Une voisine qui veut de la bite

Une voisine qui veut de la bite




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Une voisine qui veut de la bite
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Depuis le dĂ©cĂšs de ma femme, je vis seul, loin de mes enfants, tous Ă©tablis Ă  l'Ă©tranger avec leurs conjoints respectifs. À presque soixante-dix ans, retraitĂ©, j'ai pris mes marques, et bien que sevrĂ© sexuellement, je vis trĂšs bien mon veuvage. Ma femme est dĂ©cĂ©dĂ©e il y a maintenant prĂšs de cinq ans. Ce n'Ă©tait pas le grand amour ; disons un mariage de raison. J'ai mes habitudes dans un petit restaurant prĂšs de chez moi oĂč je me rends quand je n'ai pas envie de faire la popote. Quelquefois je rĂ©unis mes amis – des couples de mon Ăąge – et je leur concocte des repas gastronomiques. On dit de moi que je suis un fin cuisinier trĂšs imaginatif. C'est vrai que j'adore ça. J'agis d'instinct sans recettes prĂ©Ă©tablies avec les produits du moment. Ces instants me sortent de ma solitude qui est parfois trĂšs pesante.
La maison oĂč j'habite est trĂšs grande et nĂ©cessite des travaux rĂ©guliers d'entretien. Il fait beau aujourd'hui, samedi. J'ai dĂ©cidĂ© de tailler la haie, qui borde ma maison cĂŽtĂ© rue et qui commence Ă  prendre de l'ampleur. Je sors tous les outils de jardin nĂ©cessaires Ă  mon travail et je dĂ©marre ma tĂąche.
Je travaille depuis dĂ©jĂ  prĂšs d'une heure quand ma voisine sort de chez elle pour aller faire ses courses hebdomadaires. Un petit signe de sa part, auquel je rĂ©ponds ; elle monte dans sa voiture et s'en va rapidement. Élodie – c'est elle – est une femme divorcĂ©e d'environ quarante ans qui vit dans le pavillon mitoyen du mien avec ses deux enfants dont elle a la garde. Elle est grande, prĂšs d'un mĂštre soixante-quinze, son corps est bien proportionnĂ©, et trĂšs Ă©lĂ©gante quand elle part tous les matins au travail. Au cours de nos rares conversations de voisinage j'ai appris qu'elle est cadre de haut niveau dans une grande entreprise du CAC 40. Il me semble qu'elle n'a pas refait sa vie car je ne vois jamais d'hommes venir chez elle, hormis son ex-mari quand il vient chercher les enfants.
Tout dans mes pensées, je la vois revenir de faire ses emplettes. Elle sort de sa voiture et se dirige immédiatement vers moi.
— Bonjour HervĂ©, vous allez bien ?
— Oui, trùs bien Élodie ; et vous ?
Les phrases banales que tout le monde prononce quand on veut Ă©tablir de bonnes relations avec son propre voisinage

— Bien, merci. Je peux vous demander un service ?
— Bien sĂ»r ; que voulez-vous ?
— Je voudrais fermer l'arrivĂ©e d'eau gĂ©nĂ©rale pour pouvoir changer le mitigeur de ma baignoire, et j'ai du mal car il est coincĂ©. Je n'ai pas beaucoup de force dans les bras et je n'y arrive pas. Quand vous aurez un moment, vous pourrez venir voir ?
— Bien sĂ»r : une fois ma haie taillĂ©e je viens chez vous.
— Merci. À tout à l'heure !
Une heure plus tard je sonne chez elle. Elle m'amÚne directement dans le garage et me désigne le robinet. Au passage, je peux sentir les effluves de son parfum de grande marque. Une senteur que j'apprécie beaucoup. Bizarrement, ça éveille en moi des émotions disparues depuis le décÚs de ma femme.
Effectivement, le robinet – d'un autre Ăąge – est bien grippĂ©, et manifestement il faut le changer ou au moins changer la tĂȘte. Je lui propose de le faire, et en mĂȘme temps de changer le mitigeur de sa baignoire. Ce qui lui Ă©vitera de faire venir un plombier.
— Oh, merci HervĂ©, c'est trĂšs gentil de votre part. Vous voulez voir la salle de bain ?
— Oui ; comme ça je pourrai voir le modùle.
Nous montons à l'étage et, alors qu'elle me précÚde pour me montrer l'endroit, je peux voir le haut de ses trÚs jolies jambes surmonté d'une jupe plissée, courte, mais pas suffisamment pour que je puisse en découvrir plus

