Une vieille dame se fait abuser chez le gynécologue

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Une vieille dame se fait abuser chez le gynécologue
Cette entrée a été publiée dans Anecdotes le 23 septembre 2016 par Baptiste Beaulieu .
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Une lectrice m’a envoyé aujourd’hui ce texte décrivant la maltraitance médicale qu’elle a subi. Je le publie ici avec un gros AVERTISSEMENT : c’est VIOLENT. Je le partage car il fait écho à mon prochain roman et car il faut que ce texte soit lu, et partagé. Il faut qu’il interroge les praticiens : les patriarches comme les jeunes carabins. Le voilà : Bonsoir Monsieur Beaulieu, enfin Docteur, je me permets de vous écrire car j’ai vécu un événement qui m’a extrêmement bouleversée vendredi.
Mais laissez-moi me présenter d’abord.
Je m’appelle A., j’ai 38 ans et je souffre depuis plusieurs années de migraines cataméniales. Je suis à bout à cause de mes règles. Entre les migraines, les mastoses, les bouffées de chaleur, j’avoue que j’ai hâte d’être ménopausée. Et c’est pour cela que j’ai pris rdv avec un gynécologue de C., dans l’espoir de trouver une solution définitive. Je suis déjà maman d’une petite fille de bientôt 8 ans, et je n’ai jamais eu envie d’avoir un autre enfant. Si on ajoute à ça que je suis séparée de son père depuis 5 ans, que je n’ai eu absolument personne depuis, et que j’ai subi une opération du dos il y a 5 ans qui m’handicape au quotidien sans pour autant que je sois en fauteuil, une autre grossesse est clairement hors de question pour moi. Je cherche donc un gynécologue qui acceptera de procéder à une ovariectomie afin de ne plus avoir à souffrir chaque mois au point parfois de ne pas pouvoir aller travailler ou de finir aux Urgences quand la crise se déclenche brusquement. J’ai trouvé un gynécologue à côté de mon travail et j’ai eu rdv vendredi à 15h15. A 15h45, environ, j’ai été reçue. J’avais vu dans les avis Google que ce gynéco pouvait faire preuve d’un humour un peu particulier et qu’il était direct. Ça m’importait peu, tant qu’il reste professionnel. J’ai eu droit à tout le discours paternaliste possible : comme quoi avoir un stérilet alors que je n’ai aucun rapport sexuel ne sert à rien (je l’ai fait poser en 2012 au cas où je rencontrerais quelqu’un), que si je voulais ne plus avoir mes règles il fallait que je prenne des hormones (j’ai eu beau expliquer qu’aucune pilule, qu’elle soit à base de progestérone ou d’oestrogène, ne me convenait, il ne m’a pas entendue) et que je ne trouverai jamais de médecin qui accepterait de m’opérer en France et qu’il fallait que j’aille dans un pays du Maghreb pour en trouver un…
J’ai désamorcé tout ça avec humour vu que de toute façon je savais avant même le rdv que ce serait difficile en effet de trouver un médecin prêt à respecter mon choix d’avoir une ovariectomie et qu’il faudrait que je vois plusieurs gynécologues pour y arriver. On est donc passé à l’examen physique vu que je n’en avais pas fait depuis la pose de mon stérilet, il y a deux ans. J’étais aussi détendue qu’on puisse l’être avant de se faire examiner, mais je ne m’attendais clairement pas à subir ce que j’ai subi. Pendant que je me déshabillais, j’ai bien répété que je n’avais pas eu de rapports sexuels depuis 5 ans, ce à quoi il m’a demandé si je “n’aimais pas les hommes ?”.
Je lui ai répondu en m’installant qu’en fait, jusqu’à récemment, je n’étais pas prête dans ma tête.
