Une tante vicieuse

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Une tante vicieuse

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Jeunesse








La maman du petit David doit se rendre Ă  l’hĂŽpital pour une opĂ©ration du dos. Ce sont les vacances de PĂąques et il n’y a personne pour le garder. — Tante Charlotte va t'accueillir durant mon sĂ©jour Ă  l’hĂŽpital, lui dit Maman. — Tante Charlotte ? Mais je ne la connais pas ! rĂ©pondit le petit David, terrifiĂ© Ă  l’idĂ©e d’ĂȘtre sĂ©parĂ© de sa maman pour aller chez une inconnue. — Tante Charlotte est la sƓur de ton pauvre Papa, mon chĂ©ri. Elle a vĂ©cu de nombreuses annĂ©es Ă  l’étranger, c’est pour cela que tu ne l’as jamais rencontrĂ©e. « Si c’est la sƓur de Papa, elle doit ĂȘtre gentille ma Tata », se dit David, au fond de lui-mĂȘme. Son papa, un vaillant pompier, avait pĂ©ri dans les flammes lors d’un incendie. Depuis, David et sa maman vivaient seuls. Enfin, non, pas vraiment... Il y avait aussi le chien Bouboule, le fidĂšle toutou au pelage marron et blanc. Le meilleur ami de David qui avait Ă©tĂ© lĂ  pour le consoler quand son papa avait disparu. Maman Catherine terminait de prĂ©parer la valise de son petit garçon quand la sonnerie de la porte d’entrĂ©e retentit. — Va ouvrir David, cela doit ĂȘtre Tante Charlotte. David s’empressa d’aller ouvrir, impatient de dĂ©couvrir cette femme qui devait ĂȘtre aussi gentille que son papa. Quelle ne fĂ»t pas sa surprise quand il ouvrit la porte ! Une grande femme, non, une gĂ©ante, apparĂ»t devant lui. AffublĂ©e de grosses lunettes avec des verres double Ă©paisseur, les cheveux coupĂ©s trĂšs courts et vĂȘtue d’une robe informe ressemblant aux rideaux du salon de Maman Catherine... — Bon...Bonjour Tata, bredouilla David. — Bonjour mon garçon, rĂ©pondit-elle d’une voie aigĂŒe et forte. Appelle-moi Tante Charlotte. Ce sont les bĂ©bĂ©s qui disent Tata. David sentit les larmes lui monter. Il allait ĂȘtre sĂ©parĂ© de sa maman et de plus, il devait rester chez une dame qui n’avait rien de commun avec son pĂšre. Lui qui l’espĂ©rait souriante, affectueuse, aimante, il dĂ©couvrit une tante peu aimable et autoritaire. Maman Catherine boucla la valise, embrassa fort son fils et avec quelques sanglots dans la voix, lui assura que tout de passerait bien. David serra fort sa maman et siffla Bouboule. Le chien apparĂ»t, la queue remuante, avec sa laisse dans la gueule. — Ah non, pas question ! Je ne veux pas de chien chez moi ! cria Tante Charlotte. David commença Ă  pleurer et sa maman prit sa dĂ©fense. — Il n’a jamais Ă©tĂ© sĂ©parĂ© de Bouboule. Peux-tu faire une exception pour cette fois-ci ? Tante Charlotte soupira et accepta tant bien que mal que Bouboule se joigne Ă  eux. AprĂšs de longues embrassades avec sa mĂšre, David suivit Tante Charlotte dans sa petite auto. Le trajet de quelques heures se dĂ©roula dans le silence. MĂȘme Bouboule ne bougea pas, comme s’il savait qu’il devait se faire tout petit au cours de ce sĂ©jour... La maison de Tante Charlotte Ă©tait une ravissante petite maison situĂ©e Ă  la campagne. Elle