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Prédateur en chasse dans les rames du métro parisien, Amine D., 28 ans, a été condamné, mardi par le tribunal correctionnel de Paris, à une peine de quatre mois de prison. Ce jeune homme comparaissait pour avoir, vendredi dernier, dérobé le téléphone portable d’une femme à la station de métro Strasbourg Saint-Denis.
Cette histoire commence sur la ligne 2 à la station Anvers. Un policier surprend une scène qui attire son attention. Un couple de touristes est aux prises avec deux jeunes gens qui semblent les avoir volés. L’un des malfaiteurs sort un cutter, menace les victimes et les comparses prennent la fuite. Le policier est seul et décide de les prendre en filature. Les suspect montent dans une rame de métro. Arrivé à Barbes, le duo fait jaillir une lame et tente de s’attaquer à une femme. Elle parvient à prendre la fuite et les voleurs reprennent le métro sur la ligne 4.
Dans la rame, à Strasbourg Saint-Denis, alors que la sonnerie qui annonce la fermeture des portes retentit, Amine arrache le téléphone des mains d’une jeune femme. Son complice bloque les portes pour lui donner le temps de sortir. Cette fois-ci, trois policiers les attendent. Ils arrêtent Amine qui jette son cutter sur les voies. Son complice tente de prendre la fuite mais il est appréhendé. Les deux hommes sont placés en garde à vue dans les locaux de la sûreté régionale des transports. Les images de vidéo surveillance ne permettent pas vraiment de corroborer les observations du policier. Mais la victime reconnaît formellement son agresseur.
Ils ont, tous deux, été déférés au palais de justice. Le mineur a été présenté devant un juge pour enfants. Dans le box du tribunal, Amine passe aux aveux. « Oui, j’ai volé ce téléphone. Mais je n’étais pas armé et j’étais seul. Je n’ai pas le choix car je suis à la rue depuis ma sortie de prison », précise-t-il. Ce jeune homme d’origine algérienne est arrivé en France, il y a sept mois. Il est déjà très connu des services de police pour vol et dégradation. Il est sorti de la maison d’arrêt, le 20 juillet dernier, après avoir purgé une peine de quatre mois pour un vol dans les transports en commun... Son avocat estime que cette personne a perdu tous ses repères car « elle est désinsérée socialement ». Le procureur rappelle que « cela ne l’autorise pas à terroriser les voyageurs du métro. Et il ajoute qu’en plus, ses actes nuisent à la réputation de la ville de Paris ».
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Publié le 30 juin 2022 à 9:23 Mis à jour le 4 juil. 2022 à 12:54
Inflation, hausse des taux d’intérêt, Ukraine et maintenant incertitude politique, les chocs se multiplient. Pour évoluer dans un environnement de plus en plus complexe, l’expertise de la rédaction des Echos est précieuse. Chaque jour, nos enquêtes, analyses, chroniques et édito accompagnent nos abonnés, les aident à comprendre les changements qui transforment notre monde et les préparent à prendre les meilleures décisions.
L'avion de Nancy Pelosi, accompagnée d'une délégation américaine, a atterri mardi soir à Taïwan. La présidente de la Chambre des représentants des Etats-Unis a rencontré la présidente Tsai Ing-wen. La Chine n'a pas tardé à réagir en annonçant en représailles des « actions militaires ciblées » : une vingtaine d'avions militaires chinois seraient entrés dans la la zone d'identification de défense aérienne de l'île.
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Des thrillers britanniques aux séries politiques européennes, de l'histoire vraie de Malik Oussekine à celle d'Elisabeth Holmes, de la science-fiction d'« Infiniti » au fantastique « Stranger things » en passant par la nouvelle saison d'« En Thérapie », ce premier semestre n'a pas manqué de bonnes surprises.
