Une traînée indienne se fait prendre par derrière

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Une traînée indienne se fait prendre par derrière
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C'est une cession qui traîne en longueur. Voilà un an, le groupe pharmaceutique Aventis indiquait qu'il avait chargé la banque HSBC CCF de trouver un repreneur pour sa filiale française de génériques, RPG, auparavant dénommée « Biogalénique » (« Les Echos » du 13 septembre 2002), cette activité n'étant plus jugée stratégique par le laboratoire. Partant du constat que le marché français des génériques est en pleine explosion _ il a progressé de 31 % en 2002, à 640 millions d'euros, selon les statistiques du GERS, et ses perspectives de croissance restent théoriquement fortes _ Aventis souhaite tirer un très bon prix de cette cession. RPG est en effet le cinquième fabricant français de ce type de médicaments, avec 7,8 % de part de marché, derrière les deux poids lourds Merck Génériques (25,6 %) et Biogaran (23,8 %) et au coude à coude avec Teva Classics (12,2 %), GNR Pharma (11,3 %) et Irex (7,3 %). De quoi faire réfléchir les éventuels candidats, d'autant que la perspective de fixation d'un prix forfaitaire pour les médicaments possédant des génériques pourrait réduire le recours à ces derniers.
Malgré cela, le dossier progresse. Plusieurs candidats sont sur les rangs, parmi lesquels le groupe indien Ranbaxy. Selon le quotidien indien « The Economic Times » d'hier, qui cite des sources bancaires, Ranbaxy tiendrait même la corde face à deux concurrents européens et il chercherait actuellement à lever de 50 à 60 millions de dollars pour financer cette acquisition. Le groupe, coté à New Delhi, a réalisé l'an dernier 764 millions de dollars de chiffre d'affaires (en hausse de 39 % par rapport à 2001), dont 296 millions aux Etats-Unis et 57 millions en Europe, essentiellement en Grande-Bretagne. Un porte-parole du groupe indien se refusait hier à tout commentaire sur ces « spéculations ». Mais Ranbaxy n'a jamais caché qu'il voulait faire de l'Europe son deuxième marché derrière les Etats-Unis. Et cette acquisition française serait alors une pièce maîtresse de sa stratégie.
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Un été brûlant, un hiver sans gaz ?
POLLUTION. ChevronTexaco traîné en justice par les Indiens d'Equateur
Publié le 08 janvier 2004 à 13h45 Lecture 3 min.

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Près de 30 000 paysans équatoriens intentent un procès au géant pétrolier américain pour avoir déversé pendant vingt ans des déchets sur leurs terres. Un événement suivi avec passion dans toute l’Amérique latine.
Jusque récemment, rares étaient ceux qui avaient entendu parler de Lago Agrio, une ville pétrolière équatorienne perdue dans la forêt d’Amazonie et rongée par la criminalité. Mais les feux de l’actualité se sont braqués sur cette bourgade délabrée, où magistrats américains et équatoriens ont afflué afin de participer à l’un des plus grands procès de l’Histoire pour une affaire de pollution par les hydrocarbures. Située au coeur du pays pétrolifère équatorien, à vingt kilomètres de la frontière colombienne, Lago Agrio est la capitale de la province de Sucumbios, un lieu de justice quelque peu improbable et dangereux.
Le procès s’est ouvert mardi 21 octobre et oppose ChevronTexaco à 30 000 habitants de la forêt tropicale, qui accusent une filiale du groupe californien d’avoir déversé, entre 1971 et 1992, d’énormes quantités de déchets pétroliers dans des centaines de fosses non réglementaires disséminées un peu partout dans la région. Ces déchets auraient entraîné des maladies de la peau et des cancers, entre autres affections. Cristóbal Bonifaz, l’un des avocats des plaignants, explique que c’est une simple visite, rendue à l’Indienne María Aguinda, qui est à l’origine du procès. “Quand je suis entré dans sa petite maison en 1993, j’ai juré devant Dieu que je ferai quelque chose pour elle, se souvient-il. J’ai été ému par cette pauvre femme aux pieds recouverts de goudron, qui était obligée de se nettoyer avec de l’essence.” Aujourd’hui, l’affaire porte le nom de cette femme : “María Aguinda et autres contre ChevronTexaco”.
