Une vue tres douce

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↑ (en) A. BjĂžrsnĂžs, « Beauvoir et RicƓur – L’identitĂ© narrative : Analyse d’une crise identitaire dans L’InvitĂ©e de Simone de Beauvoir. » , Revue Romane. John Benjamins Publishing Company. ,‎ 2008 ( lire en ligne [ archive ] )

↑ Revenir plus haut en : a et b Annlaug BjĂžrsnĂžs, « L'Ă©criture du deuil. La narration dans Une mort trĂšs douce de Simone de Beauvoir », Arena Romanistica ,‎ 2013 , p. 16-33 ( lire en ligne [ archive ] )

↑ (en) Alice Jardine, « Death sentences: Writing couples and ideology » , Poetics Today 6:1-2 ,‎ 1985 , p. 119-131 ( lire en ligne [ archive ] )

↑ (en) Alex Hughes, « Murdering the Mother: Simone de Beauvoir's MĂ©moire d'une jeune fille rangĂ©e » , French Studies 48:2 ,‎ 1994 , p. 174-183

↑ Revenir plus haut en : a et b Colin Davis , « Simone de Beauvoir et l’écriture de la mort », Cahiers de l'Association internationale des Ă©tudes francaises , vol. 61, n o 1,‎ 2009 , p. 161–176 ( ISSN 0571-5865 , DOI 10.3406/caief.2009.2576 , lire en ligne [ archive ] , consultĂ© le 22 octobre 2019 )

↑ Marie-Jo Bonnet , « « Une mort trĂšs douce » », Les Temps Modernes , vol. n° 647-648, n o 1,‎ 2008 , p. 327 ( ISSN 0040-3075 et 2272-9356 , DOI 10.3917/ltm.647.0324 , lire en ligne [ archive ] , consultĂ© le 22 octobre 2019 )

↑ Simone de Beauvoir, Une mort trùs douce , Paris, Gallimard (Folio), 1980 , p.19

↑ Bonnet 2008 , p. 325.

↑ Bonnet 2008 , p. 328.

↑ StĂ©phanie Joly , « Etre ou ne pas ĂȘtre mĂšre/fille : Une mort trĂšs douce de Simone de Beauvoir » [ archive ] , sur Pilc Mag (consultĂ© le 22 octobre 2019 )

↑ Bonnet 2008 , p. 325-327.

↑ Aurore Turbiau , « Simone de Beauvoir, Une mort trĂšs douce (1964) » [ archive ] , sur LittĂ©ratures engagĂ©es (consultĂ© le 22 octobre 2019 )






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Une mort trÚs douce est un court récit autobiographique de Simone de Beauvoir , publié en 1964, qui décrit comment l'auteure a vécu les derniers mois de la vie de sa mÚre auprÚs d'elle. D'aprÚs Sartre , ce livre est le meilleur qu'elle ait écrit.

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Françoise de Beauvoir tombe dans sa salle de bains et se fracture le col du fĂ©mur. Elle est transportĂ©e Ă  l'hĂŽpital. Pendant sa convalescence, elle montre des signes de fatigue et de dĂ©goĂ»t pour la nourriture. Rapidement, les mĂ©decins dĂ©tectent un cancer de l'intestin grĂȘle qui se rĂ©vĂšle foudroyant. Durant trois mois, Simone de Beauvoir et sa sƓur HĂ©lĂšne vont se relayer au chevet de leur mĂšre et assister Ă  ses derniers moments.

Simone de Beauvoir fait de son texte un mĂ©lange de genres: de l’autobiographie, la biographie , le documentaire , le journal intime et des modalitĂ©s de la fiction . Les frontiĂšres entre la fiction et la non-fiction se retrouvent brouillĂ©es. L’auteure considĂšre elle-mĂȘme que tout Ă©vĂšnement qu’on Ă©crit est toujours partiellement - si ce n’est majoritairement - recrĂ©Ă©. Pourtant, Beauvoir Ă©tablit d’emblĂ©e un pacte d’authenticitĂ© avec son lecteur, certes dans la mesure du possible. RicƓur rejoint Beauvoir dans cette perception de la littĂ©rature comme portant une fonction Ă©pistĂ©mologique - la littĂ©rature comme laboratoire de la pensĂ©e. [ 1 ] Dans Une mort trĂšs douce, c’est surtout un journal intime qui domine la forme narrative, un rĂ©cit au jour le jour qui donne l'illusion d’une reproduction directe des Ă©vĂšnements. Simone de Beauvoir a une triple identité : celle d’auteure, de personnage principal et de narratrice. [ 2 ]

Certains postulent que ce roman porte en lui en rĂ©alitĂ© un matricide sous-jacent par le biais duquel l’auteure va rompre avec la puissance phallique exercĂ©e par sa mĂšre [ 3 ] , [ 4 ] . Simone de Beauvoir reconsidĂšre sa famille et le rĂŽle qu'elle y a joué ; elle est une Ă©crivaine dĂ©jĂ  connue et Ă©conomiquement privilĂ©giĂ©e : elle a dĂ» soutenir financiĂšrement sa mĂšre. Elle y Ă©voque les rĂ©actions de celle-ci, trĂšs attachĂ©e aux valeurs bourgeoises, face Ă  son Ɠuvre et Ă  sa vie d’auteure engagĂ©e.