Si le semestre a commencé avec «Vigil» par un formidable polar britannique dans l'espace restreint et oppressant d'un sous-marin, il s'est achevé avec l'éclatant retour de la série danoise « Borgen », portée par la charismatique Sidse Babett Knudsen, après neuf années d'éclipse. Entre ces deux grands moments, bien d'autres pépites ont émaillé ce début d'année.
Ce fut le cas de la série « Slow Horses », mélange d'espionnage et de comédie noire à la sauce anglaise, du magnifique « Infiniti », à la lisière entre science-fiction et fantastique, de la très réussie nouvelle saison d'« En thérapie » avec son sextet d'acteurs impressionnant, ou encore du passionnant « The Dropout » sur l'incroyable histoire d'Elisabeth Holmes, cette entrepreneure de la Silicon Valley qui avait fondé la start-up Theranos sur du vent… Voilà notre sélection.
Créé par le talentueux Tom Edge (« Lovesick », « The Crown », « Strike », « Judy »), ce thriller haletant de la BBC, devenu le plus regardé outre-Manche depuis l'excellent « Bodyguard » il y a trois ans, se déroule en bonne partie à l'intérieur d'un sous-marin de la Royal Navy, après une mort suspecte. Une policière est littéralement « balancée » dans cet espace exigu et hostile pour mener l'enquête. Mais les obstacles ne vont pas manquer.
Rythmée et spectaculaire, la réalisation de James Strong (« Broadchurch ») met l'accent sur le caractère oppressant du lieu, à travers les yeux de la détective, incarnée par l'intense Suranne Jones (« Dr Foster », « Gentleman Jack »)… Sous son assurance extérieure, la DCI Amy Silva, victime de crises d'angoisse et sous antidépresseurs, se débat en fait avec un terrible traumatisme. A terre, elle peut cependant compter sur l'aide de son opiniâtre équipière et ex-amante, jouée par Rose Leslie (« Game of Thrones »). Un thriller mêlant géopolitique, espionnage et aventure intime, qui vous plonge dans de sombres abîmes. Sur Arte.
La Belgique a désormais sa série politique. Et on ne peut pas dire qu'elle donne envie d'aller voter… Une jeune femme est violée dans le parking souterrain d'un parti politique. L'un de ses députés assiste à la scène mais n'a pas le courage de venir à son secours, juste celui de la filmer puis de l'emmener aux urgences une fois les attaquants disparus. Il ne dit pas à la police qu'il les a vus mais fait fuiter la vidéo incriminante. Considéré comme un « sauveur » dans les médias, cet homme jusque-là peu apprécié et plutôt effacé va profiter de cet événement pour renforcer son leadership au sein du parti. Dans ce rôle difficile de lâche cynique qui va se transformer en monstre d'opportunisme, Yoann Blanc (« La trêve ») est impressionnant.
En face de lui, Anne Goesens (« Adieu Monsieur Haffmann ») ne l'est pas moins en juge d'instruction si investie dans sa quête de vérité qu'elle n'hésite pas à inculper son père, éminent leader politique, dans une affaire de corruption. Sans relâche, elle se démène pour mettre tous les coupables du viol sous les verrous sans parvenir toutefois à identifier l'auteur de la vidéo. Ce mystère va la tenailler à tel point qu'elle en viendra à torpiller sa carrière pour tenter de l'élucider. Dans cette série sombre et percutante de Vania Leturcq et Savina Dellicour sur le pouvoir et la justice , les hommes ne tiennent pas le beau rôle mais s'en sortent, alors que les femmes, aussi courageuses fussent-elles, sont vaincues. Déprimant mais bien vu. Sur Salto.
Après la réussite de la première, cette deuxième saison d'« En Thérapie » sur Arte, tirée de la série israélienne « Betipul » d'Hagai Levi déjà adaptée dans de nombreux pays, était aussi très attendue. Eric Toledano et Olivier Nacache ont confié son écriture à Clémence Madeleine-Perdrillat (« Nona et ses filles »), à la suite du départ de David Elkaim et Vincent Poymiro, et partagé la réalisation avec Emmanuelle Bercot, Agnès Jaoui, Arnaud Desplechin, et Emmanuel Finkiel, chacun suivant un duo patient/psy.