La compagnie pétrolière a toujours soutenu avoir eu un comportement irréprochable en Amazonie. Chris Gidez, son porte-parole, ne nie pas que des déchets pétroliers aient été déversés dans des fosses non réglementaires. Mais il précise que “dans les années 70 et 80, cela faisait partie des pratiques tolérées dans certaines conditions, à savoir en présence d’un sol dense et argileux. Les eaux usées étaient déversées dans des fosses, le pétrole était récupéré et seule l’eau épurée était rejetée.” Cependant, la zone polluée s’est étendue ; la pollution a touché les marécages puis gagné les cours d’eau, finissant par contaminer quelque 30 000 Indiens et paysans - ainsi que leurs cultures - sur plusieurs centaines d’hectares de forêt tropicale. “La cour n’aura qu’une décision à prendre : déterminer si ChevronTexaco doit nettoyer ou pas”, estime l’avocat des plaignants. “Si la cour les oblige à nettoyer les fosses, les marécages et les rivières, ce sera une énorme victoire”, ajoute-t-il.
Le dossier a été ouvert il y a une dizaine d’années à New York. Mais il aura fallu neuf années de disputes juridiques pour déterminer quel Etat, des Etats-Unis ou de l’Equateur, se verrait confier l’organisation du procès. L’année dernière, une cour d’appel fédérale a tranché en faveur de l’Equateur et a ajouté que la décision prise par l’Etat andin serait applicable par les tribunaux des Etats-Unis. “C’est un procès historique”, commente Steven Donziger, l’un des six avocats de la partie plaignante. “C’est la première fois qu’une multinationale américaine doit répondre de ses actes devant le système juridique d’un petit pays en voie de développement.” La compagnie ChevronTexaco était tout aussi impatiente de comparaître. En effet, selon son porte-parole, “ces dix dernières années, les vraies questions [de l’affaire] ont été occultées. Cela n’aide pas ceux qui cherchent à arranger les choses. Cela n’aide pas la compagnie, sur qui plane le doute. Les deux parties ont intérêt à ce que la lumière soit faite.”
“La Constitution [équatorienne] prévoit un pouvoir judiciaire indépendant”, rappelait, en 2002, un rapport du ministère des Affaires étrangères américain sur les droits de l’homme. “Mais dans la pratique, le système judiciaire est vulnérable face aux pressions et à la corruption extérieures.” Le 7 octobre dernier, Cristóbal Bonifaz, l’un des avocats des plaignants, écrivait au secrétaire d’Etat Colin Powell pour lui demander de mandater un agent fédéral chargé de surveiller le procès. “Nos clients ont de bonnes raisons de craindre que ChevronTexaco ne triche”, expliquait-il. La veille du procès, la réponse du ministère se faisait toujours attendre. La réaction de M. Gidez, elle, a été immédiate. “Il est absolument scandaleux de laisser entendre que cette société a déjà triché ou qu’elle serait capable de le faire”, a-t-il lancé.
Aucune des deux parties ne sait vraiment ce qu’il ressortira du procès de Lago Agrio. “Les gens vont venir de très loin, a déclaré M. Donziger. Il va y avoir des centaines de rassemblements d’Indiens. Ils arboreront leurs tenues traditionnelles. [Le procès s’est terminé le 29 octobre.] Le jugement ne devrait pas être rendu avant plusieurs mois, le temps que le juge examine l’affaire en profondeur.
Tous les projets américains de développement énergétique en Amérique latine - de plus en plus impopulaires - sont touchés par cette affaire, et, notamment, le projet colossal qui concerne l’exploitation d’un gisement de gaz naturel au Pérou et le tout récent oléoduc de Crudos Pesados, en Equateur, censé doubler la production pétrolière de la région. Cette année, près de 25 millions de barils de pétrole équatorien ont déjà été expédiés en Californie par pétrolier. Le petit Etat andin est le deuxième fournisseur des Etats-Unis, derrière l’Arabie Saoudite et ses 56 millions de barils annuels. Les avocats de la partie plaignante pensent que le procès de Lago Agrio fera jurisprudence et qu’il pourra changer certaines pratiques relatives à l’exploitation de l’énergie. “Cette affaire peut nous permettre d’édicter de nouvelles règles pour l’Amérique latine et pour les compagnies pétrolières américaines”, confiait M. Donziger.
Créé en en 1857 sous le nom de Daily Bee, ce quotidien régional couvre la plus grande partie du nord de la Californie. Il compte 1 800 employés, plus 2 500 personnes pour distribuer le journal devant les portes chaque matin, et toucher chaque jour 729 600 lecteurs.
L‹ «Abeille de Sacramento» est le vaisseau amiral du groupe McClatchy, qui possède 11 quotidiens et 13 journaux locaux, pour une diffusion totale de 1,4 million par jour - 1,9 le dimanche.
Un site web des plus conséquents, pour un journal qui a depuis longtemps tenu à utiliser les technologies les plus avancées. En 2002, le site comptait 15 millions de pages vues par mois. L’accès aux archives est payant.
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