Véritable maîtrise de la bite

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Véritable maîtrise de la bite
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Vous pourriez avoir des visions et des idées sur l’atterrissage futur maintenant, ou vous pourriez être en mesure de faciliter, de guérir et de catalyser. Pourtant, il y a un problème fondamental à toujours embrasser le mot «maître». Parce qu’il y a toujours quelque chose à maîtriser, toujours quelque chose à intégrer. Le terme lui-même engendre la complaisance…
Lorsque vous atteignez un certain point sur le chemin, où vous êtes vraiment à l’écoute du champ quantique et de son flux magnifique, vous réalisez alors trois vérités fondamentales interconnectées : 1) il n’y a jamais deux moments identiques ; 2) chaque situation présente des défis et des opportunités uniques ; 3) l’âme est invitée à trouver la plus haute expression dans chaque circonstance et situation.
Cela signifie que vous ne pouvez jamais garantir la maîtrise à un moment donné. Parce que vous êtes invité à rechercher et à trouver une nouvelle expression de vous-même. La bonne chose est qu’il sera toujours basé sur une version précédente de vous. Le grand risque d’embrasser le terme « maître » est d’engendrer la complaisance et la probabilité que vous ne donniez pas le meilleur de vous-même. La clé est de toujours continuer à innover et de travailler pour améliorer les itérations précédentes de soi.
Pour moi, la véritable maîtrise consiste donc à se réaliser en tant qu’étudiant éternel.
Cela en soi est assez avancé. Mais il conserve l’humilité d’accepter que a) vous n’êtes jamais parfait ; b) vous êtes toujours faillible ; c) continuer à lutter pour la prochaine meilleure version de vous. Pour moi, c’est une véritable forme de maîtrise.
Dans cette situation, bien que comme d’innombrables autres, il y avait quelque chose d’unique à apprendre. Pourtant, une partie de moi était assez complaisante pour que je puisse facilement le comprendre. Une leçon apprise en effet.
C’est pourquoi, pour moi, un « Maître Ascensionné » ne posséderait ni n’embrasserait jamais le terme. Qu’est-ce que ça veut dire? Que vous avez atteint la maîtrise de l’Ascension ? Eh bien, chaque processus d’ascension dans chaque changement est complexe et entièrement unique. Vous pouvez apporter une prise de conscience, une intégration, des compétences et des connaissances passées, oui. Mais chaque instant nécessite une nouvelle application, un nouvel apprentissage et une nouvelle intégration.
Le terme « Maître Ascensionné » n’est reconnu que parce que c’est un terme utilisé dans le courant spirituel. Il peut être considéré comme un pont, une connexion, pour ensuite aller au-delà.
Alors, quelles qualités de l’éternel étudiant pourrions-nous incarner?
Si vous explorez ce modèle, je suis sûr que vous en tirerez des bénéfices. Je dirais que cela signifie également que vous pouvez abandonner la recherche de la maîtrise ou de la perfection. Le moment dans lequel vous êtes engagé en ce moment a une pépite d’or de l’âme enfouie en son sein. La seule question est : qu’est-ce que c’est, comment pouvez-vous l’intégrer et l’exprimer ?
Je me suis senti donné de monter cette vidéo sur les « Maîtres Ascensionnés » et comment ils travaillent vraiment dans le changement pour aider à libérer et élever l’humanité.
Notez quelques caractéristiques clés : 1) ils sont en arrière-plan et ne se placent jamais au-dessus de vous ; 2) ils travaillent sur les fréquences de l’être, l’or de l’âme, pour vous aider à réaliser la prochaine meilleure version de vous-même ; 3) ils ne sont pas intéressés par une « victoire » ou un résultat à l’extérieur. Seulement pour être la meilleure expression possible.
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ELISHEAN 777 Communauté pour un Nouveau Monde
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Une image du documentaire «Préliminaires», de Julie Talon.