Pourtant, ce texte raconte aussi l’évolution, certes un peu tardive, d’une relation mĂšre-fille auparavant tendue. Les Beauvoir, mĂšre et fille, finissent par comprendre et accepter les diffĂ©rentes perspectives qu’elles partagent. Par exemple, la mĂšre arrĂȘte de prononcer ce discours racial et politique propre Ă  sa classe de bourgeoise qui enrageait sa fille et cette derniĂšre sympathise avec la premiĂšre. Nous observons un rapprochement voire une fusion entre la narratrice et sa mĂšre mourante [ 5 ] . Avant que Françoise de Beauvoir ne meure, l’auteure semble presque heureuse, fiĂšre, de voir sa mĂšre se rĂ©volter contre la mort, d’aimer la vie parce que ceci permet de la rapprocher de cet ĂȘtre envers qui elle a Ă©tĂ© longtemps indiffĂ©rente voire hostile. [ 2 ]

Le roman s’ouvre sur une prĂ©sence affirmĂ©e de Simone de Beauvoir en tant que sujet (nous soulignons) :

« [
] je me trouvais Ă  Rome , dans ma chambre de l’hĂŽtel Minerva; je devais rentrer chez moi le lendemain par avion et je rangeais des papiers quand le tĂ©lĂ©phone a sonnĂ©. »

L’assurance philosophique d’a priori est renversĂ©e par l’accident qui arrive Ă  la mĂšre de l’auteure. La prĂ©sence du « je » du dĂ©but se dĂ©fait progressivement au cours du texte et finalement laisse place Ă  une prĂ©sence autre. La fusion mĂšre-fille atteint son paroxysme dans ce moment dramatique du rĂ©cit : [Passage problĂ©matique]

« [
] Je parlai Ă  Sartre de la bouche de ma mĂšre, telle que je l’avais vue le matin et de tout ce que j’y dĂ©chiffrais : une gloutonnerie refusĂ©e, une humilitĂ© presque servile, de l’espoir, de la dĂ©tresse, une solitude - celle de sa mort, celle de sa vie - qui ne voulait pas s’avouer. Et ma propre bouche, m’a-t-il dit, ne m’obĂ©issait plus : j’avais posĂ© celle de maman sur mon visage et j’en imitais malgrĂ© moi les mimiques. Toute sa personne, toute mon existence s’y matĂ©rialisent et la compassion me dĂ©chirait. »

C’est un autre « je » qui s’affirme. La perte de la voix de la narratrice pour porter une autre voix conduit Ă  une perte de soi. La narratrice est donc possĂ©dĂ©e par une autre qui est sa mĂšre mourante ; sa mĂšre s’incarne en elle, comme pour refuser sa propre mort et s’éterniser dans sa fille alors que c’est finalement Beauvoir qui est dans ce refus de la mort imminente [ 5 ] . [Passage problĂ©matique]

Le thĂšme de la mort a toujours fait l’objet des rĂ©flexions de Simone de Beauvoir [ rĂ©f. souhaitĂ©e] , depuis qu’elle a pris conscience de sa propre mortalitĂ©. Ce leitmotiv de la mort revient d’autant plus quand elle perd sa foi. [Passage problĂ©matique] Il en est de mĂȘme dans Une mort trĂšs douce dans lequel l’auteure existentialiste fĂ©ministe exploite la chute aiguĂ« de sa mĂšre dans une maladie fatale pour se questionner sur la mort [ 6 ] . La mort est Ă©voquĂ©e du point de vue de la narratrice athĂ©e et de sa mĂšre croyante. Dans ce rĂ©cit, l’auteure expose son angoisse, sa souffrance et sa solitude face Ă  la mort de la figure maternelle. Beauvoir semble projeter Ă  diffĂ©rents moments ses propres craintes sur sa mĂšre qu’elle dĂ©crit comme : "[
] farouchement accrochĂ©e Ă  la terre et [qui] avait de la mort une horreur animale [ 7 ] . Par moments, la narratrice laisse percer une violence masquĂ©e envers sa mĂšre, des reproches qui restent informulĂ©s. Elle blĂąme probablement sa mĂšre qui l’oblige involontairement Ă  considĂ©rer son propre sort de mortelle. Ceci nous pousse Ă  nous questionner sur le titre : ce titre qui suggĂšre une idĂ©e de sĂ©rĂ©nitĂ©, de mort acceptĂ©e, dĂ©tourne-il le lecteur de la rĂ©alité ? Pour qui cette mort a-t-elle Ă©tĂ© douce ? Françoise de Beauvoir ou sa fille aĂźnĂ©e ? Ou est-ce une ironie sur notre sort de mortels universel [ 8 ] ?