Et là, l’examen a commencé… Il m’a enfoncé le spéculum d’un coup sec dans le vagin. J’ai éclaté en larmes et j’ai hurlé de douleur en lui demandant de l’enlever et d’utiliser le plus petit spéculum (que tous les gynécos que j’ai eu depuis 15 ans utilisent, vu que je suis étroite de nature) car il me faisait mal. Je lui disais “Arrêtez, vous me faites mal, arrêtez” mais il n’arrêtait pas. Il m’a même dit qu’il ne pouvait pas utiliser le plus petit spéculum parce que sinon il ne pourrait pas voir le col. Et je pleurais et je gémissais de douleur. Et il n’arrêtait pas. Il m’a fait un frottis sans même m’avoir demandée avant si il pouvait le faire. Puis il a retiré d’un coup sec le spéculum en me demandant “de me détendre”. Il a essuyé le sang du spéculum sans même me demander comment j’allais. Puis il a fait une échographie par voie pelvienne pour vérifier mes ovaires. Encore une fois, il ne m’a pas demandé si je voulais la faire. J’étais tétanisée de douleur au point de ne pas pouvoir parler. Puis je me suis rhabillée toute tremblante. Il était environ 16h et le rdv était fini. J’ai quand même obtenu l’ordonnance pour faire une prise de sang pour voir mon taux d’hormones afin de savoir si je suis en présménopause ou si j’en suis loin. Je suis allée aux toilettes car je savais que je saignais. Et je saignais, en effet. Beaucoup plus que ce que je pensais. J’ai mis une serviette hygiénique que j’avais heureusement sur moi et j’ai de nouveau éclaté en larmes. J’ai écrit à une copine pour lui raconter ce qui venait de m’arriver, mes mains tremblaient. J’ai retenu mes larmes sur le chemin du retour dans les transports en commun. Puis j’ai appelé ma meilleure amie pour lui raconter. Et j’ai pleuré. J’avais l’impression d’avoir un gouffre béant et brûlant entre les jambes, d’avoir été violée. J’ai laissé mes larmes couler, j’ai bu un thé et fumé clope sur clope, le temps que mes larmes se tarissent, puis j’ai pris une douche pour enlever cette sensation de crasse en me disant que ça irait mieux le lendemain. Le lendemain, je me suis réveillée en ayant toujours mal. Et je saignais encore. Moins, mais je saignais encore. Mon vagin me brûlait et mon utérus se contractait. J’ai pleuré, encore. J’ai attendu de voir si après une douche ça irait mieux. Ca n’allait pas mieux. J’ai pleuré. J’avais toujours cette impression d’être un trou béant. J’ai pris la décision à 16 heures d’aller aux urgences de l’hôpital P. pour vérifier si j’avais des lésions. J’ai été reçue par une infirmière qui a été extrêmement choquée de ce que j’avais subi et qui m’a rassurée: ce n’est pas de ma faute. Puis j’ai vu un jeune interne qui quand je me suis remise à pleurer a fait preuve de douceur et m’a rassurée. Une doctoresse est venue pour m’examiner. Et en un coup d’oeil sur mon entrejambe elle a tout de suite vu que j’étais étroite et a choisi le petit spéculum. Elle m’a rassurée et m’a expliquée ce qu’elle allait faire et m’a bien dit de lui dire dès que j’avais mal pour qu’elle arrête l’examen. Elle m’a introduit en douceur un doigt et j’ai eu mal, très mal. Elle m’a expliqué que mes parois vaginales étaient enflées. Puis elle a introduit très très très doucement le petit spéculum pour vérifier si tout allait bien. Pas de lésions vaginales. Elle a tenu à vérifier si j’avais une infection vu que j’avais des brûlures. J’ai donc uriné dans un pot. Pas d’infection mais toujours des traces de sang dans mes urines car j’avais une petit plaie ou irritation à l’entrée du vagin. Pour éviter qu’une infection se déclenche, elle m’a prescrit des ovules et une crème pour soulager l’irritation. Je suis rentrée et j’ai encore pleuré. Dimanche en me réveillant, j’ai pleuré. J’avais encore mal. J’ai eu plusieurs crises de larmes au cours de la journée. Aujourd’hui lundi, j’ai encore mal et j’ai encore pleuré. Un homme m’a regardé dans le bus plus tôt. Pas méchamment, c’était pas du harcèlement, il m’a juste regardée, ou peut-être même qu’il regardait derrière moi après tout, mais rien que ça, rien que savoir qu’un homme me regarde ça me dégoûte. Je suis en colère et je suis prête à mettre la grande majorité des hommes dans la catégorie des brutes immondes. Avant vendredi, j’étais enfin prête dans ma tête à rencontrer quelqu’un et à enfin (peut-être) retomber amoureuse, à faire l’amour, à vivre quoi !!! Mais ça, c’était avant vendredi. Maintenant j’ai encore plus peur. Maintenant, je vais avoir encore plus de difficultés à faire confiance. Je n’arrive même pas à rire de l’absurdité de la chose: j’ai été violée par un spéculum. Merci de m’avoir lue jusque là. A.