L'histoire se déroule cinq années après les attentats de 2015, à la sortie du premier confinement, en banlieue où le docteur Dayan (Frédéric Pierrot) a déménagé après son divorce. Sur son divan, de nouveaux personnages défilent : une quadra en mal d'enfant (Eye Haïdara), un ado (Aliocha Delmotte) confronté au divorce de ses parents (Clémence Poésy et Pio Marmaï, le couple de la première saison), une étudiante gravement malade qui refuse de se faire soigner (Suzanne Lindon) et un chef d'entreprise pris dans une tempête médiatique (Jacques Weber). Pour se faire lui-même aider, alors qu'il est poursuivi en justice pour non-assistance à personne en danger, Philippe Dayan se tourne vers une nouvelle superviseuse (Charlotte Gainsbourg), essayiste de renom.
Dialogues précis et dencramatique parfaitement maîtrisée, acteurs tous formidables abandonnant leur technique pour se mettre vraiment à nu : cette deuxième saison d'« En thérapie » fouille les tréfonds de l'âme humaine avec une élégance, une intelligence et une empathie qui forcent le respect. Plus sombre et encore meilleure que la première saison. Sur Arte.
Tirée de la saga de Mick Herron, cette série d'espionnage créée par Will Smith, le scénariste britannique de « Veep » ou « The Thick of It » et non l'acteur américain, tourne en dérision les services de renseignement de sa majesté tout en restant réaliste.
Loin des exploits glamour de James Bond, Kingsman ou même d'Austin Powers, nous voilà dans un service de bras cassés (slow horses) relégués dans des locaux minables à Slough House, baptisé « le bourbier », sous la coupe d'un vieux chef malin et caractériel, Jackson Lamb, incarné par l'inénarrable Gary Oldman. A ces sous-fifres, reviennent la paperasserie et les basses oeuvres des espions du MI-5, dirigés à Regent's Park par la toute-puissante Diana Taverner, à qui Kristin Scott Thomas prête son aura.
Mais un jeune agent prometteur (Jack Lowden), qui s'estime placardisé par erreur, a bien l'intention de se racheter en se lançant, en dépit des ordres de ses supérieurs, sur la piste d'un preneur d'otage. Une comédie noire au second degré qui n'hésite pas à égratigner un système de renseignement considéré comme l'un des plus performants de la planète. Et dont la musique du générique est signée d'un certain Mick Jagger… Trois saisons supplémentaires sont déjà commandées. Sur AppleTV+.
Baïkonour, là où se côtoient les yourtes des nomades et les fusées Soyouz depuis Gagarine. Dans ce paysage kazakh envoûtant et désertique, deux événements surviennent apparemment sans lien : la découverte de cadavres décapités selon un rituel sacrificiel et la perte de contact du cosmodrome, dirigé par les Russes, avec la station spatiale internationale à la suite d'un étrange accident. Mais il s'avère que les victimes sur terre ont le même ADN que les astronautes supposément en orbite dans l'ISS…
Rappelée pour une mission de secours, Anna Zarathi (très habitée Céline Sallette), une spationaute française qui n'a pas pu décoller avec le dernier équipage, va chercher à percer ce mystère de doubles avec l'aide d'un jeune flic kazakh (épatant Daniyar Alshinov), qui n'a plus rien à perdre après la mort de son fils. Sur leur chemin, le duo va rencontrer d'étonnants chamans mais également des corrompus, des traîtres et des tueurs (russes) sans scrupule…
Joignant science et croyances dans une sorte de « polar cosmique », les scénaristes Stéphane Pannetier et Julien Vanlerenberghe ainsi que le réalisateur Thierry Poiraud (« Zone blanche ») ont concocté un très beau et original objet télévisuel où réalisme et poésie se nourrissent mutuellement grâce à une esthétique rétrofuturiste - les locaux du cosmodrome sont restitués dans leur jus d'origine - et un décor naturel sublime au sein duquel l'infini des steppes fait écho à l'infini de l'espace et peut-être aussi de la vie… Sur Canal+.