avait mĂȘme des lapins, ce qui rĂ©conforta David. « Ah, elle aime quand mĂȘme les animaux ! ». Une fois qu’il fĂ»t installĂ© dans sa chambre, Tante Charlotte dĂ©posa sur le bureau un cahier. — Voici tes devoirs pour aujourd’hui. Ta maman m’a dit que tu avais des difficultĂ©s en calcul, j'ai donc mis davantage d’opĂ©rations que de grammaire. — Mais je ne peux pas aller jouer dehors ? demanda le petit garçon. — Quand tu auras fini, rĂ©pliqua-t-elle. « On dirait une maĂźtresse d'Ă©cole », pensa-t-il. ContrariĂ©, David s’installa au bureau et commença les exercices. Au bout de quelques minutes, il entendit des pas. Il se retourna et vit une petite fille. HabillĂ©e d’une robe Ă  fleurs et coiffĂ©e de nattes, elle devait avoir environ six ans. Mais elle avait surtout un petit air trĂšs malicieux... — Salut, moi c’est LĂ©onie. Je suis la fille de Tante Charlotte. Enfin, pas sa vraie fille, elle m’a adoptĂ©e. — Moi c’est David, j’ai dix ans et voici Bouboule, mon meilleur ami. La petite fille caressa le chien qui fĂ»t ravi d’ĂȘtre flattĂ©. David Ă©tait enchantĂ© d’avoir une cousine avec qui partager ses jeux. Mais avant, il devait terminer ses devoirs... — Quand j’aurai terminĂ© mes devoirs, on pourra jouer ensemble ? — Oh, laisse tomber tes devoirs, tu les finiras plus tard. Maman est partie chez la voisine et elles sont si bavardes que cela va durer des heures. Viens avec moi, je vais te faire dĂ©couvrir le jardin ! Toujours obĂ©issant, David hĂ©sita. Et puis zut, les devoirs attendront ! Il Ă©tait en vacances aprĂšs tout ! LĂ©onie l’entraĂźna dans le jardin oĂč elle lui fit dĂ©couvrir le potager, les massifs de fleurs. Elle en cueillit pour dĂ©corer le collier de Bouboule et lui donna une carotte. — Mais ce n’est pas une fille ! s’exclama David. Et il ne mange pas de carottes, ce n’est pas un lapin ! — Mais c’est pour qu’il ait une bonne vue, rĂ©pliqua LĂ©onie. — Comment ça ? — Eh bien oui, as-tu dĂ©jĂ  vu un lapin avec des lunettes ? Les deux enfants Ă©clatĂšrent de rire. Cela faisait du bien au petit David de retrouver sa joie d’enfant. LĂ©onie l’emmena ensuite voir les lapins. Ils prirent chacun un bĂ©bĂ© dans les bras pour les cĂąliner. — Comment s’appellent les gros lapins ? demanda David. — Le papa s’appelle Potiron et la maman, Mirou, rĂ©pondit LĂ©onie. David se prit d’affection pour ces animaux et se demanda si sa maman accepterait qu’il ait lui aussi un petit lapin. Bouboule remuait la queue en les regardant, son instinct de chien de chasse se rĂ©veillait. L’heure du dĂźner approcha. Tante Charlotte ne vĂ©rifia pas les devoirs de son neveu. « Ouf, se dit-il, mais je vais les terminer avant de me coucher, on ne sait jamais... ». AprĂšs le dĂźner qui se composa notamment d’un bol de soupe que les enfants n’apprĂ©ciĂšrent guĂšre, Tante Charlotte les somma d’aller au lit. Il n’était que vingt heures trente et Ă©tant donnĂ© que c’était les vacances, David pensait qu’ils auraient pu regarder un peu la tĂ©lĂ©vision. — Il n’y en a pas ici, dĂ©clara Tante Charlotte. La lecture est bien plus bĂ©nĂ©fique que toutes ces