Mais… il faut faire quelque chose… Il faut empêcher ce gynécologue de “pratiquer”… Je suis choquée. Je suis de tout coeur avec vous A.
Hier, pour la première fois, j’ai vu un gynécologue. J’ai 49 ans. Je n’ai pas vraiment eu le choix. Mon médecin traitant lui avait écrit une lettre pour l’informer sur mon passé et le pourquoi je n’avais jamais réussi à aller en voir un. Ma compagne était avec moi. Le gynécologue était un vieil homme souriant. Nous nous sommes assises à son bureau. J’étais déjà au bord des larmes. Quand il me dit qu’il va m’examiner. Je fonds en larmes, je n’arrivais pas à parler. Ma compagne vient me tenir la main. Il me demande si j’ai déjà eu des relations sexuelles. Je ne comprends sa question. Une fois allongée, je pleurais toujours, je ressens une douleur qui me fait crier. Il me dit de me calmer qu’il en a vu d’autres. Ma compagne lui rappelle que c’est mon 1er examen gynécologique, que j’ai mal et qu’il doit arrêter. Il dit qu’il doit faire un frottis et recommence parce que j’ai mis du sang dessus. Ça fait 24h00 que je pleures, que j’ai mal. J’ai été victime quand j’étais petite,, les images, les douleurs se superposent.
Ce témoignage est terrible … comment peut-on “pratiquer un tel examen”, comment peut-on abuser de la faiblesse, comment peut-on être vil à ce point … Cela me laisse sans voix, toutes mes pensées , ma tendresse et mon soutien pour A.
Merci d’avoir prévenu que c’était violent !! Je ne m’attendais quand même pas à ça.. N’y-a-t-il pas moyen de faire un “signalement” à l’ordre des médecins. C’est une honte. Tout mon soutien à vous madame.
Je ne commente jamais mais là je suis révoltée. J’ai mal physiquement en lisant!!!! Il faut révéler le nom de ce médecin!!!! Ne serait ce que pour éviter à d’autres de subir la même chose!!!!
Indignée, en colère et tellement triste… Je ne comprends pas ce que cela leur apporte à ces bouchers-là (mes excuses aux bouchers…) de faire leur métier comme ça. Le plaisir d’assouvir leur pouvoir sur des personnes à leur merci parce qu’ils ne se sentent pas assez bien dans leur vie ? Ah il est loin le serment d’Hippocrate ! Monsieur qui n’avait plus de médecin que le titre sur votre plaque, il est vraiment temps de changer de métier ! A. je vous fais un nid de douceur dans mes plumettes.
Quel imbécile, il ne connait rien aux femmes ce type là.
Bonsoir à tous et toutes, et à vous madame, à qui j’envoie toute ma tendresse de femme. J’ai subi ce genre d’examen violent et douloureux par un gynéco qui non seulement m’affirmait que je n’avais pas mal (qu’est-ce qu’il en savait ??), mais m’a prise en photo par surprise quand je me suis rassise devant son bureau après 20 minutes d’examen (si, si). Quand je lui ai demandé ce qu’il faisait avec cette photo, il m’a répondu “c’est pour mes archives”. J’étais tellement crevée, triste, choquée que je n’ai pas répondu, je n’avais qu’une hâte, sortir de ce cabinet. Une semaine après j’ai voulu le revoir, pour avoir le résultat de mon examen, et pour demander des explications sur son déroulement et cette fameuse photo. Impossible, sa secrétaire a fait barrage en me disant que s’il ne m’avais pas rappelée c’est qu’il n’y avait rien d’inquiétant, et je n’ai jamais pu avoir d’autre RV. J’ai contacté le président de l’ordre des médecins de mon département (parce que dans le civil, je suis infirmière, comme quoi on peut être des deux côtés de la “barrière” que Bibi essaie de renverser, merci à lui !), malheureusement ce gynéco avait pignon sur rue auprès de l’Ordre, et j’avoue que j’ai laissé tomber, d’écoeurement surtout, et de lâcheté un peu. Dans ce que vous racontez, A., je ne trouve que des raisons de porter plainte, d’autant plus que vous avez les témoignages des vrais soignants que vous avez rencontrés aux urgences. Je ne l’ai pas fait il y a quelques années, mais je le regrette, et ce serait un service à rendre à toutes les femmes qui ont souffert ou souffriront de ce salaud, parce qu’il n’y a pas d’autre mot pour le qualifier. Bon courage à vous, je vous embrasse. P.S. Il y a des hommes tout doux, tout tendres, avec un tout petit zizi pour les toutes petites femmes je vous souhaite de rencontrer le “vôtre” très vite !
