Une vraie htesse de l'air s'enferme dans les toilettes pour s'exhiber et se masturber

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Histoire érotique écrite par
Anonyme









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Françoise, chef hôtesse salue les passagers, le commandant Mercier redresse l’assiette, le bimoteur tangue et reprend le fil de la descente. Dans l’axe de la piste, les roues touchent le sol, il maintient la pression sur le palonnier, l’appareil a tendance à glisser sur ce tarmac poisseux. Ouf ! On est à Varsovie. Le moteur numéro 2 qui chauffe un peu, est arrêté, plus de risque. Truon Khin le co-pilote conduit l’avion d’Air France au débarquement. Satisfait, Mercier, les deux avant-bras derrière la tête, savoure sa première cigarette. Le steward aide une vieille dame à descendre les marches. Peu après, à son habitude, Mercier rassemble les hôtesses, pour économiser un taxi à la compagnie. En réalité, pense Françoise, il a une idée en tête, il va organiser une petite soirée à l’hôtel. Elle regrette, elle ne se joindra pas à la joyeuse bande, son taxi l’attend déjà, commandé par la tour de contrôle. Merci à la gentillesse des polonais. Le véhicule atteint rapidement la rue Potowski. Madame Svetlana l’accueille avec le sourire, une certaine complicité lie la jeune hôtesse de l’air à la polonaise qui subsiste grâce à la location de ses chambres garnies. Françoise Laborde occupe toujours la même chambre, dans cette grande baraque délabrée, mais d’une rigoureuse propreté. Déjà, la grande blonde portant le sac de l’hôtesse, l’a conduite à son appartement. Elle a hâte de voir ce que je lui apporte, pense Françoise, qui à chaque voyage à Varsovie, offre un petit cadeau à son amie démunie. Mais la rencontre prend un tour inattendu, la Polonaise embrasse la Française et dans sa fougue, leurs lèvres se rencontrent, le baiser de retrouvaille avorte. Les yeux bruns de Françoise plongent dans l’océan gris-bleu des iris polonais, des paillettes d’or réchauffent le regard perçant. Françoise emportée par sa spontanéité reprend l’initiative à son tour. Elle approche sa bouche fardée des lèvres tendues, le baiser n’a pas surpris Svetlana, les dents légèrement écartées, elle aspire le souffle frais de la jeune fille qui répond à son ardeur. La langue de la Polonaise frétille, et force la Française à entrouvrir la bouche. Les deux langues se touchent, les salives se mêlent. Françoise sent une douce chaleur l’envahir. Il y a longtemps qu’elle n’a plus de compagne et cette délicate caresse lui rappelle de bons souvenirs. Une main agile la distrait de ses pensées, Svetlana a dégrafé le troisième bouton de son chemisier d’uniforme, et les doigts robustes de Madame Sulowski plongés dans le soutien gorge, ont découvert le téton. Françoise sensible à cet attouchement, pose une main tremblante sur le poignet pour se dégager. Mais pendant qu’elle résiste, l’autre main de Svetlana, glissée sous la jupe courte, atteint le slip de soie et cherche la dépression du sexe. La respiration de Françoise s’accélère. La Polonaise repère le mont de Vénus, en dessous, la soie mouillée dessine le clitoris et l’entrebâillement des petites lèvres. Dès que l’index de Svetlana s’est posé sur le clitoris à travers la soie naturelle du slip, Françoise perd toute résistance, elle s’abandonne à la sensation excitante, elle mouille, elle se sent mouiller. La cyprine inonde les grandes lèvres et envahit son vagin. La tenancière de la pension l’a conduite sur le lit tout proche, et lui retire le slip trempé. Bientôt la blonde ouvre les portes du temple, et d’une langue experte, elle ramasse tout le flux jaillissant. Lorsque la bouche brûlante atteint le clitoris, celui-ci spontanément sort de son capuchon et se redresse sous la vigueur du coup de langue. Françoise hurle de plaisir. Bientôt, nues toutes deux, elles s’étalent sur le lit. Françoise rendant avec générosité les caresses reçues. Le corps de la Polonaise, plus robuste cache