« Inventing Anna » sur une célèbre escroqueuse, « WeCrashed » sur la start-up WeWork, « La face cachée d'Uber » et « The Dropout » sur Elisabeth Holmes, la jeune fondatrice de Theranos : les séries sur les entrepreneurs mythomanes et mégalos se multiplient ces temps-ci… et se ressemblent un peu. Pourtant, ce récit sur l'ascension et la chute de celle qui fut une icône de la tech par l'ex journaliste et podcasteuse Rebecca Jarvis s'avère tout à fait passionnant.
Certes, comme pour Anna Delvey ou Adam Newmann, on découvre une formidable manipulatrice, à l'ambition dévorante, capable de berner avec un aplomb incroyable des pointures de Wall Street, le patron de Walgreens ou Rupert Murdoch… Mais « The dropout » fascine surtout en raison de la personnalité borderline d'Elisabeth Holmes qu'Amanda Seyfried personnifie d'une manière assez vertigineuse _ sa façon d'être, sa voix, ses failles… _ incapable apparemment d'empathie mais première jeune femme CEO d'une licorne, qui fut très vite médiatisée et porteuse d'espoirs.
Espoirs on le sait depuis 2016 mal placés puisque son entreprise n'a jamais été en mesure de délivrer le service qu'elle prétendait offrir (une analyse de sang rapide et peu coûteuse grâce à une seule goutte insérée dans une petite machine), et a fait depuis faillite. Elisabeth Holmes a été reconnue coupable de fraude en janvier dernier et attend de connaître sa peine. D'ici là, on verra aussi son histoire racontée dans le long métrage d'Adam McKay sur AppleTV + avec Jennifer Lawrence pour l'incarner… Sur Disney +.
Comment la Norvège est devenue un producteur pétrolier et s'est complètement transformée grâce à cet or noir. C'est le sujet instructif de cette série créée par Mette Marit Bølstad. A Stavanger, modeste village de pêcheurs de la mer du Nord, en 1969, les compagnies pétrolières américaines qui explorent les fonds au large depuis des mois sont en train de plier bagage faute d'avoir trouvé le Graal. Pourtant un prospecteur de Philips Petroleum supplie sa direction de persévérer, il est convaincu qu'un immense gisement les attend.
L'histoire va lui donner raison. A la veille de Noël, le pétrole surgit enfin sur la plateforme Ekofisk. C'est le début d'une nouvelle ère pour la Norvège. Tout en racontant les dessous de cette épopée qui a catapulté ce pays rude et désargenté dans la prospérité pendant les années soixante-dix, on suit les parcours de personnages attachants, en particulier de femmes dont les destins vont être à jamais modifiés par cette découverte. Sur Arte.
Amateurs de flics à la dérive, ce polar britannique de Tony Schumacher est pour vous, d'autant que c'est l'impeccable Martin Freeman (« Sherlock », « Fargo ») qui l'incarne. Policier sur la touche du fait de ses méthodes peu conventionnelles, Chris traverse une difficile crise existentielle, entre le traumatisme d'une enfance marquée par un père violent et un mariage qui bat de l'aile. Tout en essayant de trouver les mots pour en sortir avec une thérapeute, il se met en tête de sauver une junkie qui ne veut pas vraiment l'être.
Alors qu'il opérait en solitaire, il se voit affublé d'une nouvelle recrue (Adelayo Adedayo) très à cheval sur les règles. Mais face aux circonstances, le tandem va devoir se serrer les coudes et improviser. Une belle histoire de rédemption dans un Liverpool nocturne et inquiétant. Sur Canal+.