Oui, il faut en parler partout, il faut donner son nom, il faut le faire savoir. Qu’on soit brusque, qu’on soit direct, verbalement, passe encore, on peut toujours leur clouer le bec à son tour, mais ça, c’est de la violence physique, et ce n’est pas acceptable de la part de personnes qui se prétendent soignantes. Ne protégez pas ce médecin par votre silence, pensez aux suivantes. Je vous envoie plein de douceur.
Courage A. Ne laissez pas cet homme (qui se dit soignant mais fait tant de mal, quelle honte !) insensible et brusque vous faire encore plus de mal et gâcher vos chances de trouver votre futur amoureux tendre et attentionné ! Les hommes ne sont pas tous comme cela ! Ne perdez pas espoir. Je vous souhaite de tomber sur un homme bon et doux ! Et aussi de trouver un soignant qui reconnaîtra vos douleurs et acceptera l’opération que vous attendez pour des raisons justes et médicales. Chaleureusement, Marion
Ce gynéco, enfin si on peut appeler ça un gynéco, me donne l’impression à cause de la question qu’il pose “si je n’aimais pas les hommes ?”, qu’il pense avoir à faire à une homosexuelle et veut lui faire payer. Et quand bien même une homosexuelle viendrait le consulter, il se doit de la respecter ! J’ai toujours été dérangée par le fait qu’un homme choisisse cette profession mais c’est un autre débat. Mes gynécos ont toujours été des femmes et les seules fois où j’ai eu un gynéco, c’était lors des suivis de mes deux dernières grossesses à l’hôpital et je les ai trouvés plus durs (essayez de vous relever seule lors d’un examen gynécologique lorsque vous êtes enceinte… perso, seulement les femmes gynécos m’aidaient à me redresser). Ce type n’est pas gynéco mais sadique et il ne faut avoir aucune seconde d’hésitation pour le dénoncer, surtout que maintenant, cette pauvre femme se sent encore plus mal.
Témoignage terrible ! Madame A je vous souhaite d’obtenir justice pour cette maltraitance, avec l’aide d’avocat pour châtier ce gynéco violeur (car c’est un viol tant par l’acte que par les mots, les considérations sur “vous n’aimez pas les hommes” n’ont rien à voir dans l’examen médical!), et de psychologue pour vous reconstruire.
Le choix entre UN ou UNE gynéco appartient à la patiente et à elle seule. Je comprends fort bien qu’une femme préfère être examinée par une autre femme, a fortiori si la patiente a eu une expérience déplaisante avec un médecin masculin. Mais je témoigne qu’on trouve hélas des gynécos et des médecins femmes qui traitent l’humain comme un numéro ou un bout de viande… et qu’on trouve heureusement des gynécos et des médecins hommes doux dans leurs gestes et dans leurs mots, très respectueux des patientes !
Une alternative pour les patientes qui ont peur du/de la gynéco est tout simplement le/la généraliste; Bi-Bi je pense que tu ne me contrediras pas…. si celui-ci/celle-ci est doux/ce et compétent/e, il/elle peut assurer des soins de première ligne: frottis annuel, conseils de contraception… et pose de stérilet? suivi de grossesse et accouchement ? Bi-Bi qu’est-ce que tu sais faire ? Avantages: primo le/La médecin de famille vous connaît, cela réduit le stress d’être face à un inconnu et/ou dans un hôpital; secundo vu la carence de gynéco/la distance/les longs délais d’examen dans certaines régions ou pays, passer par votre généraliste peut vous épargner bcp de temps, de stress… et vous sauver la vie en détectant plus tôt un problème. Il est important bien sûr qu’un/e généraliste connaisse ses limites et passe la main à un(e) gynéco en cas de nécessité !