des muscles puissants. Son appétit sexuel, aussi exigeant que celui de la Française s’exprime plus brutalement. Le corps parcouru par les mains énergiques de Svetlana, Françoise pousse une douce plainte. La porte s’ouvre, le fils de Svetlana, Stepan apparaît, inquiet en entendant les cris de sa voisine. Il ne semble pas étonné de voir sa mère et la Française, nues, en train de se caresser. En moins de trois secondes, il se sépare de ses vêtements. Son corps d’athlète aux pectoraux puissants, aux cheveux couleur de blé, se mêle à leurs jeux. Il suce à son tour le clitoris turgescent de la Française, tandis que sa mère saisissant son pénis maintien sa raideur en le pompant vigoureusement. Ce spectacle inusité et totalement choquant excite violemment la jeune française, une mère faisant un pompier à son grand fils. Finalement, Françoise, la bouche sur le sexe de Svetlana, à genoux sur le lit dévasté, les fesses écartées par les mains du géant, l’anus fouillé par sa langue, gémit plaintivement. Mais déjà, le pénis avait remplacé la langue. La grosse bite du polonais entrait difficilement dans le petit conduit anal de l’hôtesse. D’une poussée, il pénètre et décharge sauvagement dans le rectum enflammé par ses ardeurs. La sauvagerie de cette agression, avait laissé Françoise, sans voix. La jeune française reprend ses esprits, tandis que Stepan ébranle sa mère de pénétrations multiples dans son vagin. Epuisé, il se retire sans un mot. Les deux femmes passent toute la nuit enlacées, la petite tête brune de Françoise reposant sur le sein droit de la Polonaise. Le lendemain, jour de repos, la Française ne reprend son poste que le jour suivant sur le 721 Varsovie-Frankfort, habillée d’un petit tailleur noisette qui met en valeur ses fines chevilles, elle décide de visiter quelques échoppes. Elle pense à sa soirée précédente et à celle que Mercier a du organiser avec ses collègues. Pas mécontente d’avoir pu y échapper, elle évoque ce macho de Mercier, qui convie dans sa chambre les trois hôtesses, Solange Anne-Marie et Françoise, à chaque escale. Le co-pilote et le steward Gonesse participent à ces orgies. Nues, les filles doivent à tour de rôle, à genoux, faire un pompier au commandant, qui jamais ne les gratifie de la moindre caresse. Dès qu’il bande à son gré, il saisit la première venue et l’enfile sur le bord d’un fauteuil avant de passer à la suivante. Les deux autres membres de l’équipage saisissent leur chance. Françoise a horreur de ce genre de réjouissance. Elle aime les hommes, mais les préfère caressants, doux, affectueux. Truon, plus tendre, semble accorder plus d’attention à ses partenaires, il caresse ces jolies filles et parcourt toute leur féminité d’une bouche amicale. Quant à Gonesse, fier de sa bite, courte et grosse comme un gourdin, il ne pense qu’à baiser, sans aucun égard. Françoise, tout à ses pensées, n’a pas pris garde à ces deux hommes qui tout à coup, la saisissent par les bras et la poussent dans une voiture. Un troisième homme la tire à l’intérieur. La porte claque, le deuxième homme assis à l’avant braque sur la jeune hôtesse un automatique de gros calibre. Les deux individus qui l’encadrent portent des cagoules bleues. L?homme au revolver fixe sur Françoise ses yeux d’un bleu pervenche. ’Taisez-vous ! Ne criez pas ! Nous ne vous ferons pas de mal. Nous avons seulement quelques questions à vous poser’. Il lui parle en anglais, dévoilant de petites dents blanches de carnassier. Sa voix posée calme les appréhensions de la jeune fille. La voiture a pris de la vitesse et gagne les faubourgs. Bientôt, les inconnus lui entourent la tête d’une lourde écharpe qui la plonge dans la nuit. Elle est ensuite portée, traînée, dans une maison, les pas résonnent dans des pièces vides, glaciales. On l’assied adossée à un objet dur, les bras ramenés en arrière sont attachés avec des chaînes. On lui retire le bandeau. Elle est assise sur un matelas d’enfant, enchaînée à un radiateur éteint, dans une chambre vide, aux hautes fenêtres sans rideaux. Le papier peint jaunâtre déchiré pend lamentablement. Aucun meuble, les trois hommes, le chauffeur demeure invisible, sont accroupis en face d’elle. Le plus costaud, retire sa cagoule, cheveux roux, visage rougeaud, il ressemble à un boxeur d’une quarantaine d’année. ’Première question, depuis quand connaissez-vous Oskar Reynecke ?’