La salle de bain est Ă©troite et, alors qu'elle est Ă  l'intĂ©rieur pour m'indiquer le mitigeur, mon dos touche sa poitrine et – est-ce une impression ? – je sens son tĂ©ton qui durcit contre mon Ă©paule. Il faut dire qu'avec mon mĂštre soixante-dix, je fais petit Ă  cĂŽtĂ© d'elle. Je n'en laisse rien paraĂźtre, et la suite de notre conversation ne se bornera qu'Ă  Ă©changer des propos sur le type de matĂ©riel qu'elle dĂ©sire me voir installer.
Je lui dis que, le temps d'aller acheter le matĂ©riel au magasin de bricolage proche, je pourrai lui faire ça cet aprĂšs-midi. Ça ne devrait me prendre qu'une heure car ce genre de travail de plomberie n'est pas trĂšs compliquĂ©.
— Pas de problĂšme ; je suis lĂ  aujourd'hui et je ne sors pas car les enfants sont chez leur pĂšre cette semaine – ils sont en garde alternĂ©e – et j'en profite pour exĂ©cuter des tĂąches que je n'ai pas le temps de faire quand ils sont lĂ .
L'aprÚs-midi, une fois mon déjeuner avalé, je reviens chez elle avec mes outils et le matériel acheté le matin.
Elle s'est changĂ©e. Elle porte juste un pantacourt rehaussĂ© d'un dĂ©bardeur peu Ă©chancrĂ© qui lui moule parfaitement sa poitrine que je soupçonne gĂ©nĂ©reuse. J'ai l'impression qu'elle ne porte pas de soutien-gorge car je ne distingue aucune attache ou armature que rĂ©vĂšle souvent ce genre de vĂȘtement. Elle m'offre un cafĂ©, nous papotons quelques instants et je file au garage oĂč, en moins d'un quart d'heure, je change le robinet d'arrĂȘt. Je monte ensuite Ă  l'Ă©tage pour attaquer le mitigeur de la baignoire, et quelques minutes plus tard je rencontre quelques difficultĂ©s dans mon travail. J'ai besoin d'une aide. J'appelle Élodie.
— Élodie ! Vous pouvez venir ? J'ai besoin d'un coup de main.
— J'arrive tout de suite !
J'ai besoin qu'elle tienne le mitigeur pendant que je serre quelques Ă©crous. Dans cette position, nos tĂȘtes se frĂŽlent, se touchent. Je sens son haleine fraĂźche – elle a dĂ» se laver les dents aprĂšs avoir pris son cafĂ©. Nos mains se touchent elles aussi. Je lui donne quelques indications. Mon Ă©motion monte et, Ă  mon grand Ă©tonnement, ma verge aussi
 Il y a bien longtemps que ça ne m'Ă©tait pas arrivĂ©.
J'en perds mes moyens et je laisse tomber une vis dans la baignoire. Dans le mouvement pour aller la rĂ©cupĂ©rer, nos tĂȘtes se retrouvent face Ă  face, nos corps se heurtent l'un contre l'autre. Des pulsions incontrĂŽlĂ©es me poussent Ă  aller plus loin, Ă  commettre l'irrĂ©parable. Il est impossible qu'elle rĂ©ponde Ă  mes avances ; prĂšs de trente ans de diffĂ©rence d'Ăąge. Elle va me gifler, au pire me traiter de vieux vicieux. Qu'importe ! La folie m'envahit
 Je la prends dans mes bras, je pose mes lĂšvres sur les siennes, ses seins sont pressĂ©s contre mon torse. C'est trop tard, je ne peux plus revenir en arriĂšre. Je tente de faire pĂ©nĂ©trer ma langue dans sa bouche et
 elle rĂ©pond Ă  mon baiser, fougueusement, sans retenue. Sa langue vient rejoindre la mienne, violemment. Sa bouche est douce, parfumĂ©e. Ses mains pressent mon corps. J'empaume ses seins, fais remonter son dĂ©bardeur qui libĂšre une poitrine nue, fiĂšre, les pointes Ă©rigĂ©es, arrogantes dans leur sublimitĂ©. Nous nous redressons.
Elle me dit juste ces mots :
Elle m'amĂšne Ă  sa chambre. En deux temps trois mouvements nous sommes nus. Je la prends dans mes bras, dos Ă  moi ; ma verge dressĂ©e, victorieuse, se frotte entre ses fesses. Mes mains caressent sa poitrine ferme. Elle se dĂ©gage de mon Ă©treinte et se couche sur la couette. Je m'allonge sur elle et lui Ă©carte lĂ©gĂšrement les cuisses. Je dirige mon vit vers sa fente et je la pĂ©nĂštre lentement, tout en douceur ; je suis Ă©tonnĂ© de la rigiditĂ© de mon sexe. Je ne sens aucune rĂ©sistance : son antre est trempĂ©, en attente. Je me redresse pour lui sucer les tĂ©tons. Elle gĂ©mit. Je prends sa bouche pour un long baiser profond oĂč ma langue s'enroule autour de la sienne. Son corps est agitĂ© de petites secousses ; les prĂ©mices d'une jouissance forte ?