Dernière remarque. Qu’un homme puisse choisir la spécialisation de gynéco est d’abord, à mon humble avis, un reliquat de la prédominance masculine sur toutes les spécialités médicales; aujourd’hui il y a féminisation progressive de la médecine – les femmes ne sont-elles pas en passe de devenir même majoritaires en gynéco-obstétrique? Par ailleurs le choix de la gynécologie comme spécialité peut être dicté, chez l’homme comme chez la femme, par d’autres raisons que le sadisme ou l’obsession sexuelle j’espère ! ou bien il faut supposer que tout urologue-proctologue en est resté au stade pipi-caca, que tout pédiatre reste infantile, etc. Cela ouvre le débat sur les raisons de choisir telle ou telle spécialité…
Ça me fait tellement mal ce témoignage, que j’ai besoin de réagir. Il y a un truc qui m’échappe : les médecins soignent une femme qui a subi un mauvais traitement sans lui demander ce qui s’est passé ? les médecins laissent repartir une femme qui est sous le choc sans proposer une aide psychologique ? Si le gynécologue avait été le paumé du coin, est-ce que ça aurait été le même silence de la part des médecins ? Dans ton histoire, si je comprends bien, il y avait un gynécologue qui n’aimait pas les femmes et des médecins qui aimaient beaucoup leur tranquillité. Faut qu’ils se réveillent hein, ne rien dire, c’est se rendre complice de tels actes. Aux médecins hésitants à te soutenir, peut-être leur demander s’ils se reconnaissent vraiment dans ce genre de soin ? Si tu ne sais pas quoi faire, porter plainte ou oublier tout ça, j’ai une façon de formuler le problème qui m’aide souvent à trouver ma réponse : Ce n’est pas une démarche facile de porter plainte mais est-ce que c’est plus facile de me taire ? Bon courage dans ton choix. Sarah Pour les migraines cataméniales, je n’ai pas encore essayé les sangsues médicinales, donc je ne peux pas te dire si ça marche mais une amie a été soulagé en 2 jours pour des douleurs de circulation aux jambes, et la thérapeute lui a dit que ça marchait aussi pour les migraines, que c’est plus complexe mais que ça peut vraiment aider. Un article sur l’hirudothérapie : http://www.notretemps.com/sante/arthrose/action-therapeutique-sangsues,i61112
Bonjour je rejoins les précédents commentaires. Il faut porter plainte , ou au moins déposer une main courante dans un commissariat , et mettre un ou des témoignages nominatifs sur internet pour que d’autres femmes n aient pas à subir de telles violences. Oui c est une forme de viol. Et il existe une instance de justice en France , qui n est pas parfaite , qui n est pas très efficace, mais ne serai ce que pour réussir à passer le cap et à digérer cet événement , il faut en parler , le signaler . Ce ne sera pas facile. Vous pourrez demander à déposer plainte auprès d une femme au commissariat, pour ne pas vous retrouver face à un homme. Parfois il faut savoir faire appel à l ordre pour se protéger. C est à cela qu ils servent aussi. Selon vos possibilités , vous faire accompagner d une avocate sera utile. Il faudra peut être demander des témoignages auprès des personnels qui vous ont soignés à l hôpital. Je suis étonnée aussi que personne ne vous ai proposé , ou suggéré l idée , de vous faire aider par une psychologue. Continuez à en parler et à écrire , vous n avez pas à avoir honte , c est lui qui a à avoir honte . Courage à vous.
“pas “une forme de viol” : un viol. “Article 222-23 : Tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu’il soit, commis sur la personne d’autrui par violence, contrainte, menace ou surprise est un viol. … Article 222-24 Le viol est puni de vingt ans de réclusion criminelle : … 3° Lorsqu’il est commis sur une personne dont la particulière vulnérabilité, due à son âge, à une maladie, à une infirmité, à une déficience physique ou psychique ou à un état de grossesse, est apparente ou connue de l’auteur … 5° Lorsqu’il est commis par une personne qui abuse de l’autorité que lui confèrent ses fonctions (et dans cette situation particulière où le médecin est un sachant, c’est une forme d’autorité, ça se plaide
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