sĂ©ries violentes. Les enfants filĂšrent donc au lit. David termina ses devoirs et ensuite, alla se coucher mais il ne trouvait pas le sommeil. Le lit Ă©tait trop grand, trop froid mais surtout, le bisou du soir de sa maman lui manquait. Il Ă©tait prĂȘt Ă  pleurer lorsqu’il entendit les petits pas de LĂ©onie dans la chambre. Elle se glissa dans son lit et il vit alors qu’elle tenait dans les mains un jeu Ă©lectronique. — C’est ma copine Juju qui me l’a prĂȘtĂ© pour les vacances. Tu veux jouer ? Les deux cousins jouĂšrent Ă  attraper des piĂšces pour tenter de sauver la princesse des griffes du dragon. Ils chuchotaient, riaient quand tout Ă  coup, ils entendirent Tante Charlotte s’écrier : — Mon Dieu, les toilettes sont encore bouchĂ©es, ce n’est pas possible ! Le vidangeur a encore mal fait son travail ! LĂ©onie rit et se confia Ă  David : — Avant d’accuser le vidangeur, elle devrait se demander oĂč disparaissent les rouleaux vides de papier toilette ! Quelle coquine cette LĂ©onie ! Elle en jouait des tours Ă  sa maman qui ne se doutait de rien ! Il l’apprĂ©ciait beaucoup mais n’osait pas lui demander ce qui Ă©tait arrivĂ© Ă  ses vrais parents et dans quelles circonstances Tante Charlotte l’avait adoptĂ©e. Il pensa qu’il valait mieux poser la question Ă  Maman Catherine. Le lendemain, aprĂšs la corvĂ©e des devoirs, car LĂ©onie n’y Ă©chappait pas Ă©galement, les enfants passĂšrent leur temps Ă  jouer dehors. LĂ©onie « emprunta » la laque de sa mĂšre pour faire briller le poil de Bouboule. Cette derniĂšre remarqua que le chien avait un poil trĂšs brillant. — Je ne l’avais pas remarquĂ© avant, dit-elle. Les deux enfants pouffĂšrent de rire discrĂštement. Si Tante Charlotte savait que sa bombe de laque Ă©tait passĂ©e par lĂ ... Le soir, elle servit au dĂźner de la viande. David Ă©tait ravi, il redoutait un nouveau bol de soupe. Quand il goĂ»ta son assiette, il trouva la viande tendre et dĂ©licieuse. — C’est drĂŽlement bon, qu’est-ce que c’est comme viande ? — C’est du lapin, rĂ©pondit LĂ©onie avec un petit sourire moqueur, c’est Potiron. David recracha immĂ©diatement le morceau de viande et se mit Ă  pleurer. — Je ne mange pas les lapins que je connais ! s’écria-t-il en larmes. Il courut jusqu’à sa chambre et se jeta sur le lit. Tante Charlotte gronda LĂ©onie : — Ce n’est pas trĂšs gentil mon enfant, tu aurais pu dire les choses autrement. Ton cousin est trĂšs sensible. LĂ©onie se sentit honteuse. Jusque lĂ , c’était sa mĂšre qui Ă©tait passĂ©e pour la mĂ©chante et lĂ , c’était elle. Elle rejoignit son cousin, s’assit sur le bord du lit et s’excusa : — Excuse-moi David, je ne voulais pas de te faire de peine. Tu sais, ici Ă  la campagne, on Ă©lĂšve les lapins pour les manger. J’aurais dĂ» te prĂ©venir. David sĂ©cha ses larmes et vit que LĂ©onie Ă©tait profondĂ©ment dĂ©solĂ©e. Il lui sourit et lui pardonna. — Je ne t’en veux pas mais je peux t’assurer qu’à partir de ce jour, je ne mangerai plus de lapin, je les aime trop ! Les quelques jours suivants passĂšrent dans la joie et la bonne humeur, mĂȘme Tante Charlotte se