Je ne sais pas, mais je ne vais pas tarder à le découvrir.
Mes mains parcourent son corps dans de longues caresses, englobent ses seins, les pĂ©trissent. Je titille les pointes. Bien au fond d'elle, je ne bouge plus. Je fais alors pulser mon gland pour lui masser lentement les chairs profondes et sensibles de son vagin. Je me relĂšve et la regarde. Elle est belle. Ses yeux « bleu profond » chavirent. Elle est en extase, ne dit rien, mais sa respiration s'accĂ©lĂšre. J'entame alors de longs va-et-vient, ressortant mon sexe entiĂšrement pour replonger en elle de plus en plus vite. Elle ne peut plus se retenir. Elle crie. Elle hurle. Secoue son bassin pour venir Ă  ma rencontre. Ses ongles s'enfoncent dans mon dos. Sa tĂȘte s'agite dans des mouvements dĂ©sordonnĂ©s. Je pince ses seins tellement je suis excitĂ©. Je suis dĂ©chaĂźnĂ©, je la dĂ©fonce sans relĂąche – à mon Ăąge, on est endurant. J'entre. Je ressors. Elle est trempĂ©e. Mon sexe coulisse en elle, sans obstacle, mais ses chairs intimes m'enserrent suffisamment pour pĂ©trir mon vit, dur comme du bois. Elle jouit plusieurs fois. Elle n'en peut plus, je le sens. Il faut que je finisse. J'accĂ©lĂšre et, dans une poussĂ©e ultime, une contraction de ma prostate, je viens inonder le fond de sa matrice de mon sperme gĂ©nĂ©reux. Elle pousse un dernier cri et s'effondre sur la couette, emportĂ©e dans un orgasme commun, fulgurant.
ÉpuisĂ©, je m'Ă©croule sur elle, lui baise le front pour la remercier et je me laisse aller quelques minutes, heureux.
Je bascule sur le dos et je la vois se redresser pour me regarder tendrement. Elle passe sa main sur mon front, puis ses doigts sur mes lÚvres ; elle ouvre la bouche pour la premiÚre fois depuis qu'elle m'a amené dans sa chambre et me dit :
— Merci !
— Pourquoi dis-tu ça ?
— Parce que je ne regrette pas de m'ĂȘtre laissĂ©e aller sans retenue avec toi. Il y a seulement quelques heures, jamais je n'aurais pensĂ© que nous ferions l'amour tous les deux. Tu n'Ă©tais qu'un voisin sympa avec qui les relations de voisinage Ă©taient agrĂ©ables. Mais, soudainement, ce matin quand nous Ă©tions dans ma salle de bain, lorsque tu m'as frĂŽlĂ©, j'ai humĂ© ton eau de toilette et j'ai senti un frisson me parcourir.
— Alors ce n'Ă©tait pas une illusion de ma part quand j'ai senti ton tĂ©ton durcir contre mon Ă©paule ?
— Non. J'ai juste Ă©tĂ© déçue que tu ne me prennes pas alors dans tes bras car j'en avais envie. Ce dĂ©sir qui s'est alors Ă©veillĂ© en moi, au lieu de retomber, s'est accru dans l'attente de ton retour cet aprĂšs-midi. Mais je ne savais pas comment faire pour que tu succombes. Rien ne s'y prĂȘtait. C'est alors que tu m'as appelĂ©e pour me demander de l'aide, et j'ai su alors qu'il ne fallait pas que je laisse passer cette chance. J'avais prĂ©mĂ©ditĂ© mon acte en mettant un dĂ©bardeur trĂšs moulant pour faire monter la pression chez toi. J'ai vu dans ton regard, insistant, que tu semblais apprĂ©cier. D'ailleurs, dĂšs le premier frĂŽlement, j'ai vu que ton sexe Ă©tait entrĂ© en Ă©rection. Ça m'a rassurĂ©e. Je me suis rendu compte que je ne t'avais pas laissĂ© indiffĂ©rent.
— Tu sais, ça a bouillonnĂ© dans ma tĂȘte
 J'avais peur que tu me gifles ou que tu me prennes pour un vieux vicieux. Mais ça a Ă©tĂ© plus fort que moi, il fallait que je te prenne dans mes bras.
— Tu as bien fait. Je n'attendais que cela. J'ai toujours pensĂ©, depuis que nous sommes voisins, que tu es un type bien. Je n'ai jamais senti de ta part une quelconque attitude vicieuse. Je ne l'aurais d'ailleurs pas supportĂ©, et jamais, alors, je ne serais venue solliciter une aide de ta part. Et puis je ne le regrette pas car tu m'as fait jouir au-delĂ  de tout entendement. Tu es un amant attentionnĂ©, prĂ©venant et
 endurant. Depuis mon divorce il y a trois ans, je n'ai pas connu d'autres hommes. Tu es le premier