. ’A ma connaissance ce nom ne me dit rien, je ne me souviens pas d’avoir un passager de ce nom. Enfin c’est possible mais je n’en ai aucun souvenir. Le second masque lui dit : ’Ne vous fichez pas de nous! Nous sommes bien renseignés. Mais peut-être le connaissez-vous sous un autre nom ?’. ’Je vous assure, ce nom ne me dit rien’. ’Oskar Reynecke, fils d’un des artisans de l’holocauste, dirige le groupe des néonazis de Varsovie.’ Le blond à visage découvert la regarde de ses yeux bleus et ajoute ’Nous ne savons pas encore, sous quel nom, il se cache à Varsovie, mais nous trouverons’. ’Nous avons la certitude qu’il se terre à la pension Sulowski. D’après un indicateur de la police qui nous a renseignés, il mesure 1 m 90, blond, sportif de proportion athlétique, sadique, véritable obsédé sexuel, il abuse des femmes. L’avez vous rencontré ? . Françoise se rend compte que cette description correspond à Stepan Sulowski, Elle se tait et déclare ne pas connaître de pensionnaire de ce genre. Les ravisseurs s’en vont, elle reste seule, attachée à son radiateur en fonte. Au fil des heures, un besoin lancinant trouble ses réflexions, elle doit faire pipi, et au plus elle évite d’y penser, au plus la pression devient douloureuse Plusieurs heures après, elle appelle et le type à tête de boxeur arrive aussitôt. ’Il n’y a pas de W.-C.. dans cette baraque qui a été bombardée pendant la dernière guerre, il n’y a, ni eau, ni gaz, ni électricité. Je vais voir ce qu’on peut faire. Il réapparaît avec ses acolytes, tenant une grande gamelle. ’Soulevez-vous, un peu, je vais tirer votre slip et vous pisserez là dedans.’ Françoise veut protester, mais il n’y aucune alternative, ou, elle mouille son slip et le matelas ou elle accepte la proposition du rouquin. Celui-ci glisse les mains sous sa jupe et en tirant sur la ceinture élastique, il retire le slip soyeux et le dégage des deux pieds. Ensuite il place la gamelle et lève la jupe pour repérer la trajectoire. Les trois hommes contemplent avec une certaine excitation la belle fourrure de son pubis. Le rouquin décidément très obligeant, pose les doigts de chaque côté du méat pour diriger le jet. Toute rougissante, Françoise, très choquée dans sa pudeur, ne peut pas uriner. Alors le gros homme siffle comme on fait pour les chevaux. La jeune fille délivrée entend le bruit de l’urine tombant dans le pot métallique. La sensation d’apaisement se double d’une intense excitation sexuelle, en montrant ses parties les plus intimes à ces hommes rudes, elle éprouve un sentiment pimenté, comme si elle reprenait l’initiative sur ses tourmenteurs cagoulés. Le boxeur essuie la dernière goutte avec ses doigts et les portant à ses lèvres: C’est une bonne année dit-il ’. Comme s’il buvait du chablis ! Trois jours après, Françoise nourrie de petits pains secs, avoue qu’elle a été sodomisée par un homme qui pourrait bien être l’Oskar recherché. Les beaux yeux bleus lui demandent lors de prochains rapports avec le fils de Madame Sulowski, de prélever discrètement sur un cure-oreille, une petite partie du contenu de son rectum. Une analyse de l’ADN permettra de comparer avec les éléments en leur possession. Ils ramènent la fille à sa pension, en lui apprenant, chemin faisant, que des certificats médicaux ont été expédiés à son employeur pour justifier de son absence. Les collègues de cabine sont parties à la date convenue. Elle reçoit mission de prendre le vol de 7h51 à destination du Caire, où elle recevra une nouvelle affectation. Après un voyage sans histoire, elle aide les autres hôtesses, sur l’escalier de coupée elle prend congé des