Une travailleuse insatiable

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Une travailleuse insatiable
Léa Ducrot a passé vendredi le cap de ses 100 ans. © Charly Rappo
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Montagny » Elle pensait être née le 25 septembre. Mais c’est bien le 22 septembre que Léa Ducrot a soufflé cent bougies à l’EMS Les Fauvettes de Montagny, comme en témoignent les papiers de l’état civil qu’elle a un jour recherchés.
Léa Ducrot est une infatigable travailleuse. Née à Courtepin, elle est arrivée haute comme trois pommes au petit hameau de Bois-Girard, sur la commune de Mannens/Grandsivaz. Grandissant aux côtés de ses trois sœurs, Léa Ducrot est devenue spécialiste des travaux de la ferme. D’abord avec ses parents, puis au côté de Charles Ducrot, dit Charlot, qu’elle a épousé en 1938. Cinq enfants sont nés de cette union.
L’originaire de Liebistorf et de Tinterin ne s’est pas ménagée durant la guerre de 1939/1945, son mari étant à l’armée. Se chargeant de l’éducation des enfants, elle a fait tourner seule la ferme et s’est occupée de ses beaux-parents. A tous ceux qui la plaignaient, elle rétorquait que le travail n’avait jamais tué personne.
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Accueil Actualités locales Boutervilliers : une infatigable travailleuse s’en va

Ce petit Arpajonnais rêve de devenir policier. Sa mère a écrit une lettre au commissariat d'Arpajon fin juillet pour lui offrir une rencontre avec...

© Tous droits réservés - Le Républicain.fr
Ils sont nombreux à avoir fait le déplacement vendredi 19 février à la salle des fêtes de Boutervilliers pour célébrer le départ en retraite de Françoise Ducoup de son poste de secrétaire de mairie.
Francis Tassin, maire, a rendu hommage avec affection à sa Francinette comme il aimait l’appeler. « Notre amitié ne prend pas fin mais nous devons mettre un terme à notre collaboration complice née il y a 33 ans déjà », a-t-il souligné. En effet, avant d’être secrétaire de mairie de septembre 2000 à décembre 2015, Françoise a été élue au Conseil municipal de mars 1983 à 2000.
Retrouvez l’intégralité de cet article dans notre édition papier et numérique du jeudi 3 mars 2016

Airbus a effectué des tests pour transformer son A400M en bombardier d’eau, grâce à une citerne amovible installée dans la soute de l’appareil. L'A400M pourrait ainsi venir ponctuellement en aide aux Canadair, pour lutter contre les feux de forêt, notamment en période estivale.
« Rien n’interdit » de frapper le port d’Odessa, selon les Russes
Taïwan se prépare à une invasion de la Chine
La Chine réussit l’amarrage du deuxième module de sa station spatiale
#vendredilecture // Dans son livre fantasque, Cumuler les jobs, un métier d’avenir, Marielle Barbe nous apprend comment vivre en slasheur, ou professionnels multi-passions et multi-jobs.
Collectionneuses de petits boulots, zappeurs maladifs, professionnelles multi-tâches, travailleurs pluripotentiels, passionnées aux mille projets, levez-vous ! Vous appartenez à la vaste tribu des slasheurs, ces spécimens qui ne rentrent pas dans les catégories traditionnelles du marché du travail.
Dans son premier ouvrage, Profession slasheur. Cumuler les jobs, un métier d’avenir , Marielle Barbe, elle-même slasheuse, raconte son “coming-out” contre la stigmatisation, la précarité financière et l’incompréhension de sa génération. Aujourd’hui coach / formatrice / consultante / autrice, son livre rassemble les histoires de nombre de ses pairs pour mener de front les multiples vies du slash.
Emprunté de l’anglais, le néologisme francisé “slasheur” désigne un phénomène professionnel qui existe depuis longtemps. Le terme “slash”, ou “/”, pointe vers ceux qui cumulent les professions, rappelle l’autrice.
Les slasheurs ont en commun d’être curieux, insatiables, autonomes, nourris de passions nombreuses qui s’expriment dans leurs choix professionnels, explique Marielle Barbe. Ils ne se satisfont pas de la linéarité. Le parcours tout tracé les ennuie.
Ils peinent cependant à expliquer leur mode de vie à leurs proches, leurs amis, leurs potentiels employeurs. La pression sociale de “la vocation”, les regards de parents inquiets, l’absence de reconnaissance générale les persuadent qu’ils sont “inadaptés” .
“Je ne suis pas anormale, je suis juste une slasheuse”, proteste Marielle Barbe. Selon une étude réalisée par le Salon des micro-entreprises en 2015, les slasheurs volontaires et contraints représenteraient 16% des actifs en France, soit 4,5 millions de personnes. Ce nombre devrait augmenter car “la multiplicité des emplois tend à s’imposer comme la nouvelle norme”, prédit l’autrice.
Marielle Barbe se rappelle comment, à l’aube de la cinquantaine, elle a enfin arrêté de lutter contre sa vraie nature. Bonne élève à l’école, elle échoue deux fois au bac S, puis enchaîne les jobs dans le secteur de l’associatif et de la culture, devient masseuse, communicante pour l’opéra et le festival d’Avignon, créatrice de bijoux, cheffe d’une agence de com’ dédiée au développement durable, promotrice de films d’auteurs, le tout avec l’éternel sentiment d’être illégitime dans ses changements de parcours.
Mais à partir du moment où elle s’est assumée en slasheuse, “tout s’est mis en place comme par magie. Et je n’ai jamais autant travaillé”.
Forte de ses multiples expériences, Marielle Barbe voudrait, avec ce livre foisonnant tenant tant de la boîte à outils que du journal intime, du test de personnalité que du guide de développement personnel, encourager les jeunes slasheurs en devenir.
Conseils pratiques pour optimiser son profil sur le marché du travail, coaching inspirationnel, anecdotes farfelues, paraboles improbables, exercices de respiration, listes de plateformes pour trouver des jobs, mantras, témoignages de camarades slasheurs… Tous les formats sont bons pour chasser le complexe de l’imposteur qui coupe les ails de nos slasheurs et leur permettre de lire leur parcours avec bienveillance.
Comme la parabole des gros cailloux : un professeur remplit un verre de pierres volumineuses. Ses étudiants affirment que le verre est plein. Le professeur ajoute des petits cailloux, puis du sable, et enfin de l’eau, démontrant que le verre n’est jamais aussi rempli qu’on ne le croit.
“Que démontre cette expérience ?” demande-t-il à ses élèves, interdits. Que si l’on ne met pas les gros cailloux en premier, on ne pourra jamais les faire entrer ensuite. Et si les petites pierres et le sable sont les peccadilles, les gros cailloux représentent les valeurs, les rêves, les choses qui donnent du sens à la vie. Aux futurs slasheurs de les identifier sans tarder pour mieux dessiner leurs voies.
> Marielle Barbe Cumuler les jobs, un métier d’avenir , Editions Marabout, 15.90 euros
Tous droits réservés - Les Echos Start 2022

