé tant que la loi ne sera pas passée au Sénat. « Ce débat entre budgétisation et TVA, c'est beaucoup de bruit pour rien. Dans le premier cas, aussi, le Parlement a son mot dire, et je ne vois pas trop de différence entre TVA et budgétisation, du moment que les crédits étaient annuels avec une trajectoire définie », note un bon connaisseur du dossier.
Reste ensuite la question de l'acceptabilité de la mesure, puisque désormais chaque Français va payer pour la télévision et radio publique au travers de ses achats divers. Ce que certains députés ont d'ailleurs relevé, proposant pour certains à une hausse de la TVA sur les produits de luxe, d'autres rappelant que l'actuelle redevance comportait des exonérations pour les foyers modestes. « Mais cela ne se verra pas vraiment, la TVA étant indolore. Cela semblait plus compliqué de mettre une ligne dans l'impôt sur le revenu », note un spécialiste.
En outre, ces discussions complexes risquent de devoir revenir rapidement dans l'Hémicycle. En 2025, la loi va imposer un cadre entre l'origine d'un impôt et son but. « On est bien conscient qu'il faudra revoir le mécanisme d'ici 2025, reconnaît Quentin Bataillon. Mais l'enjeu sera ensuite de donner une visibilité financière sur plusieurs années et donc rendre plus longs les contrats d'objectifs et de moyens des groupes publics ».
Quoi qu'il en soit, cette question de la suppression de la redevance et surtout son remplacement sont suivis de près par les salariés et dirigeants de l'audiovisuel public, qui se mobilisent depuis des semaines, en coulisses ou plus ouvertement. Précisément, depuis l'annonce - perçue comme surprise - d'Emmanuel Macron, en mars, de supprimer la redevance pour redonner du pouvoir d'achat aux Français.
L'inquiétude portait plusieurs points dans le cas d'une budgétisation : d'abord, sur le fait que les groupes publics soient potentiellement soumis au bon vouloir de Bercy... ce qui pourrait laisser craindre un certain contrôle de la tutelle. « Même si le gouvernement semble de bonne foi, quid du futur si le pouvoir change ? On nous promettait certes une visibilité sur une trajectoire budgétaire, mais ce sont des orientations, pas des garanties juridiques », commente un spécialiste.
La question des moyens, et surtout de la prévisibilité des moyens, est centrale, alors que les groupes audiovisuels pensent des investissements sur plusieurs mois, voire plusieurs années, dans le cas de la télévision (commande d'une fiction, investissement dans la SVOD, etc.). « Il y a beaucoup de fantasmes. Ces inquiétudes masquent une sorte de méfiance entre les dirigeants de l'audiovisuel public et le gouvernement », tempère toutefois un connaisseur du sujet.
Enfin, p our les groupes présents à l'étranger comme Arte, France Médias Monde (RFI, France 24 etc.), TV5 Monde, tout l'enjeu est aussi d'avoir une taxe affectée, comme l'était la CAP. « Un média financé par des recettes affectées est en général qualifié de 'média indépendant de service public' ; un média financé sur le budget de l'Etat est en général qualifié de 'média gouvernemental' », expliquait Marie-Christine Saragosse, PDG de France Médias Monde, il y a quelques jours. Un label qui peut avoir des conséquences importantes, notamment sur les réseaux sociaux.
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Publié le 5 juil. 2022 à 7:15 Mis à jour le 5 juil. 2022 à 7:31
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Une éruption volcanique est survenue dans une faille d'environ 300 mètres de longueurs, à proximité du Mont Fagradalsfjall, à environ 40 km de Reykjavik. « Le risque pour les zones peuplées et les infrastructures essentielles est considéré comme très faible et il n'y a eu aucune perturbation des vols », selon le ministère des Affaires étrangères.
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Le climat et les rémunérations des patrons ont été les principaux sujets de contestation des actionnaires. Mais ces derniers ont rejeté trois fois moins de résolutions qu'en 2021.
La saison des AG 2022 du CAC 40 a démarré très fort. Le deuxième jour, mi-avril, les actionnaires ont voté contre la rémunération de Carlos Tavares, patron de Stellantis . Evalué à 66 millions d'euros avec les actions gratuites, son montant en valeur absolue a fait polémique. 2022 s'annonçait comme une année de contestation actionnariale. Il n'en a rien été.
Au final, rares ont été les résolutions rejetées. Sept seulement n'ont pas été adoptées, soit trois fois moins que l'an dernier, selon la fintech Scalens (ex-Hebdo des AG) qui passe au crible les votes des AG. « Cette année, les délégations pour autoriser les augmentations de capital ont été toutes bien calibrées par les sociétés et n'ont posé aucun problème. Ce qui diminue de fait le total des rejets », explique Bénédicte Hautefort, cofondatrice de Scalens.
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