radoucit, mais elle n’oublia pas pour autant de donner des devoirs. LĂ©onie apprit Ă  David Ă  construire une cabane, Ă  bĂȘcher le potager, et plein d’autres choses encore. Le jour du dĂ©part arriva. David boucla sa valise, impatient de retrouver sa maman mais aussi un peu triste de quitter sa cousine avec qui il avait passĂ© tant de bons moments. Avant de partir, LĂ©onie lui tendit une boite Ă  chaussures dont le couvercle Ă©tait percĂ© de trous. — Tiens, c’est pour toi, c’est en souvenir de ton sĂ©jour chez nous, lui dit-elle. David ouvrit la boĂźte et dĂ©couvrit un petit lapin au pelage marron. Il sourit Ă  LĂ©onie et Ă  Tante Charlotte et les remercia vivement : — Merci pour ce cadeau, mais j’espĂšre que vous n’avez pas mis dans la boĂźte la recette du lapin en cocotte ? Ils Ă©clatĂšrent tous les trois de rire. David n’avait jamais vu sa tante rire de bon cƓur et cela lui fit Ă©normĂ©ment plaisir. Les deux cousins se serrĂšrent fort dans les bras et LĂ©onie proposa Ă  David de revenir aux vacances d’étĂ©. — Oui, avec grand plaisir, dit-il, mais avec Maman cette fois-ci. David monta dans la voiture et fit coucou Ă  LĂ©onie jusqu’à temps qu’il ne la voie plus. Le trajet se passa en silence comme Ă  l’aller mais dans une atmosphĂšre plus dĂ©tendue. ArrivĂ© devant l’immeuble, David aperçut sa maman qui l’attendait. Elle semblait fatiguĂ©e par son opĂ©ration mais heureuse de retrouver son petit garçon. Il se jeta dans ses bras et s’empressa de lui prĂ©senter son nouveau compagnon Ă  quatre pattes qu’il avait baptisĂ© Caramel. — Tout s’est bien passĂ© mon chĂ©ri ? lui demanda-t-elle. — Oui Maman, ne t’inquiĂšte pas, et je souhaite mĂȘme retourner chez Tante Charlotte. Maman Catherine remercia Tante Charlotte d’avoir accueilli le petit garçon et il fĂ»t mĂȘme surpris quand elle dit : — Il a Ă©tĂ© adorable mĂȘme s’il ne termine pas ses devoirs en temps et en heure... David rougit. En fait, elle avait bien vĂ©rifiĂ© ses devoirs le premier jour quand il Ă©tait parti jouer dehors mais n’avait rien dit. Elle lui fit un clin d’Ɠil complice et il se dit qu’en fin de compte, elle n’était pas si mĂ©chante que ça, Tante Charlotte... Elle embrassa Maman Catherine avant de partir, Ă©bouriffa les cheveux du petit garçon en guise d’affection et fit mĂȘme une caresse Ă  Bouboule qui en redemanda. AprĂšs son dĂ©part, David demanda Ă  sa maman : — Pourquoi tu ne m’avais pas parlĂ© de LĂ©onie ? — C’était pour te faire une surprise. Apparemment, vous vous ĂȘtes bien entendus ? — Oh oui ! Mais je n’ai pas osĂ© lui demander ce qui Ă©tait arrivĂ© Ă  ses parents. — Comment ça ? demanda Maman, surprise. — Et bien oui, elle m’a dit qu’elle avait Ă©tĂ© adoptĂ©e. — Mais non, s’exclama Maman, LĂ©onie t’a racontĂ© des bĂȘtises, Tante Charlotte est sa vraie maman ! David sourit en pensant Ă  LĂ©onie : quelle sacrĂ©e farceuse ! Mais au fond de lui-mĂȘme, depuis le dĂ©but, il savait que LĂ©onie Ă©tait bien de sa famille car elle avait toutes les qualitĂ©s de son Papa : souriante, affectueuse, aimante...


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