Beauvoir exprime une peur de la solitude dans son rĂ©cit. Elle avoue organiser son emploi de temps de façon Ă  ce qu’elle n’ait pas une minute de libre dans sa journĂ©e. C’est une attitude pascalienne que nous dĂ©tectons ici [Passage problĂ©matique] ; le divertissement pascalien est pratiquĂ© et reconnu par l’auteure qui redoute sa seule compagnie [ 9 ] . Elle se dĂ©voile dans toute cette solitude qui n’ébranle pourtant pas sa foi en l’Homme et son amour pour la vie. Et c’est bien ça qui la rĂ©volte et la pousse Ă  dĂ©clarer ( p. 152 ) [style Ă  revoir] :

« Il n'y avait pas de mort naturelle : rien de ce qui arrive Ă  l'homme n'est jamais naturel puisque sa prĂ©sence met le monde en question. Tous les hommes sont mortels : mais pour chaque homme sa mort est un accident et, mĂȘme s'il la connait et y consent, une violence indue. »

Beauvoir explore cette animalitĂ© qui rĂ©side en l’homme ; c’est qu’elle exprime une fascination, un dĂ©goĂ»t envers ce corps agonisant, trop humain, trop prĂ©sent, avec qui elle partage un lien sanguin. C’est surtout la conscience de la nuditĂ© du sexe de sa mĂšre qui la perturbe [Passage problĂ©matique] [ 10 ] . Elle, qui a longtemps sacralisĂ© le dĂ©sir et les pulsions , est choquĂ©e par ce corps censĂ© reprĂ©senter les interdits et les tabous , qui meurt comme il a accouché ; dans la douleur. Cet ĂȘtre maternel si longtemps mythifiĂ©, devient Ă  la fois Ă©tranger et familier et suscite en la narratrice cette « violence de son dĂ©plaisir » [ 11 ] .

L'auteure rĂ©flĂ©chit dans ce contexte sur l'euthanasie et l'acharnement thĂ©rapeutique : elle sait sa mĂšre condamnĂ©e mais reste impuissante et indĂ©cise devant les mĂ©decins qui exercent une tyrannie sur leur malade que seule la guĂ©rison pourrait justifier. L’individualitĂ© de sa mĂšre est annulĂ©e Ă  cause de la technologie mĂ©dicale qui refuse l’euthanasie et maintient l’ĂȘtre, dĂ©sormais dĂ©shumanisĂ©, dans cet Ă©tat de souffrance ineffablement injuste

Beauvoir fait de son rĂ©cit une rĂ©flexion sur la condition de la femme dans le corps mĂ©dical. Elle est indignĂ©e mais se retrouve obligĂ©e de se rĂ©signer Ă  ses observations. Elle remarque d’une part, les conditions de travail des infirmiĂšres qui sont mĂ©prisĂ©es et relayĂ©es aux tĂąches dĂ©prĂ©ciĂ©es et marginalisĂ©e du savoir des mĂ©decins [ 12 ] :

« [
] liĂ©es Ă  leur malade par la familiaritĂ© des corvĂ©es, pour celle-ci humiliantes, pour elles (les infirmiĂšres) rĂ©pugnantes, l’intĂ©rĂȘt qu’elles lui tĂ©moignaient avait au moins les apparences de l’amitié »

D’autre part, elle note le mĂ©pris des docteurs pour cette femme ĂągĂ©e et leur manque de compassion :

« ils [les docteurs] se penchaient de trĂšs haut sur cette vieille femme mal peignĂ©e, un peu hagarde ; des messieurs. Je reconnaissais cette futile importance : celle des magistrats des Assises en face d’un accusĂ© qui joue sa tĂȘte. «Vous vous prĂ©pariez de bons petits plats ?» »

Toute la tension dramatique de ce rĂ©cit, communiquĂ©e par le titre, rĂ©side dans le fait que la mort de cette mĂšre aurait pu ĂȘtre douce si ce n’est pour les mĂ©decins qui choisissent de prolonger le temps de la douleurs physique et morale, d’intensifier l’humiliation de Françoise de Beauvoir dont la douleur devient un spectacle que l’auteure endure pĂ©niblement.