voyageurs. Comme toujours, lorsqu’elle est en service, dans les pays chauds, elle ne porte pas de slip, elle aime sentir le vent chaud du désert parcourir sa magnifique toison pubienne. L’hôtel international, qui accueille le personnel d’Air France, particulièrement confortable offre des chambres à l’air conditionné. Avant le repas, Françoise est abordée par un jeune anglais très raffiné qui l’invite à partager son repas. Très gentleman, il lui fait une cour discrète. Assis en face d’elle à la petite table ronde, il laisse tomber sa serviette. Il veut voir mes jambes estime la jeune française qui ouvre largement les genoux, exposant ainsi sa jolie toison bouclée aux regards concupiscents du jeune britannique. Celui-ci en se rasseyant, le visage tout congestionné, lui saisit la main à travers la table et y pose un baiser reconnaissant. Il appartient au Foreing Office, fils de lord Thorthon of Torndyke, il s’appelle Nick Gathwell, il est attaché à l’ambassade britannique au Caire Sur le balcon de l’hôtel, la nuit semble magique, très noire, trouée de lueurs mouvantes, parcourue de la rumeur incessante d’une ville grouillante de monde, un peu inquiétante aussi, elle rapproche les deux jeunes gens qui échangent de tendres baisers. Reconduite à la porte de sa chambre, Françoise ne peut se séparer de son admirateur. Elle l’entraîne à l’intérieur et lui retire sa veste de shantung blanc. Couchés sur le couvre-lit, embrasés par un long baiser, ils savourent ces minutes délicieuses pendant lesquelles, chacun espère aller un peu plus loin dans le jeu de la séduction. Nick, le jeune anglais déboutonne le tailleur strict d’Air France et Françoise retrousse sa jupe d’uniforme et attire les mains de son compagnon sur le magnifique corps dévoilé. Couverte de baisers, elle se débarrasse de tous ses vêtements et déshabille le pudique jeune homme qui tient à garder son slip déformé par une énorme bosse qui tente la main experte de l’hôtesse. La jeune femme se glisse sur le visage de son partenaire, accroupie, elle pose son sexe entrouvert sur sa bouche. Enivré par le parfum de son vagin il lèche et aspire les sécrétions féminines qui envahissent les petites lèvres. Une main derrière le dos, Françoise baisse le slip et dégage une verge tendue. Elle pivote sur elle-même, pour engloutir le pénis mis à jour, tandis que la langue du blond jeune homme pénètre au plus profond de son intimité. Elle est tellement excitée, qu’elle ne se souvient plus à quel moment, il l’a possédée. Elle se souvient seulement d’une lente pénétration précautionneuse, qui ne semblait jamais s’arrêter, suivie d’une série de mouvements sauvages qui témoignaient de sa jeunesse. Elle sentait le sperme se répandre délicieusement dans son vagin. Elle s’endormit, toujours reliée au jeune éphèbe par son long membre viril. * * * Le chaud soleil du petit matin la réveille toujours engagée et toujours aussi mouillée. Nick devait terminer quelques affaires personnelles, mais lui donne rendez-vous à 17h sur le Ramsès qui faisait l’excursion jusqu’au barrage d’Assouan. La traversée du Caire demeure une épopée même pour les personnes habituées, comme notre héroïne. La circulation démentielle, le bruit entêtant, les marchands ambulants, les crieurs de journaux, les mendiants entravent votre marche. Françoise était arrivée près de l’appontement de l’embarcadère, lorsqu’un horrible mendiant couvert de loques crasseuses la saisit par la main. Elle réprime un geste de répulsion, l’homme porte un caftan jaunâtre, et un turban brun couvert de taches. Il lève la tête, elle reçoit en plein visage l’éclair des yeux bleus. ’ Vous ! ’ ’ Silence, pas un mot, vous êtes en danger de mort. Ne prenez pas le Ramsès. ’ ’Mais j’ai rendez-vous’ ’Vous prendrez ’ le Champolion ’ qui lève l’ancre dans une demi-heure. Je vous en conjure, obéissez, d’ailleurs mes hommes vous surveillent’. La vaillante hôtesse a reconnu l’énigmatique kidnapper de Varsovie. Que fait-il au caire ? L’a-t-il suivie ? . Elle