Drôle d'objet télévisuel que cette série sur des parlementaires européens et surtout leurs assistants qui tirent les ficelles. Mais une vraie réussite qui lui permet de revenir en deuxième saison. Toujours assistant parlementaire mais désormais plus aguerri, Samy (savoureux Xavier Lacaille) se lance un défi de taille en travaillant pour une nouvelle députée (pétillante Georgia Scalliet) sur un ambitieux package de mesures destiné à sauver les océans, le « Blue Deal ».
Ce sera l'occasion d'en apprendre davantage sur les rivalités entre les différentes institutions européennes, particulièrement visibles lors des fameux « trilogues », ces réunions interminables et mystérieuses entre représentants du Parlement, du Conseil et de la Commission visant à s'accorder sur un projet de directive.
Pédagogique sur le fond, « Parlement » est avant tout une comédie décapante et joyeuse , servie par un casting rafraîchissant . A côté de Samy virevoltent toujours la jolie Anglaise Rose (Liz Kingsman), devenue une piètre lobbyiste après le Brexit, le génial et fou Torsten (Lucas Englander), l'incompétent mais tellement attachant député Michel Specklin (formidable Philippe Duquesne), qui va se retrouver catapulté président du Parlement… Sans oublier l'inénarrable tireur de ficelles Eamon (William Nadylam), énigmatique mentor de Samy dont l'influence ne cesse de grandir. Sur Francetv Slash.
La mort dramatique de Malik Oussekine, étudiant victime de violences policières au cours d'une manifestation à Paris, dans la nuit du 5 au 6 décembre 1986, ne peut laisser personne indifférent. C'est le combat poignant d'une famille pour faire entendre sa voix que cette création relate, pour la toute première fois, sous la forme d'une série en quatre épisodes.
On y découvre la détresse de sa mère Aïcha (Hiam Abbass), de ses frères Ben Amar (Malek Lamraoui) et Mohamed (Tewfik Jallab), de ses soeurs Fatna (Naidra Ayadi) et Sarah (Mouna Soualem), prêts à tout sacrifier pour que justice soit faite. Un drame qui aura un impact majeur sur la société française.
Une vraie réussite, tant dans sa réalisation que dans le jeu d'acteur , plongeant avec finesse mais réalisme au coeur de ce scandale d'Etat, en pleine protestation étudiante contre la loi Devaquet, et de cette tempête judiciaire, où les coupables ne seront reconnus qu'après plusieurs années.
Créée et réalisée par Antoine Chevrollier (« Baron Noir », « Le Bureau des légendes »), notamment accompagné de Julien Lilti (« Hippocrate », « Germinal »), la fiction offre à cette affaire une nouvelle portée internationale auprès des jeunes générations, comme un nouvel hommage à Malik Oussekine, joué ici par Sayyid El Alami. Sur Disney+.
La série évènement de Netflix entame son dernier tour de piste avec le premier « volume » de sa 4e saison. Après trois ans d'attente, c'est une fin glorieuse et démesurée que préparent ses créateurs, les frères Duffer. Et pour la bande d'adolescents, qui ont bien grandi depuis la première saison, cette période déjà bien suffisamment ingrate ne s'annonce pas de tout repos.
Après trois saisons dans la petite ville d'Hawkins en Indiana, la série change de décor, nous entraînant sous le soleil de Californie jusqu'aux steppes neigeuses de la Russie. Et tout cela, sans délaisser ses personnages. Confrontés à une série de meurtres inexpliqués, les cauchemars des héros prennent vie pour un résultat glaçant. Regrets, culpabilité, sentiment d'aliénation : le passage à l'âge adulte les place face à un ennemi de taille, eux-mêmes.
À première vue, la longueur des épisodes, qui oscillent entre une heure et une heure et demie, peut en dissuader certains. Par moments, la série perd en effet en fluidité et sacrifie son rythme jusqu'ici haletant au profit de trop nombreuses explications sur la mythologie du « Monde à l'envers », cette réalité alternative au coeur de l'intrigue depuis le d
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