C'est ce moment qu'elle choisit pour poser délicatement sa main sur mon sexe.
— Tu sais quand mĂȘme que j'ai soixante-neuf ans. Je ne sais pas si je vais pouvoir remettre le couvert. J'ai peur qu'Ă  la longue tu sois déçue. Tu es jeune : tu as besoin d'un homme de ton Ăąge, pas d'un « vieux » comme moi.
— Qui te dit que ça ne me suffira pas ? J'ai besoin de tendresse, pas d'un « bourrin » comme l'Ă©tait mon ex qui ne pensait qu'Ă  son plaisir et Ă©tait en plus Ă©jaculateur prĂ©coce. Ma vie sexuelle avec lui n'a pas Ă©tĂ© terrible. Mais toi, en une seule fois, tu m'as fait avoir de multiples orgasmes. Alors je saurai m'adapter Ă  tes possibilitĂ©s, mais sache que je ferai tout pour que ce soit le plus souvent possible.
Un sourire illumine son visage, et tout en continuant la caresse de mon sexe, elle pose ses lĂšvres sur les miennes pour un baiser langoureux auquel je rĂ©ponds en l'enserrant dans mes bras, sa poitrine ferme contre moi. Soulevant lĂ©gĂšrement sa tĂȘte, je lui dis :
— Je vais te montrer qu'il n'est pas nĂ©cessaire qu'un homme bande pour rendre heureux une femme.
Je me sépare alors d'elle pour me lever du lit.
— Qu'est-ce que tu fais ?
— Chut, laisse-toi faire