cherche autour d’elle la silhouette appuyée sur un bâton, il a disparu, happé par la foule. Une demi-heure plus tard, sur le pont flottant où l’on délivre les billets pour les excursions, un haut-parleur annonce qu’un attentat terroriste a causé la mort de plusieurs passagers et membres de l’équipage sur le Ramsès. Le Champolion prêt au départ est réquisitionné par la police qui embarque une compagnie de militaires en armes. Revenue à l’hôtel Kéramis, Françoise lira dans la soirée le nom de Nick Gathwell dans la liste des disparus publiée par un journal local. Le lendemain, elle reçoit mission de rejoindre le vol 451 Le Caire-Munich. Toutes à ses pensées, la jeune fille rejoint la Bavière dans un brouillard qui l’empêche de réfléchir. Ce jeune anglais lui plaisait bien et le voila disparu. Le destin s’acharne-t-il sur les hommes que j’aime, pense -t-elle ? A peine arrivée à Munich avec 6 minutes d’avance grâce au vent arrière, elle retrouve un poste dans le vol Air France Paris Prague. A Prague, elle retrouve son équipe de cabine et le commandant Mercier, toujours aussi macho. Le lendemain, l’équipe sera de repos, Mercier en profite pour décréter une grande soirée intime avec ses collègues de cabine. * * * La nuit enveloppe Prague d’un manteau de silence. Dans le centre, les néons de quelques magasins modernes tentent d’attirer les rares touristes attardés. Le grand hôtel, lui-même somnole, Françoise en entrant dans la chambre du commandant, aperçoit la longue Solange dans les bras de Gonesse. Tout le monde habillé attend le signal de Mercier. D’humeur vagabonde, il ordonne à Solange de se mettre à genoux pour faire un pompier à Gonesse. Anne-Marie fait glisser le pantalon et le slip du steward. Sa grosse queue courte et couverte de poils roux, prestement avalée par la bouche avide de Solange, il se penche pour faire pénétrer sa verge jusqu’au fond de la gorge offerte. Anna-Marie sur un signe de Mercier, lui caresse l’anus et l’enduit d’un gel transparent. Mercier soudain très excité, exhibe une verge tendue et sans un mot d’explication la pose sur le cul de Georges, il pousse son gland dans l’anus béant et pénètre dans le rectum du serveur qui lâche un cri inarticulé, surpris, il veut se dégager, mais la poigne solide du commandant le maintien. Mercier par un mouvement de va et vient arrive à bout de la résistance du jeune homme. Solange suce toujours le membre dressé avec un bruit de salive remuée, Anne-Marie à genoux également, lèche les couilles de Gonesse, et parfois celles du commandant. Mercier aboie: ’Françoise, foutez--vous à poil, nom de Dieu !’. Comme dans un songe, Françoise soulève sa jupe et dévoile son sexe qui déjà s’entrouvre de plaisir, une goutte de cyprine pend aux lèvres roses. Elle retire sa veste d’uniforme et son chemisier, puis retire la jupe. Maintenant elle est nue, face à Mercier, elle introduit deux doigts dans sa chatte, et entreprend de se masturber, ce qui excite encore plus ce vieux dégoûtant. Le frottement de la verge dégage une chaleur telle que Gonesse se met à jouir. Malgré la douleur de la pénétration, c’est une première pour lui, il ne peut réprimer la jouissance infernale que lui procure cette bite profondément enfoncée dans ses entrailles. Il se sent possédé. Cette sensation délicieuse se répand dans ses couilles, sa verge se tord dans la bouche de Solange. Il veut résister, penser à autre chose, mais son regard accroche la main de Françoise qui ressort toute poisseuse de son vagin. Il ne peut plus retenir sa jouissance, il sent qu’il va jouir Il le crie ’ Je jouis ! Ah c’est si bon je vais partir !’ Ce cri déclenche l’éjaculation du commandant, quelques puissantes contractions de son pénis, excitent encore davantage le bienheureux Gonesse. A flot, le sperme du chef de bord coule dans le colon du serveur, des soubresauts de plaisir soulèvent la queue de Georges qui décharge voluptueusement dans la bouche insatiable
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