© Copie d'écran YouTube



Catherine Schwaab

09/08/2022 à 04:00 , Mis à jour le 08/08/2022 à 23:59









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Le documentaire «Préliminaires», de Julie Talon, dévoile les rites de passage de la sexualité chez les très jeunes adolescents, marqués par une une crudité et une brutalité souvent traumatisantes, en particulier pour les filles. 
C’est un documentaire d’Arte qui est une vraie bombe. Une bombe à fragmentation longue. Avec des effets secondaires pour la vie. « Préliminaires », réalisé en 2019 par Julie Talon, révèle la vie sexuelle d’adolescentes et d’adolescents que ne soupçonnent pas leurs parents. Impossible en effet d’imaginer son bébé en train de faire sa première fellation à l’âge où nous, on ne songeait pas encore à se renseigner sur comment on embrasse. On savait nos ados précoces, enfin, plus mûrs que nous l’étions. On en a ici la démonstration effrayante. Ça n’est pas de la maturité, c’est de la distorsion, je pèse le terme. Et ça n’est pas eux qui me contrediront.
Des « vieux » de 18-20 ans racontent : « Le sexe, c’est le bac de la vie sociale, avec ses rites de passage auxquels tu ne peux pas déroger. Pas question de griller une étape. » Et quelles sont ces étapes, au sortir de l’enfance ? Les prélis, pardi ! Les préliminaires. Mais sans aucun romantisme, ni libre arbitre. Les ados expliquent (certains sans apparaître à la caméra) : « Tu te mets nue, puis on s’embrasse, puis il te touche, il te met les doigts, puis tu le suces. Après, tu peux aller plus loin. » Je précise que les intéressés ont 13-14 ans. Les filles se font violence, pratiquent la fellation « pour lui faire plaisir ». Dégoûtées, tu m’étonnes : « Je n’aimais pas ça, et je ne savais pas comment faire, quand m’arrêter… »
Entre garçons, c’est l’humiliation auprès des copains si sa petite amie ne « la » lui a pas faite. Alors ils mentent (ouf) ou pratiquent le chantage aux « nudes ». Un autre rite : des photos nues, érotiques, censées rester privées mais qui circulent à la première tentative de résistance. « Au début, c’était un truc de salope. C’était demandé par les grands. Maintenant tout le monde en envoie. » Ah bon ? Elles le savent, pourtant, c’est un piège, « parce que s’il te screene, tout le monde te voit ». Et souvent, le traître, il te screene (il fait une capture d’écran qu’il peut propager), ça le valorise. Oui, on apprend très jeune la réalité de la nature humaine. Et l’on intègre la désespérante soumission féminine dans le monde hétéro. Nous qui croyions que cette génération avait réglé le problème. Fume ! Je cite : « Tout tourne autour de la bite ! »
Certaines y voient une forme de pouvoir : « Je contrôle le mec avec les photos de mon corps. » Admettons. Mais une fois en live, les garçons ne maîtrisent pas leurs pulsions. Un « vieux » (19 ans) se remémore, gêné : « On avait 13 et 14 ans, je voulais la pénétrer, elle ne voulait plus, j’ai continué… Après, tu ne peux plus revenir en arrière. » Pour les filles comme pour les garçons, quand il n’y a que des « prélis », il ne peut pas s’agir de viol. « Les prélis, c’est pas vraiment du sexe. C’est du sexe “moins”. La pénétration, si, c’est du sexe plus-plus. » Sachant que, pour le mode d’emploi, ils sont tous rangés à la même école, le porno et le rap. Un « vieux » de 18 ans décrit, rétrospectivement effaré : « Prendre une fille par tel trou, une “gorge profonde” obligatoire, l’étranglement pendant la pénétration…»
Au secours, les traumatismes ! Comment vont-ils s’en sortir ? Les interviewés parlent comme des quadras. Analytiques, distanciés, lucides. Ils se souviennent de tout, fâchés contre les adultes qui regardaient ailleurs, encore collés aux cours d’éducation sexuelle rétro « avec une clé et une serrure » ! Mais il faut du courage pour alerter ses parents à cet âge. Même pas en rêve. L’une d’elles, en pleurs : « J’avais 13 ans, j’étais moche, plate, complexée… “Ils” ont fait circuler des photos de moi en pointant mes défauts, et d’autres que je n’avais même pas vus. Et même mes amis les “likaient” ! J’avais trop honte pour en parler à mes parents. » On écoute, déchiré, et on est impuissant. Telle autre, cynique : « Comme je n’étais pas attirante, je devais leur donner du cul. »
Quelle violence ! Comment évolue-t-on après de tels rites de passage ? Quatre, cinq ans plus tard, ces très jeunes adultes qui ont fait la guerre ne parlent pas de leurs blessures. Et nous, les ancêtres, on n’a rien vu, rien entendu, rien compris. Pauvres naïfs. 


10 juillet 2020 14 juillet 2020




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Notre fils est né le 10 juillet 2017.
Le 10 octobre 2017, il reçoit une injection de Prévenar 13. Tout se passe bien. Du moins en apparence.
Le 10 novembre 2017, il reçoit une injection d’Infanrix quinta à 10h30 chez notre médecin traitant.
Notre fils est un bébé plutôt “facile”, ne pleurant presque jamais, habituellement souriant, mais de retour chez nous après ce vaccin, quelque chose ne va pas. Il a été “ronchon” cette journée, donnant l’impression d’être souffrant.
A 19h30, je l’allonge dans son parc. A peine partie, je m’aperçois qu’il a perdu connaissance. Je le prends, essaie de le “réveiller”, aucune réaction, une véritable poupée de chiffon…dans la panique, je sors en dehors de notre maison appeler de l’aide, je le stimule, j’essaie tant bien que mal de le faire revenir à lui mais rien n’y fait…je tente de reprendre mes esprits et j’appelle le SAMU, toujours avec notre fils inerte dans mes bras. La dame à l’autre bout du fil me pose des questions mais j’avoue avoir du mal à y répondre et à me concentrer sur ce qu’elle me dit je veux juste que quelqu’un arrive vite et réveille mon bébé!
C’est un véritable cauchemar! Au bout de quelques minutes, notre fils se met à vomir, toujours inconscient, sa tête retombant sur mon épaule….il reprendra connaissa
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