Je prends ses jambes pour amener ses fesses au bord du lit tout en lui écartant bien les cuisses. Dans cette position, son sexe glabre est totalement offert, à ma merci. Je m'agenouille alors par terre et j'embrasse son pubis. Puis, sortant ma langue, je la fais parcourir son corps en effectuant quelques haltes sur ses hanches, son nombril, la base de ses seins, ses tétons

Elle gĂ©mit de bonheur. Elle aime manifestement ce que je lui fais, mĂȘme si ça la chatouille par moments, la faisant pouffer. Je redescends alors vers la fourche que je dĂ©sire honorer et je lĂšche lentement sa fente odorante oĂč suintent quelques gouttes d'un mĂ©lange de ses propres sĂ©crĂ©tions et de mon sperme. Je fouille Ă  la recherche de son clitoris que je viens dĂ©busquer d'oĂč il Ă©tait cachĂ©. Je l'agace avec la pointe de ma langue. Élodie pousse un petit cri et plaque ma tĂȘte sur son entrejambe. Je poursuis mon Ɠuvre en faisant entrer mon majeur dans sa chatte, vite rejoint par mon index. Je la branle lentement en Ă©cartant ses chairs au maximum. Elle pousse son bassin vers moi comme pour mieux avaler les doigts qui la fouillent. C'est un appel Ă  aller plus loin. Elle ruisselle tellement que je n'ai aucun mal Ă  introduire quatre doigts. Elle hurle.
— Je te fais mal ?
— Non. Continue, c'est sublime. Jamais on ne m'avait fait ça. Je suis bien. Mais toi, je ne peux rien faire pour toi ?
— Non, ça me suffit. Je vais te faire tordre de plaisir, et ça me rend heureux rien qu'Ă  cette idĂ©e. Je continue ?
— Oui, ne t'arrĂȘte pas

Le lent travail continue. Je mĂ©nage des moments de repos pour enfoncer ma main plus loin encore. Élodie exprime son bonheur en haletant de plus en plus vite comme si elle allait accoucher. Son vagin est dĂ©sormais dilatĂ© par mon poing qui est entrĂ© jusqu'au poignet. Le plus dur est fait. Il ne me reste plus qu'Ă  porter l'estocade en le faisant aller et venir de plus en plus vite en elle sans le faire ressortir. Sa respiration s'accĂ©lĂšre. Sa jouissance est au paroxysme. Elle prononce des mots insensĂ©s qui viennent se contredire :
— Je t'aime. Je jouis. ArrĂȘte. Non, continue. Oh, c'est trop bon ! Salaud, tu sais profiter de moi
 Tu es un dĂ©mon !
Elle a le bonheur expressif jusqu'au moment ultime oĂč je viens mĂąchouiller son clitoris Ă©rigĂ© comme pour me narguer, provocateur. Son corps s'arque brutalement ; elle pousse alors un long hurlement strident, me montrant ainsi qu'elle vient d'atteindre le septiĂšme ciel dans un orgasme dĂ©vastateur.
Elle retombe sur le lit, achevĂ©e. Je retire ma main lentement de son antre bĂ©ant ; je me lĂšve, me dirige vers la salle de bain pour constater que l'eau Ă©tant fermĂ©e, je ne peux mĂȘme pas me laver les mains