Le média des professionnels de la restauration et de l'hébergement
Le média des professionnels de la restauration et de l'hébergement

LE COMMERCE DE L’ALIMENTATION ET DE LA RESTAURATION ALIMENTAIRE
Une CURIOSITÉ insatiable qui entraîne une soif inextinguible de connaissance... la première des 51 qualités nécessaires pour une réussite assurée en gestion.



15 décembre 2010
| Par Christian Latour, Mérici Collégial Privé


© HRI (9405-7759 Québec inc.) 2012-2022 Tous droits réservés.


HRImag est un média francophone (site Web et magazine papier) qui offre de l'information de pointe sur l'industrie des HRI (hôtels, restaurants et institutions).

Définition du mot curiosité : qualité de celui qui est curieux, désir d’apprendre, de connaître.
Définition du mot curieux : personne curieuse, qui désire connaître, apprendre.
Selon Albert Einstein… « Ce qui importe, c’est de ne jamais arrêter de s’interroger. La curiosité a sa propre raison d’être. »
« L’époque et notre métier surtout, imposent de s’ouvrir à l’extérieur, de s’enrichir des expériences des autres, d’être attentif à tout. […] La moindre facette de l’existence devrait nous fasciner, il n’y a rien sous le soleil qui ne mérite notre intérêt. Nous devons être, comme le suggère Tom Peters, des “travailleurs de la curiosité”. Être curieux, c’est ne pas avoir peur de s’inspirer des autres. Les plus grands hommes n’ont pas hésité à le faire. » — Jean-Marie Dru (1997, p. 147)
Selon Michael J. Gelb (1999), « la curiosité est une soif inextinguible de connaissance qui vient avant tout le reste, puisque le désir de savoir, d’apprendre et d’évoluer est le moteur même de la connaissance, de la sagesse et de la découverte. »
Selon Charles F. Haanel (2007), « Nous naissons normalement tous curieux, puisque la curiosité procède de ce même élan inné, du même désir que nous avons tous d’avancer dans la vie. »
« La curiosité sera une qualité essentielle, car avec la rapidité des changements actuels et à venir, le leader devra constamment être à l’affût de nouvelles connaissances. » — Suzanne Dansereau (2016)
« Alors que le leader d’hier était un expert dans son domaine et avait une vision claire des actions à entreprendre, celui de demain manifestera une curiosité insatiable ». — Robert Duton, ancien président de Rona et professeur associé à l’école des dirigeants de HEC Montréal
« Le développement de ses capacités intellectuelles et de ses connaissances sera un travail de tous les jours, et ce non seulement dans le domaine touchant son entreprise, mais aussi dans plusieurs domaines. » — Suzanne Dansereau (2016)
« La curiosité est ce qui nous fait essayer quelque chose jusqu’à ce que nous y arrivions ; ou penser à quelque chose jusqu’à ce que nous le comprenions. » — Erika Andersen (2018, p. 121)
Les restaurateurs remarquables font preuve d’une très grande curiosité. De plus, ils savent tirer profit de leur curiosité en étant plus créatifs, plus imaginatif et plus novateur .
Et vous... êtes-vous assez curieux ?
Avez-vous récemment acquis des connaissances qui vont vous permettre de faire de votre entreprise une meilleure entreprise ?
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