« Une mort trÚs douce » de Simone DE BEAUVOIR (note de lecture)
© 2022 Jacques Ould Aoudia | Tous droits réservés
Conception | Réalisation : In blossom
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« Une mort trĂšs douce » de Simone DE BEAUVOIR. Un ouvrage singulier oĂč l’auteure dĂ©voile son vĂ©cu, ses Ă©motions, ses rĂ©flexions, alors que sa mĂšre va mourir. Elle Ă©crit les tourments qu’elle Ă©prouve dans ce moment grave.
Et elle publie ses Ă©crits ! Elle les livre ainsi Ă  notre propre rĂ©flexion sur ce qui attend la plupart d’entre nous. Le fait de vivre le dĂ©part de ses parents. Elle ne dit pas tout. C’est impossible. Il faut qu’une part des choses reste tue, cachĂ©e, non dite, enfouie. Mais elle dit beaucoup. EnormĂ©ment. Impossible de ne pas ĂȘtre touchĂ© !
Avec l’inconnue des effets des actes mĂ©dicaux posĂ©s. L’inconnue du temps qui reste Ă  vivre. De la rĂ©sistance du corps souffrant. Que se serait passĂ© si on n’avait pas opĂ©ré ? Pourquoi cet acharnement des mĂ©decins Ă  vouloir faire prĂ©valoir leurs solutions techniques pour maintenir la vie ?
Que signifie « maintenir la vie » ? Pourquoi la douleur n’est-elle pas mieux rĂ©duite ? Peut-on souhaiter la mort prochaine de l’ĂȘtre que l’on aime pour abrĂ©ger sa douleur ? Pour que cesse sa dĂ©chĂ©ance dans la dĂ©pendance totale ? Comment souhaiter ce que l’on redoute au plus haut point ?
Simone de Beauvoir fait dĂ©filer le film de sa vie auprĂšs de sa mĂšre. Elle se remĂ©more la femme fragile et soumise que sa mĂšre a incarnĂ©. Et aussi sa vitalitĂ©, sa gaitĂ©. Sa duretĂ© avec sa fille Simone adolescente. L’absence d’espace pour se dire, l’une Ă  l’autre. La distance qui ne s’est pas rĂ©duite avec le temps. Sauf, en de fugaces moments, au bord de la mort.
La croyance de la mĂšre dans le Dieu des catholiques. Et son immense peine de voir Simone vivre en dehors de cette croyance.
Mais Simone de Beauvoir là, est acculée par la mort de sa propre mÚre. Elle revient aux catégories fondamentales de la vie. Aux détails matériels de la séparation ultime. Les objets de la défunte. Ses habits. Sa maison

Sans Ă©laboration thĂ©orique. Avec les mots crus Ă  propos du corps qui se dĂ©grade. Dans la nuditĂ© et l’humilitĂ© de la condition humaine. Dans la reconnaissance de la « violence indue » de la mort.
Simone de Beauvoir, nĂ©e en 1908 Ă  Paris, ville oĂč elle est morte en1986, est une philosophe, romanciĂšre, mĂ©morialiste et essayiste française. En 1954, aprĂšs plusieurs romans dont L’InvitĂ©e (1943) et Le Sang des autres (1945), elle obtient le prix Goncourt pour Les Mandarins , ses Ɠuvres sont alors parmi les plus lues dans le monde.
ConsidĂ©rĂ©e comme une thĂ©oricienne majeure du fĂ©minisme, notamment grĂące Ă  son livre Le DeuxiĂšme Sexe (1949), Simone de Beauvoir a participĂ© au mouvement de libĂ©ration des femmes dans les annĂ©es 1970. Elle a partagĂ© sa vie avec le philosophe Jean-Paul Sartre. Leurs philosophies, bien que trĂšs proches, ne sauraient ĂȘtre confondues (d’aprĂšs WikipĂ©dia).
Pour en savoir plus sur Simone de Beauvoir, c’est ==> ICI
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Jacques Ould Aoudia est chercheur en économie politique du développement.
Il partage ici son regard sur le Sud et le Nord, avec des textes, sensibles, engagés et des photos de Paris, France, Maroc, de 40 villes du monde.
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Ne touchez pas les gens qui ne veulent pas l'ĂȘtre. L'intimitĂ© physique occupe une grande part dans le comportement humain, mais vous ne devrez pas violer l'espace personnel de qui que ce soit. Soyez respectueux.

Cela peut inclure les espiÚgleries. Le fait de chatouiller, de piquer ou de tenir peut sérieusement déranger l'autre s'il n'est pas d'humeur !
Respectez le consentement. Si quelqu'un vous demande d'arrĂȘter, arrĂȘtez-vous ! Si vous ne respectez pas l'espace personnel des gens, ils n'auront plus confiance en vous.
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