Je jette un Ɠil vers la chambre oĂč Élodie s'est endormie d'un sommeil rĂ©parateur. Je termine mon travail pour changer le mitigeur. En fait, je n'ai plus besoin d'elle car j'ai compris l'astuce pour le faire seul. Que se serait-il passĂ© si j'avais devinĂ© plus tĂŽt ? Rien, probablement ; ou alors autrement. Une fois la remise en eau faite, je peux me laver et la rejoindre dans son lit. Entre-temps elle est passĂ©e sous la couette et elle m'attend impatiemment. À peine dans le lit, elle se jette sur moi, me couvre de baisers et formule Ă  mon oreille des mots d'amour :
— Mon Dieu, HervĂ©, comme tu m'as fait jouir
 Tu es un amant exceptionnel. J'aimerais, si tu le veux bien, qu'on continue cette aventure. Je n'ai pas envie que ça s'arrĂȘte. Tu es libre, je suis libre. Tu habites Ă  cĂŽté : c'est pratique, non ? Tu veux bien ?
— Oui, je ne suis pas encore rassasiĂ© de ton corps ; j'ai envie de toi, mais il faut que je reprenne de la vigueur.
— Laisse-moi faire, je crois savoir comment faire
 me dit-elle avec un sourire malicieux.
Élodie Ă©carte la couette et approche son visage de mon bas-ventre. Il y a longtemps qu'une femme ne m'a pas fait de fellation. Mon Ă©pouse n'en Ă©tait pas une grande adepte.
Mon sexe est mou et pend lamentablement sur le cĂŽtĂ©, comme mort. Élodie caresse mes bourses tout en les griffant lĂ©gĂšrement. Puis ses doigts saisissent mon vit pour le dĂ©calotter. Elle approche ses lĂšvres pour en suçoter le bout. Je suis un peu crispĂ© et je la regarde faire, attentif.
— Tu es trop nerveux ; laisse-toi faire, mon chĂ©ri. Ferme les yeux.
J'obĂ©is. Sa bouche tĂšte mon gland puis absorbe ma bite entiĂšrement. Ses lĂšvres touchent mon pubis. Elle me pompe intensĂ©ment, et j'ai la surprise de sentir que je suis en train d'avoir une Ă©rection. Je durcis Ă  vue d'Ɠil. Ça me redonne confiance. J'appuie sur sa tĂȘte pour qu'elle m'avale profondĂ©ment. Je grossis encore, envahissant le fond de sa gorge. Elle tousse mais continue ses mouvements, attentive Ă  mon plaisir qui monte.
Il est temps de passer à autre chose. Je lui dis :
— Viens, je veux qu'on fasse l'amour. Tu m'as fait bander : je vais te rĂ©compenser ; mets-toi sur moi.
— J'arrive ; j'en ai trĂšs envie aussi, mĂȘme si j'aimerais continuer, tellement ta verge a bon goĂ»t

Elle se positionne sur moi, sa poitrine face à mes yeux et s'empale d'une seule poussée sur mon sexe dur comme de la pierre. Je suce alternativement la pointe de ses seins et mets un doigt dans son fondement. Elle ne dit rien, apprécie. Elle a du potentiel. Elle est brûlante, tellement brûlante qu'il suffit de quelques va-et-vient en elle pour que nous jouissions de concert, tellement moi aussi mon désir est grand. C'est une entente sexuelle parfaite qui se concrétise
 Elle s'écroule sur moi, épuisée.
Un mouvement de bassin de sa part me fait sortir d'elle. Elle baise mes lĂšvres – je peux sentir ma propre odeur qui parfume son haleine – puis descend vers mon ventre, prend mon pĂ©nis et mes testicules entiĂšrement dans sa bouche pour effectuer un nettoyage complet de mes attributs. C'est doux, je suis bien. Je lui en fais part :
— J'adore ce que tu me fais.
— J'aime l'odeur et le goĂ»t de nos sĂ©crĂ©tions mĂ©langĂ©es.
— Fais-moi partager !
Elle remonte alors sa tĂȘte jusqu'Ă  la mienne. Nous nous embrassons tendrement. Ma langue tournoie pour recueillir ces substances particuliĂšres qui tapissent ses muqueuses et parfument son haleine. J'adore ces senteurs.
Elle se relÚve, souriante, apaisée et me dit :
C'est alors que je constate qu'il
Une belle blonde se la prend bien
La mĂšre a perdu un pari
Jenna Jameson se fait baiser par Peter North

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